Traduction d'un texte de GTO_Racer.
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Annie devient esclave.
Le lendemain, mon réveil sonne et je me lève immédiatement. Tout en me traînant hors de lit, j'enfile mon peignoir. Je descends pour prendre un café et préparer le petit-déjeuner de Jacques. Apparemment mon trou du cul s'est adapté et s'est habitué au plug pendant que je dormais. Il ne me faut pas beaucoup d'efforts pour marcher normalement ce matin. Mais les sensations envoyées par cet objet commencent à humidifier ma chatte.
Après le départ de mon fils, je finis mon café et je vais me doucher. Je passe le rasoir sur toutes les parties de mon corps qui en ont besoin, aisselles, jambes, chatte. Puis je me savonne et me lave complètement. De retour dans ma chambre, je lubrifie soigneusement le plug de taille moyenne, sort le petit, remet du lubrifiant sur mon cul et enfonce l'autre, il fait quatre centimètres de diamètre et dix centimètres de long environ. Heureusement j'ai toute la journée pour m'entraîner à marcher avant que Jacques ne revienne à la maison. Je règle une minuterie, je prends le gros gode et je commence à m'entraîner. Immédiatement je remarque qu'il a un goût différent. Ce n'est pas mauvais juste un peu sucré et acidulé. Je réalise que je ne l'ai pas lavé après l'avoir utilisé la nuit dernière. De toute façon ce n'est pas la première fois que je goûte mon jus.
Ayant fini mes « devoirs » du matin, je m'habille pour aller faire du shopping. Selon des instructions de Jérôme, je ne mets pas de culotte sous une belle robe, des bas, un porte-jarretelles et une paire de talons de dix centimètres. Je quitte la maison pour dépenser un peu d'argent.
Cinq heures plus tard et pas mal d'argent de dépenser, je rentre chez moi avec une presque totale nouvelle garde-robe. J'avais fini de retourner dans le sex-shop pour acheter quelques paires de chaussures sexy avec des talons de quinze centimètres
*********** Jacques ********
- C'EST QUOI CA, JACKSON?
J'entends crier alors que je suis face contre le sol.
- QU'EST-CE QUE TU VOULAIS FAIRE?
Finalement je reconnais la voix de Jérôme qui crie contre Robert JACKSON.
- Que veux-tu dire Jérôme, je l'ai juste bloqué.
- Des conneries, j'ai vu ce qui s'est passé. Je t'ai vu le tacler sans raison alors que le jeu était de l'autre côté du terrain.
Encore un peu groggy du coup que je viens de prendre, je commence à me relever. Dire que je suis un peu dans les vaps n'est pas un euphémisme. Les copains de Jérôme prennent souvent plaisir à me bloquer pendant l'entraînement. Et d'habitude, Jérôme prend plaisir à rigoler et se moquer de moi. Mais aujourd'hui il est en colère contre un de ses amis pour le genre de mauvais geste qu'ils ont toujours faits. Et plus surprenant encore, il me tend la main pour m'aider à me relever. c'est bizarre.
- Attention les gars, il fait partie de notre équipe. Nous avons besoin de tout le monde. Le blesser pour qu'il ne puisse plus jouer à 100 % va affaiblir l'équipe entière. Faites attention désormais!
Puis il se tourne vers moi et me demande :
- Ça va, mec?
- Ouais je vais bien. Laisse-moi juste quelques secondes pour me remettre. Marmonné-je.
- T'es un costaud. J'ai vu le coup, beaucoup de personne auraient été obligés d'arrêter l'entraînement.
- Ouais, mais je suis un peu habitué à ce genre de choses.
- Oui Bien sûr! Mais tu jouais bien avant que JACKSON ne fasse le con. Continue comme ça! Dit-il avant de s'éloigner de l'autre côté du terrain.
C'est bizarre. Et ma mère fut surprise quand je lui en ai parlé le soir même.
*********** Annie ********
Je n'ai pas eu de nouvelles de Jérôme avant le vendredi après-midi. L'équipe avait son premier match le soir même. Toute la semaine, Jacques m'avait dit que les choses allaient mieux pour lui. Jérôme est ses copains étaient devenus gentils avec lui. Malheureusement les copains de mon fils étaient toujours harcelés et il essayait de les défendre, surtout Avril d'ailleurs. Mais il n'était pas toujours la quand les choses se passaient. J'étais désolé d'entendre ça, mais je ne pouvais pas faire grand-chose.
- Bonjour Annie. Comment ça va? Entends-je dans mon téléphone.
- Qu'est-ce que tu veux Jérôme? Réponds-je.
- Tout d'abord, je veux que tu changes d'attitude pour me parler. Et de plus, tu ne t'es pas adressé à moi correctement. Dit-il.
Je soupire :
- Très bien! Que puis-je faire pour vous, Monsieur?
- Je voulais que tu saches que je passerai après le match ce soir. Je me suis assuré que Jacques ne soit pas là. Il va te demander de passer la nuit chez un ami. De toute façon, que tu acceptes ou non, je passerai.
Merde!
Effectivement, quand Jacques rentre à la maison après les cours pour se préparer pour le match, il me demande s'il peut passer la nuit chez Daniel. Bien sûr j'ai accepté et il a pris ce dont il avait besoin avant de repartir. Sachant que Jérôme va me baiser ce soir, je me douche à nouveau en m'assurant d'être bien rasée partout. Je nettoie le plug et le remets, puis je m'habille avec un porte-jarretelles, des bas avec coutures, des talons de dix centimètres, une belle robe jaune soleil, mais sans culotte. Avant de mettre la robe, je me dis que ce serait une bonne idée de m'entraîner de nouveau avec le gode. Il est évident que cette compétence va de nouveau être testée ce soir. J'en suis arrivée a point que je peux mettre presque entièrement l'objet dans ma gorge.
Je vais au match comme d'habitude pour voir jouer mon fils. Même s'il n'est pas un des joueurs principaux, il rentre généralement quelques fois sur le terrain. Habituellement quand les titulaires font une pause. Je vois Jérôme me sourire en me voyant dans les gradins alors que l'équipe fait une pause. J'ai l'impression que Jacques joue plus longtemps que d'habitude. L'entraîneur le garde sur le terrain. Je vois aussi qu'il est positionné de façon stratégique. Notre équipe gagne ce soir-là. Autre chose étrange, Jérôme a chaleureusement félicité Jacques à la fin du match et il lui a parlé tout du long en sortant du terrain. Il fait des gestes comme s'il donnait des conseils à mon fils sur son jeu. Je suis heureuse que les choses s'améliorent pour Jacques, mais je sais que je paierai pour cela plus tard. Une partie de moi est d'ailleurs excitée à cette idée. Peut-être est-ce parce que le plug s'enfonce plus profondément en moi et que je me tortille en m'asseyant sur les gradins en bois. Et que je bouge mes fesses de temps en temps.
Je félicite Jacques quand il sort du terrain après le match. Il va chez Daniel juste après qu'il ait pris sa douche et se soit habillé dans les vestiaires. Il me dit également qu'il passera une grande partie de la journée du lendemain chez son copain et qu'il ne rentrera que tard dans l'après-midi. Jérôme sourit et me fait un rapide clin d'œil en se dirigeant vers les vestiaires. Je fais un rapide câlin maternel à Jacques et je rentre à la maison.
Une demi-heure après être revenue chez moi, j'ouvre la porte et je laisse entrer Jérôme. J'avais bu un verre de vin pour me calmer les nerfs pendant mon attente. Je me suis résignée à mon sort alors que j'attendais son arrivée, assise sur le canapé. J'ai accepté ma soumission. Jérôme fait sa part de notre marché. Il s'est lié d'amitié avec mon fils et il l'aide. Mon esprit est en ébullition. J'essaie de réfléchir à un moyen de me sortir de ce piège dans lequel je me trouve. Comment puis-je laisser un jeune gars de 18 ans me contrôler et me forcer à devenir son esclave sexuel? En pensant au sexe, je ne peux m'empêcher de penser qu'il m'a donné les meilleurs orgasmes que j'ai pu avoir depuis des années. J'essaie de mettre ces pensées de côté, mais ma chatte s'humidifie. Merde!
Je dois admettre qu'il a l'air bien. Ma chatte se contracte alors qu'il passe devant moi et que je sens son odeur. Il est bien habillé, en pantalon kaki avec un polo.
- Tu as une bière? Demande-t-il en se pavanant dans le salon.
- Non désolé, mais je ne bois pas de bière et Jacques est trop jeune pour boire. Dis-je.
- Débrouille-toi pour en avoir la prochaine fois. Je veux que tu aies de la bière fraîche à tout moment.
- J'ai du vin ou du whisky si vous voulez?
- Très bien. Un whisky avec des glaçons. Commande-t-il en s'asseyant sur le canapé.
J'en profite pour remplir mon verre de vin également. Quand je lui tends le verre de liquide doré, il me demande d'allumer la musique et de lui faire un strip-tease. Bien sûr, je n'ai pas grand-chose à enlever à part ma robe et mon soutien-gorge. Encore une fois, il veut que je garde le porte-jarretelles, les bas et les talons. Ensuite il veut que je lui fasse une longue fellation pendant qu'il sirote son verre.
Après avoir enlevé son pantalon, son caleçon, ses chaussettes et ses chaussures, je prends mon temps pour lécher son long manche puis lécher et sucer doucement ses testicules. Prenant son gland dans ma bouche, je fais tournoyer ma langue dessus tout en verrouillant mon regard sur le sien. Après quelques minutes de ce traitement, je commence à bouger ma tête de haut en bas sur sa queue tout en l'aspirant. Pendant que je fais cela, je caresse avec ma main ce qui n'est pas dans ma bouche, le branlant avec délicatesse. Puis je relève la tête, je prends une longue inspiration et je descends. Plus bas, toujours plus bas, le gland pénètre ma gorge. Je m'applique et je pousse plus loin, continuant jusqu'à ce que mon nez touche son ventre. Ma gorge se resserre sur sa bite. Je vois qu'il est impressionné. Je me relève et je recommence. Toujours plus profond, toujours plus de caresse et d'aspiration. Je peux sentir qu'il va bientôt jouir. Mais comme il n'a pas fini son verre, je me relève pour qu'il se calme un peu. Une minute plus tard je recommence. Une autre gorge profonde. Je l'amène au bord du gouffre et je relève la tête de nouveau. Je le vois alors prendre la dernière gorgée de son verre. Alors je recommence à empaler ma gorge sur sa bite et cette fois-ci je reste et j'essaie de contracter ma gorge pour le faire jouir. Je sens sa bite gonfler et le sperme jaillit directement dans mon ventre. Quand il a fini, je relève la tête jusqu'à ce que son gland soit dans ma bouche pour continuer à le lécher et le sucer jusqu'à la dernière goutte.
Après quelques instants de repos, nous allons dans ma chambre. Il veut voir les jouets que j'ai achetés au sex-shop. Il est satisfait. Il me fait m'agenouiller et me fait tenir mes cheveux pendant qu'il attache le collier.
- A partir de maintenant, je veux que tu le portes chaque fois que je viens. Il te rappellera que tu m'appartiens.
Puis il me commande :
- Debout, les mains derrière le dos! Et ne bouge pas!
Tandis que je lui obéis en me redressant et en mettant mes bras dans mon dos, je le regarde prendre les pinces à tétons. Oh merde, dans quoi me suis-je embarqué? Apparemment il voit la peur dans mes yeux.
- Je ne vais pas te forcer, salope! C'est ton choix. Tu peux tout arrêter quand tu le veux, c'est toi qui décides. Bien sûr tu connais les conséquences.
Je sais ce que cela signifie. j'ai le choix : le laisser m'utiliser et abuser de moi ou le laisser harceler mon fils. Mentalement, je prends mon courage à deux mains et je tends ma poitrine vers lui. Putain, ça me fait mal. Il a posé une pince sur mon mamelon gauche, puis sur celui de droite. Étrangement la douleur envoie des décharges électriques directement dans ma chatte. Ai-je dit qu'elle est complètement inondée de mon jus? Il me masse les seins pendant un moment et la douleur s'estompe. Je peux encore sentir les pinces, mais ça reste gérable.
- As-tu gardé un plug tout le temps comme je te l'ai demandé?
- Oui Monsieur, je ne l'ai enlevé que pour le nettoyer et faire mes besoins naturels.
- Bien, sinon ça risque d'être douloureux si tu ne l'avais pas fait. Répond-il avec un sourire narquois.
Oh merde, il ne faut pas être bien intelligent pour savoir où il veut mettre sa queue. Il me fait sortir le pot de lubrifiant, puis montre sur le lit et me mettre à genoux, le cul bien en l'air et la tête reposant sur les draps. Il me demande d'écarter mes fesses, puis il retire doucement le plug avant de le poser sur la table de chevet. J'ouvre la bouche de surprise quand ils poussent deux doigts lubrifiés dans mon cul. Puis c'est trois doigts. Je ressens une douleur brûlante. La sensation est inconfortable, mais toujours gérable. Je suis surprise de sa douceur. Ses mouvements sont lents et réguliers alors qu'il pousse et sort en tournant la main pour m'agrandir. La brûlure passe et est remplacée par une étrange sensation de plaisir.
- Bien salope! Il est temps pour moi de te prendre ta dernière virginité! Annonce-t-il.
Je ne m'en étais pas rendu compte, mais apparemment il avait utilisé son autre main pour lubrifier sa grosse queue. Je le sens saisir mes hanches, puis son gland se presse lentement contre mon petit trou du cul béant. Avec l'aide du lubrifiant et de la préparation de mon anus, il ne faut pas beaucoup de force pour que sa bite glisse dans mon cul. Les premiers centimètres entrent sans problème. Puis je sens de nouveau une brûlure. Il s'arrête pendant une minute pour laisser mon cul s'adapter. Il avait dû entendre mon gémissement dû à la douleur. Après être resté immobile pendant une minute, il se retire un peu puis pousse de nouveau en avant, s'enfouissant un peu plus profondément. Il continue ainsi : pousser, faire une pause, se retirer un peu, pousser plus profondément, se retirer, et ainsi de suite.
De temps en temps, alors qu'il fait une pause, il passe la main sous moi pour me caresser le clitoris. Non seulement ce geste amplifie mon excitation croissante, mais il aide à détendre mon cul et à réduire la douleur. Finalement je sens les cuisses de Jérôme se presser contre mes cuisses alors qu'il a réussi à enfouir toute sa queue dans mes intestins. Mon Dieu, j'ai l'impression d'être remplie. Il reste comme ça un moment, puis se retire lentement ne laissant que son gland à l'intérieur. Puis il commence à me baiser lentement. Il entre et sort avec des coups de reins réguliers. Peu à peu il accélère. Je le sens me baiser alors qu'un orgasme commence à se développer dans mon ventre Chaque coup de rein devient de plus en plus rapide jusqu'à ce qu'il me baise rudement. Je sens que mon orgasme continue à se développer. Je sais déjà qu'il sera différent et bien plus puissant que ce que j'ai pu ressentir jusqu'à aujourd'hui.
Soudain j'entends sa respiration changer. Il commence à grogner à chaque coup de rein. Puis soudainement, il enlève une main de mes hanches pour la passer sous moi, poser son pouce sur mon clito et enfoncer deux doigts dans ma chatte. Mon corps tremble alors qu'un gigantesque orgasme le traverse. Mon cul se resserre sur sa bite. C'est cette sensation qui doit le pousser à jouir. Je l'entends rugir et je sens un liquide chaud inonder mes entrailles.
Cinq minutes plus tard, je me remets lentement des tremblements qui agitent encore mon corps. Je suis tombée en avant, je suis couchée sur le ventre avec Jérôme sur moi. Son sexe est toujours enfoui dans mon cul, mais il débande doucement.
- Putain de merde, c'était bon! Dit-il alors qu'il roule sur le lit et s'allonge sur le dos, son bras couvrant ses yeux.
Une autre minute plus tard, il reprend son souffle et bouge son bras pour regarder sa bite.
- Allez salope, lève-toi , il est temps de nettoyer. Dit-il en giflant mon cul.
En gémissant, je me lève du lit et je me dirige vers la salle de bain. Tout d'abord je m'assois sur les toilettes pour évacuer le contenu de mon cul. Puis je prends un gant de toilette que je mouille avec de l'eau tiède. Je réfléchis une seconde et je mouille un deuxième gant. Je reviens dans la chambre et je lui en tends un pour qu'il puisse laver ses mains du lubrifiant. Avec le second, je lave soigneusement sa bite et les zones environnantes. Quand j'ai fini, je ramène les deux gants dans la salle de bain et je m'essuie rapidement avant de les jeter dans le panier à linge sale. De toute façon, j'ai prévu de faire une lessive le lendemain.
Jérôme passe la nuit à la maison. Je lui prépare un dîner (gentiment il me permet de porter un tablier pour cuisiner). Il me baise plusieurs fois et m'encule encore bien sûr. Je dois lui tailler une autre pipe. Il baise même ma chatte alors que j'ai le gros plug dans mon cul. Le lendemain matin, je lui prépare un petit déjeuner, puis je le lave alors que nous sommes sous la douche. Je lave sa bite en la savonnant entre mes seins et en la branlant. Finalement, après la douche, il s'habille et part. Je passe le reste de la journée à faire la lessive, changer la literie et nettoyer la maison. Ensuite, je vais à la pharmacie pour acheter un kit de lavement anal. Jérôme me l'a ordonné après avoir vu à quel point sa bite était sale après l'avoir retiré de mon cul la première fois. J'ai donc une nouvelle règle, je dois m'infliger deux lavements chaque matin.
*********** Jérôme ********
Mon Dieu, c'était incroyable. Cette salope a vraiment de l'énergie. Elle continue à bien m'obéir? Bien sûr elle était réticente au début, mais une fois que nous avons commencé, son côté nymphomane est apparu. Elle n'a aucune idée de ce que j'ai prévu pour elle. C'est pour cela que j'essaie d'être gentil avec elle. C'est pour cela que je prends mon temps. Je ne veux pas juste la baiser, car ça ne la dérangerait pas. Je lui lèche la chatte pour trois raisons : premièrement j'aime bien le faire, deuxièmement ça la fait mouiller et troisièmement je veux qu'elle en profite elle aussi. Je l'ai enculé avec douceur et lentement, car je voulais qu'elle en profite. Subtilement je l'entraîne à commencer à avoir envie de baiser tout le temps. Dans un mois, elle fera tout ce que je lui dirai de faire. Et j'ai bien l'intention de lui faire faire beaucoup de choses? Je dois juste être prudent, avancer lentement et préparer le terrain correctement.
Après avoir quitté Annie, je rentre chez moi, dans mon « club-house ». C'est un appartement tout simple, un garage niché derrière la maison et transformé à mon goût. J'y ai emménagé après ma deuxième année. La maison était devenue trop petite. Je partageais une chambre avec mon jeune frère à l'époque et mes parents ont admis que je devais avoir mon espace personnel. C'est plutôt sympa. J'ai trois pièces : une chambre à coucher, une salle de bain et un grand séjour avec une petite cuisine ouverte. Je l'ai appelé le « club-house » parce que c'est là que tous mes amis traînent quand ils ne font rien. J'envoie un SMS à tous pour leur faire savoir que je suis chez mois. Une demi-heure plus tard, tout le monde est là. Bien sûr, ils savaient où j'étais. Même Tania, ma petite amie.
Je garde ma cuisine bien fournie. Je sirote un verre de whisky tandis que d'autres boivent de la bière ou du vin. Je ne m'inquiète pas d'être dérangé. Mes parents me font confiance et me laisse gérer ma vie privée. Et mon jeune frère sait qu'il ne doit pas venir à moins de me le demander auparavant.
- Tu as manqué la grosse fête de la nuit dernière. Dit Eric.
- Je me suis bien amusé aussi. Dis-je en souriant.
- Plus qu'avec moi? Demande Tania, boudeuse.
- Bien sûr que non, bébé. Personne n'est meilleure que toi.
Je l'embrasse sur la jour pour la réconforter avant d'ajouter :
- Je prépare mon plan, c'est tout.
- Alors quand allons-nous en profiter? Demande JACKSON.
Je lui avais dit de malmener Jacques sur le terrain. Cela faisait partie du plan pour qu'il me fasse davantage confiance.
En parlant de ça, je dois dire que j'ai admiré sa ténacité et son esprit d'équipe. Je suis surpris, car j'ai appris à le connaître et je commence à l'apprécier mieux. Il a bon caractère et il a aussi le sens de l'humour. Il n'entrera jamais dans mon cercle intime, mais nous pourrions devenir amis.
- Dans quelques semaines les gars. Dans un mois elle devrait être la salope du club.
Je souris et expose mon plan à tout le monde.
*********** Annie ********
Au cours des deux semaines suivantes, Jérôme change légèrement certaines choses. Il était trop dangereux qu'il vienne trop souvent. Jacques, étant à la maison, l'empêchait de venir autant qu'il le voulait. Pour résoudre ce problème, je me déplaçais chez lui quelques après-midi pendant la semaine, après qu'il est fini avec son entraînement ainsi que les après-midi dans le week-end. J'inventais des histoires pour mon fils en parlant de shopping ou de sorties avec des amies. En vérité je suis au « club-house » de Jérôme en train de me faire baiser. En fait, je commence même apprécier ces rencontres. Même s'il s'agit d'un vrai chantage, mon corps réagit. Ma chatte mouille d'anticipation tout au long de la journée alors que je regarde l'horloge jusqu'au moment où il est temps de partir.
Jacques ne se doute de rien. Jessica, la mère de sa petite amie Avril, est en fait ma meilleure amie. Nous sortons souvent le soir pour parler des évènements de notre vie. Non je ne lui ai jamais parlé que j'étais devenue la salope de Jérôme et j'entends bien emporter cette histoire dans ma tombe. Dernièrement, Jessica m'a expliqué comment sa fille Avril était toujours la cible de harceleurs, mais que Jacques semblait avoir beaucoup moins de problèmes qu'avant. J'ai fait l'idiote et j'ai changé rapidement de sujet avec désinvolture.
Il faut que je décrive Jessica. Elle et moi sommes devenues de très bonnes amies depuis six ans déjà. Elle mesure 1m60 et elle a de longs cheveux blonds qui lui tombent jusqu'à la taille. Elle fait du sport quatre fois par semaine. Elle a une belle poitrine, une taille fine et un joli cul bien rond et musclé. Comme moi, elle est mère au foyer avec un enfant. Contrairement à moi, elle est divorcée de son mari, un gros PDG et un connard. Il est parti avec sa secrétaire et il verse une grosse pension à mon amie. Comme je l'ai déjà mentionné, sa fille et mon fils sortent ensemble et ça a l'air sérieux.
Nous sommes donc samedi après-midi, deux semaines après que Jérôme eut passé la nuit chez moi. Je viens déjà d'avoir un gros orgasme alors que Jérôme m'encule quand j'entends :
- PUTAIN! QUOI?
- C'est la mère de Jacques!
- Putain, tout le monde va bien rire quand ça sortira.
On peut penser que ces mots mettraient un terme brutal à mon excitation. Mais non, au contraire, mon esprit déconnecte et j'ai un autre orgasme.
- Putain, elle vient de gicler!
Je ne sens même pas Jérôme jouir. Je sais qu'il l'a fait parce que je peux sentir son foutre dégouliner de mon cul après qu'il se soit retiré. Je suis à quatre pattes, avec un porte-jarretelles, des talons de quinze centimètres, un collier et une laisse. Je suis trop mortifiée pour bouger. Eric, Robert JACKSON et Steve sont là. Ce sont trois joueurs de l'équipe et copains de Jérôme. Ils viennent d'entrer et de me surprendre en train de me faire enculer par leur ami. Merde!
- Putain les gars! Qu'est-ce que vous foutez ici . Demande Jérôme.
Il a l'air énervé, mais je sens aussi un peu d'amusement dans sa voix.
- Désolé mec, Nous ne savions pas que tu étais là. Dit Eric en souriant.
- Hé, c'est pour ça que l'in ne doit plus se moquer de Jacques? Je comprends tout maintenant. Ajoute Steve, souriant lui aussi.
- Ouais, je me demandais pourquoi tu le protégeais maintenant. Si maman propose son cul pour qu'on ne harcèle pas son fils, peut-être que tu pourrais partager avec tes vieux potes. Je veux dire que ça serait dommage que ça se propage dans toute l'école. Je ne veux pas penser à ce que ferait Jacques s'il découvrait que sa mère se prostitue avec son pire ennemi. De plus, que penses-tu que va dire Tania quand elle va découvrir que tu la trompes? Dit Robert.
Merde! Que vais-je faire maintenant. Jérôme soupire et dit :
- OK les gars, allez chercher une bière et attendez-moi dans l'autre pièce. Je m'habille et j'arrive, nous devons parler.
Après qu'ils eurent quitté la pièce et fermé la porte, Jérôme se tourne vers moi :
- Reste ici! Je vais voir si je peux parler aux gars et trouver un moyen de nous sortir de ça. Désolé, je ne savais pas qu'ils allaient venir sans me demander.
Il s'habille et ferme la porte derrière lui en quittant la pièce. Je peux les entendre parler, et plusieurs fois, ils rient. Malheureusement je n'arrive pas à distinguer ce qu'ils se disent. Je prie juste pour que Jérôme arrive à les convaincre de garder ce secret. Cela détruirait Jacques et ruinerait ma réputation si ça se savait. Mon fils me détesterait probablement de l'avoir trahi comme ça. Je pense qu'il n'écouterait même pas mes explications. Merde!
- D'accord! Crie Jérôme à ses potes en revenant.
Puis il se tourne vers moi et me dit :
- Voilà, je m'en suis occupé. Ne t'inquiète pas, ils garderont la bouche fermée, mais il y a un prix.
- Putain , Jérôme! Tu m'as juré que personne d'autre ne saurait. Tu as idée de ce que ça ferait à Jacques et moi si tout le monde savait! Crié-je.
- Hé, tout d'abord, tout ce que j'ai dit, c'est que je ne le dirai à personne, et je ne l'ai pas fait. Deuxièmement le problème peut être réglé. Comme je viens de te le dire, ils garderont la bouche fermée contre un paiement.
- Et quel est ce paiement? Demandé-je avec appréhension.
J'ai un peu idée de ce qu'ils veulent et je suis à peu près sûre que je ne vais pas aimer.
- Ils veulent participer à notre accord. Confirme-t-il.
- C'est-à-dire?
- Ils veulent que tu sois leur salope jusqu'à la remise des diplômes aussi.
- Jérôme... Commencé-je.
- Écoute. Rien ne se passera sans que je sois là. Ils ne te dérangeront pas sans que je participe. Rien ne change vraiment, sauf que lorsque tu viendras, ils seront là aussi.
Merde, facile à dire pour lui! Ce n'est pas lui qui doit maintenant satisfaire quatre bites au lieu d'une seule. Je suis vraiment dans la merde jusqu'au cou maintenant. En plus de tout le reste, Jacques risque de subir la honte et l'humiliation publique maintenant. J'ai encore moins de choix qu'au début. Pour la millionième de fois je me demande comment j'ai fait pour me mettre dans un tel bourbier.
- Je n'ai pas tellement le choix, n'est-ce pas? Dis-je en me levant.
Jérôme prend la laisse et me conduit au salon. Les trois jeunes gars sont assis sur le canapé. Ils se moquent de moi alors que je suis conduite dans la pièce. Une image me traverse l'esprit. Je suis un agneau entouré de loups affamés.
« Hé ma chatte, tu sais que nous ne sommes pas censés en profiter » Dit mon cerveau.
« Va te faire voir salope! Il y a quatre bites affamées juste là et je suis le plat principal. c'est la fête! » Répond ma chatte humide.
Et oui, ma chatte et mon cerveau se disputent depuis la première fois que Jérôme m'a prise. En ce moment je suis sûre que ma chatte va gagner.
- OK les gars! Juste pour clarifier les choses, elle est MON esclave. Vous pouvez l'utiliser, mais UNIQUEMENT quand elle est ici, ou que je donne d'autres instructions. De plus, cela ne durera que jusqu'à l'obtention de nos diplômes. Après elle sera libre et ça ne restera qu'un souvenir agréable. Pas de blessures, de marques permanentes ou visibles sans ses vêtements. Ses trois trous sont disponibles. Des questions? Dit Jérôme.
- Ok! Compris! Répondent les trois dans une belle harmonie.
- Très bien! Malheureusement, elle doit bientôt rentrer chez elle pour que Jacques ne se doute de rien. Je suis déjà passé donc vous pouvez la prendre à trois. Trois trous, pas d'attente! Rigole Jérôme.
Après quelques parties rapides de Pierre-Papier-Ciseau, Eric se retrouve sur le dos avec moi chevauchant sa bite. Robert est derrière moi pour m'enculer pendant que Steve pousse sa bite dans ma gorge. Ma chatte est au paradis alors que mon cerveau a du mal à suivre les évènements et recenser les sensations venant de ma chatte, de mon cul et du reste de mon corps.
Une demi-heure plus tard, je suis tenue sous la douche par six mains musclées alors que deux autres mains shampouinent mes cheveux pendant que l'eau chaude tombe en cascade sur moi. Il faut que je sois plus clair. En fait c'est seulement trois mains qui me tiennent, les trois autres en profitent pour tripoter mes seins et ma chatte. Lorsque ma tête est guidée sous l'eau pour la rincer, une quatrième main commence à jouer avec mon cul. Je proteste quand quelqu'un dit que je suis propre. Alors ils cèdent. Les deux mains sur mes seins ont commencé à s'occuper de mes tétons tandis que les mains sur ma chatte et mon cul ont commencé à les doigter. Après un nouvel orgasme, ils m'ont séchée et habillée.
******* Jérôme *******
Ce que Annie ne sait pas, c'est que j'ai plusieurs caméras cachées dans mon salon. Je sais que vous pensez que je suis un vrai salaud. Oui d'accord je le suis, mais je ne vais pas gâcher la vie de quelqu'un sans bonne raison. Oui, j'ai fait des vidéos, mais je sais que je ne vais pas les publier ou les laisser à quelqu'un d'autre. Elles ne sont là que pour mon divertissement et celui de mes amis. Encore une fois, je ne les publierai jamais et personne n'aura de copie.
- Merde, elle a vraiment l'air d'apprécier! Dit Tania alors que nous sommes dans mon salon en train de regarder la vidéo d'Annie en train de se faire défoncer par le groupe la nuit dernière.
Actuellement, sur mon grand écran, Annie fait ce que j'appelle « le radeau de sauvetage ». Elle est étanche à l'aire avec un cavalier. En gros ça signifie qu'elle a une bite dans chacun de ses trois trous et qu'une autre personne la chevauche pour se branler entre ses seins. Cette fois c'est moi qui suis allongé sur le dos. Annie est sur moi allongée dos contre ma poitrine, ma bite enfoncée dans son cul. Eric est entre ses jambes sa queue dans sa chatte. Robert est à sa tête, sa bite enfoncée dans sa bouche et Steve est à genoux sur elle en tenant ses seins comprimés sur sa bite pour se branler.
- Alors tout est prêt pour demain? Demande Tania.
- Oui, l'entraîneur a annulé l'entraînement et Annie a dit à Jacques qu'elle sera absente tout l'après-midi. Je lui ai dit d'être là à 14h00. Dis-je.
- Bien. Nous sauterons les derniers cours. J'ai fait une vidéo à travers la fenêtre hier avec mon téléphone. Répond Tania.
******* Annie *******
Il est déjà 13h30. Il me reste une demi-heure pour être au club-house de Jérôme. Je porte des bas gris fumé et un porte-jarretelles assorti, des talons de 12 centimètres et une robe moulante qui épouse mes courbes. Pas de soutien-gorge ni de culotte, mais mon plug anal est en place. Je suis maquillée et mes cheveux bien coiffés. Par deux fois, je vérifie que le collier et la laisse sont bien dans mon sac à main pour pouvoir les mettre quand je serai devant sa porte. Je suis sur le point de partir quand la sonnette retentit.
- Puis-je vous aider? Demandé-je aux quatre adolescentes inconnues à ma porte.
- Bonjour Mme BROWN, pouvons-nous entrer s'il vous plaît? Nous avons besoin de discuter avec vous. Dit celle qui semble la cheffe du groupe.
- Malheureusement ce n'est pas le bon moment. Je suis sur le point de partir et je suis pressée. Dis-je nerveusement.
Je sens que quelque chose ne va pas.
- Ça ne prendra qu'un instant, et c'est important. Insiste la jeune fille.
- Désolé, je suis vraiment pressée, il faut que j'y aille. Pouvez-vous revenir demain? Demandé-je.
Elle me répond alors :
- Peut-être devrais-je me présenter. Je suis Tania, la petite amie de Jérôme. Je suis sûre que votre « rendez-vous » peut attendre quelques instants.
J'ai vraiment un mauvais pressentiment. Mécaniquement j'ouvre la porte et je m'écarte pour les laisser entrer. Elles pénètrent dans mon salon et s'assoient. Je les suis.
- D'accord, pour en venir au fait, je vais vous montrer quelque chose. Ce n'est vraiment pas beau. Dit Tania en sortant son téléphone.
Quand elle tourne l'écran vers moi, cela confirme ma pire peur.
- Donc, on peut voir clairement Jérôme, Steve, Eric et Robert. Bien sûr, au milieu c'est vous. Au fait, voici Sheila, la petite amie d'Eric, Sarah la petite amie de Robert et Béa, la petite amie de Steve.
Je ne peux rien dire. Que pourrais-je dire de toute façon? Et même si j'arrivais à remettre mes pensées en route, ma voix ne fonctionnerait pas. Comme je ne réponds pas, Tania continue :
- Nous sommes un peu agacées que vous ayez baisé nos petits amis. Nous les avons interrogés bien sûr et ils ont tous insisté sur le fait que c'est vous qui les avez approchés et que vous leur avez offerts des relations sexuelles en échange de finir le harcèlement de votre fils. Toutes les quatre nous avons réfléchi et nous avons décidé que nous ne pouvions vraiment pas blâmer nos gars pour ça. Après tout, nous pouvons voir que vous être très attirante et qu'il est presque impossible pour des jeunes garçons de 18 ans bourrés d'hormones de refuser l'offre d'une aussi belle femme.
Ces bâtards! Ils me font chanter et ils renversent la situation en disant que c'est moi qui leur avais offert mon corps. Bien sûr, personne ne me croira si je dis la vérité.
- Donc, nous avons décidé d'en profiter nous aussi!
Hein? Quoi?
- Après tout, si tu veux laisser nos copains te baiser, on devrait pouvoir te baiser aussi. Conclut Tania.
- Mais je ne suis pas lesbienne. Je n'ai jamais été intéressée à avoir des relations sexuelles avec des femmes. Dis-je après avoir enfin retrouvé ma voix.
- Et alors? Qu'est-ce que ça à voir? Nous ne sommes pas lesbiennes non plus, mais une langue est une langue. Peu importe qui me lèche la chatte.
De toute évidence, ce que je peux en penser n'a aucune importance. Mon expérience sexuelle est sur le point de s'élargir à nouveau. Les filles se lèvent et Tania me dit alors :
- Bon nous devons y aller. Vous avez 20 minutes pour arriver au « club-house ». Les gars ne seront pas là avant quelques heures, alors nous vous tiendrons occupée jusqu'à leur arrivée.
Sur ces mots, elles franchissent la porte. Merde! Je suis foutue. Il m'est impossible de récupérer le contrôle de tout ça. Je sombre de plus en plus dans la déchéance, j'ai de moins en moins le choix. C'est une chose de baiser seulement Jérôme. C'était plaisant. Et même lorsque ces trois amis se sont joints à nous, ce n'était pas horrible non plus. Une grosse bite ou quatre, c'est toujours de la bite. D'accord ils m'ont fait chanter, mais mes orgasmes étaient époustouflants. Maintenant c'est différent. Je n'ai jamais été attirée par les femmes. Je n'ai jamais su comment lécher une chatte et je n'en ai jamais eu envie.
« Alors ma chatte, tu fais moins la fière maintenant » Pense sournoisement mon cerveau. Et ma chatte ne réagit pas.
- Et Merde! Marmonné-je.
Comme je n'ai pas le choix, je prends mon sac à main et je sors de chez moi.
Me voilà bientôt devant la porte du « club-house ». A l'intérieur, j'entends les filles bavarder avec excitation. Je ne suis pas pressée d'entrer.
« Allez! Est-ce que ça va être si mauvais que ça? Tu vas lécher quelques chattes, mais dans quelques heures, il y aura d'énormes queues qui me fourreront », ma chatte vient apparemment de se réveiller.
De toute façon je n'ai pas le choix. Et les filles sont chaudes. Ça pourrait être pire, elles pourraient être grosses, laides et sales. Je crois que mon cerveau glisse vers le côté obscur.
- Du courage! Marmonné-je.
J'ai mis le collier autour de mon cou, redressé mes épaules et sonné à la porte.
Des cris excités jaillissent de l'intérieur. Tania ouvre la porte, prend sans un mot la laisse et me conduit à l'intérieur. Tania est calme, mais les trois autres filles sautent avec enthousiasme sur la pointe de leurs pieds et bavardent joyeusement. Quand je suis au milieu de la pièce, Tania déclipse la laisse. Les quatre filles s'assoient.
- Jérôme m'a dit que tu avais fait un strip-tease aux garçons pour les convaincre de te baiser. C'est à notre tour maintenant. Mets de la musique et assure le spectacle! Fais-le ou je te filmerai en te jetant nue hors de la maison et je publierai la vidéo sur internet. Ordonne Tania.
Jérôme a toujours insisté pour que je commence avec un spectacle, donc je suis bien habituée. De plus, ma chatte s'humidifie et écarte mon cerveau pour prendre le relais. J'allume la chaîne stéréo. La musique qui sort des hauts-parleurs est bien rythmée, alors je ferme les yeux et je laisse la musique m'envoûter. Je commence à balancer mes hanches et je laisse mon corps prendre le rythme. En imaginant que ce sont les garçons, je commence à danser. Je me retourne et balance mes cheveux en me pavanant comme sur un podium. En leur tournant le dos, je me penche à la taille et je passe mes mains de mon cul à mes chevilles en leur laissant une belle vue de ma chatte et mon cul. Quand je me relève, ma robe courte est remontée au-dessus de mes fesses, alors je fesse mon cul en regardant Tania par-dessus mon épaule avant de tirer ma robe vers le b as. Je les excite pendant la minute suivante en faisant apparaître ma chatte et mon cul. Je me penche en avant aussi et je prends ma poitrine en coupe, leur montrant mes mamelons à travers le tissu fin. Quand la chanson arrive à sa fin, je commence à tourner en saisissant l'ourlet de la robe et en la remontant au-dessus de ma tête. Je laisse tomber le vêtement juste au moment où la dernière note de musique s'estompe. Tania me dit alors :
- Pas mal, salope! Maintenant, donne-nous à chacune un verre de vin, puis tu te mettras à genoux et tu lécheras nos chattes jusqu'à ce que nous jouissions. Tu commences par moi.
- Oui Madame! Dis-je servilement.
Après avoir servi le vin, je m'agenouille devant Tania. Elle remet la laisse et soulève sa jupe. Je ne suis pas vraiment surprise de voir qu'elle ne porte pas de culotte. Elle est aussi totalement rasée. Voilà, j'y suis. Je n'ai jamais eu mon visage aussi près du sexe d'une femme auparavant. J'ai goûté mon jus de nombreuses fois ce dernier mois en suçant les gars après qu'ils m'eurent baisée, donc je ne pense pas être écœurée par le goût. Je me dis qu'elles ne doivent pas avoir un goût tellement différent. Mais ce n'est pas vraiment ça qui me rend nerveuse. Je n'ai jamais fait ça auparavant et je n'ai aucune idée de ce que je suis censée faire. Je ne suis pas lesbienne et dans ma tête je sais que je ne suis pas excitée par les filles.
Je me penche en avant et je donne un coup de langue. En fin de compte, le goût est différent. Je donne un autre coup de langue. Je réalise que le jus de Tania n'est pas mélangé avec le foutre d'un gars ou le goût d'une bite. C'est à la fois plus fort et plus doux, avec une touche acidulée. Je commence à aimer ça. Je rapproche ma tête et ma langue commence à lécher.
- Ralentis, salope! Bon sang, tu as une technique de merde. Tu es en train de me laper comme un chien dans son bol d'eau. Lèche plus lentement et explore la région avec ta langue. Tu t'es déjà fait lécher la chatte non? Pense à ce que tu voudrais que l'on te fasse, puis fais-le-moi. M'explique Tania.
Puis elle ajoute à l'attention de ses amis :
- Merde, il faut vraiment que l'on entraîne cette salope!
Je ralentis. Avec ma langue je la lèche de bas en haut sur sa chatte. J'entends un léger halètement quand je touche son clitoris. Je garde ça dans ma mémoire. Je passe les dix minutes suivantes à explorer tous les coins et recoins de sa chatte. Je commence à noter tous les sons qu'elle fait et les frissons de son corps lorsque je touche certains endroits. Je commence à comprendre où mon léchage lui procure le plus de plaisir. Je souris quand je l'entends avoir du mal à converser avec ses amies. Elles parlent entre elles comme si je n'étais pas là. Je pense alors qu'il est temps de leur rappeler ma présence. Je prends son clitoris entre mes lèvres et je commence à le fouetter avec le bout de ma langue. En même temps, je pénètre sa chatte avec deux doigts. Je sais qu'il y a chez moi un endroit particulier qui me fait vibrer, alors je cherche le sien. Je le trouve juste au moment où elle commence à agiter les hanches. Et bien sûr, elle jouit immédiatement.
- Peut-être qu'elle n'aura pas besoin d'autant de formation que je le pensais. Bégaie Tania en se remettant lentement de son orgasme.
Je me déplace sur la droite. Sheila est la suivante. Sa chatte est également totalement rasée. Je commence à la lécher avec mes nouvelles connaissances. Je remarque que son jus a une saveur plus forte et plus musquée. Mais j'aime bien aussi. Ses points de déclenchement de l'orgasme sont légèrement différents de ceux de Tania, mais je les repère rapidement. Elle semble aimer quand je plonge profondément ma langue en elle et que je la fais tourner. Je trouve son point G plus rapidement que celui de Tania et mon visage est bientôt inondée pour une seconde fois.
Juste après avoir commencé avec Sarah, Béa dit qu'il lui semble que je commence à aimer ça. Elle se penche en avant et enfonce deux doigts dans ma chatte.
- Putain, elle est trempée! Elle doit être une de ces gouines refoulées? Elle aime vraiment bouffer de la chatte! S'exclame Béa.
Je n'ai même pas remarqué que je mouille. Mais je sens l'humidité dans ma chatte alors que l'humiliation de la situation s'installe.
- On dirait que nous venons de transformer cette salope! Rigole Tania.
Un autre frémissement d'humiliation parcourt mon corps alors que Béa me tire en arrière par mes cheveux et me fait nettoyer ses doigts de mon propre jus. Je recommence mon attaque sur le sexe de Sarah avec vigueur. Un léger pincement accidentel de son clitoris avec mes dents l'envoie se précipiter dans les affres d'un orgasme. Apparemment elle aime un petit peu la douleur.
Béa me tire par les cheveux et me regarde droit dans les yeux pour me dire :
- A mon tour, salope! Je veux que tu prennes ton temps et que tu m'amènes au bord du gouffre trois fois avant de me faire jouir la quatrième fois. Si tu fais du bon travail, j'aurais une belle récompense pour toi.
Oui j'ai lu des histoires pornographiques. Du moins j'en avais l'habitude avant que ma vie devienne un porno. Je comprends bien ce qu'elle veut. Il faut que je l'approche de l'orgasme, mais que je laisse redescendre la pression pour qu'elle récupère par trois fois. Si je réussis, elle aura un gros orgasme la quatrième fois. J'ai déjà vécu cela à plusieurs reprises avec les gars. Parfois l'un d'eux n'arrive pas à se retenir avant que je jouisse. Donc je me repose avant que le suivant ne commence. Et quand le troisième me fait enfin jouir, mon orgasme est toujours exceptionnel. Avec cette fille, il faut que je trouve comment l'exciter et savoir quand m'arrêter pour qu'elle ne jouisse pas tout de suite.
Je commence lentement. J'ai besoin de comprendre comment elle réagit. J'essaie de réfléchir et de me souvenir des signaux subtils que les corps des trois autres filles m'avaient donné avant l'orgasme : Un léger frisson, une chatte qui se contracte, un petit changement dans le ton de leurs gémissements. Je continue à lécher en portant attention aux réactions de Béa. Là, j'arrête! J'ai senti un frémissement dans sa chatte. Une minute plus tard alors que son excitation est redescendue, je recommence à lécher lentement. Je glisse un doigt dans sa chatte humide, mais je le garde loin de son point G. Encore une fois, j'arrive à l'amener au bord de l'orgasme. Encore quelques minutes pour qu'elle se détende et cette fois je mets deux doigts avec ma langue. J'ai presque failli la faire jouir, mais je suis arrivé à m'arrêter juste à temps. Elle me supplie presque. J'entends les autres filles chuchoter entre elles, mais je ne comprends pas ce qu'elles disent.
Finalement, je recommence à la lécher et j'essaie de la tenir au bord du gouffre pendant une minute. Puis je recourbe mes doigts dans sa chatte et caresse son clitoris . Son corps se tend. Avec un grand cri, elle jouit. Les autres filles m'avaient seulement mouillée le visage, mais là je sens des jets pulvériser ma figure. Oui, j'ai lu des histoires sur des femmes fontaine. Et je me rappelle même que l'un des gars m'a dit m'avoir vu gicler lorsqu'ils m'avaient surpris avec Jérôme. Je n'ai jamais vraiment cru que cela pouvait arriver. Mais là j'en ai la preuve, en plein dans mon visage.
Quand je recule, j'entends des applaudissements derrière moi. C'est étrange, car les filles sont devant moi et sur les côtés. Je regarde par-dessus mon épaule et je vois les quatre gars applaudir et me sourire. Apparemment ils se sont glissés dans la maison juste avant que Béa ne jouisse. Je voudrais dire que je suis mortifiée qu'ils m'aient vu lécher la chatte d'une femme, mais je mentirais. Certes, il y a de l'humiliation dans ma situation, mais il semble que cela ne fait qu'augmenter mon excitation. Putain, je suis mouillée.
- Ok les gars, nous avons fini pour le moment. Vous pouvez avoir cette salope pour le reste de la journée. Dit Tania, alors que les filles se lèvent et se préparent à partir.
Quand elles ne sont plus là, je me retrouve allongée sur le dos sur Jérôme avec sa bite dans mon cul. Steve est entre mes jambes en train de pilonner ma chatte. Robert me nourrit avec sa bite et Eric glisse sa bite entre mes seins. Jérôme aime appeler cette position le « radeau de sauvetage » . Je suis un radeau étanche avec un mec me chevauchant. Je jouis plusieurs fois dans cette position. Une fois qu'ils se sont vidés en et sur moi, ils se sont assis dans le salon pour jouer à des jeux vidéo et à tour de rôle avec moi. Deux d'entre eux font une compétition devant l'écran alors que deux autres s'amusent avec moi. Entre les baises et les enculages, je leur sers des boissons. Finalement la fête prend fin et je suis autorisée à prendre une douche, à m'habiller et à rentrer à la maison.
Ceci est devenu à peu près ma vie au cours des deux prochaines semaines. Habituellement j'arrivais au « Club-house » et je faisais plaisir aux filles pendant quelque temps, puis elles partaient quand les garçons arrivaient. De temps en temps, Jérôme baisait Tania dans la chambre, puis elle venait vers moi et je devais la nettoyer. Bien sûr, je devais aussi nettoyer la bite de Jérôme.
Puis ils ont décidé d'organiser une grande fête un vendredi soir. Jacques passait le week-end chez un de ses mais, donc je n'avais pas à me soucier de rentrer à la maison. J'ai un peu de mal à me souvenir des détails de cette nuit, car j'ai eu de très nombreux orgasmes. Je me souviens avoir servi des boissons et des collations pendant les pauses sexuelles qui m'étaient accordées. Bien sûr, j'ai fait plusieurs fois le « radeau de sauvetage ». Et même une fois avec les filles qui portaient des « strapons ». De temps en temps, chacun des couples faisait un tour dans la chambre et je devais les nettoyer ensuite. Puis il y avait des moments où les couples m'utilisaient individuellement. Ma langue léchait la chatte de la fille pendant que son petit ami baisait ma chatte ou m'enculait. Après en avoir fini avec moi, ils ne m'ont pas laissé me laver et j'étais tellement épuisée quand je suis rentrée à la maison que je ne me suis même pas déshabillée avant de m'écrouler sur mon lit.
C'est à ce moment-là que j'ai commencé à remarquer l'étrange changement dans mon esprit. J'ai découvert que j'avais commencé à avoir envie d'être utilisée comme une salope par ce groupe. Je ne pensais plus du tout au chantage. J'étais légèrement déprimée les jours où on n'abusait pas de moi. Je devenais anxieuse et excitée pendant les heures qui précédaient mon départ pour le « Club-house ». Je commençais à attendre avec impatience les actes dépravés que j'étais « forcée » de faire. Je suis constamment excitée maintenant. Les nuits où je suis à la maison, ma collection croissante de jouets sexuels m'occupent totalement.
J'ai commencé à m'habiller de manière plus provocante. A la maison, je me promène maintenant seulement en nuisette ou couvert juste d'une serviette si je viens de prendre une douche. Jacques ne m'a jamais rien dit, mais je pouvais voir qu'il me regardait. Je sais qu'involontairement il avait vu quelques parties intimes lors de mouvements brusques de ma part. Un jour, mon fils est rentré tôt et m'a surprise dans la cuisine seulement avec une petite serviette. Nous avons été surpris tous les deux. Je lui ai expliqué alors que je ne savais pas qu'il était à la maison et que je sortais juste de la douche. Mais où j'ai vraiment été surprise, c'est de sentir que ma chatte s'était humidifiée quand mon fils m'avait vu avec presque rien. J'ai un peu joué avec ça et il a pu me surprendre plusieurs fois presque nue. Bientôt, il a été habitué que je me promène dans la maison en nuisette, avec un serviette ou un léger peignoir en soir.
Jérôme et ses copains ont continué à m'enfoncer dans la dépravation la plus totale. A la fin du mois de décembre j'ai réalisé que je ne pourrais plus revenir en arrière. J'ai compris que je n'étais pas impatiente qu'ils aient leur diplôme, car cela signifierait la fin de mon esclavage sexuel. Et je n'avais aucune idée de ce que je ferais alors. J'étais tombée si bas que j'avais maintenant des anneaux dans mes mamelons et mon clitoris. C'était le cadeau de Noël du groupe de copains.
A suivre...
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