jeudi 7 juillet 2022

Train de nuit - Ch. 02

Texte de XMaster, nouvel auteur sur mon blog. Vous pouvez trouver un lien vers ses "captions" sur le site Imagefap dans ma liste de liens.

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Sophie subit les attouchements du contrôleur.

Sophie en a plus qu'assez maintenant, au début elle trouvait ça encore un peu amusant, mais là, vraiment, ça ne va plus du tout, aussi, tenue et ne pouvant pas vraiment se débattre, elle commence à parler très fort :

- Attention, je vais crier salopard !

- Mais crie, connasse, tu es seule dans ce wagon !

Et alors, la pauvre jeune fille prend vraiment peur. Elle se met à crier de toutes ses forces. La seule vraie réponse qu'elle obtient, c'est une grande gifle qui l'assomme presque, tant elle est violente.

- Ferme ta gueule, pouffiasse ! 

Et l'homme lâche sa proie une toute petite seconde pour lui prendre les cuisses juste au-dessus des genoux. Il la tire sur le bord de la couchette avec force. Dans la manœuvre, Sophie se retrouve en travers de la couchette en se cognant la tète contre la paroi métallique du compartiment. Cette fois, elle pousse un petit cri de douleur car la tête a frappé durement. Tout va si vite qu'elle ne sait même plus où elle en est, la pauvre fille. Elle reste presque sans réaction face à ce monstre en uniforme. François n'en reste pas là, après lui avoir écarté les cuisses, il repousse les jambes vers l'arrière. Ensuite, il bloque les deux jambes de son puissant bras gauche et porte sa main droite sur la vulve.

- Au secours ! Lance encore la jeune fille mais cette fois de façon bien moins convaincante.

- Vas-tu fermer ta gueule, pétasse ? 

Et pour marquer encore plus sa désapprobation, il relève sa main droite et l'abat violemment tout de suite sur la totalité de la vulve. Sous le coup, Sophie crie encore plus fort, mais très vite elle se met à pleurer, autant par la douleur que par la situation qu'elle ne contrôle vraiment plus du tout et qui lui semble désespérée. Et, si elle aime faire l'amour tout le temps et en tout lieu, elle a maintenant très peur de ce monstre lubrique et craint même pour ses jours tant l'homme semble fou. Sans se soucier des pleurs de la jeune fille, le contrôleur écarte les grandes lèvres et passe l'ongle de son doigt sur le clito pour voir sa réaction.

- Non, non ! Se plaint encore la pauvre petite. 

François n'en a cure, il s'aperçoit très vite que cette façon de frotter le capuchon le fait gonfler. Il teste alors l'humidité de la grotte féminine. Le dur massage sur son clitoris agace tout de suite la belle Sophie, et tout de suite aussi, ou presque, elle commence à mouiller. Toute cette violence, toutes ces injures l'ont mise dans un état second, un état d'excitation bizarre, étrange, où chaque grossièreté de l'homme la met en transes et en même temps l'énerve, lui donne envie de mordre, de crier, de le frapper. Elle ne sait pas exactement ce qui se passe en elle, mais elle sent cette drôle de sensation mélangée, faite de haine et d'envie, de crainte et d'excitation, de peur et de curiosité pour la suite des événements. Bien sûr, elle souffre des coups et de la dureté du traitement que lui inflige ce monstre, mais en même temps, elle voudrait le combler, lui obéir aveuglément, être sa chose. Elle voudrait être ailleurs parfois, puis la seconde suivante, elle aimerait être encore plus proche de son tortionnaire, plus câline, puis encore une seconde plus tard, elle pourrait le tuer sans remord. 

François n'est pas du tout dans le même état d'esprit. Lui, il teste cette jeune cochonne qu'il sent prête à beaucoup, prête à aller encore bien plus loin pour peu que l'on sache la prendre comme il faut. Malgré son martyr, Sophie mouille abondamment sous les coups de griffes, appliqués sur le clitoris, qui lui vrille tout le bas du ventre et enflamme toute la zone. Elle se surprend même à pousser un petit râle de plaisir, alors elle fait attention à se retenir. L'homme n'a pas ses oreilles dans sa poche, il comprend bien que cette jeune salope n’est pas loin de s'envoyer en l'air, aussi il continue de plus belle en enfonçant son majeur d'un coup sec dans la chatte détrempée. Sous cette introduction inattendue, la jeune fille pousse un petit soupir de plaisir. Sa respiration devient plus courte et plus haletante. Son bouton d'amour la brûle délicieusement et elle apprécie qu'il ne soit plus mis à l'épreuve. François fait maintenant passer son index en plus de son majeur dans la moule ouverte et si accueillante. S'apercevant qu'aucune résistance ne vient contrecarrer son mouvement il poursuit d'une voix sèche :

- Tu as vraiment dû en avaler des tonnes de bites ! Salope va...

- Enfoiré, vous n'avez...

- J't'emmerde, connasse… T'es une vraie pute au con distendu... 

Puis retournant sa proie, le contrôleur vérifie maintenant l'anus. Et très vite, il se rend compte que ce trou-ci est aussi le siège d'un passage régulier car le muscle est avachi et l'entrée est un peu moins béante que de l'autre côté, mais toujours très ouverte pour une femme d'à peine vingt ans. Sophie se sent soulevée, puis rejetée sans ménagement sur la couchette. Dans la position où elle est maintenant, elle ne peut presque plus crier car elle a la tête plaquée sur le drap. Enfouissant son majeur dans le cul de la belle, François s'exclame :

- Et tu as aussi le trou du cul qui a beaucoup servi à ce que je vois, chienne ! 

Seul un râle étouffé se fait alors entendre. Décidément, la pauvre fille n'est plus que le jouet de ce monstre lubrique que, visiblement, rien n'arrête. Mais quelque part, peut-être au plus profond d'elle même, cette situation lui convient-elle assez. Cela fait déjà bien longtemps qu'elle recherche chez ses amants un homme qui puisse la guider vers de nouveaux plaisirs. Maintenant, le vicieux contrôleur s'amuse à limer ce petit cul avec son doigt de plus en plus vite. La caresse lubrique commence à bien exciter Sophie dont la respiration devient courte et hâchée. A ce moment, François ressort prestement son majeur et le remplace aussitôt par son pouce qui est au moins deux fois plus épais que le doigt.

- Aïe ! Tu me fais mal salopard !

- Tu penses... Tu as dû te faire enculer par un éléphant, ce n'est pas possible d'avoir le cul aussi défoncé !

Et sur ces mots, il redouble de vigueur. Il pouce son gros doigt le plus loin possible, à le faire entièrement disparaître dans l'anus. Puis, pensant qu'il peut aller bien plus loin encore, il ressort son appendice et ordonne d'une voix terrible :

- Mets toi debout que je t'observe sous toutes les coutures !

- Mais, je ne vous permets...

- Fais pas chier connasse ! Debout et vite, si tu ne veux pas que je te jette par la fenêtre.

- Mais… Essaye d'articuler la pauvre jolie brune tant elle vient de prendre peur.

- Allez… Plus vite que ça ! 

Et sur l'élan, il empoigne la pauvre fille par les cheveux et la tire en bas de la couchette. Sophie fait un gros effort pour ne pas tomber par terre, encore une chance qu'elle ne soit pas sensible du cuir chevelu. Mais telle qu'elle est menée, elle se retrouve, un peu à contrecœur, au milieu du compartiment, nue devant son tortionnaire.

- Tiens-toi droite ! 

Et, comme un automate, la belle se redresse. Elle se tient maintenant bien droite au milieu de la petite pièce, les bras le long du corps, les yeux fixes rivés sur le sol, un léger tremblement parcourt tout son être.

A suivre...

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