Récit érotique écrit par Emile Hubert.
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Rencontre avec Hassan.
J'ai décidé, moi aussi de me raconter. Enfin plus particulièrement les épisodes les plus chauds. Mais tout d'abord le contexte. Je m'appelle Nathalie, quarante et un ans, professeur de mathématiques dans un des lycées d'une ville de moyenne importance, mariée avec un homme de deux ans mon aîné, cadre (moyen) commercial, mère d'une fille d'un premier et bref mariage vivant à l'autre bout de la France.
Je dois confesser que l'on me dit assez jolie femme, cela ne me déplaît pas. Je suis de taille moyenne, un mètre soixante-sept, l'âge, mon unique maternité, et la gymnastique ont fait que j'ai encore une silhouette assez fine, bien en chair mais fine, des jambes pas trop mal faites, des cheveux plutôt courts bruns auburn avec des reflets roux. Bref je n'ai pas à me plaindre, surtout et toujours à ce que l'on dit j'ai deux atouts, mes yeux et mes seins. Des yeux verts qui m'ont toujours valu des compliments et un 95D, finalement encore très ferme, qui a fait la joie de mes flirts d'antan et celle de mon mari.
Pour achever cette présentation sommaire, comme beaucoup de gens de notre âge, en ce qui concerne les relations sexuelles, il faut bien dire, ma foi, qu'elles se sont bien espacées au fil du temps. Nous avions et avons des rapports classiques, de temps à autre, je pratique à mon époux les fellations qu'il souhaite. Si cela m'arrive encore, je m'aperçois que j'apprécie de moins en moins avaler sa semence. Il est autre chose que j'apprécie de moins en moins c'est la sodomie, que nous ne pratiquons plus que dans les rares et grandes occasions… En conclusion nos relations commençaient vraiment à tiédir et je pense que même si elles n'ont jamais été très forcenées, elles n'en demeuraient pas moins satisfaisantes, en fin je crois, ou du moins je croyais.
Depuis un certain temps, je constatais que Pascal passait de plus en plus de temps sur Internet à regarder des sites érotiques. Gentiment, je me moquais de lui et de temps à autre, il me demandait de venir lire en sa compagnie les témoignages relatés de nombreuse personnes. J'avoue que certains ne me laissaient pas de marbre, mais j'étais à mille lieues de penser qu'un jour j'aurais quelque chose à raconter.
Un soir de week-end, après une douce étreinte, Pascal me demanda :
- Tu n'as jamais envisagé de faire l'amour avec un autre homme ?
Tombant des nues je répondis :
- Non, jamais… Quelle mouche te pique, pourquoi veux-tu que je te trompe ?
- Tu es une jolie femme, ma chérie, je suis persuadé que tu ne manques pas de soupirants.
- Écoute, je t'aime, tu me connais, je ne suis pas du genre à me laisser draguer.
Là, je mentais un peu… Quelques collègues avait bien essayé…
- Je sais que tu m'aimes, moi aussi, tu me traiteras de cochon, mais je crois que j'aimerai bien te voir faire l'amour avec un autre…
- Allez ! arrête avec cela, il n'en est pas question.
Penaud il n'insista pas… Moi qui le pensais jaloux comme un tigre… Sa quarantaine ne l'arrangeait pas…
Après quelque temps, il revint à la charge, et puis encore… Je commençai à me lasser de son insistance… Il me conseilla de lire les témoignages des lectrices qui avait essayé. Quelle idée me passa par la tête un mercredi ? Mes copies corrigées, je me mis à l'ordinateur pour y faire un peu de ménage. Rapidement je découvris plusieurs fichiers où Pascal avait copié les récits dont le point commun dans la relation des ébats étaient la multiplicité masculine. Effectivement, celles qui écrivaient avaient l'air de se réjouir d'avoir fait le premier pas et en faisaient rapidement d'autres… Mais de là, moi, à passer ce cap… Non, non…
Mais mon mari continua son travail de sape et en définitive, je dois reconnaître que comme une mauvaise graine, l'idée germa dans mon esprit. Je commençai à imaginer des choses osées… Et parallèlement les regards des hommes me laissèrent de moins en moins indifférente. Je me mis même à être encore un peu plus féminine (dans le respect des convenances dûes à mon poste de professeur, mais quand même…).
Pascal le remarqua et insista une dernière fois… victorieusement. Je me laissai aller à lui dire que j'étais d'accord sur le principe. Sur le champ il me fit l'amour comme il ne l'avait pas fait depuis longtemps. Il fallut passer aux détails pratiques. Pas facile ! qui, où, comment ? Un de nos amis, pas question ! un collègue, non plus ! un inconnu mais où trouver l'individu adéquat. Pascal eut recours à Internet et sur un site spécialisé, il laissa une annonce.
Il fut convenu que se serait moi qui choisirai l'élu, si l'un d'eux me convenait. Les réponses furent nombreuses. Il semblait que le monde fut peuplé d'étalon en rut qui ne demandaient que cela. Les envois furent variés, accompagnées parfois de photos et de commentaires dont je me rendis compte à ma grande honte que la vulgarité était loin de me choquer. Mes yeux s'arrêtèrent quelques instants sur une photo.
Trop tard Pascal avait remarqué ! Il s'agissait d'un beur, à priori, d'une trentaine d'années, bien fait de sa personne, le texte de réponse était sobre. La seconde photo était plus explicite, certainement sportif, vu la carrure et les abdominaux c'était son bas ventre qui attirait l'attention, enfin, mon attention. Il avait un sexe très long et d'un diamètre troublant, Pascal souffrait de la comparaison…
- C'est lui qui te plaît, n'est ce pas chérie ?
Je ne pus le nier. Ravi, mon mari lui adressa aussitôt un courriel pour un premier contact. Il s'y rendit seul emportant quelques photos de moi (habillées et à la plage). Plus anxieuse que je voulais bien le reconnaître, j'attendis son retour avec impatience. L'air réjoui il m'annonça que tout s'arrangeait bien et que nous le rencontrerions le lendemain pour boire un verre.
J'eus du mal le lendemain à assurer des cours irréprochables, mes pensées étaient ailleurs. Le soir venu, je me préparai, jupe, chemisier, un tout petit peu plus maquillée qu'à l'accoutumée. Pascal me trouva délicieuse, et me trouvant l'air (un peu trop) sage, il défit un bouton supplémentaire de mon corsage (comme si les regards ne se posaient pas assez à cet endroit).
En arrivant dans le bar, j'étais dans un état d'agitation incroyable. J'avais honte de moi, j'allais évaluer un inconnu pris au hasard d'une photo, pour que par la suite, il me fasse l'amour devant mon mari. Il était là, et mes jambes tremblotaient quand Pascal nous présenta. Nous fîmes superficiellement connaissance. Célibataire, il répondait souvent à ces courriers comme le nôtre, car il aimait bien "se faire révéler à elle-même, des femmes un peu chastes qui se découvraient une autre personnalité dans ce genre de rapport". La situation était un peu surréaliste, la conversation était un peu empreinte de mondanité alors qu'en fait, il ne pensait qu'à me baiser, mon mari à le voir faire et y participer, et moi… Eh bien c'était acquis, j'étais prête à me laisser faire. En me regardant, Pascal l'avait compris, j'avais cédé à son caprice et bientôt c'était à Hassan que je céderais. Un bref échange de certificats médicaux et Pascal l'invita pour le samedi soir suivant. Ciel, c'était dans trois jours. En nous quittant, il me prit par la taille, me déposa un baiser dans le cou en disant (assez haut pour que Pascal entende) qu'il me trouvait très désirable et qu'il saurait me donner beaucoup de plaisir.
Jeudi, vendredi, la température montait… irrémédiablement ! Le samedi matin, j'allais chez le coiffeur. En rentrant Pascal m'attendait avec un paquet.
- La tenue que j'aimerais que tu portes ce soir !
Tenue, tenue, vite dit ! Il ne s'agissait en fait que d'un porte-jarretelles et de bas noirs. Le tout était accompagné d'une nuisette en voile noire transparente, à fines bretelles totalement ouverte devant (ne fermant que par une agrafe sous les seins) et s'arrêtant juste au niveau du pubis.
- Pour qui veux-tu me faire passer ? Demandai-je.
- Allons, détends-toi ! tu sais très bien qu'Hassan ne vient pas enfiler des perles… Dans cette tenue il aura encore plus envie de toi !
J'admis… En contrepartie, j'indiquai à Pascal que je ne souhaitais pas avaler la semence d'Hassan, ni me laisser prendre par-derrière. Sans promettre mon époux en convint.
Je songeai quand même que cela faisait terriblement banal et un peu cliché quand même… le genre petit bourgeois souhaitant se dévergonder, la prof vertueuse, le mari complaisant, le jeune beur bien membré, et maintenant la tenue sexy, après tout qu'importe… je ne pouvais plus reculer.
Je me préparai donc pour le sacrifice. L'image renvoyée par le miroir était certes différente de l'habitude. Bien coiffée, bien maquillée, en petite tenue, j'y avais ajouté de chaussures un peu hautes, j'étais prêt à satisfaire le caprice de mon mari. J'avoue qu'en cet instant j'avais envie… envie d'Hassan.
Pascal me trouva superbe, la bosse de son pantalon en témoigna. L'heure approchait. J'étais agitée et nerveuse comme une puce. Allais-je être à son goût, n'allait-il pas me trouver un peu vieille, saurais-je lui plaire, le contenter, n'avais-je pas trop l'air d'une catin ou pas assez. Pascal parvint difficilement à me calmer… jusqu'au coup de sonnette. Mon cœur s'emballa. Pascal me dit alors :
- Va lui ouvrir, comme cela il n'y aura pas d'équivoque !
Le pouls à deux cents à l'heure j'obéis et ouvris… Ses yeux me rassurèrent…un peu. Fleurs, champagne et compliment sur ma tenue, je le débarrassai. Bisou dans le cou, il me prit par la taille, en entrant dans le salon, sa main caressa mes fesses nues, je frissonnai. Nous prîmes place sur un canapé et pendant que Pascal ouvrait la bouteille, il m'attira vers lui pour m'embrasser longuement.
C'était la première fois que j'embrassais un autre homme que mon mari, cela me fit tout drôle. Néanmoins je lui rendis son baiser à pleine bouche, lui offrant ma langue. Pascal revint avec verres et bouteilles. Hassan me relâcha, Pascal porta un toast "à notre rencontre" puis avant que nous ne buvions, Hassan fit sauter l'agrafe de ma nuisette dont les pans s'écartèrent mettant à nu mes seins aux pointes dressées par l'excitation et porta un second toast "à la beauté des seins de Nathalie". De nouveau, il me prit les lèvres, mais cette fois en me caressant des seins. Mmmmm j'étais bien, il savait y faire. Il se leva, me fit lever, puis fit glisser les bretelles de la nuisette, la rattrapant au vol. Il la lança à Pascal en lui disant que je n'en avais plus besoin. Je sentais la fièvre m'envahir et mon vagin se tremper. Il me prit les mains, les posa sur sa braguette en disant :
- Libère-moi !
Je défis le pantalon et ooooooh ! La photo n'était pas truquée… Quel engin ! Deux fois, non ce ne serait pas flatteur pour mon mari d'une taille normale me paraissait-il… mais là… Il prit mes mains pour les refermer sur son sexe et me les maintint ainsi quelques instants. Puis il se recula pour reprendre sa place assise. Les deux mains toujours emprisonnées, je le suivis. Lorsqu'il fut assis, je me retrouvai penchée au-dessus de lui. Je compris son désir. Je m'agenouillai, il ouvrit les jambes, je me mis en leur milieu. Après un rapide coup d'œil à Pascal comme pour lui dire "regarde, c'est ce que tu voulais ?", je m'abaissai et après avoir déposé plusieurs baisers sur le sexe comme pour savourer le satiné, puis léché consciencieusement la hampe, ouvrant le bouche en grand j'embouchai la belle verge brune. Je fis de mon mieux alternant lèvres, langue caresses sur la tige ainsi que sur les testicules gonflés à souhait. Apparemment satisfait, il complimenta :
- Ta femme suce bien, viens la baiser, elle doit-être chaude maintenant, cela me facilitera les choses tout à l'heure !
Cela me fit tout drôle d'entendre parler de moi comme cela. Drôle mais mon enfièvrement monta d'un cran. Pascal se mit nu rapidement et se plaça derrière moi. Vu l'état dans lequel je me trouvais, il me prit d'une seule poussée bien à fond. Trop excité, je le comprenais fort bien, il se déversa rapidement et me laissa, je dois le dire un peu sur ma faim.
Je continuai à bien pomper Hassan, le faisant soupirer. Celui-ci approuvait mon ardeur et m'encourageait. Passant les mains sous moi, il me faisait plus ou moins délicatement rouler les tétons ajoutant encore à mon émoi. En fait, je n'avais plus qu'une envie malgré la taille, qu'il me baise. Je fus déçue quand il annonça :
- Vas-y, pompe à fond, prends-moi aussi les couilles, je vais tout te lâcher, tu vas tous avaler comme une bonne suceuse que tu es !
Il me maintint légèrement la tête, en fait, il n'avait même pas besoin. Malgré ce que j'avais dit, et mon écœurement actuel, je désirai ardemment absorber son sperme. Je ne fus pas déçue sur la quantité. Le sexe enfla dans ma bouche et les jets m'envahirent la bouche. J'eus même du mal à déglutir. Je ne le lâchai qu'après avoir tout absorbé.
Je bus vite une coupe de champagne, et me sentis un peu honteuse devant mon mari qui me rassura :
- Je t'aime, tu étais très belle ma chérie !
Hassan nous fit un redescendre sur terre en demandant où se trouvait la chambre, car il désirait me baiser à présent. Le fait était qu'il était toujours en érection. Le prenant par la main, je le guidai. Pascal nous suivit avec la bouteille. Hassan me fit allonger sur le dos, puis ouvrir les cuisses en grand. Prenant son pénis en main, il m'en caressa les lèvres et le clitoris. Puis il positionna son gland à l'orée de mon fourreau et doucement commença à me pénétrer. Ce fut extraordinaire, je sentais les parois de mon vagin se distendre pour pouvoir épouser le mandrin qui me forait. Il ne s'arrêta qu'une fois au fond de ma matrice. Ouuuh j'aimais, je n'avais connu une telle sensation de remplissage. Cette sensation fut démultipliée quand il commença à bouger. Terrible, c'était terrible, mais terriblement bon,. Il m'embrassa en me baisant. Puis pour "mieux me mettre à fond" il me plaça les jambes sur ses épaules. Ainsi il pouvait s'enfoncer de tout son poids sur la pauvre chose gémissante que j'étais devenue. Pascal, vu notre position, ne pouvait pas trop apporter son concours, je le regrettai et lui tendis la main. Hassan vit le geste dit :
- Ne t'en fais pas, je te reprendrais tout à l'heure dans une autre position et ton mari pourra participer !
Sur cette promesse, je me laissai aller à ma jouissance. D'habitude sans être muette, je n'ai pas pour habitude de hurler à la mort. Mais là… c'était autre chose… je vociférai ma jouissance. Il me pilonna de plus belle et en rugissant me rejoint dans l'orgasme m'inondant le vagin.
Sa verge avait quand même diminué lorsqu'il se retira à l'inverse de Pascal qui lui devant le spectacle offert était raide comme un piquet. J'avais besoin de souffler un peu après cette jouissance inhabituelle. Mon chéri fit contre mauvaise fortune bon cœur et nous nous décidâmes pour une collation. Cela me faisait un peu bizarre. Certes ce n'étais pas la première fois que je mangeais nue, mais là, en compagnie de mon mari nu et celui qui venait de devenir mon amant nu également c'était étrange. Il ne fut question que de sexe pendant ce court intermède et les mains de ses messieurs étaient le plus souvent sur moi. De même, il m'arriva assez souvent de tenir un sexe dans chaque main. Surprenant tout le monde par son autoritarisme, Hassan exigea :
- Allez Nathalie, au lit, on remet ça !
Interdite, je me levai comme un automate et le suivit. Apparemment statufié, Pascal nous laissa aller. Il me dit de mettre à quatre pattes et qu'il allait me prendre en levrette et appela Pascal. Dans les instants de forte excitation j'aime assez cette position. Aujourd'hui cela allait être grandiose, j'en étais certaine. Une fois que j'eus pris la pose il m'enfila. Oui, pas d'autre terme il m'enfila et en une seule poussée, commentant :
- Aaah, ça va mieux que tout à l'heure !
Et il invita (un comble) mon mari à venir se faire sucer. Il me tenait par la taille, ou parfois par les seins qu'il malaxait et me perforait à grand renfort de va-et-vient, me précipitant sur la verge de Pascal. J'étais aux anges… ou aux diables… Hassan apostropha Pascal :
- Elle aime vraiment la baise ta femme, tu la savais aussi vicieuse ? elle se fait reluire comme une roulure !
- C'est vrai, je ne l'ai jamais vue ainsi, profites en bien, baise là cette femelle en chaleur… hein chérie que tu es une femelle en chaleur ?
- Mmmmm !
Pas facile d'articuler une verge dans la bouche.
- Je ne t'ai jamais vu comme cela Nathalie, ça va être ta fête, Hassan… encule-là, elle en meurt d'envie !
Le salaud ! je lui avais pourtant demandé de m'éviter cela… Si je veux être complètement honnête, je me doutais un peu que j'y aurais droit. Dire que je l'espérais est trop fort, disons que je m'y attendais plus ou moins et surtout je redoutais cette intromission d'un membre si fort pour un orifice si étroit.
Inutile de vous dire que la perspective réjouit Hassan et il se retira de moi en disant :
- Bonne idée que tu as là… j'ai eu envie de son petit cul dès que je l'ai vue…
Je sentis sa bouche se poser sur ma corolle et sa langue me l'enduire soigneusement de salive. Un doigt pénétra mon conduit annelé et un entama un mouvement concentrique. Un second doigt le rejoignit bientôt et en plus des mouvements circulaires, il écartait les doigts pour m'étirer et me distendre les parois. Il me les enfonça de toute leur longueur. Cela peut paraître illogique, mais à ce moment-là, je m'aperçus que j'avais vraiment envie d'être sodomisée et d'appartenir à Hassan comme une chienne. Lorsqu'il fut satisfait de son travail préparatoire, il m'écarta les fesses et je sentis l'énorme gland buter contre mon anus. Je l'avais eu dans la bouche, je savais à quoi m'attendre… Il se mit à pousser lentement, sans brutalité, mais inéluctablement, perforant mon anneau. Puis comme il fallait s'y attendre mon sphincter céda… un peu douloureusement. Je croyais naïvement que le plus dur était fait et qu'une fois la tête passée le reste suivrait aisément. Non pas ! L'énorme gland faisait certes office de bélier, mais le reste était si épais qu'il me meurtrissait les chairs. Mon mari en me caressant les cheveux m'encourageait à supporter l'outrage brûlant, enfin à sa façon, puisque lorsque Hassan marqua un temps d'arrêt, il m'informa :
- Tu sais, tu ne l'as qu'aux deux tiers, il en reste un bon morceau, mais il va te la mettre en entier…
Ainsi encouragé, Hassan prit son élan et poursuivit son inexorable progression. Dans un dernier coup de rein qui me fit gémir, il me finit… Je me rendis compte que je sentais ses couilles contre ma chatte laissée béante, il me l'avait enfilée à fond. Plein de considération, il marqua un temps d'arrêt et petit à petit mes muqueuses s'accoutumèrent à l'impressionnant diamètre. Il se mit en mouvement, doucement, comme s'il allait se retirer, il ressortit, à moitié je pense, puis me réinvestit sans marquer d'arrêt en constatant que "j'avais un petit cul serré de vierge et qu'il allait me le défoncer".
Pascal pendant ce temps me câlinait les seins et les épaules. Hassan se retira complètement, oh ! Peu de temps, car à nouveau, je sentis son gourdin à l'orée du fourreau qu'il avait élargi. Il me saisit par les hanches et…. Cette fois il me l'enfonça bien à fond d'une seule poussée en grognant. J'avais l'impression d'être ouverte en deux, quelle sensation… A partir de ce moment, il se mit à aller et venir, me besognant progressivement. Il invita Pascal à se faire sucer, arguant "qu'elles aiment ça sucer en même temps". Je ne sais pas si "elles" aimaient cela, mais moi…aujourd'hui et pour la première fois : oui. Il fit coulisser son membre dans mon petit cul que je sentais s'élargir de plus en plus et se décrisper. Je ne sais pas quelle en était la cause, le calibre ou la perversion du moment (sûrement les deux) mais je commençais à apprécier immodérément cette sodomie. Si bien que je fus dépitée lorsqu'il se retira me laissant une sensation de vide incommensurable.
Visiblement il avait décidé de changer d'orifice, puisque s'allongeant, il me fit venir sur lui. J''étais déçue qu'il abandonne le verso de ma personne, mais qu'il s'intéresse au recto me plaisait bien également. Je me laissai glisser précautionneusement sur l'axe. Je me promis une chevauchée fantastique. Ses longues mains parcoururent mes seins et mes flancs me faisant frissonner de désir, puis elles se saisirent de mes fesses qu'elles écartèrent. Dans une sorte d'étourdissement j'entendis Hassan interpeller Pascal :
- Viens, viens enculer ta femme, tu vas voir comme elle va couiner…
Je n'avais jamais pensé que cela puisse m'arriver. Il y a quelques heures, j'étais une femme fidèle et maintenant un jeune arabe recruté sur le Net, après s'être fait sucer, m'avoir baisée puis sodomisée, proposait tout bonnement à mon mari de m'imposer une double pénétration. Mon mari qui n'avait pas (lui non plus) l'habitude eut quelques difficultés pour trouver le bon angle, puis parvint à me pénétrer. J'avais lu des témoignages de femme sur cette double possession. Toutes paraissaient ravies… le vivre par soi-même fut ô combien de fois plus extraordinaire que de le lire. La sensation était fabuleuse, je me sentais remplie comme jamais. Sous la conduite d'Hassan les hommes se mirent en mouvement. L'un se retirait, pendant que l'autre s'enfonçait à fond, puis ils alternaient et ainsi de suite. Je sentais leurs sexes coulisser l'un contre l'autre à travers la fine paroi séparant mes orifices, me déclenchant des vagues de plaisir. Sous l'action de leur coup de piston, je glapis de bonheur, ce qui amusa Hassan qui fit remarquer à Pascal :
- Tu vois qu'elle aime ça se faire mettre en double, comme toutes les autres salopes… hein ! dis voir… dis à ton mari que tu es une salope…
- Chéri, oh Chéri, c'est vrai, il a raison, je suis une salope !
- Nath chérie, si tu savais comme j'attendais ce moment, t'entendre dire que tu es une salope pendant que tu te fais baiser et qu'en plus je t'encule… Hassan à raison , c'est vrai que tu aimes ça… Dis-nous que tu aimes ça…
- Oui chéri, ooooh oui…. Oui j'aime ça tous les deux en même temps, vous allez me faire jouir… Ça va être fort !
Et effectivement vaincue par leurs rythmes la jouissance me submergea. Je sentis Pascal se raidir, lui aussi allait prendre son pied. Il éjacula par longue saccade et Hassan ne fut pas en reste et m'inonda le vagin en m'embrassant goulûment. Ouuuuhhh !
Je restai un moment indolente, les hommes aussi paraissaient calmés. Nous récupérâmes quelque temps échangeant des petits baisers et des caresses légères. Pascal se leva pour aller se désaltérer. Hassan me fit lever et me prit par la taille de façon très possessive (du moins je trouvais) pour le rejoindre. Nous prîmes un verre ou deux et puis Hassan, encore une fois ignorant mon époux me lança :
- Avec les nichons et le cul que tu as, tu es vraiment faite pour la baise. Mets-toi à genoux, j'ai un gros biberon pour toi… Et n'oublie pas de me lécher les couilles…
Sans réfléchir, je m'agenouillai et à nouveau embouchai la grosse tige. Avec mon mari, si d'aventure, je me laissais aller à le prendre dans ma bouche après qu'il m'ait fait l'amour, c'était seulement après l'avoir bien essuyé. Mais en cet instant sans regimber le moins du monde, obéissant docilement, je me mis à sucer ce pénis qui non seulement sortait de mon sexe mais aussi avait été visiter mon petit trou. Il ne mit pas très longtemps à rebander. Se levant et m'entraînant à nouveau vers la chambre, il déclara :
- Cette fois je vais l'enculer à fond, amène-toi, si tu arrives à bander tu la baiseras par-devant !
- Allez, à quatre pattes !
L'ordre claqua, il se mit devant moi avec un air narquois et me dit :
- Si tu veux que je t'encule, il faut que tu me la suces bien… mais… je ne me trompe pas, tu veux que je t'encule ?
- Oui Hassan, je veux que tu m'encules !
- Plus fort, je crois que Pascal n'a pas bien entendu… Qu'est ce que tu veux que je te fasse ?
- Hassan, je veux que tu m'encules… Répétai-je en haussant le ton.
Il se positionna à nouveau derrière moi, ses pouces ouvrirent encore mon anus maintenant plus accueillant. Finalement je me rendis compte que je ne détestais pas le moins du monde cet envahissement anal imposant une fois l'endroit apprivoisé. Cette fois la pénétration fut plus facile et Hassan entama immédiatement ses va-et-vient. Pascal vint nous rejoindre pour l'instant en spectateur. Hassan procédait, tantôt par petits coups rapides de faible amplitude, tantôt par mouvements plus longs qui me faisaient monter des ondes de plaisir le long des reins, parfois même il ressortait complètement pour mieux me reprendre bien à fond, m'arrachant de longues plaintes. Il me limait bien… Tellement bien que cette vision redonna de la vigueur à Pascal.
- Tu vois, cela lui plaît de voir sa petite femme prendre du rond, regardes comme il bande… Suce-le ! Commanda Hassan.
Je m'exécutai et pompai Pascal tant bien que mal, car souvent le rythme qui m'était imposé me forçait à le délaisser. Hassan prenait visiblement beaucoup de satisfaction et augmentait l'allure. Cela ne m'était arrivé que très peu de jouir par-derrière, pressentant l'intensité de ce qui allait m'arriver, je dirais même que cela ne m'était arrivé que trop peu… Alors je me lâchai, encourageant Hassan :
- Oui vas-y Hassan c'est trop bon, ouiiii, je vais bientôt partir… encore… oui…oui encore… plus fort, aaaah oui défonce-moi… Chéri, regarde ce qu'il me fait, c'est terrible, oh ouiii, il me remplit complètement, aaaaah… je jouiiiiis…
Suite à ma demande il me pistonna sauvagement pendant qu'un orgasme fulgurant me fit voir trente-six chandelles. Je le sentis énorme entre mes reins… Il se raidit et pendant qu'il rugissait en arabe, des jets chauds se déversèrent dans mes boyaux.
Il resta un moment allongé sur moi, chacun de nous trempé de sueur et essayant de reprendre son souffle. Il se retira lentement me laissant béante avec une sensation de vide que je n'avais jamais connue. Me retournant, il m'enlaça, m'embrassa longuement et me complimenta :
- C'était parfait, tu m’as vidé les couilles comme rarement. Les petites bourgeoises comme toi sont souvent bonnes à baiser mais toi alors… Tu vaux le déplacement… Tu m’excites vraiment avec ta jolie coupe de cheveux de femme bien sage et tes beaux seins… J'espère pouvoir recommencer…
Petit coup d'œil à Pascal qui n'y parut pas opposé, donc je répondis un évasif :
- Oui, peut-être… Nous verrons cela…
Après un dernier verre, un ultime baiser, il nous quitta en nous remerciant chaleureusement et précisant qu'il était à notre disposition.
Après son départ, Pascal exigea de "sa salope de femme" qu'elle lui fasse une pipe… Qu'elle s'appliqua à faire de son mieux et cette fois en absorba les conséquences avec délectation.
Voilà comment ma vie ce jour-là a radicalement changé, non seulement ma vie mais celle de notre couple dont l'avenir allait se modifier radicalement.
A suivre…
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