Texte de XMaster, nouvel auteur sur mon blog. Vous pouvez trouver un lien vers ses "captions" sur le site Imagefap dans ma liste de liens.
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Sophie subit les attouchements du contrôleur.
Sophie en a plus qu'assez maintenant, au début elle trouvait ça encore
un peu amusant, mais là, vraiment, ça ne va plus du tout, aussi, tenue et ne
pouvant pas vraiment se débattre, elle commence à parler très fort :
- Attention, je vais crier salopard !
- Mais crie, connasse, tu es seule dans ce wagon !
Et alors, la pauvre jeune fille prend vraiment peur. Elle se met à crier de
toutes ses forces.
La seule vraie réponse qu'elle obtient, c'est une grande gifle qui
l'assomme presque, tant elle est violente.
- Ferme ta gueule, pouffiasse !
Et l'homme lâche sa proie une toute petite seconde pour lui prendre les
cuisses juste au-dessus des genoux. Il la tire sur le bord de la couchette avec
force.
Dans la manœuvre, Sophie se retrouve en travers de la couchette en se
cognant la tète contre la paroi métallique du compartiment. Cette fois, elle
pousse un petit cri de douleur car la tête a frappé durement. Tout va si vite
qu'elle ne sait même plus où elle en est, la pauvre fille. Elle reste presque sans
réaction face à ce monstre en uniforme.
François n'en reste pas là, après lui avoir écarté les cuisses, il repousse
les jambes vers l'arrière. Ensuite, il bloque les deux jambes de son puissant
bras gauche et porte sa main droite sur la vulve.
- Au secours ! Lance encore la jeune fille mais cette fois de façon bien
moins convaincante.
- Vas-tu fermer ta gueule, pétasse ?
Et pour marquer encore plus sa désapprobation, il relève sa main droite
et l'abat violemment tout de suite sur la totalité de la vulve.
Sous le coup, Sophie crie encore plus fort, mais très vite elle se met à
pleurer, autant par la douleur que par la situation qu'elle ne contrôle vraiment
plus du tout et qui lui semble désespérée. Et, si elle aime faire l'amour tout le
temps et en tout lieu, elle a maintenant très peur de ce monstre lubrique et
craint même pour ses jours tant l'homme semble fou.
Sans se soucier des pleurs de la jeune fille, le contrôleur écarte les
grandes lèvres et passe l'ongle de son doigt sur le clito pour voir sa réaction.
- Non, non ! Se plaint encore la pauvre petite.
François n'en a cure, il s'aperçoit très vite que cette façon de frotter le capuchon le fait gonfler. Il teste alors l'humidité de la grotte féminine.
Le dur massage sur son clitoris agace tout de suite la belle Sophie, et
tout de suite aussi, ou presque, elle commence à mouiller. Toute cette
violence, toutes ces injures l'ont mise dans un état second, un état d'excitation
bizarre, étrange, où chaque grossièreté de l'homme la met en transes et en
même temps l'énerve, lui donne envie de mordre, de crier, de le frapper. Elle
ne sait pas exactement ce qui se passe en elle, mais elle sent cette drôle de
sensation mélangée, faite de haine et d'envie, de crainte et d'excitation, de
peur et de curiosité pour la suite des événements.
Bien sûr, elle souffre des coups et de la dureté du traitement que lui
inflige ce monstre, mais en même temps, elle voudrait le combler, lui obéir
aveuglément, être sa chose. Elle voudrait être ailleurs parfois, puis la seconde
suivante, elle aimerait être encore plus proche de son tortionnaire, plus
câline, puis encore une seconde plus tard, elle pourrait le tuer sans remord.
François n'est pas du tout dans le même état d'esprit. Lui, il teste cette
jeune cochonne qu'il sent prête à beaucoup, prête à aller encore bien plus loin
pour peu que l'on sache la prendre comme il faut.
Malgré son martyr, Sophie mouille abondamment sous les coups de
griffes, appliqués sur le clitoris, qui lui vrille tout le bas du ventre et enflamme
toute la zone. Elle se surprend même à pousser un petit râle de plaisir, alors
elle fait attention à se retenir.
L'homme n'a pas ses oreilles dans sa poche, il comprend bien que cette
jeune salope n’est pas loin de s'envoyer en l'air, aussi il continue de plus belle
en enfonçant son majeur d'un coup sec dans la chatte détrempée.
Sous cette introduction inattendue, la jeune fille pousse un petit soupir
de plaisir. Sa respiration devient plus courte et plus haletante. Son bouton
d'amour la brûle délicieusement et elle apprécie qu'il ne soit plus mis à
l'épreuve.
François fait maintenant passer son index en plus de son majeur dans la
moule ouverte et si accueillante. S'apercevant qu'aucune résistance ne vient
contrecarrer son mouvement il poursuit d'une voix sèche :
- Tu as vraiment dû en avaler des tonnes de bites ! Salope va...
- Enfoiré, vous n'avez...
- J't'emmerde, connasse… T'es une vraie pute au con distendu...
Puis retournant sa proie, le contrôleur vérifie maintenant l'anus. Et très
vite, il se rend compte que ce trou-ci est aussi le siège d'un passage régulier
car le muscle est avachi et l'entrée est un peu moins béante que de l'autre
côté, mais toujours très ouverte pour une femme d'à peine vingt ans.
Sophie se sent soulevée, puis rejetée sans ménagement sur la couchette.
Dans la position où elle est maintenant, elle ne peut presque plus crier car elle a la tête plaquée sur le drap.
Enfouissant son majeur dans le cul de la belle, François s'exclame :
- Et tu as aussi le trou du cul qui a beaucoup servi à ce que je vois,
chienne !
Seul un râle étouffé se fait alors entendre. Décidément, la pauvre fille
n'est plus que le jouet de ce monstre lubrique que, visiblement, rien n'arrête.
Mais quelque part, peut-être au plus profond d'elle même, cette situation lui
convient-elle assez. Cela fait déjà bien longtemps qu'elle recherche chez ses
amants un homme qui puisse la guider vers de nouveaux plaisirs.
Maintenant, le vicieux contrôleur s'amuse à limer ce petit cul avec son
doigt de plus en plus vite.
La caresse lubrique commence à bien exciter Sophie dont la respiration
devient courte et hâchée.
A ce moment, François ressort prestement son majeur et le remplace
aussitôt par son pouce qui est au moins deux fois plus épais que le doigt.
- Aïe ! Tu me fais mal salopard !
- Tu penses... Tu as dû te faire enculer par un éléphant, ce n'est pas
possible d'avoir le cul aussi défoncé !
Et sur ces mots, il redouble de vigueur. Il pouce son gros doigt le plus
loin possible, à le faire entièrement disparaître dans l'anus. Puis, pensant qu'il
peut aller bien plus loin encore, il ressort son appendice et ordonne d'une voix
terrible :
- Mets toi debout que je t'observe sous toutes les coutures !
- Mais, je ne vous permets...
- Fais pas chier connasse ! Debout et vite, si tu ne veux pas que je te
jette par la fenêtre.
- Mais… Essaye d'articuler la pauvre jolie brune tant elle vient de
prendre peur.
- Allez… Plus vite que ça !
Et sur l'élan, il empoigne la pauvre fille par les cheveux et la tire en bas
de la couchette.
Sophie fait un gros effort pour ne pas tomber par terre, encore une
chance qu'elle ne soit pas sensible du cuir chevelu. Mais telle qu'elle est
menée, elle se retrouve, un peu à contrecœur, au milieu du compartiment,
nue devant son tortionnaire.
- Tiens-toi droite !
Et, comme un automate, la belle se redresse. Elle se tient maintenant bien droite au milieu de la petite pièce, les bras le long du corps, les yeux fixes
rivés sur le sol, un léger tremblement parcourt tout son être.
A suivre...
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