Histoire de Méfistho
Chez les paysans.
Jour 5 et 6
Tante Claudine se déshabille une fois arrivée au hangar des deux paysans. Ils nous avaient tous emmené parce que personne ne voulait louper la vision de ma tante se faire enculer par un âne. J'étais donc là, avec ma sœur Lysa, ma cousine, Michèle et ma mère Isabelle. L'un des paysans revient avec son âne, Jules.
-Voilà !
L'âne est assez gros et on se demande comment tante Claudine, toute maigre, va se faire enculer. Tante claudine doit peser tout juste 55 ou 56 kg pour son 1m70. A poil, on voit sa chatte qu'elle a bien rasée et ses seins tout petits. Michèle, sa fille, ne manifeste aucune inquiétude à voir sa mère subir cet acte. Autour, les hommes attendent en buvant et en pelotant les femmes. Tante Claudine voit l'âne et elle observe le membre énorme.
- Tu lui fais de l'effet ! branle le !
Tante Claudine a un léger air de dégoût car c'est la première fois qu'elle branle un animal. Mais en voyant l'effet qu'elle lui procure, elle n'hésite plus et prend l'énorme sexe entre ses deux mains et l'astique. L'âne est tout excité. C'est gros un sexe d'âne. Et pourtant, tante Claudine l'astique dur. L'effet mécanique du va et vient de Tante Claudine donnant du plaisir à l'animal, sa grosse bite était énorme.
- Jamais ça ne rentrera dans son cul Dit un des paysans.
Et c'est avec étonnement qu'on voit tante Claudine saisir et sucer le gros sexe de l'âne. Et oui, contre tout attente, elle se met à gober ce sexe énorme. Il est si énorme qu'on a l'impression que la mâchoire de Tante Claudine se déforme en le suçant. L'âne commence à bouger car il ne sait comment accomplir l'acte de copulation avec cette femelle d'une autre espèce que la sienne,cette petite chose qui lui donne tant de plaisir. Il respire bruyamment et bien à l'inverse des mâles humains qui aiment faire durer le plaisir, il ne se retient pas d'éjaculer. Il ne tarde donc pas à juter sur le visage de tata Claudine qui avale presque avec plaisir cette énorme quantité de foutre.
Les deux paysans éclatent de rire mais un rire vicieux. Le serveur du cabanon prés du lac reste abasourdi par cette scène incroyable et inimaginable. Heureusement que ses clients ne la voient pas, la tante Claudine. Elle qui est si aimable et si courtoise. Elle est vendeuse dans une boutique de chaussure. Sa clientèle est friquée et bourge. En voyant donc cette scène de dépravation incroyable, de zoophilie qu'il ne croyait exister que dans les films du genre, il baisse la minijupe et le string de Michèle, la fille de tante Claudine, et commence à la baiser sur le capot de la voiture.
Michèle écarte les jambes pour recevoir l'homme. Elle gémit de plaisir de cette situation absurde. Michèle, c'est le portrait de sa mère en plus jeune et un peu plus de forme. Le teint mat mais moins que tante claudine. Elle a des cheveux noirs et mi long. Ne vous fiez pas à son air innocent car elle collectionne les petits copains. En d'autre terme, elle est aussi salope que sa mère et elle et semble tirer de la jouissance de la situation dans laquelle on se trouve. Les gémissements de Michèle semble exciter tout le monde. L'homme la baise avec fougue et sans la ménager. La voiture en est animé des secousses.
Les paysans donnent une rasade de piquette à Tante Claudine qui avale ça avec une sorte de sourire malsain puis elle continue d'astiquer le gros sexe de l'animal. L'animal a juté sur elle. Elle en a partout.
Lysa se fait caresser les seins par le métis. Il semble que le métis a un petit faible pour elle et cela permet d'éviter de se faire baiser par tous les autres. Ma sœur Lysa a 20 ans. Elle a des cheveux longs et des yeux noisettes. Elle a de joli seins fermes que masse avec délice le métis. Il lui roule de sacrés pelles. Pour peu, on les croirait ensemble. Je le vois relever le teeshirt et caresser le ventre de Lysa. Elle porte un piercing au nombril et ça lui va bien. Elle a le ventre vraiment plat. La main du métis remonte jusqu'aux seins car bien sur, elle ne porte pas de soutien-gorge.
Puis j'entends des insultes et des bruits de succions derrière moi. C'est Isabelle, ma mère. Elle est à genoux avec ses gros seins à l'air. Elle suce les deux sexes de ses jeunes kidnappeurs qui n'ont qu'une envie : lui juter entre les deux nichons. La scène est vraiment cru car elle a les deux verges dans la bouche. Ses gros seins sont secoués violemment. Ma mère est la moins svelte des quatre femmes de ma famille et surtout comparées à sa belle sœur, Claudine. Mais c'est une bourgeoise aux formes bien trop généreuses et c'est elle qui a le plus souffert de notre situation. C'est une pharmacienne de profession, comme mon père et donc très bourge. Hélas, toute ces bonnes manières n'ont servi à rien face à ses kidnappeurs qui ont fait d'elle une véritable esclave sexuelle. Sans doute n'osait elle jamais envisager ce genre de situation. Après ces quelques jours, j'ai du mal à reconnaître ma propre mère. Ce qu'ils ont fait d'elle. La voir être ainsi me révulse. Si l'on arrive à se sortir de cette situation, j'ignore si je pourrai la voir comme ma mère dorénavant. Et même Lysa, ma sœur. Je les ai vu toute les deux, nues et se faire prendre par tout les trous, violées et humiliées par ces salauds .Le pire reste ma mère car elle a vraiment eu droit à toute les humiliations possibles. Je n'oublie pas qu'elle a été baisée par des chiens et vu tout ce qu'elle a eu, ce n'est même plus une chatte qu'elle a ni un anus mais deux gros orifices destinés à donner du plaisir. Sa gorge, c'est un gouffre à sperme vu les pipes qu'elle a effectuées. En la voyant, je vois qu'elle a progressé par rapport au premier jour.
Puis j'ai découvert les vices de tante Claudine et sa fille Michèle. Surtout Tante Claudine qui s'accommode bien de cette situation. Et là, ça atteint son paroxysme avec l'âne. L'alcool aidant, elle masturbe le pauvre animal qui lui a tout juté de plaisir. Elle s'est tartiné le sperme sur ses ridicules petits seins. Elle continue à lui tenir sa gaule en l'astiquant. Ce qui est sur maintenant et vu tout ce qu'elle a sortit des couilles de l'animal, c'est qu'elle ne ce fera pas enculer. Du moins pas par l'âne.
Voilà que les deux paysans poivrots ont sorti un tuyau d'arrosage et arrose Tante Claudine et l'âne qui s'en va. Tante Claudine, saoule, se vautre par terre en ricanant. Les paysans s'amusent à l'arroser. Elle est rejointe par Michèle, qui a fini de se faire baiser par le vendeur. Elles rient et s'ébattent dans l'eau froide. Elles sont nues, saoules et dépravées. La mère et la fille, complice dans la dépravation la plus totale.
Michèle écarte les cuisses et invite ,en ricanant, le paysan à lui arroser la chatte. Tante Claudine, au sol fait pareil. Elles écartent toutes les deux les jambes, offrent leur chatte et se laissent mouiller par le jet d'eau. "Ce sont deux belles salopes" pensent toutes les personnes présentes.
Lysa se fait enculer par le métis. Elle ne porte que son teeshirt remonté au dessus des seins. Le métis la prend vigoureusement. Il ne la partage pas avec les autres et vu son gabarit, personne ne conteste. Son sexe dur et énorme s'introduit en Lysa et il la lime lentement puis de plus en plus vite.
Il ne reste que ma mère qui a droit à son coup de jet d'eau, mais sur les seins elle. Faut dire qu'elle a une sacrée paire. Cela permet de virer le sperme issue des deux autres gaillards qui, au lieu de se faire pomper le jus, ont préféré le répandre sur cette grosse poitrine de bourgeoise. Ses deux tétons se dressent ; sans doute la fraîcheur de l'eau. Les deux auréoles de ses seins sont marrons et assez larges.
Je suis mis à contribution pour arroser les femmes. Mais là, tout dégénère. Tante Claudine, dans un accès d'ivresse, enlève mon jean et baisse mon slip. Elle se met à me pomper le dard et Michèle, elle aussi, un peu saoule, se met à me sucer les burnes. Deux bouches s'affairant sur mon sexe. L'une me suçant et l'autre me gobant les couilles.
Je vois en plus ma pauvre mère dont on écarte les cuisses et que l'on approche de la chatte, le tuyau. Avec la pression, cela lui procure des sensations, elle gémit.
Me voilà par terre, Tante Claudine sur moi et qui m'excite. Michèle éclate de rire mais rigole moins quand elle est prise par les deux paysans. Elle ne s'attendait pas à être baisée par ces deux vieux tarés, heureux de pouvoir se vider les couilles sur cette jeunette de mon âge. Tante Claudine se met sur moi et s'empale sur mon sexe tout raide à cause des stimulations mécaniques. Et sous l'impulsion, je la baise. Je baise ma propre tante. Après avoir juté en elle, je reste par terre tandis qu'elle se relève en rigolant et en hurlant :
- J'ai baisé mon neveu, j'ai baisé mon neveu !
Pendant l'acte, j'ai vu le gitan se faire pomper son gros sexe décalotté. C'est Isabelle qui s'occupe de lui, toute humide de flotte. Ses cheveux lui collent au visage. Sa joue se gonfle, déformé par le gros gland qu'elle suce avec ardeur . Il a du plaisir à se faire sucer car il grogne. Il lui jute tout ce qu'il a dans la bouche.
Michèle fait la grimace en se faisant baiser à nouveau sur le capot de la voiture. Le vieux paysan la besogne tel un animal en rut. Mais ça ne dure pas car il est trop saoul. Il finit par grogner et tombe de coté en ronflant. Demain, il aura oublié la sensation procurée par cette jeune qui aurait pu être sa fille. Elle souffle et secoue la tête dégoûtée par la loque qui vient de la baiser. Un autre mec le remplace et Michèle l'accueille soulagée. Elle écarte les cuisses et la bite de l'homme rentre en elle.
Lysa termine dans la voiture avec le métis, toujours sur elle. Il est endurant et sait faire durer le plaisir. Il est sur elle et j'entends ma sœur jouir. Puis des gémissements attire mon attention. C'est à nouveau ma mère, mais prise par trois gars à la fois. Ses seins recommencent à remuer sur le visage de l'homme en dessous elle. Elle est à quatre patte. L'un se faisant faire une gâterie, l'autre l'enculant et celui en dessous tentant de s'introduire en elle. Elle ne sent même plus le sexe pénétrer dans son anus. C'est quand elle se fait limer qu'elle sent la grosse queue frémir en elle. Pendant qu'elle se fait limer, celui du dessous qui reçoit les coups de seins, a réussi à la pénétrer et adopte la cadence de celui qui l'encule. Il a du mal au début et le balancement des seins sur son visage l'excite à mort. Elle a donc deux sexes en elle voire trois car elle en a un dans la bouche. Le gitan voit tout ça et sourit. Tant de perversité dans cette famille.
Le reste de la soirée, l'alcool coule à flot, l'un des paysans vomit tant il a bu. J'ai droit à une pipe de Michèle. Après la tante, ma cousine s'occupe de moi. C'est elle qui a pris l'initiative seule. Elle me fait un clin d'œil et m'astique vivement le sexe. Sa pipe est terrible. Elle s'acharne sur mon sexe, limite à le bouffer tout cru. Je n'en peux plus et la traite de tout les noms. En lui éjaculant dessus, j'ai oublié qu'elle était ma cousine. Elle n'était plus qu'une fille perverse.
Tante Claudine ne se préoccupe pas de nous. Nue, barbouillée de boue suite au jet d'eau, elle est mise sur l'âne et le chevauche en ricanant. Jules doit se demander qui sont ces tarés. Il aurait préféré se faire astiquer par cette femelle toute maigre qui est sur lui et l'ennuie par ses cris. Elle est complètement saoule comme d'ailleurs tous le monde. L'alcool semble avoir abruti les deux gars qui sont avec tante Claudine. Mes yeux se ferment mais j'ai le temps d'entendre tante Claudine hurler quand les deux gars, ivres morts, l'empalent sur le sexe de Jules. Elle aura mal au cul, demain, tante claudine.
Je commence donc à m'endormir mais on me claque. Je vois deux paires de nichons sur mon visage et des rires. Comme je suis à moitié vaseux, je me met à masser cette grosse paire. La vigueur me reprend. Je pince les tétons et les tournent faisant crier la propriétaire qui n'est autre qu'Isabelle. Cela se termine par une formidable branlette espagnole par ma mère où je jute ce qu'il me reste de cette nuit de perversité sans nom...
A suivre...
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