mardi 5 juillet 2022

Nathalie Ch. 08

 Récit érotique écrit par Emile Hubert.

 *****

Nathalie se soumet à ses élèves.

Gérard m'avait annoncé qu'il avait des projets érotiques pour moi comme me forcer à assurer mes cours nue sous une robe légère ou me présenter à un organisateur de partouze pour y être livrée à des groupes d'hommes ou encore m'emmener dans un club libertin pour y jouer le rôle de pute.

Serait-ce un bien ou un mal, allais-je le regretter ou non ? Ce qu'il y avait de certain avec Gérard c'est qu'il tenait toujours ses promesses. Bien entendu, ce qu'il attendait en retour c'était que les autres tiennent également leurs engagements et moi la première. Par avance j'avais accepté de lui être soumise et j'avais également accepté toute cette dégringolade dans le libertinage et le vice auquel il allait me confronter…

Il m'avait tout d'abord interdit le port de la culotte en cours (sauf au moment des règles) même sous mes vêtements les plus serrés. La culotte, passe encore, mais comme vous le pensez il ne s'arrêta pas là, ce fut ensuite le tour du soutien gorge (enfin les classiques, puisque j'avais encore droit au redresse seins) qui me fut interdit. Vu mon tour de poitrine, je fus tout d'abord, ultra gênée, puis je m'y habituai lentement, même si je savais pertinemment que mes collègues et mes élèves s'en apercevaient fatalement. D'ailleurs, dans certaines classes l'absentéisme disparut.

Gérard prenait un malin plaisir à m'exhiber ainsi, mes jupes durent raccourcir ou se fendre, mes décolletés devinrent plus profonds. J'allais dire sans savoir pourquoi mais en fait je savais très bien pourquoi je lui obéissais servilement. C'était pour nos rencontres et je l'excitais en détaillant mes tenues ou en lui rapportant des bribes de conservations entendues du genre « elle exagère ! », « Non mais tu as vu sa tenue », « je me la ferrais bien », « la prof de math à un de ces culs » ou encore lorsqu'ils parlaient de « cette salope de Mme S. ». Il me faisait ensuite l'amour divinement et jouir à en crier parfois seul mais aussi d'autre fois avec ses amis. Ensuite chose promise, je relatai tout cela à mon Pascal à qui suivant l'humeur, j'accordais ou non mes faveurs. Il trouvait quand même que question habillage j'exagérais… pas moi… et Gérard non plus… pas davantage !

Gérard avait fait auprès d'Hassan, une commande de divers DVD, vendus discrètement, de femmes, des amatrices qui se faisaient filmer dans des partouzes extrêmement hard. Lorsqu'il fut prévenu de sa livraison, il me demanda d'aller la retirer pour que nous puissions visionner ces films dès le lendemain.

Je me rendis donc dans ce quartier un peu chaud (enfin, le soir et la nuit surtout) au sex-shop tenu par Hassan. Ce dernier me remit les DVD et voulut m'exhiber au sous-sol de son établissement, devant un groupe de voyeurs qui auraient pu ensuite me tripoter à loisir. Hors de la présence de Gérard, je refusai catégoriquement. Je ne réussis qu'à m'en tirer au prix d'une fellation que je lui fis à sa caisse pendant que les clients venaient payer. Inutile de préciser que certains prirent bien leur temps pour ramasser la monnaie. Une fois cette petite affaire terminée, toujours très entreprenant, Hassan me raccompagna à la porte et sur le pas de celle-ci m'embrassa longuement, ou plutôt me roula un patin goulu en mettant la main aux fesses. 

Dès qu'il me relâcha, machinalement je regardai autour de moi. Horreur, malheur et stupeur… sur le trottoir d'en face il y avait un de mes élèves. Je m'enfuis au plus vite. Je stoppai un peu plus loin, me retournai, le garçon avait disparu. J'aurais juré qu'il était rentré chez Hassan… Bien sûr, impossible d'aller vérifier… 

Je fis rapidement le point. Cet élève n'était pas parmi les pires de mes élèves, ni parmi les meilleurs non plus, loin s'en fallait. Que pouvait-il m'arriver ? Qu'il raconte ce qu'il avait vu ? Belle affaire ! Avec le port de jupes un peu courtes ma réputation en avait déjà pris un coup… Un peu inquiète quand même, j'attendis le prochain cours de cette classe. Il ne se passa rien, ni au second cours et même si j'avais surpris un ou deux regards assez inconvenants. Après tout, ce garçon n'était peut-être pas si tordu que je l'avais pensé de prime abord.
 
Je l'avais mal jugé… très mal jugé… Il fut pire que ce que j'avais imaginé…

Ramassant les copies d'un devoir, je trouvai dans la sienne une enveloppe. Je la mis de côté et l'ouvris plus tard lorsque je fus seule. Il n'y avait que peu de chose dans cette enveloppe… une photo… de moi sur la porte du sex-shop d'Hassan, avec celui-ci en train de m'embrasser. On pouvait même voir qu'il avait relevé ma jupe et mis la main au panier. Il avait sans doute fait ce cliché à l'aide son téléphone portable… je maudis les nouvelles technologies…

Le cours suivant il ne se passa rien non plus. Pourtant, il savait que je savais qu'il savait… Je pensai même qu'il prit un malin plaisir à me saluer avec une politesse inhabituelle. A la fin du cours, une enveloppe de même nature m'attendait dans mon casier. La photo était un peu différente, mais le sujet était le même…

Le scénario se reproduisit deux ou trois fois. J'allai le convoquer pour y mettre un terme à ses manigances, lorsque je trouvai la dernière enveloppe. Cette fois pas de photos mais un texte qui disait : « Mme S, je pense que vous ne souhaitez pas voir ces photos diffusés à tout le lycée, tous vos collègues, le proviseur et les parent d'élèves… Si c'est le cas, je vous suggère de venir les récupérer, samedi prochain, à 14 heures, à l'hôtel N, une chambre sera réservée à votre nom, après que vous ayez confirmé cette réservation. Venez habillée chic… »

Un temps de réflexion. Si je refusai c'était le scandale ! Je fis vite fait le point, des photos pareilles ça aurait pu valoir de l'argent. Cela me rassura de savoir que la seule chose qu'on me demandait c'est de venir à un rendez-vous. Après tout il ne s’agissait probablement que d'un élève qui voulait visiblement sauter sa prof de math. Il était majeur donc pas de dérapage et je me faisais fort, lui cédant d'arracher un e promesse de discrétion. Je me décidai à réserver la chambre…

Je racontai cette histoire à Gérard. Cela l'amusa énormément

Le samedi je me coiffai et me maquillai avec soin et choisis ma tenue. Il avait dit chic, je serais donc bourgeoise à souhait, balconnet sous un chemisier blanc, jupe droite serrée, porte-jarretelles noir, bas gris à couture, escarpins vernis mettant parfaitement mes jambes et mes courbes en valeur.

Un rapide au revoir à mon mari, une fois de plus délaissé, le trajet,  ouf ! Je n'étais pas en retard. Je me garais sortis de la voiture, coup d'œil à droite, puis à gauche, personne de connu, je gagnai rapidement le hall. Au réceptionniste je demandai :

- Une chambre doit être réservée au nom de Madame S.

- Madame S… Madame S, je ne vois pas... Attendez, oui bien sûr, Madame S, oui, oui, tenez Madame votre clé, je vous souhaite un excellent après-midi ! fit le réceptionniste goguenard, avec un sourire tellement équivoque que je pensais qu'il savait ce qui allait se passer ici cet après-midi.

Je gagnai l'étage, ouvris la porte et balayai la chambre du regard, classique mis à part une boite de Kleenex sordide qui me laissait penser que rien n'était laissé au hasard. J'allai ensuite visiter la petite salle d'eau, je revins et retirai ma veste. Je jetai un regard par la fenêtre puis m'assis sur le rebord du lit. Finalement j'étais assez nerveuse seule dans cette chambre en attendant je ne savais pas trop qui. Je regardai fréquemment ma montre comme pour voir si l'heure fatidique approchait. Je me levai inquiète tout d'un coup, puis me ravisai. Machinalement je me regardai dans la glace, tirai de mon sac à main de quoi retoucher mon maquillage. Une fois les lèvres remaquillées, je retournai m'asseoir toujours aussi angoissée. Un bruit de pas dans le couloir me fit me lever. Non, ça n'était pas pour cette fois, le bruit s'éloigna et je me rassis. Consultant à nouveau ma montre je constatai que l’heure du rendez-vous était passé depuis un quart d’heure, je hochai la tête, perplexe…

Brusquement, comme si un insecte m’avait piquée je sursautai et me levai, on venait de frapper à la porte. J’ouvris et ILS entrèrent, cinq types d’une vingtaine d’années, trois blancs et deux maghrébins dont l’un d’eux avait un visage de gamin. Ils portaient des jeans, blousons, survêtements, baskets, casquette pour certains, bref, le parfait archétype des bandes de banlieue.

Bien sûr, il y avait Jeff, celui qui m'avait surprise dans les bras d'Hassan, plus deux autres élèves de sa classe, Djamel un des deux maghrébins, et Jean-Philippe pourtant un de mes meilleurs élèves que je n'aurais jamais pensé voir accoquiner avec les autres. Je ne connaissais pas les deux autres. J'allais devoir me livrer à cette bande de petits loubards, c'était peut-être intéressant s'ils savaient se montrer à la hauteur. En demi-cercle ils m'observaient avec une évidente convoitise. L'un d'eux sortit une enveloppe de son blouson et en jeta le contenu sur le lit, c'était une série de photos me représentant avec Hassan. Jeff qui semblait être le chef prit la parole :

- C'est vrai qu'il a raison Hassan, t'es canon, hein les mecs, ça va nous changer, visez un peu le châssis !

- En plus, il paraît que pour une bourge t'es un super coup ? ajouta un autre.

Il nous a dit qu'on pouvait tout te faire ? Demanda un des maghrébins ravi de pouvoir dégrader une femme d'habitude inaccessible.

- T'as pas de langue ? Reprit Jeff.

- Sûr qu'elle en a une, faudra qu'elle l'utilise,. Dis Madame, répond à mon copain, c'est vrai que t'aimes les grosses bites, répond ou on te dérouille et te baise après ?

- Oui ! Murmurai-je éperdue en baissant les yeux.

- Plus fort Madame, on a pas entendu ce que tu dis !

- Oui, c'est vrai !

- Que quoi ?

- Que j'aime les grosses queues ! Rpondis-je, et après une hésitation je continuai :

- C'est quoi votre marché, ?

- Oh, je croyais que vous aviez compris Mme S ! C'est simple, c'est vous contre les photos, et je crois même que vous en redemanderez.. Vous allez tout faire ce que je vous demanderai. Et croyez-moi, Mme S, tout ce sera vraiment tout…

- Et bien d'accord, j'accepte, allez, finissons en !

- Quelle précipitation... Nous ne sommes pas pressés... Nous avons tout notre temps. Se faire sucer la bite et enculer Mme S, professeur de math au lycée, ça mérite que l'on en profite. Tu vas être servie, Hassan et ton copain te donnent à nous jusqu'à ce que l'on ne puisse plus bander. Avant qu'on passe aux choses sérieuses, tu vas nous faire une bonne pipe à chacun, on va voir si c'est vrai que tu suces mieux que les putes, mais avant ; ouvre ton chemisier !

J'obéis et déboutonnai lentement mon corsage immaculé.

- Oh putain ! les lolos ! S'exclama l'un deux.

- T'excite pas, ils sont à toi pour l'après-midi, tu vas pouvoir t'amuser avec, allez enlève le chemisier et vient me sucer ! Reprit Jeff en débouclant son jean.

Ils s'assirent quatre côte à côte sur le lit et un sur le fauteuil bas sans accoudoir. Je finis d'ôter le haut et apparus en soutien-gorge pigeonnant noir. Je me dirigeai vers Jeff qui s'était érigé en chef, m'agenouillai devant lui, finit de lui ôter son pantalon. Une bosse déformait le caleçon, je le baissai laissant se redresser un membre d'un calibre très très au-dessus de la moyenne. M'avançant à genoux entre les jambes du garçon, je pris le membre en main et lentement inclinai ma tête vers le gland turgescent jusqu'à ce que mes lèvres viennent déposer un baiser sur son extrémité. J'arrondis ensuite mes lèvres et absorbai avec sensualité la longue tige que je me mis à sucer avec application.

- Alors c'est comment ? fut-il questionné.

- Super les mecs, une vraie pro, on sent qu'elle a de la route la madame… quelle après-midi on va se payer !

- Magne-toi de balancer ton jus, que ce soit notre tour !

- Permettez, permettez que j'en profite : Et toi la pouf, les écoute pas, prends ton temps, fais monter la crème !

Il n'empêche, que sous la fellation appliquée dont il était l'objet, le garçon commença à s'agiter, puis appuyant sur sa tête rugit :

- Ah la pute ! c'est bon… Avale tout salope !

La salope en question n'avait pas une seconde pensé à échapper aux jets âcres qui lui inondèrent la bouche. Assise sur mes talons, j'eus à peine le temps de déglutir, le suivant avait quitté son survêtement et son slip pour libérer un membre aussi gros que le premier et il m’interpella :

- A mon tour , viens me bouffer la trique !

Passant de la même manière entre ses cuisses, je le pris dans ma bouche pour lui appliquer le même traitement qui eut le même résultat : des giclées épaisses que j'avalai avidement. Puis ce fut au tour du premier des deux maghrébins doté lui aussi d'une grosse verge. Je compris alors que ces garçons avaient été bien choisis en fonction de la taille de leur sexe. Ce qu'avait voulu faire Hassan (peut-être Gérard, puisqu'il avait été question de mon copain) c'était de livrer à des (presque) gamins, mais dotés de très grosses queues, une belle bourgeoise qui allait satisfaire toutes leurs envies et je pensai sur l'instant qu'ils ne semblaient pas en manquer puisque les deux premiers bandaient déjà. Le troisième éjacula assez vite, il était évident qu'ils désiraient avant tout se libérer du trop-plein pour mieux abuser de moi ensuite. Je pensai que j'allais déguster… Je n'étais pas au bout de mes surprises, le plus jeune, lorsqu'à son tour, il baissa son pantalon devant moi toujours agenouillée, révéla une pine énorme et je dus me distendre la bouche pour l'accepter sous les plaisanteries grasses des autres :

- Tu vas voir Mourad, elle va finir par te le bouffer ton gros truc !

- Allez la pute, régale-toi, c'est pas tous les jours que t'en suce des comme ça !

- Traîne pas salope, on n'a pas que ça à faire que de te reluquer !

Assurément excitée par les encouragements salaces prodiguées, je fis tant et si bien que je le menai au terme de sa résistance qu'il me témoigna en m'éclaboussant les lèvres et le menton. Je me relevai et me dirigeai, un peu comme une automate vers le dernier assis, lui, un peu à l'écart du lit sur le fauteuil. Alors que, comme pour les autres, j'allai servilement m'agenouiller, Jean-Philippe me fit stopper :

- Hop ! attends un peu, va te refaire une belle bouche de pute, je veux être sucé par de belles lèvres de bourge… Ordonna-t-il.

Complaisamment, je pris mon sac, et me dirigeai vers le miroir de la chambre… Je me regardai dans la glace avec en arrière plan la vision de Madame Nathalie S, fonctionnaire, qui allait selon toute vraisemblance se faire fourrer par cinq types qui l'attendaient la queue à l'air. Je me rapprochai encore du miroir, d'un revers de main essuyai le sperme qui maculait mon menton et la commissure de mes lèvres. Je sortis le tube de rouge à lèvres et méticuleusement fis ce que l'on m'avait demandé, puis toujours vêtue de mon soutien gorge et de ma jupe, je me rendis vers le cinquième qui m'attendait, pine dressée, pour lui faire profiter du savoir-faire de ma bouche. Il grogna de satisfaction lorsque je l'embouchai voluptueusement. A même régime, même résultat, je dus ingurgiter ma cinquième rasade de semence et sur la demande du jeune homme lui lécher la bite, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de trace. Le chef de la bande m'interpella :

- On passe aux choses sérieuses, on va te baiser, mets-toi à quatre patte sur le lit !

Et il ajouta quand je me fus mise en position :

- Je vais te trousser !

Hélas pour lui, l'étroitesse de la jupe rendit impossible son entreprise, de peine de voir le tissu craquer.

- Bon, y a qu'à lui enlever ! Fut-il proposé.

Cette suggestion fut retenue, un zip, des mains agrippèrent la ceinture du vêtement pour le faire glisser le long de mes hanches, révélant ainsi mon porte-jarretelles et mon absence de culotte. Je redoutai ce moment ou ils constateraient mon absence de sous-vêtement. Les mots « salope », « putain », « pouffiasse » furent encore prononcés par ces gamins qui semblaient de plus en plus ravis de l'aubaine qui leur était offerte. Celui qui semblait le plus vicieux du groupe dit :

- On n'a pas pu faire ce qu'on voulait, y a qu'à la punir…

- Sûr ! Reprit le chef, on va claquer son gros cul à la prof de math !

Et une claque s'abattit sur le postérieur offert, puis une deuxième, les coups n'étaient pas portés avec une violence extrême, leurs desseins étaient surtout d'humilier et d'asservir cette femme offerte que j'étais, qui en d'autres lieux ne leur aurait prêté aucune attention.

- Claque la bien Jeff ! demanda le dénommé Ludo, ça lui fait ballotter les nichons, oh ! Attends, je vais lui enlever son truc ça s'ra encore mieux !

Et ce disant il dégrafa mon soutien-gorge révélant ainsi mes gros seins qui effectivement tressautaient sous l'effet de la fessée. Ils s'amusèrent encore un peu à tour de rôle à ce jeu un peu puéril, et lorsqu'ils jugèrent que mon postérieur fut assez rouge ils cessèrent leur récréation. Jeff, le chef, se posta derrière moi et me demanda d'écarter les cuisses et bien me cambrer pour mieux lui offrir ma chatte. Il annonça :

- Je vais la mettre… maintenant, elle doit être excitée, hein salope que t'en as envie ?

Et sans attendre de réponse il enchaîna :

- Plus fort, j'ai pas entendu !

D'une voix déformée par l'appréhension et le désir, je répondis domptée :

- Oui, j'ai envie de ta pine, oui j'en ai envie, mets-moi la à fond !

Effectivement, encouragé, il empoigna sa queue tendue, en frotta le gland contre ma vulve et d'une seule poussée m'enfila. Surprise par la brusquerie de l'assaut, j'ouvris grand la bouche comme pour chercher ma respiration et restai ainsi un instant figée comme pour réaliser que j'étais pénétrée par l'intégralité de l'imposante verge. Il me saisit aux hanches et se mit à me besogner d'importance. Les fellations que j'avais dû pratiquer, l'étrangeté de la situation de m'être offerte à ces jeunes, l'excitation de l'attente et les coups de queue dont j'étais la victime me menèrent à mon premier orgasme qui fut accueilli, comme on s'en doute, par une nouvelle bordée de grossièretés. Me pilonnant de plus belle, le chef s'adressa à ses troupes :

- Allez-y les mecs, vous gênez pas, pelotez-la…

Aussitôt dit, aussitôt fait, des mains avides me parcoururent pour profiter de mon corps offert et plus particulièrement (comme à l'accoutumée) de mes seins opulents. Exhorté par ses camarades, le chef de la bande s'enfonça au plus profond pour y jouir sans modération, puis me quitta en disant :

- A vous les mecs, vous pouvez vous la faire, elle est bonne la salope…

Le dénommé Ludo, l'amateur de gros seins, s'allongea sur le dos à côté de moi et m'ordonna de le chevaucher. Je m'installai comme souhaité et me saisit de la pine dressée pour me l'introduire moi-même dans le vagin.
 
- Remue-toi la bourge ! pendant ce temps là je vais m'occuper de tes nibards ! dit-il en se saisissant à pleines mains mes globes satinés qu'il entreprit de malaxer, de titiller et les approchant de sa bouche d'en sucer et même en mordiller les pointes.

Pendant ses attouchements, je montai et m'abaissai frénétiquement sur le pieu tendu. Pendant cette chevauchée l'un des beurs me caressait les fesses. Il parut avoir brusquement une inspiration, il suçota un de ses doigts et tranquillement me l'inséra sans le moindre problème dans l'anus habitué à ce genre de pratique. Durant quelques instants le trio continua dans cette posture : Jeff arrimé à ma poitrine et à chaque fois que je m'abaissai, j'engloutissai non seulement la bite tendue, mais également l'index impérieux qui m'explorait le fondement. Celui qui me doigtait dit quelque chose en arabe à son acolyte qui s'approcha. Le premier retira son doigt pour… laisser au second le plaisir d'agir de même. Les deux types se relayèrent un moment puis lorsqu'ils jugèrent l'endroit plus approprié ou plus sûrement simplement que le jeu ne les intéressait plus, ils joignirent leurs deux doigts pour investir l'étroit conduit. C'est cette pénétration inattendue qui me déclencha un deuxième orgasme, plus bruyant que le premier. 

- Si elle gueule à chaque fois qu'elle prend un gros truc dans le cul, elle ne pourra plus parler tout à l'heure ! dit l'un d'eux annonçant ainsi la suite des réjouissances.

J'eus un troisième orgasme mais plus bref lorsque Ludo prit lui aussi son pied. Aussitôt le troisième larron me renversa, disposa mes jambes sur ses épaules et me pénétra rudement. Il me lima sans fioriture, jusqu'à ce que nous nous désunissions, lui apparemment assouvi. C'était au tour du plus jeune, celui qui avait un mandrin énorme, de me prendre. Il me fit me remettre en levrette au bord du lit. Restant debout, il se posta derrière moi et commença à m'enfiler avec, il me sembla, assez de précaution. Malgré quelques difficultés, je pus apprécier cette introduction, facilité, il est vrai par mes précédents ébats qui avaient élargi l’endroit et copieusement rempli de foutre. En me retournant, je pouvais voir l’inexorable progression du membre de l’étalon puis sa mise en mouvement d’abord lente, puis de plus en plus rythmée. Tout le monde semblait y trouver son compte, le gamin d’abord qui me baisait désormais sans ménagement, les spectateurs ravis du spectacle et enfin moi qui gémissais sous les puissants coups de bite… à la limite de l’explosion. Jeff qui déjà rebandait, grimpa à nouveau sur le lit et trique tendue m'intima, dans son langage poétique « de lui bouffer la pine »… ce que je fis. Les choses semblaient se corser un peu, je la trouvais perverse l'image de la correcte madame S. dans une chambre d’hôtel, en porte-jarretelles, au milieu de petits salauds, en train de sucer l’un deux, les seins ballottant au rythme d’une pénétration forcenée pendant que d’autres attendaient leur tour… Le chef, se réservant sans doute pour d’autres activités libéra ma bouche. Presque aussitôt, je criai de bonheur accompagné par mon suborneur, lui en version arabe. Sous la violence de l’orgasme, je restai un instant immobile à plat ventre sur le lit. Le dernier, qui n’avait pas quitté son fauteuil, m'apostropha :

- Eh ! t'es pas là pour dormir, à moi maintenant, amène-toi !

Je me levai, et d'une démarche un peu mal assurée me dirigeai vers le cinquième qui m'arrêta :

- T'as pas compris tout à l'heure, j'ai dit une belle bouche !

Comme précédemment, je m'approchai du miroir et me remaquillai les lèvres. Ma physionomie avait un peu changé, le chignon en perdition, les lèvres gonflées d'avoir sucé et embrassé, le menton luisant de salive et de sperme, les yeux cernés par la jouissance je faisais plus catin que jamais…

Une fois le dessin de mes lèvres achevé, je me dirigeai vers mon futur amant.

- Stop, finalement, les yeux aussi, tu es là pour passer une près-midi de pute, il faut que tu ressembles à une pute… Madame la prof... Fit-il.
 
Une fois de plus docilement pour acheter leur silence, j'obéis et revins vers la glace me remaquiller les yeux. Je me retournai vers le garçon et lui fit face.

- T'attends quoi ? Allez monte là-dessus ! dit-il en désignant sa queue.

Je m'avançai, enjambai le type, et posément m'introduisi sa verge et les mains appuyées à ses épaules je me mis à monter et descendre autour de l'axe de chair. J'imaginai la bite rendue brillante de mouille et des précédentes éjaculations s'enfoncer dans ma chatte plus qu'offerte. Comme sous l'effet d'un piston, je sentais les diverses sécrétions comme par pression s'échapper de mon sexe aux lèvres gonflées.
 
- Pelote-toi les roberts, j'adore voir les gonzesses se les branler ! Ordonna celui qui se faisait enfourcher et qui paraissait être le plus vicieux de la bande.

Je souscris à cette demande en continuant mes montées et descentes. 

- Tourne-toi maintenant, mets-toi dans l'autre sens !

Je me levai, me retournai et, lui tournant le dos me réembrochai sur le sexe gonflé.

- Tes nibards, j'ai pas dit d'arrêter ! Reprit-il et il ajouta :

-Les mecs, venez vous faire sucer, elle n'attend que ça la pouffiasse !

Les quatre autres, verge en main s'approchèrent en cercle pour que la pouffiasse leur fasse l'honneur de sa langue. A tour de rôle, je les léchai, les pompai, toujours en me caressant les seins, aidée en cela par Jeff toujours aussi secourable qui me pinçait les tétons. Comme je me penchai un peu en avant, celui qui se faisait enjamber passa un bras autour de mon ventre, comme pour me maintenir, et après les avoir mouillés, me nicha deux doigts dans le rectum. De plus en plus échauffée par mes partenaires je gigotai de plus belle et jouis encore une fois en même temps que celui qui me prenait. Je restai un moment assise sur les genoux du type pour récupérer jusqu'à ce que Ludo prenne la parole
.
- Maintenant que Jean-Philippe t'a ouvert le fion, viens qu'on en profite !

Je savais que je serais sodomisée, après les avoir tous sucés, puis m'étant faite sauter par tous les cinq, je pensai que les pénétrations allaient être longues, très longues pour mon fourreau qui risquait d'en souffrir.
 
- En position, que je te démolisse le pot ! commanda Jeff.

Je me mis à quatre pattes sur le lit et attendit le bon vouloir de ce petit crétin qui, certain de son pouvoir et de l'outrage qu'il entendait me faire subir, me faisait languir. Je devais avoir sur mon visage une expression de femme égarée, éperdue, mais aussi de docilité. Visiblement, je ne fus pas le seul à m'interroger puisque Ludo demanda :

- T'as l'air impatiente, tu sais pourtant ce qu'il va te faire Jeff, hein, t'as une tête à te faire souvent enculer toi, pas vrai ? allez réponds !

- Oui, je me fais souvent sodomiser ! Répondis-je d'une voix étranglée.

- C'est ton copain qui t'encule, ou y'en a d'autres comme Hassan ?

- Oui il me prend ainsi, les amis à qui il me prête également… Me résignai-je à répliquer.

- Quelle salope… tu baises avec un copain et en plus il te fait tringler par ses potes… remarque, jusqu'ici on a pas à s'en plaindre… Mais j'aimerai bien voir la gueule de ton cocu…

Jeff s'approcha, frotta sa queue contre ma moule détrempée, et écartant les bords de l'anneau du pouce et de l'index il entreprit de faire entrer son sexe dans l'étui. Les doigts précédant ayant eu raison de la rigidité du sphincter, le gland s'introduisit et… le reste du membre suivit progressivement. Je remarquai quand même que la leçon avait dû leur être faite, car il me prenait avec une délicatesse particulière, avec vulgarité certes, mais sans brutalité excessive, comme pour ne pas abîmer la marchandise. Il n'empêche que je geins sous l'effet de l'inéluctable intromission, le garçon était bien pourvu et à aucun moment il n'avait marqué de pause. Il l'avait mise à fond, à donf comme ils disent, un point c'est tout, et maintenant il allait et venait en la tenant par la taille ou par les épaules.

- Elle est bonne du cul, je vous dis que ça ! commenta-t-il avec galanterie s'amusant à ressortir intégralement son engin pour mieux me le replonger jusqu'à la garde et m’arracher des clameurs qui n'étaient plus de douleur.

- Oui, aaaaaaah, elle est au fond, encore, oui comme cela, que c'est bon… plus fort, plus loin !

Le petit salaud semblait savoir s'y prendre et évidemment, encouragé par de tel propos il annonça qu'il allait me défoncer le cul et mis sa menace à exécution jusqu'à ce que je jouisse bruyamment et qu'il puisse se vider au fond de mes boyaux. Je m'effondrai terrassée. Me voyant dans cette posture, Ludo s'abattit sur moi, me planta son dard entre les fesses, et me faisant temporairement prendre appui sur les coudes il se saisit, encore, de mes seins et dans cette posture me sodomisa, ahanant jusqu'à l'éjaculation. 

Le troisième me fit coucher sur le côté et se plaçant derrière moi n'eut aucun mal à s'immiscer dans ma rondelle dilatée. Le second maghrébin, celui à la grosse verge, se tint devant moi de façon à ce que je puisse m'en occuper de mes mains et de ma bouche. Comme la deuxième fois, je ne jouis pas lors de ma troisième enculade, sans doute la fatigue… Pourtant les choses plus délicates allait commencer pour moi, je le redoutai un peu. Le quatrième, le plus membré me fit reprendre la même position, à quatre pattes au bord du lit, et comme tout à l'heure se mit debout derrière moi avec la ferme intention d'utiliser la même voie que ses comparses. J’implorai une douceur qui fut toute relative lorsque le membre épais se fraya un passage dans mes muqueuses portant amadouées, et je dus subir l'introduction de l'intégralité de la longueur de la formidable pine jusqu'à son terme. Puis il se mit en mouvement assez doucement obéissant ainsi au cinquième qui voulait que je sois encore utilisable, le charmant garçon... Malgré tout, il me sodomisa avec efficacité, me laissant échapper des soupirs sans équivoques.

A ce moment Ludo, qui rebandait, s'avança, c'était bien cela, ils avaient été soigneusement sélectionnés par leur copain (et peut être aussi Hassan) pour leurs performances sexuelles. Après avoir joui trois fois, il était prêt à remettre cela et me fourra le sexe que bien entendu il avait omis d'essuyer entre les lèvres, me bâillonnant pendant que l'autre continuait ses œuvres. Une fois la tige bien raide, il quitta ma bouche accueillante et sous l'œil intéressé de tous, moi y compris, se glissa sous moi et parvint à m’introduire sa queue dans la chatte. Je ressentis un orgasme phénoménal quand mon enculeur se vida dans mes intestins en grognant. Avec lenteur il se retira, le bruit d'un pet humide fit rire de bon cœur les loulous. A ce moment-là, Jeff me dit, bien que toujours enfilée sur Ludo d'aller m'occuper de Jean-Philippe. Je me relevai et vint vers le dernier. D'un un air interrogateur je le regardai, d'un geste du pouce, il me désigna la glace, je compris et d'une démarche un peu hésitante (après ce que je venais de subir) j'approchai pour la troisième fois du miroir pour me maquiller selon les ordres et les désirs du petit vicelard. J’avais maintenant le visage très marqué, les cheveux collés par la transpiration, les yeux soulignés de bistre, les lèvres enflées, des marques rouges sur mon corps en sueur, témoins de la rudesse des caresses subies. Pourtant, malgré tout, je restai très très désirable, surtout lorsque j’eus fini de me remaquiller outrageusement.

J’allai vers Jean-Philippe et comprenant ce qu'il souhaitait, je lui tournai le dos, écartai mes fesses rougies à deux mains et positionnant sa queue contre mon anus désormais béant je me laissai glisser. Le type apprécia mon savoir faire et il m'enlaça m’accordant le privilège de me caresser la vulve et le clitoris. Puis, comme il remarquait que j’aimais cela, il appela du renfort. Jeff se précipita et me masturba. Quand je fus sur le point de jouir il cessa et s'agenouillant devant moi me pénétra brutalement m’arrachant un cri de douleur. La tête rejetée en arrière sur l'épaule de celui qui occupait mon fondement, je m'offris au double coup de boutoir qui me défonçait littéralement, Jeff, prenant bien soin de me rudoyer les seins et d'en tordre les mamelons m’arrachant des clameurs interrompues. Enfin le cinquième jouit juste quelques instants après moi dans l'anus malmené, Jeff se retira.

Ils me proposèrent un verre d'eau que j’avalai d'un trait. Ils me portèrent sur le lit, et tout en me caressant mollement, ils me demandèrent si je ne voulais pas venir me faire niquer chez eux, à la cité, qu'ils m'installeraient dans une cave et qu'ils me feraient baiser par tous les trous pendant trois jours et trois nuits. Je déclinai l'offre et ils parlèrent de demander cela à Hassan qui saurait m’y contraindre, puis ils conclurent :

- Bon puisque c'est comme ça, puisqu'on bande encore, après t'avoir baisé un par un, on va te la mettre tous ensemble.

Je protestai, argumentant de ma fatigue et de l'irritation des mes orifices, sans succès .Selon un ordre pré-établi, Ludo s'allongea sur le dos,. On me traîna au-dessus de lui, il s'introduisit, Jeff se posta derrière moi et me pliant vers l'avant m’encula une seconde fois, on me releva le troisième me tenant par les cheveux me fourra sa queue souillée dans la bouche, on me prit les mains pour que j’y reçoive, dans l'une le gros pénis et dans l'autre le pieu du vicieux. Le spectacle devait être hallucinant, je n'étais plus qu'un jouet sexuel entre leurs mains. Ils me fourrageaient, me baisaient m'enculaient, maintenant sans retenue. Je fus prévenue que dès d'un trou serait libre ceux que je branlais y prendraient place. Heureusement pour moi ce fut celui de ma bouche qui libéra sa sauce, et logiquement le plus jeune, vint proposer son énorme sexe à mes lèvres boursouflées. Jeff à son tour déchargea dans mon rectum. La place fut vivement occupée par un Jean-Philippe ravi de l'aubaine qui me pistonna littéralement le cul une fois que Ludo eut joui et se fut dégagé. Pratiquement ensemble l'un dans ma bouche et l'autre entre mes reins expulsèrent leur jus outrageant. Je m'écroulai épuisée. En lançant, encore, quelques plaisanteries ordurière à mon endroit, ils se rhabillèrent, l'un d'eux griffonna sur mon chemisier blanc un numéro de téléphone en disant :

- Quand t'as envie de baiser fais signe !

Et sans autre forme de procès, ils quittèrent la pièce me laissant seule dans la pièce rendue étouffante et qui recelait une odeur incroyable de moiteur, de foutre et de transpirations diverses…

J’eus un sursaut épouvanté… les photos, ils avaient repris les photos…

Pressée de quitter cet endroit je m’essuyai rapidement le visage, me rhabillai sans prendre le temps de remettre mon soutien-gorge et au plus vite, je comptai filer bien que décoiffée, le visage encore maculé de quelques traces, les bas filés, il faut bien le dire un peu hagarde et ne pouvant plus fermer les jambes.
 
Avec ironie le réceptionniste me considéra et me dit que j’étais attendue au bar. Interloquée j’y jetais un œil… pour y voir accoudés Hassan et Gérard qui me firent signe de venir les rejoindre… Ce fut Gérard qui rompit le silence :

- Tu occupais la chambre 17, enfin, quand je dis tu, je devrais dire c'est vous, toi et tes élèves… beau cours particulier… Il faut que tu saches que nous étions au 18 et que depuis cette chambre parfaitement équipée nous avons admiré ton show… Tu as été très bien… Hassan a passé également un bon après midi… et ses clients installés au 16 n’ont rien regretté non plus… Ma Chérie, tu viens vraiment de gagner tes galons de salope… Au fait… Jeff en partant m’a remis cela pour toi.

Et il me tendit les photos compromettantes…

A suivre...

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