Fiction de Bedo traduite par Coulybaca.
Au parloir de la prison...
- Que t'es -t-il arrivé? Qu'est-ce que ces marques sur ton visage? Demande-t-elle affolée.
- Oh. J'en prends plein la gueule. Les gardes les laissent faire. Ils regardent. Certains s'en vont lorsque ça démarre. Encore 32 jours et je pourrai sortir. Tu dois m'aider chérie. Répondis-je m'asseyant tout penaud à ses côtés.
- Je ne crois pas pouvoir le faire. Sanglote-t-elle perdue.
- Sanderson, de quoi parles-tu avec ta petite chatte blonde? Questionne le géant noir, qui s'assoit de l'autre côté de ma femme en posant sa main sur son épaule.
Il continue :
- Nous as-tu ramené quelques photos? J'aime regarder tes gros nibards et ta petite chatte duveteuse. Ton mari brûlait de nous montrer comment t'es foutu.
Gênée, Vicky tente de l'ignorer, mais en vain. Le bras posé sur son épaule, il lui empaume un nichon, le caressant machinalement.
Je purge une peine de 180 jours, sanctionnant une conduite en état d'ivresse, c'est pourquoi je dois me contenter de m'asseoir aux cotés de ma jolie petite femme.
Vicky est âgée de 23 ans, c'est une vraie blonde, ses longs cheveux pendent jusqu'à sa taille, elle a une jolie peau très lumineuse, et est dotée d'une forte poitrine, presque trop grosse, mais si ferme.
Elle était vierge lorsque je l'ai épousée, j'étais son premier amant. Nous nous fréquentons depuis les années collège et sommes très amoureux l'un de l'autre.
C'est jour de visite à la prison de comté, prisonniers et visiteurs sont assis dans la cafétéria qui est aménagée pour cet emploi. La salle contient une centaine de personnes mélangées, les enfants ne peuvent venir que dans des occasions bien spécifiques, il n'y en a pas un ce jour-là.
Les gardes se promènent dans les rangs, surveillant d'éventuels échanges. Parfois, les prisonniers peuvent s'isoler un petit moment dans une petite pièce contiguë pour jouir d'une certaine intimité. Même si le règlement de la prison ne prévoit pas formellement les tête-à-tête conjugaux, les gardes tolèrent ces occasionnels isolements. Mais on ne peut jamais fermer entièrement la porte, ce qui minore d'autant l'intimité.
De temps à autre, une femme s'allonge sur la table pour baiser avec son homme, on essaie d'ignorer les bruits d'accouplement, les gardes se rincent l'œil et rient de l'humiliation des épouses de prisonniers. On aurait tous aimé se tenir sous la table pour profiter du spectacle.
Je me fais battre depuis quelques mois, depuis le début des visites de Vicky. Elle avait posé pour des photos nues et avait tenté de me les donner un jour de visite. Sa sœur Valérie l'avait prise en photos avec un polaroïd quelques jours plus tôt. Lorsqu'elle s'était assise un grand sourire aux lèvres, je compris qu'elle me préparait une surprise. Tout ce que je savais, c'est que j'étais sévèrement frustré, je la désirais âprement. J'avais posé ma main sur ses cuisses, et je glissai mes doigts vers sa chatte lorsqu'elle me mit les clichés dans la paume de la main.
Je tâtonnai et les rangeai prestement. Malheureusement, l'un des gardes m'avait vu faire
Il se dirigea vers moi me demandant de lui remettre l'objet introduit en fraude, il pensait que ça pouvait être de la drogue et fut heureusement surpris de découvrir des photos de ma ravissante femme nue.
Les deux premières montraient ses gros nibards, la suivante son cul ferme, mais sur les deux dernières elle exhibait sa chatte, l'une d'entre elles, cuisses grandes écartées. Sur toutes ces photos, elle souriait vicieusement l'air d'inviter le client. Il rit et les empocha, puis il fit des copies et les distribua à ceux qui en voulaient.
Le salaud de nègre, assis aux côtés de Vicky et lui pelotant un nichon, s'est procuré les cinq photos, et il veut qu'elle en prenne d'autres d'elle nue pour les lui donner. Mais elle se refuse à faire cela. Depuis il me bat journellement pour l'obliger à accepter. Il veut aussi lui imposer certaines tenues pour lui plaire lors des visites.
- Waou.Sanderson, ta femme a des nichons de matrone. Ils sont vraiment très gros. C'est pas facile de dégoter de tels nibards. Commente-t-il goguenard.
- J'aimerai bien te fourrer ma bite dans ta soyeuse petite chatte ma blonde chérie. Lui dit-il à l'oreille alors que sa main remonte sous sa jupe se dirigeant tout droit vers sa juteuse petite foufoune.
Elle serre les cuisses pour tenter de d'arrêter ces caresses obscènes, et s'écrie :
- Ne me touchez pas!
Le géant noir se relève et me menace :
- Cette nuit je viendrai t'enculer!
- Attendez...Lui dit alors Vicky l'invitant à se rasseoir. Je vous prie ne lui faites pas de mal! Vous allez le tuer.
Il reprend place à ses côtés et lui remet une main sur l'épaule et l'autre sous la table. D'emblée il pose sa grosse main sur ses cuisses tout près de sa chatte.
- J'espère que tu vas te tenir tranquille et m'obéir dorénavant. L'avise-t-il alors que sa main arrive au contact de la délicieuse petite cramouille de mon épouse éperdue.
- C'est bien chérie. Tu vas sentir les doigts d'un vrai homme dans ta chatte. Penche-toi en arrière et écarte plus les cuisses.
- Il y a trop de gens qui nous regardent. Arrêtez... Je vous en prie. S'insurge-t-elle sourdement tout en ouvrant lentement les cuisses.
Les prisonniers, assis dans notre voisinage, voient ses jambes grandes écartées, et la grosse main noire insérée sous sa jupe, entre ses cuisses nacrées. Elle pleurniche. Ignorant ses larmes, il lui fourre profondément les doigts dans la chatte.
- Aïe! Se plaint-elle enfonçant ses ongles dans la paume de ma main.
- Espèce de salaud, enlève tes pattes de là. Me révoltai-je.
- Qu'est-ce que tu veux mon poussin? M'interrompt-il enfouissant encore plus profondément ses doigts dans la chatte de ma femme.
- Réponds moi chérie, que préfères tu : que je m'amuse avec ta moule ou que je casse la gueule à ton mari avant de lui casser le cul cette nuit? A toi de choisir...
- C'est d'accord. Continuez ce que vous me faites. Sanglote-t-elle servilement.
- Mais fous-lui la paix, je t'en prie! Dis-je désespéré.
Boone fourre son doigt aussi loin qu'il le peut dans la cramouille de Vicky. Il resserre son bras sur ses épaules et empaume à nouveau un de ses nichons. Il reprend son pelotage.
- Déboutonne ton corsage, que je vérifie si tu m'as obéis. Je t'avais dit de ne pas mettre de soutien-gorge. Lui dit-il alors qu'elle commence à enlever ses boutons.
- C'est bien ma salope. Tu as obéi.
Boone ne cherche pas à se cacher, au contraire. Il hausse le ton pour se faire remarquer. Il se réjouit que des gens puissent le voir molester ma femme. Il dit à voix haute :
- Quels beaux nichons. Mark! Mark, viens ici une minute! Viens voir ces gros nichons.
Les femmes aux alentours nous regardent avec sympathie. Le dénommé Mark s'approche de notre table, me repousse de la main et s'assoit à ma place. Sans se cacher, il prend l'autre nibard en main et se met à le peloter.
- Bordel quelle paire de loches, t'as raison! Commente-t-il, sa pine s'érigeant dans son pantalon.
- De toute façon, nous pouvons toujours aller dans la petite pièce s'amuser avec toi. Dit-il hilare à mon épouse affolée.
- Ne regarde pas ton pleutre de mari, il ne peut rien pour toi!
- J'ai une bien meilleure idée chérie. Passe sous la table et taille moi une pipe!
Vicky se fige et elle me regarde. Je lui fais non de la tête. Elle se remet à pleurer. Ces salauds de garde ne peuvent ignorer plus longtemps ses cris. Ils viennent à son aide en ordonnant aux deux salopards de nègre de quitter les lieux. En partant, ils se tournent tous deux vers moi me souriant de façon menaçante. Je dis à ma femme :
- Vicky, je veux que tu arrêtes tes visites. Il ne me reste que 32 jours à tirer. On peut se téléphoner une fois par semaine. Je ne veux plus te voir ici. Ne te tracasse pas pour moi, je ferais attention. Promets-le-moi.
- Je dois te quitter. Me dit-elle en m'embrassant.
Et en quittant la pièce elle ajoute :
- Je suis désolée de ne pas leur avoir obéi, mais pas devant tous ces gens. Je te promets de revenir te voir. Je t'aime.
Elle dévale le vestibule lorsqu'un garde, un sergent, l'interpelle :
- Madame Sanderson, je peux donner un coup de main à votre mari pour le mettre à l'abri des autres détenus. Mais pour ça il faudra payer.
Au travers de ses sanglots elle demande :
- Que pouvez-vous faire pour l'aider? Je sais ce qu'ils veulent lui faire ce soir. Ils l'ont dit en partant. Ne les laissez pas faire je vous en prie, Je ferai ce que vous voudrez.
- Madame Sanderson, je peux le faire transférer dans un lieu sécurisé pour le reste de son séjour. Il ne doit lui rester qu'un mois ou deux à tirer.
Vicky approuve de la tête et il continue :
- J'ai vu ce qu'ils vous faisaient au parloir, ils vous pelotaient et, sous la table, il vous doigtait n'est-ce pas?
Vicky arrête le sergent dans son élan et elle gronde :
- Ils me molestaient, et pas un d'entre vous n'a bougé le moindre petit doigt. Vous étiez tous spectateurs.
- Attendez madame Sanderson, cela fait assez longtemps que vous venez pour connaître les règles. On ne doit pas intervenir tant qu'il n'y a pas de troubles graves. Ces ordres viennent du directeur. Nous ne pouvions pas intervenir tant que ne criez pas. Ce n'est pas plus compliqué. Mais revenons à nos oignons. Si on transfère ton mari dans une aire sécurisée il sera à l'abri. Bien sûr il sera seul. Mais personne ne pourra le blesser.
Baissant la voix il ajouta :
- Tout ce que vous aurez à faire ce sera de m'obéir quand je voudrai et là où je le voudrai.
- Nous n'avons pas d'argent. Je travaille au noir pour joindre les deux bouts. Réplique Vicky sombrement.
- Je ne veux pas de ton argent. Et tu le sais bien. Je veux disposer de ton corps une ou deux fois par semaine le mois à venir. C'est ça ou ton mari reste avec les autres détenus. A toi de choisir.
Vicky se tient immobile, se retenant de pleurer. Elle tient son corsage fermé de la main, les deux hommes ayant arraché les boutons dans leur hâte de l'ouvrir. Son corsage est déchiré, et elle se sent violentée.
- C'est d'accord. Dit-elle faiblement. Mais vous le transférez aujourd'hui, Maintenant, Pas plus tard qu'en ce moment.
- D'accord madame Sanderson. Répond-il en souriant. On va le transférer maintenant. Tu m'attends au parloir. Et je te promets qu'il sera en sûreté avant que tu ne partes.
- Pas au parloir je vous en prie. N'importe où mais pas là.
- Je veux que les gardes aient un œil sur toi. Réplique-t-il la quittant.
Vicky retourne sombrement dans la salle des visites, et l'attend debout contre un mur. La salle est maintenant à moitié vide. Les deux noirs qui l'ont molesté ne sont plus dans la pièce. Plusieurs prisonniers cherchent à l'aborder, mais les gardes les en empêchent, et leur ordonnent de regagner leurs cellules.
Le gros sergent tient parole. Elle a vu un garde emmener son mari vers les cellules d'isolement.
Elle regarde un groupe de gardes entrer dans la salle. Un des geôliers discute avec le gros sergent qui dit à Vicky :
- Madame Sanderson, votre mari est en sécurité. Parlez-lui dans ce combiné, il va vous répondre, Il est au bout de la ligne.
- Chéri c'est bien toi? Dit-elle craintivement.
- Oui, C'est moi. Ils m'ont mis en cellule d'isolement. Je crois bien que je suis à l'abri. Je devrai rester ici les 32 derniers jours. Mais je préfère cela. Et toi ça va chérie?
- Bien mieux maintenant que je sais que tu es à l'abri chéri. Réplique-t-elle soulagée. Maintenant, je dois te quitter chéri, le travail ne m'attendra pas. Je t'aime mon chéri. Je reviendrai te voir jeudi prochain.
Le gros sergent lui reprend le combiné des mains, et dit aux gardes de faire leur ronde et de revenir. Ils disposent alors que le sergent s'adresse à Vicky :
- Allez à poil ma chérie. Il est temps de régler la note de ton mari. Rappelle-toi si tu dis quoi que ce soit à qui que ce soit, je le renvoie avec les autres détenus. Et il se fera enculer par la plupart des prisonniers. Et maintenant cesse de pleurnicher et désape-toi.
Vicky enlève son corsage, exposant son opulente poitrine à cet étranger, noir de surcroît. Elle a la peau très claire, ses aréoles sont un peu plus foncées. Ses tétons se redressent tandis qu'elle baisse la fermeture éclair de sa jupe.
Elle laisse choir sa jupe, s'exposant entièrement nue. Le gros sergent contemple le corps de cette somptueuse femelle, fasciné par sa toison blonde et le galbe de son corps bien proportionné.
- Tu te rases la chatte? Bordel, mais non t'es pas rasée. Tes poils sont si blonds qu'on les voit à peine. Approche que je touche. Dit-il l'attirant à lui.
Vicky fait un bond en arrière cherchant à dissimuler son intimité de ses mains. Il saisit son combiné téléphonique et commence :
- Jimmy, c'est Tom, ramène Sanderson avec les autres détenus!
La jeune femme balbutie, effondrée en s'approchant de lui les bras pendants.
- - Non... Non... Attendez. Je vais obéir. Faites de moi ce que vous voulez mais protégez mon mari.
- Laisse tomber Jimmy, laisse-le dans sa cellule et rapplique au parloir!
- D'accord. Mugit Jimmy à l'autre bout du fil.
Le gros sergent repose son téléphone.
- Dorénavant, madame Sanderson nous allons nous amuser. T'es d'accord? Tu peux participer ou non, et avoir du plaisir ou non, Je m'en fous! Tu dois juste faire ce que je veux quand je veux. Et maintenant à genoux et taille moi une pipe!
Choquée, la jeune femme se laisse tomber à ses genoux. Il lui dit de sortir sa bite et la regarde opérer. Ouvrant son caleçon, elle tend la main et tente de sortir la bite du salaud de son caleçon, mais elle n'y parvient pas. Frustré le gros sergent déboucle sa ceinture, dégrafe son pantalon et le laisse tomber au sol.
L'odeur est terrible, son caleçon est souillé de larges marques d'urine, son ventre pend au-dessus de sa bite engorgée, sa queue est courte et très large. Il attrape rudement Vicky par la chevelure et presse son visage contre sa bite puante.
- Suce salope! Dit-il avec un mauvais sourire. Prends la bien en bouche et suce la!
Vicky recule la tête et embouche la bite du gros porc. La bouche distendue aux limites du supportable, elle panique cherchant à se relever. Le gros sergent la maintient au sol lui forçant les lèvres. A ce moment quatre gardes pénétrèrent dans la salle.
- Qu'attends-tu? Suce-moi la bite putain! Dit-il à voix haute.
Les gardes éclatent de rire et s'assoient en attendant leur tour de posséder cette somptueuse femelle. Elle hésite encore. La saisissant par les oreilles, il enfourne sa queue entière dans sa bouche, et il commence de lentes et savoureuses allées et venues. Elle se dit qu'il ne devait pas se faire sucer bien souvent, peut-être bien qu'il va éjaculer rapidement.
Mais à sa grande surprise, il dure bien plus longtemps qu'elle ne l'escomptait, elle essaie toutes les ruses pour le faire gicler et en finir, mais rien n'y fait. Elle décide de lui faire ce qui marche toujours avec son mari. Ça marche à chaque coup.
Elle tend la main au-delà de ses couilles, et lui fourre un doigt dans le trou du cul et ça marche. Le gros porc se met à trembler de tous ses membres et jaillit dans sa bouche. Il lui tient bien la tête la forçant à avaler jet après jet, se vidant totalement dans sa bouche asservie.
Elle déglutit en absorbant une certaine partie, mais il en déborde le long de ses joues. Tenant sa bite en main, il gicle une dernière fois sur sa langue.
Les gardes discutent tranquillement, puis l'un d'entre eux dit a Vicky de se relever. Elle obtempère, laissant cette bande de pervers admirer ses charmes.
- Des gros nichons qui sortent du commun.
Ils s'étonnèrent aussi de la finesse de ses poils pubiens.
- Viens ici salope que je vois ça de plus près! L'interpelle le garde nommé Jimmy.
Docilement, Kelly s'approche de lui. Il prend un de ses nibards en main et se met à le peloter vigoureusement. Sa pine durcit instantanément.
- Bordel, ils sont bien fermes tes gros nibards. Ceux de ma femme, après cinq grossesses, sont tout mous et pendent comme des oreilles de teckel. Ceux-ci sont magnifiques. Se réjouit Jimmy.
Puis il demande :
- Est-ce que ton pleutre de mari te baise correctement?
- Bien sûr, quand il est à la maison!
- Tu vas me faire une cravate de notaire et je te giclerai sur la figure. Allonge-toi chienne, ça sera plus confortable.
Comme elle hésite, il la pousse sur le sol froid. Il baisse son pantalon et son caleçon sur ses chevilles, les ôte prestement, et s'assoit sur l'abdomen de Kelly. Il place son épaisse queue raidie entre ses seins et commence à aller et venir entre ses loches. Ses nibards sont secs, ce qui entrave le coulissement, aussi, il tend ses doigts en arrière, et les plonge profondément dans sa chatte détrempée. Il enrobe alors sa hampe de la substance gluante récoltée dans le vagin. Il recommence trois fois, jusqu'au moment où il glisse avec assez d'aisance pour lui baiser la poitrine.
Vicky est étendue sur le plancher froid, les yeux fermés, alors que cet homme se sert de sa poitrine comme écrin pour sa bite, chose qu'elle n'aurait jamais imaginé. C'est sa première cravate de notaire. Elle prend le chemin de la dégradation, on se sert d'elle comme d'une belle pièce de viande. Son mari ne l'aurait jamais possédé ainsi, pas de cette manière vicieuse.
Elle ouvre les yeux assez longtemps pour le voir presser ses globes mammaires sur sa bite qui coulisse aisément entre eux, lui touchant parfois le menton, elle sent l'excitation monter dans ses reins.
Elle sent qu'il s'active de plus en plus rapidement entre ses gros nibards. Il se met à trembler convulsivement, elle comprend soudain qu'il va jouir sur son visage.
Elle referme étroitement les yeux, alors qu'il se met à gémir sourdement. Elle sent le foutre chaud lui poisser le menton, les lèvres, le nez, lui piquer les yeux, quelques jets ayant même atteint son front et ses cheveux blonds.
Il éclate de rire en étalant son foutre sur son visage. Elle se sentait profondément humiliée. Il aime particulièrement l'épandre autour de sa bouche.
- Ouvre le bec salope! Il est temps de goûter à ton dessert. L'avise-t-il rigolard.
Vicky reste bouche fermée mais il est bien résolu à lui faire goûter son sperme. Se plaçant au-dessus de son visage, il prend sa bite quasi molle et la presse contre ses lèvres.
- Ouvre ta bouche salope, je veux décharger dedans!
Elle ouvre la bouche, mais reste yeux fermés. Puis, après quelques secondes elle les ouvre aussi. Elle le voit se préparant à se glisser entre ses lèvres disjointes et elle voit du foutre perler à son méat, il projette un jet de sperme épais droit dans sa gorge sous les hourras des spectateurs. Refermant la bouche elle se met à tousser, à crachoter.
- Avale son foutre salope. Je ne veux pas te voir le recracher. N'en perd pas une goutte. Lui ordonne le gras sergent.
Elle absorbe l'épaisse substance qui la dégoûte.
Le suivant lui écarte les cuisses et s'installe entre elles. Il la doigte le temps d'obtenir une moiteur suffisante pour faciliter les opérations.
- Bordel les gars, je vais la baiser comme jamais on l'a baisée!
Et il se débarrasse de son pantalon, s'étend sur elle et enfourne sa bite dans sa foufoune désolée sans coup férir, s'enfouissant jusqu'aux couilles.
Les autres regardent fascinés sa large queue aller et venir entre les petites lèvres distendues. Ils sont épatés de voir cette chatte gainer sa hampe turgescente, alors que son épais gourdin disparait dans sa caverne asservie.
A chaque poussée, elle râle, écrasée par le poids de son suborneur, ce qui excite l'assistance. Ils sont tous impatients de voir leur tour arriver.
Le gros sergent dit alors :
- Jimmy va chercher Sanderson. Il aimera peut-être assister au spectacle. Qu'en penses-tu?
Jimmy sourit de toutes ses dents et quitte la pièce.
Son tortionnaire étant prêt à jouir, il se met à la chevaucher frénétiquement et explose dans son ventre fertile. Ses dernières poussées sont aussi rudes qu'obscènes, il s'efforce de la bourrer jusqu'à la garde.
A suivre...
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