Texte écrit par G il y a quelques années.
Après les cours, retour au bistrot.
Je sors de la salle de classe et referme la porte soulagée. Nous sommes vendredi soir et c'est le week-end. Curieusement, Bruce, Rachid et Bruno, mes élèves, m'ont laissé tranquille le reste de la semaine. Je les ai croisés à plusieurs reprises dans les couloirs du lycée mais ils ne m'ont fait subir aucunes autres humiliations.
Après qu'ils se soient « invités d'office » dans mon pavillon ce fameux lundi soir où j'avais été forcée à de multiples turpitudes sexuelles, je n'avais plus eu de leurs nouvelles à mon grand soulagement. Le soir, je m'étais disputée avec mon mari qui n'avait pas compris que je me refuse à lui. Il faut bien reconnaître que sexuellement, j'avais eu ma dose. J'avais été prise de toutes les façons par mes élèves et je frémissais encore d'excitation quand j'y repensais.
A ma grande surprise et à ma grande honte, j'avance dans le couloir en direction de la sortie et mes talons aiguilles claquent sur le sol. Je suis vêtue d'une jupe noire légèrement fendue sur le côté, d'un tee-shirt rose qui moule mes seins et d'une veste blanche. Le Tee-shirts est un peu osé, le profond décolleté laisse apparaître la naissance de mes seins. Certains de mes élèves m'ont sifflé quand je suis entrée dans ma salle de classe tout à l'heure.
J'arrive près de la sortie quand je me retrouve nez à nez au détour d'un couloir avec Rachid qui est accompagné d'une jeune fille.
- Tu viens avec nous! me lance-t-il d'un ton autoritaire.
Je blanchis sous mon maquillage. Non, pas encore...
Je n'oppose aucune résistance quand il me prend par le bras et m’entraîne vers les toilettes. Il pousse la porte et nous entrons. Je suis face à Rachid et cette fille que je crois reconnaître. C'est la petite amie de Rachid, Leila.
- On a prévu une sortie pour ce soir, tu viens avec nous. Me dit Rachid en s'approchant de moi.
Je proteste que ce n'est pas possible, que ma famille va s'inquiéter de ne pas me voir rentrer du lycée. Je dois justement recevoir ma fille Anne-Sophie ainsi que son futur mari et la future belle-famille à dîner demain soir et je comptais aller faire des courses ce soir.
- Tu les feras demain matin tes courses! me lâche Rachid.
Il m'explique que le site internet qu'ils ont créé marche du tonnerre et que les internautes, qui peuvent laisser des commentaires, demandent à ce qu'on me ramène dans le bar ou j'avais eu le malheur de rentrer pour demander du secours, ce fameux dimanche où ma voiture était tombé en panne.
Je suis anéantie. Cela ne s'arrêtera donc jamais. La fille porte un sac en plastique à la main et elle le pose par terre en me lançant :
- Je t'ai ramené des fringues de pute! T'es notre salope ce soir!
Elle s'approche de moi et me pousse en direction de la porte des toilettes. Elle soulève brutalement mon Tee-shirt dévoilant mes seins car je n'ai pas mis de soutien-gorge. Elle me traite de pétasse en constatant que je n'ai pas mis de sous-vêtements. Elle me regarde avec un air méchant :
- Tu t'es tapée mon mec, salope! Tu vas le payer!
A quoi bon lui expliquer que je suis victime de ces obsédés. Et d'ailleurs le suis-je?
Les doigts de Leila se referment sur les pointes de mes seins et elle se met à les tortiller dans tous les sens ce qui m'arrache un faible gémissement. Elle se met soudain à me grignoter le téton droit avec ses dents. Juste à la limite de le sectionner! C'est une femme, elle sait jusqu'où on peut aller avec une poitrine féminine, elle connait les limites entre le plaisir et la douleur. Pendant ce temps-là, Rachid a retroussé complètement ma jupe dévoilant mes longues jambes gainées de bas blancs auto-fixants, des Dim-Up. Il ricane en constatant que je ne porte pas non plus de string.
- Tu commences à y prendre gout, pas vrai ma chienne? T'aime ça être traiter comme une pute sous tes airs de bourgeoise respectable!
Je ne réponds pas, ma respiration s'est accélérée. Rachid enfonce deux doigts dans ma chatte dégoulinante et Leila me torture toujours les seins, les suçant en alternant, mordant, léchant. Je suis leur poupée...leur poupée de chair qu'on manipule comme on veut.
Leila me force à me mettre à quatre pattes sur le sol des toilettes et demande sa ceinture à Rachid. Elle abat avec force le bout de cuir sur mes fesses après avoir relevé ma jupe. Je pousse un cri. Elle m'insulte, me traitant de salope, de pute, de vieille bourge qui aime se faire baiser par des jeunes.
C'est vrai que j'ai 49 ans et qu'elle doit avoir l'âge de ma fille. Elle me force à m'approcher d'un urinoir et m'oblige à mettre la tête dedans. J'ai un haut le cœur et manque de vomir tant l'odeur d'urine est forte. Elle s'agenouille derrières moi et me fouille la chatte avec ses doigts. Elle titille mon clitoris, m'écarte les lèvres puis enfonce soudain un doigt dans mon anus et le ressort aussitôt pour me le faire lécher. Ce que je fais, obéissante.
Leila me retourne soudain et me positionne à genoux devant Rachid :
- Puisque t'aime ça, tu vas faire une pipe à mon copain!
Rachid n'en peut plus, il baisse le zip de son jean et sort un sexe énorme et raide : Une matraque de chair qu'il empoigne et dirige vers mes lèvres pulpeuses. Il la passe un instant sur mon visage, s'attardant sur mes lèvres. J'entrouvre la bouche et il y enfonce sa bite.
- Suce! Suce-moi, salope! râle-t-il en me secouant la tête d'avant en arrière autour de son sexe gonflé.
Je m'applique du mieux que je peux et je commence à devenir experte. J'enroule ma langue autour de son gland et je m'active dans l'espoir que cela se termine vite. Leila, pendant ce temps, me fouille toujours la chatte et je suis à deux doigts d'avoir un orgasme. Je suis trempée, je dégouline et Leila lance à Rachid :
- Quelle salope, j'ai les doigts trempés!
Cela doit exciter Rachid au plus haut point car je le sens soudain sur le point d'exploser. Je l'avale toujours comme une automate dans un mouvement de va et vient régulier. Brusquement, il m'empoigne la nuque et m'écarte. Il se déverse sur mon visage avec de longs jets saccadés. Sur ma bouche, mes cheveux, mes lèvres, mon menton, je suis profanée, humiliée, souillée. Leila continue de me masturber et j'halète de plus en plus en fort, je m'affaisse soudain sur le carrelage et me tords de jouissance en criant.
Nous reprenons tous notre souffle, Leila et Rachid n'arrêtant pas de me traiter de traînée, de pouffiasse. Rachid prend des photos évidemment. Ils me forcent à me relever et Leila exige que je me déshabille. J'obéis, soumise une fois de plus, totalement aux ordres de ces jeunes. Je me retrouve nue devant eux et Leila me tend mes habits pour la soirée. J'enfile des bas noirs à couture et une mini-jupe en cuir noir qui m'arrive à mi-cuisses. Pour les chaussures, j'ai droit à une paire de talons aiguilles rouge. Je fais la grimace en les mettant, ce n'est pas ma taille et j'ai mal aux pieds. Je m'en plains mais ça n'a pour effet que de faire éclater de rire mes tortionnaires. Je dois mettre un soutien-gorge rouge ainsi qu'un chemisier noir transparent. J'ai vraiment l'air d'une pute.
Nous sortons des toilettes puis du lycée sans rencontrer âmes qui vivent. Nous montons dans ma voiture, Rachid au volant et Leila et moi à l'arrière. Bien entendu, elle en profite immédiatement pour glisser une main sous ma mini-jupe en cuir et commencer à m'agacer le clito. Elle sait y faire et je suis dans état d'excitation intense quand nous arrivons devant le bar.
Les conversations s'arrêtent dès que les clients m'aperçoivent. Je reconnais derrière le comptoir Francis, le Patron et son fils Thierry. Bruce et Bruno sont en train de boire une bière. Le patron avance vers moi :
- Je ne pensais pas que tu reviendrais, c'est que ça a dû te plaire?
Je baisse la tête mais Leila me tord le téton d'un sein à travers le chemisier.
- Réponds!
- Oui, ça m'a plu...Murmuré je, honteuse et rougissante.
Francis avance et prend mes seins à pleines mains pour me les malaxer sans douceur.
- On a vu ton site ma salope, t'es vraiment une chienne!
Je suis poussée au milieu du bar, sous le regard lubrique des autres et renversée sur une table. Comme la dernière fois, Francis va fermer le bar. Thierry s'approche de moi et se met à genoux. Ma minijupe en cuir est relevée découvrant ma toison. Il s'approche et commence à me sucer la chatte, m'aspirant le clitoris, tout en enfonçant des doigts dans mon vagin
Son père s'approche de moi, son sexe à la main et me l'enfonce dans la bouche. Je l'aspire, je le pompe en poussant des gémissements. Je sens que je perds totalement le contrôle de moi-même comme à chaque fois que l'on me force. Thierry continue de me branler sans ménagement et je coule comme une fontaine. Francis s'active dans ma bouche me traitant de tous les noms.
Autour de nous, les insultes pleuvent et cela m'excite au plus haut point. Francis finit par éjaculer son sperme dans ma bouche et il me force à avaler sa semence en me tenant solidement la nuque. Il est aussitôt remplacé par Bruce. Thierry s'est relevé et m'a pénétré en poussant un « han » de bûcheron. Il s'active dans mon vagin, me limant brutalement, furieusement. Lui aussi éjacule très vite et j'ai un orgasme foudroyant quand je le sens se vider dans ma chatte.
On me relève et on me force à me mettre sur le ventre. Les seins écrasés sur la table, cambrée, le cul et la chatte exhibée aux regards de mes tourmenteurs, je suis totalement impudique et soumise, livrée à des mâles en rut.
On m'introduit un doigt dans le cul et un autre dans la chatte et on me branle. On me relève de nouveau et on me force à me mettre par terre sur le dos. On ouvre mon chemisier pour me mettre les seins à l'air et plusieurs mains les triturent, les tordent, les soupèsent.
Bruce m'ordonne de continuer ma fellation et je me soumets, le pompant furieusement. Il se retire soudain et m'asperge d'un liquide épais et poisseux. Son sperme coule sur mon nez, mes lèvres jusque que sur mes seins.
On me met à quatre pattes sur le sol, les seins ballottant et de nouveau on introduit des doigts dans ma chatte puis divers ustensiles : rouleau à pâtisserie, manche de cuillère en bois. On tente de m'enfoncer un verre mais on y renonce. Par contre, le patron revient avec des fruits et on m'enfonce une banane dans le vagin puis un concombre.
Je dois me promener à quatre pattes avec le concombre dans ma chatte. Tout le monde prend des photos. Rachid veut m'enculer et il dit à Francis qu'il faut me préparer, comme si j'en avais besoin. Le patron va chercher derrière son bar une bouteille de bière vide. Il m'enfonce le goulot dans la chatte la faisant coulisser rapidement. Ils sont tous complètement excités. Au-dessus de ma tête, j'aperçois Bruno et Thierry qui se masturbe comme des fous en me regardant. Plus loin, Leila s'est déshabillée et se caresse la fente elle aussi en me regardant.
Soudain, Rachid enfonce le goulot de la bouteille dans le cul qui rentre sans trop de difficultés malgré mes cris et mes supplications. Il agite la bouteille dans mon anus quelques temps, puis la retire et enfonce sa bite dans mon cul. Il m'agrippe les hanches et me bourre le cul en ahanant. Je subis les assauts de Rachid en poussant de longs gémissements. Mon corps ballottent sous ses coups de reins puissants.
Au-dessus de moi, Bruno et Thierry se vident les bourses en souillant mon visage de leurs foutres. Rachid se retire et se vide sur mes fesses. Je sens le sperme qui coule sur mon corps. J'en ai partout, je suis couverte de sperme. Leila s'approche de moi :
- T'as pris ton pied ma salope!
Elle me force à m'allonger sur le dos et elle se jette sur ma toison, farfouillant dedans avec sa langue. Elle déniche mon clitoris et le pompe, le suce, le maltraite. Mais avec tellement de savoir-faire que très vite je l'accompagne en donnant des coups de reins et en poussant des petits cris. Je sens sa langue fouiller mon sexe et je m'offre, totalement soumise. Leila me lèche la vulve, écartant de ses doigts mes petites lèvres.
Francis s'approche, tenant son sexe a pleine main, et prend Leila en levrette pendant qu'elle continue d'enfoncer ses doigts dans mon vagin. Il ne tarde pas à jouir, ainsi que Leila qui continue de me branler tout le temps de son orgasme. Je lâche une longue plainte et je jouis également sous les applaudissements des autres.
On me relève et j'ai du mal à rester debout. Je referme mon chemisier tant bien que mal et me dirige vers la sortie, titubante sur mes talons aiguilles, épuisée mais comblée. Je ne compte plus mes orgasmes. Je sens le sperme qui coule le long de mes jambes.
- La prochaine fois qu'on veut te baiser, on se pointe chez toi !
Je fais comme si je n'avais pas entendu, je sors dehors et le froid me saisit. Je me dirige vers ma voiture...
A suivre....
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