vendredi 15 juillet 2022

Nathalie Ch. 09

 Récit érotique écrit par Emile Hubert.

 *****

Une nouvelle vie pour Nathalie ?

Il n'est parfois pas si désagréable que cela d'être une victime… En voici la preuve…

Ensuite, il m'avait dit :

- Je vais bientôt te présenter à mon ami Charles, mais avant je voudrais te convier à une petite soirée pour compléter ton éducation…

A n'en pas douter encore une soirée chaude en perspective. Avec son ami Philippe, ils m'emmenèrent dans une boite de nuit située à la sortie d'une autre petite ville. Pour la circonstance, je m'étais vêtue comme ils me l'avaient demandé, une jupe assez courte et un cache-cœur très échancré (je dis bien cache-cœur et non cache seins, car de ce côté là…), le tout comme de coutume sans sous-vêtement hormis une paire de dim-up. 

Arrivés au club, ils semblèrent chercher quelqu'un du regard. Nous nous dirigeâmes vers une sorte de petit box et là j'eus une des plus belles surprises de ma vie. Dans le box il y avait deux personnes, une femme blonde à qui pour le moment je n'attachai aucune attention, car j'étais hallucinée de voir qui se trouvait à ces cotés… Hassan ! Mon Hassan, mon initiateur aux activités sexuelles débridées… Comment se faisait-il ? Je le sus plus tard… En fait il épluchait les petites annonces pour faire connaissance de couples en mal de sensation, et plus particulièrement de femmes qui comme moi désiraient faire des expériences à plusieurs. Lorsqu'il avait repéré de bonnes candidates (pas trop mal de leur personne, dociles et un peu cochonnes… en fait tout à fait moi) il les invitait d'abord pour des soirées plus chaudes avant de les prêter pour des soirées plus corsées à forte composition mâle.

Il fit les présentations, la jeune femme s'appelait Valérie et paraissait un peu effarouchée. Elle le fut encore plus quand Gérard et Philippe prirent place à ses côtés et commencèrent à explorer le dessous de sa minijupe. Hassan me dit combien il était content de me revoir enfin, me demanda si j'étais toujours avec mon imbécile de mari (il employa un autre terme) et en guise de compliment, me dit qu'il avait très envie de mon petit cul. Pendant que nous prenions un verre, je vis en face de moi Valérie se faire doigter par les deux hommes qui l'embrassaient à pleine bouche. Pour ma part, mon cache-cœur ne cachait plus rien du tout, Hassan avait mis mes gros seins à nu et me les pelotait outrageusement en me faisant couler de désir. D'un commun accord les hommes décidèrent de retourner chez Gérard finir la soirée.
 
Arrivés chez lui, Valérie et moi dûmes enchaîner les fellations et les possessions diverses. Tout le monde y trouva son compte. Puis Hassan me fit allonger sur la table du salon et me releva les jambes très haut. Tout à l'heure, il m'avait prévenue, je savais qu'il convoitait mon petit trou. Après me l'avoir bien ouvert, il s'y introduisit lentement. Il faisait cela toujours aussi bien… Pendant que, sur son ordre, je me pinçai le clitoris et que je me doigtai de l'autre main, je vis les trois autres s'approcher. Les deux hommes me tendirent leur sexe à sucer. Je m'en emparai et les pompai alternativement. Je ne fis pas tout de suite attention à Valérie. C'est en sentant sa langue sur mon clitoris gonflé que je réalisai. Quand elle commença à me mordiller le clito, je poussais des petits cris.

Modulant à chaque instant son rythme et l'accordant à celui mon enculeur, en quelques secondes, la bouche talentueuse me fit craquer en un orgasme explosif. Domptée, des lames de plaisir m'envahirent les reins. Je criai ma jouissance.

Gérard intervint :

- Ça suffit Valérie, tu l'as assez chauffée. Maintenant elle peut faire connaissance avec ta chatte !

J'étais dans un état second, elle allait être ma première femme… Elle avait la vulve épilée elle aussi. Seul un triangle de toison restait sur son pubis. Elle contourna la table basse et se positionna au-dessus de moi jambes écartées. Je n'avais encore jamais vu une chatte d'aussi près. Je pouvais voir sa liqueur poindre à l'orée de son sillon mystérieux. Contrairement à ce que je pensais l'odeur m'enivra.

Avec lenteur, elle écrasa alors son sexe luisant de mouille et de foutre et le frotta contre mon visage. Je n'arrivais plus à me tenir. J'avais le menton et les joues barbouillés de son jus qui coulait en quantité. Attisée par l'envie qui me tenaillait, je redressai finalement la tête pour aller à la découverte du sexe de Valérie. Je commençai par l'embrasser timidement. C'était tout chaud et gluant. Hésitante, je donnais des petits coups de langue timide. Un jus poisseux et épais s'échappait de sa vulve béante. Elle me guida quelques instants par des mouvements de son bassin. Ma langue tendue trouva la pointe contractée de son clitoris et, de mes succions, je lui provoquai des gémissements de plaisir. Apparemment on la courba pour qu'elle me lèche encore la vulve puis elle me délaissa.

Je vis approcher un membre, je reconnus la majestueuse pine de Gérard qui me demanda de lui lécher l'anus. Elle laissa échapper un cri étouffé (elle devait sucer Philippe) et sur mon visage un flot de cyprine. Gérard pointa sa trique sur la rondelle amadouée et la pénétra. Apparemment elle souffrit un peu. Je me déchaînai pour lui offrir un peu de plaisir face à son tourment qui ne fut que passager. Les hommes nous firent bien jouir et… nous de même. Ensuite, je dus refaire l'amour avec Valérie. Nous fîmes un long et délicat soixante-neuf devant les hommes qui, fatalement, rebandèrent. Sans doute pour me récompenser de mes débuts féminins, je fus prise en sandwich par Hassan devant et Gérard derrière. Comme dans le plus fou de mes rêves j'étais enfilée par les deux plus gros sexes que je connaissais. Pendant ce temps, Valérie se faisait prendre puis sodomiser par Philippe.

Comme si un cap avait été franchi, Gérard m'annonça qu'il allait me présenter, le vendredi prochain, à son ami Charles… Cette rencontre, sans trop savoir pourquoi, m'excitait mais m'effrayait en même temps. Gérard m'avait dit :

- Sois BCBG, mais sexy…

D'où les bas gris à couture, le porte-jarretelles blanc, le soutien gorge à balconnet de même couleur, une jupe portefeuille noire et un chemisier blanc très légèrement transparent que je portais ce jour-là. Nous avions rendez-vous dans un bar assez intime. Charles nous attendait. Présentations et la conversation s'engagea entre les deux hommes. Puis Charles se tourna vers moi et me demanda :

- Gérard vous a-t-il parlé de notre petite communauté ?

Non il ne m'avait parlé de rien.

- Nous sommes un groupe d'amis qui ont tous un goût en commun. Celui des jolies femmes !

Nous y voilà ! Pensai-je 

- Et plus précisément, je dirais, le partage de jolies femmes peu farouches…

Et il continua :

- De temps à autre nous nous réunissons, le plus souvent chez moi puisque je dispose de place, et nous convions pour nous satisfaire une ou deux jolies femmes parfois trois suivant le nombre de participants. La proportion n'est jamais, en toute hypothèse, inférieure à une pour trois. Mais elle peut s'avérer de beaucoup supérieure… Il nous arrive assez régulièrement de recevoir une seule dame pour une bonne huitaine de mâle… Je ne vous choque pas j'espère ?

- N… no… non ! répondis-je un peu mal assurée redoutant un peu la suite.

- Bien ! Les participantes à nos soirées sont de deux types, que nous combinons parfois. Il y a tout d'abord celle que j'appellerai occasionnelle mise à notre disposition pour une seule occasion par une de nos relations qui agit comme recruteur et selon rétribution ou non. Non que ces jolies femmes soient des professionnelles mais certaines sont un peu dans le besoin, donc… Mais je crois que vous connaissez notre recruteur n'est-ce pas, ce cher Hassan qui en plus de tenir un superbe Sex-shop, nous fournit quelques spécimens choisis de ces recherches… Gérard m'a dit que vous le connaissiez avant d'avoir fait connaissance avec lui et voici que nous sommes en train de faire également connaissance, quelle coïncidence ! Dire que nous aurions pu nous connaître avant que vous rencontriez Gérard…
 
Là je devenais de plus en plus certaine que c'était bien cela qu'avait envisagé Hassan : me faire participer à ces orgies… Mais immédiatement, je songeais que ma présentation faite par Gérard serait plus hard… Je ne me leurrais pas de beaucoup, Charles continua :

- Pour ces complices d'un jour, nous ne sommes pas trop exigeants. Par contre nous le sommes infiniment plus avec la deuxième catégorie de participantes. Celle que j’appellerais les habituées qui ne sont en réalité que les femmes ou les maîtresses ou encore les amies des membres de notre groupe. Gérard pense que vous seriez toute désignée et assez docile pour en faire partie, qu'en pensez-vous ?

- Heu ! Eh bien… Peut-être que oui… Enfin si Gérard le pense… Il à sûrement raison…

- A la bonne heure ! Tu avais raison Gérard en me disant qu'elle serait accommodante ! Ah, une petite précision, mais qui à son importance quand même. Nous avons une règle les maris, amants ou amis de la ou des femmes présentes ne sont jamais présents... Ainsi nous pouvons en profiter vraiment et ce sans réprimer aucun de nos bas instincts. Les absents nous envoient leurs compagnes en toute connaissance de cause puisqu'en d'autres occasions ils ont aussi l'occasion d'abuser outrageusement des femmes des autres… Je ne vous choque toujours pas ?

- Heu ! Nnn… non, enfin pas trop !

Gérard intervint :

- J'ai informé Charles que tu étais très complaisante… Je vais te prêter à lui pour qu'il t'offre à nos amis pour la prochaine de ses soirées cochonnes… Tu es d'accord n'est ce pas ?

je supposai que je n'avais pas le choix donc un peu contrainte et en même temps emplie d'une curiosité excitante je balbutiai :

- Je…je ferais comme tu veux…

- Bien bien ! C'est parfait, mais je souhaite que vous veniez en toute connaissance de cause… Il n'y aura pas de possibilité de retour en arrière. Celles qui refusent quelque chose, sont sévèrement punies…

Je frémis, inquiète… Il ajouta l'air gourmand :

- Notez bien, personnellement, je prendrais certainement un vif plaisir à vous punir… Êtes-vous toujours d'accord pour vous soumettre à nos plaisirs ?

Je jetai un regard implorant à Gérard qui ne vint pas à mon secours. Il me fallait assumer…

- Oui… Je suis toujours d'accord…

L'atmosphère sembla se détendre. Charles s'adressa à mon amant :

- Mon cher Gérard, j'ai bien envie de tester l'obéissance de Nathalie, tu n'y vois pas d'inconvénient ?

Comme je l'aurais parié il n'en vit aucun…

- En vous contemplant, je m'aperçois que vous avez fait une erreur ! Je vous aurais préférée sans soutien-gorge… Vous n'aimez pas montrer vos gros seins ? Allez vite m'enlever tout cela !

Encore une fois, je me tournai vers Gérard qui me fit un signe d'acquiescement. J'avais choisi ce chemisier qui était je vous le rappelle un peu transparent afin de faire admirer mon soutien gorge à balconnet. Si je l'enlevais ma poitrine allait être très exposée… et je supposais que c'était le but recherché. Je me levai donc et partis vers les toilettes qui comme par hasard se trouvaient à l'autre extrémité de notre table. Au retour il me faudrait traverser toute la salle… Je retirai le sous-vêtement et prenant mon courage à deux mains je sortis. Mon retour ne passa pas inaperçu ! Pensez donc ! Un 95d bien visible sans soutien… Charles eu l'air satisfait de ce qu'il voyait. Pourtant il me demanda :

- Vous n'avez pas répondu à ma question tout à l'heure. Vous n'aimez pas montrer vos gros seins ?

- Si… si, enfin je veux dire…

- Ne dites rien et déboutonnez-vous jusqu'à la taille !

Je jetai un coup d'œil à droite et à gauche. Comme je n'étais pas passée inaperçue tout à l'heure, qu'est-ce que cela allait être maintenant… Charles voulait me tester et Gérard attendait que je réussisse brillamment ce test donc, je me déboutonnai le plus discrètement possible. Je vis des yeux écarquillés scruter mon chemisier qui laissait voir bien au-delà du simple sillon séparant mes globes. Charles confirma d'abord l'intérêt qu'il me portait et poursuivit :

- Très belle vision… Ecartez encore un peu le tissu… Oui, comme cela. Il doit être très doux de se faire branler entre deux si beaux lolos ! Mais dites-moi, vous n'avez pas fait la même erreur sous votre jupe en portant des dessous superflus ?

Je répondis par la négative précisant que je ne portais qu'un porte-jarretelles. A son sourire, je sus que j'étais tombée dans un piège.

- Les affirmations… sans preuves… Je suis tenté de vous croire, mais j'aime mieux constater de visu… Retroussez votre jupe complètement et asseyez-vous directement cul nul sur le siège !

J'eus du mal à avaler ma salive. Leur dessein était clair, m'exhiber dans ce bar… Charles reprit :

- Oui, oui, je sais ! Tout le monde va voir vos cuisses et vos fesses… C'est absolument ce que je veux ! Allez dépêchez-vous…

Il était très dominateur et la présence de Gérard annihilait tout désir de résistance d'autant qu'il me plaisait beaucoup et aussi que la situation, malgré la honte qui m'envahissait, était loin de me laisser de glace. En fait, je mouillais terriblement… d'autant qu'une fois ma jupe relevée, les regards des autres consommateurs convergeaient vers moi. Je fus ensuite instamment priée d'écarter les cuisses. Après encore une légère hésitation je m'exécutai. A partir de ce moment un étrange ballet commença : celui des hommes qui passaient et repassaient devant moi pour me reluquer sans vergogne ou encore, celui de ceux qui n'arrêtaient pas de se baisser pour mater mon entrejambe. Du coup je sentis ma chatte se liquéfier et mes seins durcir. Leurs pointes semblèrent se dresser encore plus sous les remarques de Charles les concernant. Il conclut que c'était une délectation de m'exhiber ainsi et il encouragea Gérard à poursuivre dans cette voie faisant confiance à son esprit aussi inventif que pervers. Gérard conclut que c'était là une bien bonne idée et me prévint que je n'avais pas fini de montrer ce que les femmes honnêtes ont l'habitude de cacher… enfin, il le fit en d'autres termes puisqu'il m'avertit que je n'avais pas fini de montrer ni mes nibards ni mon cul…

Les deux hommes décidèrent d'aller chez Gérard pour continuer la suite de la soirée. Pour le trajet en voiture, je dus comme vous pouvez le penser, le faire jupe retroussée. Arrivée à domicile, je fus un peu décontenancée. Je pensais que les deux comparses allaient se jeter sur moi. Point du tout ! Charles s'assit confortablement et pendant que Gérard servait à boire, il me pria de me déshabiller, ce qui fut vite expédié vu le peu de chose restant à dégrafer. Je dus ensuite, sous ses compliments salés pivoter sur moi-même pour me faire admirer. Me faisant placer face à lui il m'ordonna de me caresser les seins pour l'exciter. Ils étaient durs, gonflés, sensibles, n'attendant que des caresses… même les miennes… Les yeux mi-clos, je pétris mes globes lascivement prenant bien soin de faire rouler mes tétons entre mes doigts pour les étirer au maximum et les rendre encore plus turgescents. Finalement, il me fut demandé de me lécher les seins.

Tranquillement les deux hommes se mirent nus et je pus admirer le sexe de Charles qui moins imposant que celui de Gérard n'en conservait quand même une taille imposante. Toujours faisant office de maître de cérémonie, Charles me demanda d'aller m'asseoir dans un fauteuil qui leur faisait place. Il me commanda d'ouvrir les jambes et de me masturber. J'avais tellement envie de jouir que je ne me fis pas prier et je m'astiquai le clitoris avec soin. Puis j'écartai à deux mains mes grandes lèvres pour qu'ils puissent admirer ma chatte luisante de sécrétions qui trahissaient mes envies.

Obstinément directif Charles me demanda de passer les jambes par-dessus les accoudoirs du fauteuil. Bien que consciente de l'obscénité de la pose, je m'empressai d'obéir. Il demanda à Gérard s'il n'avait pas en réserve un vibromasseur et ajouta sournoisement à mon intention un beau… quelque chose d'un bon calibre… que Nathalie nous fasse voir ce qu'elle sait faire. Bien entendu Gérard possédait ce genre de matériel et il revint avec un superbe godemiché qu'il me tendit. Quand je dis superbe, ce n'est pas à la beauté de l'objet que je fais allusion mais à son format.

Sensuellement, je léchai le membre caoutchouteux puis le passai sur ma fente avant d'entamer son introduction. J'y allai doucement, l'instrument était gros, mais mon vagin était gourmand il l'avala sans trop de peine à mon étonnement. Sous les invectives irrespectueuses et les remarques inconvenantes je fus invitée à me branler comme une traînée et ce, jusqu'à ce que j'atteigne pratiquement la jouissance. A ce moment Charles me fit stopper ma masturbation et me demanda de venir le sucer. Frustrée de mon plaisir, mais avide de queue, je me précipitai entre ses jambes et prenant mon air le plus vicieux je l'embouchai. Charles me plaisait, son membre également, donc j'y mis tout mon savoir-faire à son grand ravissement. Il complimenta Gérard pour sa formation et lui demanda de venir me baiser. Il lui demanda auparavant de bien vouloir faire quelques photos de moi en train de le pomper pour, dit-il sa collection personnelle… et pour allécher ses amis…. Une fois les clichés enregistrés Gérard se mit derrière moi et, enfin, me pénétra… J'en gémis de bonheur, surtout qu'il s'activa avec un empressement révélateur de son désir. Charles, lui, de temps à autre, et sans égard pour ma suffocation, m'appuyait sur la tête de façon à ce que j'absorbe entièrement sa pine.

Sous leurs actions combinées, j'eus mon premier orgasme de la soirée, vite imité par celui de Gérard visiblement très excité par cette soirée et ma docilité envers son ami. Je pus donc à nouveau me consacrer au beau gland cramoisi que j'honorai de la langue et des lèvres jusqu'à ce que j'embouche cette queue qui déversa dans ma bouche un flot important d'un sperme épais. Gérard demanda à Charles :

- Alors, je ne t'avais pas menti, n'est-ce pas ? Elle suce bien, non ?

- C'est vrai, elle ne se défend pas mal du tout ! Nous allons voir si pour le reste c'est pareil…

Sur ces mots, il m'enjoignit de m'agenouiller en leur tournant le dos et de poser mon buste sur la table de salon. J'étais bien consciente que c'était mes fesses que j'offrais à leurs regards. Il demanda de les écarter à deux mains et me cambrer afin de faire admirer ma rondelle. Je fis comme demandé pressentant que c'était le tour de mon postérieur d'être mis à l'épreuve (que je souhaitais je dois l'avouer). Non content, je dus ensuite me servir du jus de ma chatte pour m'en badigeonner le fion. Je m'enduisis un doigt du mélange de ma mouille et du sperme qui sourdait du mon sexe et je commençai à m'en enduire l'anus. Un peu timidement j'introduisis mon doigt dans cet endroit encore clos avec la ferme intention de l'assouplir sans incertitude sur la suite du programme. Je fus invitée à m'y fourrer deux ou trois doigts pour agrandir le passage. Je m'y conformai consciente que l'endroit devrait se montrer détendu.

Lorsqu'il jugea l'endroit suffisamment accort, il me fit ses directives, oh ! fort simples, venir m'empaler… Enfiévrée de désir, je me relevai, et aussi lascivement que possible je vins vers lui, roulant des hanches et des seins, me tournai, et m'écartant à nouveau les fesses, je mis l'ouverture de mes reins en contact avec le gland brûlant qui ne demandait qu'à m'investir le rectum. D'une main, je guidai la hampe de chair et des doigts de l'autre je maintins l'orifice ouvert. Le gland s'inséra, je ne me ménageai pas et mes muscles intimes cédèrent libérant le passage. Charles ne bougeait pas me laissant procéder un peu ironiquement. Gérard bandait comme un cerf très excité de me voir m'embrocher. Je m'étais entrée la moitié de la longueur du membre quand Charles, enfin, daigna me prendre par la taille pour m'abaisser promptement sur lui. Je n'eus pas le loisir de goûter la sensation, il plaça les mains sous mes fesses et me souleva sans toutefois faire sortir complètement son mandrin. Il me relâcha ensuite soudainement et là, j'eus vraiment la sensation du pal… J'étais enculée jusqu'aux couilles… Pour s'en assurer et m'en persuader il pesa sur mes épaules. Il me fit tourner la tête vers lui et (enfin) m'embrassa longuement. Pendant que sa langue fouillait fougueusement ma bouche, ses mains se refermèrent sur mes seins (pardon ! sur mes nichons…) qu'il entreprit de malaxer. Pendant qu'il pinçait et étirait mes mamelons il ordonna :

- Allez salope bouge ton petit cul !
.
Et Gérard de renchérir :

- Oui, vas-y à fond puisque tu aimes ça ! Hein que tu aimes ça ? Elle aime ça n'est ce pas, Nathalie S. se faire défoncer le cul !

Que dire d'autre que :

- Oui, oui j'aime cela ! C'est bon ! J'aime me faire défoncer la chatte et le cul !

Charles fut ravi et à l'entendre, je n'avais pas fini… de me faire défoncer les orifices… N'en pouvant plus d'attendre Gérard se présenta ou enfin, présenta sa queue à mes lèvres qui s'ouvrirent avidement autour pour une pipe passionnée. Ils me limèrent un moment ainsi jusqu'à ce que Gérard ne veuille changer un peu de position. Il profita que Charles soit toujours enfoncé entre mes reins, il me fit écarter les cuisses et m'enfila son gros membre dans le vagin. Merveilleux, une fois de plus…
 
Ils étaient particulièrement doués pour l'exercice et leur sale petite chienne également (d'après leurs dires). Gérard revint à ma bouche, je lui nettoyai la bite avec joie. Charles me fit mettre debout et se mit derrière moi. Une pression sur la nuque et je repris docilement mes travaux buccaux sur la hampe de Gérard. Charles me pesa sur les reins, je me cambrai… Je le sentis m'écarter les fesses et d'un magistral coup de rein il m'emplit le cul… Je ne pus sous la violence de l'action, me plaindre, car me projetant vers Gérard, la tige vigoureuse de celui-ci m'obstrua le gosier.

Charles me tenant, ou plutôt s'agrippant à mes hanches, me pilonna véritablement jusqu'à ce que je jouisse par-derrière. Je pense d'ailleurs que ce furent les contractions de mon conduit (j'allais dire étroit ce qui était faux en la circonstance) qui entraînèrent son orgasme. Flageolante, je me laissai tomber à genoux pour finir d'honorer mon amant de mes lèvres distendues.

Une fois tous remis et un peu, comme si je venais de passer un examen, les deux hommes commentèrent ma prestation. Le verdict de Charles fut positif : j'étais admise comme recrue de choix dans le cercle très fermé (celui-là) des débauchés qu'il recevait.

Effectivement et toujours par l'intermédiaire de Gérard (qui ne fut jamais présent, conformément aux règles énoncées) Charles m'invitait pour des soirées torrides. Il n'avait pas menti, la proportion des hommes était toujours très supérieure à celle des femmes. En fait, ne rechignant pas devant les nombreux assauts des participants, je devins vite une habituée de ces séances. Ces soirées étaient diverses, certaines fois les hommes avaient envie de dominer une femme en robe du soir, d'autres c'était une prostituée qu'ils souhaitaient baiser et bien d'autres où les idées perverses ne faisaient pas défaut (écolière, nonne…). Le nombre des invités était variable entre quatre et dix hommes et de une à trois femmes. Neuf hommes pour ma seule présence fut mon record personnel… Je finis cette soirée épuisée et mit trois jours à m'en remettre. Ils me firent tout… Tous me prirent et surtout me sodomisèrent (imaginez-vous ! neuf fois ! et certains plusieurs fois…) en double, en triple pénétration, je fus fistée bien entendu, ils étaient déchaînés me traitant comme une esclave, me faisant subir des doubles pénétrations vaginales. J'eus même droit cette fois encore à deux doubles pénétrations anales. Les autres réunions furent (un peu) plus calmes et comme il y avait parfois d'autres femmes (toute aussi salope que moi), et que les mâles présents exigeaient qu'elles se gouinent pour mieux les exciter, je pris goût aux femmes… C'est ainsi que je fis connaissance, entre autres, de Florence qui, je crois vous a raconté notre rencontre et de Brigitte, d'Annick et Jocelyne. Avec l'une ou/et l'autre, en dehors de toute participation mâle, nous avons même passé quelques tendres moments entre filles…

Finalement, je divorçai pour m'installer chez Gérard, qui se montra de plus en plus pervers et moi de plus en plus complice de cette débauche. Il me fit même tenir, plusieurs fois, le rôle d'hôtesse dans un club privé que nous fréquentions (j'eus l'occasion d'y retrouver mes copines en fausse professionnelle, mais plus vraie que nature et adepte de toutes les formes de double). Bref ma vie ne fut plus axée que sur le sexe…

Je vous avais promis au début du premier épisode J'ai décidé, moi aussi de me raconter. Enfin plus particulièrement les épisodes les plus chauds. J'espère que vous avez apprécié… Pour ne pas devenir trop répétitive je mets un point final à mon récit. Merci pour tous vos encouragements…
Nath.

FIN


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