Texte de Guy.
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J’avais envie depuis quelques temps que mon épouse, Anne, fasse l’amour avec plusieurs noirs bien montés.
Une fois déjà je lui avais fait tenter l’expérience, qui s’était révélée désastreuse, car l’individu n’avait pas été hardi et pas du tout "surdimensionné". Elle n’avait accepté que difficilement ce contact, bien qu’au bout d’un moment, elle se soit lancée dans l’action.
Cette fois j’étais bien décidé à lui faire retenter l’expérience, mais avec des types qui n’auraient pas froid aux yeux, et bien dimensionnés ! Je tirai au Polaroïd des photos de ma femme nue, dans des poses hard, de manière à pouvoir la "présenter". Elle avait accepté cette séance se doutant bien de ce que j’allais faire.
Lors d’un passage à Toulouse, dans l’hôtel où j’étais descendu, je rencontrai en discutant avec le réceptionniste qui est arabe, un noir, Moussa, qui semblait être son ami. Nous avons bavardé tous les trois, la conversation venant naturellement sur les femmes, j’ai lancé :
- Tiens, justement j’ai une amie à qui je voudrais bien faire rencontrer des blacks, pour une soirée chaude !
Je leur montre les photos, ils jugent sur pièce. Ils trouvent ma femme à leur goût, ne manquant pas de faire au passage quelques commentaires grivois sur ce qu’ils comptaient lui faire subir. Je leur proposai donc cette amie pour la "dresser" un soir, ils pourraient la prendre dans ma chambre, je ne viendrais que 2 à 3h après. Ils pouvaient lui faire subir tout ce qu’ils voulaient, sauf du SM, ou de la violence. S’ils avaient des copains bien montés, qu’ils viennent avec eux.
- Trois types ne lui feraient pas peur, elle est profonde, disponible dans tous ses trous, docile et elle aime la baise !
Ils acceptent mon offre.
Le soir je téléphone à ma femme lui, disant que des amis à moi désirent la rencontrer. Elle comprend ce que je veux dire, et accepte de venir à Toulouse. Je lui explique qu’elle sera prise en charge à la réception de l’hôtel par un type et qu’il faudra qu’elle soit docile et fasse ce qu’il lui demande, je ne serai pas là, elle n’est pas très contente de cette absence, mais elle dit que oui, elle accepte.
Après avoir renseigné mes amis sur l’heure d’arrivée et des dispositions prises avec Anne, je leur laisse le champ libre. Moussa me dit qu’il fera venir si possible un Sénégalais bien monté et que de toute façon, ils seront au minimum 2, car il a un frère qui vient d’arriver d’Afrique, qui n’a jamais baisé de blanche. Ton amie pourra le "dépuceler". Je suis satisfait de l’aubaine.
Quelques minutes avant l’arrivée de ma femme, je sors de la chambre, et sans la refermer, je porte la clef au tableau et revient me cacher dans l’armoire KZ, laissant une ouverture de 3cm qui me permet de voir la pièce et surtout le lit.
Après une attente d’un quart d’heure, j’entends un bruit de pas et de talons aiguilles dans le couloir ainsi que des murmures de voix. La porte s’ouvre, la lumière se fait, ma femme apparaît sur le seuil, suivie par deux noirs, mon copain et sans doute son frère. Elle porte une jupe et un chemisier d’été, assortis, en mousse de soie, le tout boutonné sur le devant.
Elle pose son sac et reste immobile au milieu de la pièce, un peu provocatrice. Ne sachant quelle attitude adopter devant les deux hommes, soit une désinvolture affranchie et coopérative ou bien demeurer passive comme une esclave dont on peut se servir à son gré ?
Mon copain rigole et lui dit qu’ils ont déjà vu les photos, et que maintenant ils veulent profiter du modèle. Mais avant il lui dit que si elle n’obéit pas, si elle n’est pas docile, elle risque de voir arriver d’autres copains à eux, moins sociables, et avides de blanches car toujours sur des chantiers.
Anne hoche la tête et murmure un oui.
Son frère a les yeux qui lui sortent de la tête en regardant ma femme qui est fort appétissante, déjà une bosse imposante se dessine sur le jean. Mon copain annonce à Anne qu’elle commencera avec Saïd qui n’a jamais baisé de blanche.
- Il faut que tu sois gentille avec lui !
Le jeune est nerveux, pressé de posséder cette blanche magnifique, avec des seins imposants sous le chemisier tendu, il s’approche et commence à la peloter à travers le tissu. Il se décide enfin à lui parler, il lui demande si elle aime les "grosses", si elle n’a pas peur ?
Elle dit que non. Il en profite pour d’une main lui malaxer les seins, et de l’autre faufiler ses doigts vers les cuisses de ma femme et lui tâter le sexe.
- Alors pas peur ? Insiste- t- il, un doigt dans la fente chaude et gluante, que j’entends clapoter d’où je suis.
Elle hoche la tête, moins sûre d’elle. Ce qui fait rire les deux blacks.
- Allez déshabille-toi !
Confuse et craintive, Anne entreprend d’ôter son corsage, sa jupe. Elle défait les boutons lentement ce qui exaspère ou excite un peu plus les deux hommes. Elle apparaît en soutien-gorge et slip brésilien en dentelle, bleue marine.
J’aime bien ces sous-vêtements qui mettent en valeur sa cambrure et ses fesses. Ce qui ne laisse d’ailleurs pas insensibles les deux noirs.
- Allez, fais vite, à poil ! Lui intime Saïd.
Elle dégrafe le soutien-gorge qu’elle fait tomber avec un mouvement d’épaules, libérant sa généreuse poitrine, du 95 C, puis lentement, fait rouler et glisser son slip sur ses hanches, lève les jambes doucement pour se débarrasser du frêle tissu, consciente du trouble qu’elle procure chez les deux hommes, durant ce strip-tease improvisé.
Quand elle est complètement nue, elle reste immobile au milieu de la pièce, sans trop savoir que faire, dissimulant ses beaux seins sous ses bras croisés, un peu honteuse de son impudicité, livrée aux regards salaces des 2 Blacks. Mais heureuse d’avoir pu se mettre en valeur devant eux, et d’être désirée.
Lorsqu’elle tourne la tête vers Saïd, elle comprend pourquoi il lui avait posé cette question malséante tout à l’heure : son membre érigé a des dimensions inusitées habituellement. C’était certainement une des plus grosse pine qu’elle n’ait jamais vu : toute noire mate, dressée, combative, avec un gland turgescent en guise de tête chercheuse. De quoi angoisser une femme ! Saïd s’approche d’elle.
- Prends la dans ta main! ordonne -t-il, tout en lui caressant les fesses.
Non sans quelques appréhensions, Anne obéit. La main enveloppe la hampe érigée, dure comme du marbre de son vis à vis. Troublée par le contact de cette dure virilité, elle ne peut s’empêcher de la serrer d’avantage, sentant au creux de sa main battre l’intensité bestiale du désir de l’homme. Saïd ne bouge pas, épiant sur le visage de ma femme l’effet que lui produit cet attouchement
Le regard d’Anne devient flou, elle respire plus vite, mais ne lâche pas prise.
Saïd lui saisit tout à coup la tête à deux mains, et lui applique sur la bouche un baiser goulu, et glisse entre les lèvres ourlées de ma femme une grosse langue rose, qu’il pousse loin dans la gorge d’Anne. Sorte d’allusion au moment où il lui fourrerait sa bite enflammée au fond du con.
Il la relâche au bout d’un moment, Anne a un sursaut, et en dépit de sa promesse d’allégeance, elle ne veut plus se laisser pénétrer par cette brute obscène. Elle a beau chuchoter "non" et tenter de se dérober, Saïd la pousse vers le lit, où elle tombe en pleurnichant, recroquevillée sur elle-même, morte de peur, et montrant son cul adorable aux 2 noirs. Saïd ne sait plus quoi faire. Mon copain vient à la rescousse et lui dit :
- C’est toujours comme ça avec les femmes de couples, elles ont souvent la trouille, moi ça me fait bander, (ce qui était vrai, maintenant qu’il était lui aussi à poil). C’est la première fois qu’elle baise seule avec un inconnu ? nègre de surcroît ! Tu vas voir, elle va trembler et fermer les yeux quand tu vas l’introduire, elle fait çà pour faire plaisir à son mari ou son jules, alors n’hésite pas, bourre la à fond et fait la jouir et gueuler. Son copain est d’accord !
Ma femme s’est calmée en entendant Moussa. Elle finit par se retourner sur le dos et relever les genoux, écartant ses cuisses qui dévoilent son trésor aux deux hommes en rut. Mon copain en profite pour la caresser et introduire ses doigts dans la chatte et le cul offerts de ma femme. Il lui suce le clitoris un moment, Anne laisse échapper quelques râles, signe qu’elle est calmée et réceptive.
Il s’écarte et laisse la place à Saïd qui n’en peut plus d’attendre. Celui-ci avance enfin son sexe du vagin offert de ma femme, et commence à caresser son gland sur le clitoris déjà excité, s’amusant des réactions de cette blanche livrée à sa lubricité. Il lui dit :
- Ouvre les yeux et regarde bien ce que je vais te foutre !
Mon copain releva la tête d’Anne pour qu’elle puisse voir la domination masculine.
Saïd s’introduit d’abord lentement pour apprécier le plus longtemps possible cette prise de possession d’une blanche, lorsqu’il se sent à l’aise, qu’Anne lubrifie bien, il finit de la pénétrer d’un magistral coup de reins qui arrache un petit cri à ma femme. Elle a les yeux agrandis, se mord les lèvres. Saïd l’a empoignée par les seins, il les pétrit gaillardement, pinçe leurs mamelons, au point de lui faire du mal.
Il reste logé en elle, massif, insolent, guettant les réflexes de la femme clouée sous lui. Les mains avides des deux hommes parcourent le corps et la chair soyeuse de ma femme, se rejoignent sur son ventre, caressent l’intérieur des cuisses, remontent sa toison pour chatouiller les lèvres du sexe écartelé. Anne est embrochée à fond, elle a reçu cette énorme bite sans se rebeller.
Saïd s’accroche fermement à ses hanches, je vois ma femme creuser ses reins pour s’offrir au maximum. Elle rentre dans le jeu. Une série de chocs sourds révèlent avec qu’elle ardeur il la possède, l’ébranlant tout entière à chaque poussée. Soumise à ce rut effréné, elle ne peut bientôt plus contenir ses réactions.
Ses ongles griffent la literie, elle ponctue d’une plainte offensée chacune des intrusions de ce phallus impétueux qui excite en passant son clitoris dilaté et turgescent. Le sexe d’Anne est distendu, il mouille, laissant des traces blanchâtres sur l’énorme piston noir qui s’agite en elle.
- Ouiiiiii ! A fond, prends-moi à fond. Ouiiii ! Encore, j’aime. Comme ça, ouiii, cogne.
Quelque soit la honte de cet accouplement qui lui a été imposé, il la fait jouir avec une intensité affolante au point que perdant toute retenue, elle tend sa croupe pour l’offrir mieux encore à son suborneur noir, dont les couilles d’un noir velouté, claquent sur le cul blanc de mon épouse.
- J’aime comme çà, encore, fort !
- Et là, tu aimes chienne de blanche ?
- Ouiii, vas y rentre à fond, crache ton jus ! Va à fond, tape, encore, ouiiii, (elle est déchaînée).
Celui-ci entend bien besogner ma femme à fond et au maximum. Il se ménage des temps d’arrêt, maîtrise ses sens, puis se déchaîne à nouveau, arrachant des cris plus aigus à sa victime, dans un bruit de clapotis du sexe de mon épouse qui marque ainsi sa satisfaction d’être malmenée.
Finalement, incapable de se retenir plus longtemps, il enfouit profondément en elle son membre insatiable et l’inonde à jets répétés, de toute la force de son désir. Ce qui porte au paroxysme les éclats de voix éperdus de ma femme qu’il a soumise, divinement torturée par cet abondant outrage. Lorsque quelques instants après, Saïd se retire d’elle, elle n’a pas le temps de se redresser.
En effet, sensibilisée à l’extrême par ce premier coït, elle frémit de la nuque aux pieds, quand saisi à bras le corps, elle se sent envahie derechef par un pieu brûlant, celui de Moussa.
- Salope ! A moi de t’enfoncer maintenant ! ricane t-il, enchanté de la découvrir aussi béante et ruisselante.
Il ne s’en prive pas, sans doute excité par ce qu’il vient de voir avec son frère, donnant libre cours à l’exaspération de son désir contenu depuis un bon moment.
Soit qu’elle éprouve de réelles sensations fantastiques, soit qu’elle a peur de ne pas être assez docile avec celui-ci, Anne sombre dans un plaisir qui confine à l’hystérie. Elle si prude d’habitude, elle crie carrément son contentement. Ses jambes accrochées aux reins de Moussa.
Serait-elle pareille si elle me savait là ?
Cette étreinte tumultueuse s’achève dans un transport convulsif qui secoue les deux partenaires. Après quelques minutes de calme, le noir se dégage de ma femme, celle -ci s’empresse d’essuyer avec une serviette les liqueurs des deux blacks qui ont coulé sur ses cuisses, mouillant les petits poils de sa vulve, jusque dans la raie culière.
Les 2 blacks s’approchent d’elle et lui disent :
- Tu es une bonne pute, bonne baiseuse, on aime être en toi. Pour te le prouver on va te prendre à 2 maintenant.
A suivre...
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