Texte de Géronimo ou Elko.
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Léa et Mélanie m'oblige à me déshabiller.
Léa et Mélanie m'oblige à me déshabiller et à mettre des vêtements qu'elles ont trouvés dans ma penderie. Un corset en cuir avec un collier-minerve qu'elles me fixèrent autour du cou , des bracelets en cuir à chaque poignets équipée d'un mousqueton que l'on peut accrocher aux anneaux du corset. Des bas résilles et surtout des escarpins rouge vernis à talons aiguilles de 18 cm. Elle me bâillonne avec une sorte de muselière composée d'un bâillon-anneau avec un harnais passé autour de ma tête. Je tente de protester mais je ne sors que des sons indistincts. Le bâillon-anneau m'obligeant à garder la bouche ouverte, je me met à baver rapidement augmentant mon humiliation et faisant rire mes tortionnaires. Léa accroche une laisse à l'anneau de la minerve et tire violemment dessus manquant me faire tomber.
- Allez viens petite chienne, on va voir ton mari!
Et titubant sur mes talons, nous sortons de la chambre.
J'ai eu toutes les peines du monde à descendre les escaliers sur mes talons de 18 cm. Arrivée en bas, Léa m'oblige à me mettre à quatre pattes pour arriver dans le salon. Philippe, Alain et Paul restent pantois devant cette apparition. Paul se lève, furieux, et proteste :
- Mais ca va pas, non ? Libérez la tout de suite !
Mélanie et Léa se précipite sur mon mari et arrive à le faire tomber à terre.
- Venez nous aider quoi ! Lança Léa à l'attention de Philippe et Alain.
Ceux ci arrivèrent à maîtriser mon époux rapidement. Mélanie enfonça un bâillon-boule dans la bouche de Paul pour étouffer ses cris. Il fut menotté grâce à des bracelets reliés par une chaîne. Cette même chaîne était reliée à un collier qu'ils lui passèrent autour du cou l'immobilisant complètement.
Mon mari et moi nous nous regardons les yeux agrandis d'effroi, gargouillant des mots dans nos baillons, moi salivant comme un bébé. Mélanie enlève le pantalon de Paul ainsi que son caleçon. Il apparaît la bite à l'air ce qui amuse beaucoup nos invités. Léa prend une badine et en assène un coup sur les fesses de Paul qui grogne derrière son bâillon. Philippe et Alain s'occupe de moi. Je suis contrainte d'aller vers eux à quatre pattes comme une bonne petite chienne. Philippe a déjà sorti son sexe en érection et il me l'enfonce dans la bouche.
- Suce moi salope ! Depuis le temps que j'en rêve.
Alain sort sa bite également et j'alterne entre les deux donnant des coups de langues sur leurs glands. Par moments, ils m'enfoncent leurs deux queues dans la bouche m'étouffant à moitié. J'entends les gémissements de Paul. Léa et Mélanie lui malaxent les couilles sans douceur. Léa le branle sans ménagements et il a une érection d'enfer. Mélanie lui donne des coups de badine sur son sexe et mon pauvre mari fait des sauts de carpe en couinant.
Alain m'agrippe les cheveux et fait coulisser sa bite dans ma bouche. Philippe se leva, fit le tour, et enfonça ses doigts dans ma chatte. Il agite ses doigts violemment me faisant gémir. Il me pénétra et , agrippant mes hanches, se mit à me pilonner comme une brute son ventre venant claquer contre mes fesses.
Léa est revenu de la cuisine avec une bouteille d'huile. Elle s'amuse a enduire le corps de Paul d'huile. Mélanie verse de l'huile sur le gode-ceinture qu'elle a autour de la taille.
- Je vais t'enculer, lance t'elle à l'attention de Paul, et après tu iras sucer les bites de Alain et Philippe quand ils auront fini de baiser ta femme.
Paul a les yeux exorbités en entendant cela. Ses yeux s'agrandissent d'horreur. Il tente de s'échapper mais Léa le maintient à quatre pattes. Mélanie s'approche et pointe le gode vers l'anus de Paul. Elle appuie et le gode s'enfonce d'un coup faisant crier Paul à travers son bâillon. Elle agite ses reins doucement d'abord puis de plus en plus vite, ses mains crochés sur les hanches de Paul.
Alain me tirant par les cheveux interrompit ma fellation et me lança :
- Regarde ton mari, il se fait enculer par Mélanie.
Horrifiée, je vois cette salope de Mélanie s'agiter entre les fesses de mon pauvre Paul pendant que Léa lui fouette les fesses avec sa badine.
Cela donna une idée à Philippe qui décida de m'enculer également. Je sentis son gland appuyer sur mon anus et je tentais de protester. Mon trou du cul avala sa bite d'un coup et je la sentit coulisser rapidement me faisant haleter.
Mélanie et Léa ont inversé les rôles. Léa encule Paul et Mélanie ayant enlever le bâillon-boule oblige mon mari à sucer le gode qui vient de le sodomiser. Moi, je suis empalé sur la bite d'Alain et Philippe m'encule. Ils alternent leurs coups de reins.
Cela dura une bonne partie de la nuit. Paul dut sucer Philippe et Alain pendant que je dus lécher la chatte de Léa et Mélanie les faisant crier de plaisir. Je fus contrainte de sucer Paul et de m'arrêter juste avant qu'il n'éjacule. Paul dut se finir tout seul éjaculant son sperme sur le sol du salon. Sperme que nous dûmes, Paul et moi nettoyer en léchant le sol à quatre pattes fouettés par tout ce petit monde.
Depuis ce jour, nous sommes les esclaves sexuels des collègues de mon mari. Paul est contraint de porter sous ses costumes des vêtements féminins. Bas, porte-jarretelles... A son travail, Léa et Mélanie ne rate pas une occasion de l'humilier et elles ont toujours leurs godes avec elles... Philippe et Alain ont mis le patron de Paul dans la confidence. Du coup, j'ai été embauchée dans l'entreprise ou je sers de vides-couilles à tous les employés, du moins ceux qui sont dans la confidence. Je suis baisée par Philippe et Alain plusieurs fois par jour et bien entendu Léa et Mélanie ne se prive pas non plus. Le patron de Paul organise régulièrement des soirées privées chez lui ou Paul et moi devenons les objets sexuels de ses invités...
FIN
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