vendredi 15 avril 2022

Les joies des vacances

 Texte de Martin

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Puisque c’est notre premier récit, d’abord une rapide présentation : Je m’appelle Martin, j’ai 33 ans, je suis marié depuis 8 ans avec Sabine, 31 ans et amour de ma vie.
 
Cet été, nous nous sommes offert une semaine de vacances sans les enfants. Elle était peu enthousiaste à cette idée mais finalement s’accorder un petit break à deux est assez important dans un couple. Alors nous sommes partis au soleil. Le bungalow que nous avions réservé dans le camping était plutôt confortable et surtout, la plage est à 2 minutes à pied. Sabine était ravie, mais fut un peu déroutée quand je lui annonçais que cette plage était naturiste (je précise que je m’étais renseigné avant !). 
 
Question sexe, Sabine a pas mal évolué, beaucoup plus « gourmande » qu’avant, elle adore qu’on fasse l’amour et ne dédaigne pas à sortir un peu des sentiers battus. Mais là, c’était la première fois qu’elle se mettait nue en public. Le premier jour, elle était un peu gênée et n’osait pas trop bouger sur sa serviette. Inutile de vous dire que moi au contraire, j’étais fou d’excitation de voir son beau petit cul exposé au soleil et aux regards indiscrets. Blonde, le corps peu marqué par ses grossesses, elle était loin d’être la plus moche sur la plage. Le soir, je me fis d’ailleurs un plaisir de lui montrer à quel point je la trouvais excitante. Elle me fit  remarquer avec un petit sourire que cette expérience n’était finalement pas désagréable, surtout si le soir, je lui faisais l’amour avec autant d’ardeur !
 
Le lendemain, elle me surprit car, en arrivant sur la plage, elle resta debout pour enlever sa petite robe. Elle ne portait rien dessous et je vis qu’elle s’était occupée de son petit minou, en l’épilant pour ne garder qu’une petite raie de poils blonds au-dessus de son bouton.

Au fur et à mesure de l’avancement de la journée, je la sentis prendre de plus en plus de plaisir à être nue et à laisser aux hommes installés aux alentours tout le loisir de mater sa petite chatte lisse. Je me rendis compte à quel point tout cela m’excitait. Tous cachés derrière nos lunettes de soleil, comme si de rien était… 

Et pourtant, un vrai jeu érotique se déroulait entre ma femme chérie et ces mateurs. Eux, faisant semblant de lire, allongés et tournés vers elle. Elle, repliant une jambe en bronzant, ou chassant des petits grains de sable sur ses seins dressés… Ou encore, summum de l’audace dont je l’aurai crue incapable, s’accroupissant en leur tournant le dos pour chercher des cigarettes dans son sac de plage… Dans cette position, j’imaginai le panorama qu’elle offrait à ces messieurs ! Non seulement ma chérie prenait goût à l’exhibition mais en plus, elle devenait une petite garce, fière de montrer son cul à des inconnus. 

Le soir, à peine rentré dans le bungalow, c’est d’ailleurs son cul que j’ai pris d’assaut… Elle n’attendait que ça, complètement trempée, elle s’est laissée baiser debout, contre le mur en gémissant et m’encourageant. Pourtant très complices et l’ayant souvent vu excitée, je la reconnaissais à peine. Sa manière de pousser son cul vers moi pour me sentir plus loin en elle, sa main frottant son bouton avec une vigueur nouvelle… Ce fut plus fort que moi, je me plantais d’un coup en elle pour jouir. Elle se cramponnait en me sentant éjaculer mais pour être franc, je pense qu’elle n’avait pas joui et qu’elle en voulait encore bien plus. Je m’empressais de la lécher pour qu’elle soit satisfaite et elle jouit mais l’intensité était retombée. En plaisantant, je lui dis que si elle avait un tel appétit de sexe, je n’allais pas pouvoir m’en sortir seul ! Elle rit et m’embrassa en me disant qu’elle m’aimait.
 
Les jours suivants se passèrent selon le même rituel. Elle se sentait de plus en plus à l’aise nue, à tel point que quand nous allions en ville faire des courses ou nous promener, elle ne prenait même plus la peine de mettre des sous-vêtements sous ses robes. J’étais particulièrement troublé par cette métamorphose, car elle concrétisait tous mes fantasmes mais en même temps, j’éprouvais comme une inquiétude de perdre le contrôle.

Sur la plage, il s’était formé autour d’elle une petite cour de mateurs et elle prenait visiblement plaisir à ne rien leur cacher de son intimité. Je la surpris plusieurs fois en train d’observer en particulier un homme et l’étincelle dans son regard était sans aucun doute celle de l’envie.
 
Je me mis aussitôt à détester ce mec, il était l’archétype de l’homme de 50 ans qui cherche à plaire : sportif, bronzé, assez poilu, cheveux poivre et sel, m’as-tu vu… Mais je dois le reconnaître, bien doté par la nature ! Et surtout il dégageait une assurance et une virilité qui ne laissait pas Sabine indifférente. Elle ne prenait plus la peine de mettre ses lunettes de soleil, leurs regards se croisaient donc souvent. Et quand on allait se baigner, elle prenait toujours soin de passer au plus près de lui…

Ses appétits sexuels étaient à la hauteur de son attitude d’allumeuse. Dans l’eau ou dans le bungalow, elle prenait « les choses » en main. Cette situation me dépassait et elle m’excitait tellement que je me suis mis à jouir de plus en plus tôt dans nos rapports. Ça me rendait dingue : elle devenait la salope de mes fantasmes et moi, je devenais un éjaculateur précoce, incapable de la baiser plus de 5 minutes !
 
Sur la plage le jeudi, alors qu’elle jetait des coups d’œil furtifs à ce gars, je lui posais la question ouvertement, sans agressivité : 

- Il te plaît ?

Comme elle ne répondait pas, sûrement par peur de me faire de la peine, j’ajoutais : 

- Tu sais, dans la mesure où nous sommes sûrs de notre amour, il n’y a pas de mal à se faire plaisir pendant cette semaine de break.

Après un silence, elle me répondit avec franchise : 

- Oui, je reconnais que je le trouve… attirant. Mais ça me fait peur, je t’aime et notre couple, c’est le plus important pour moi.

C’était à mon tour d’hésiter… J’avoue avoir souvent fantasmé sur l’idée que ma femme se fasse baiser par un autre. Mais là, ça devenait réel… Finalement, je lui dis que si c’était juste pour le plaisir et si cela lui faisait envie, elle pouvait « tenter l’expérience ». 
 
Je pris un bouquin pendant qu’elle se levait pour aller se baigner seule. Mon cœur se mit à battre à tout rompre quand le type se leva de sa serviette pour la suivre. Il nagea un peu puis, prévisible, il l’aborda. Ils discutèrent un moment, Sabine souriait, comme toujours assez à l’aise dans les contacts avec les gens. Pour un œil neutre, cela avait l’apparence d’une discussion banale entre vacanciers… Mais moi, je savais que c’était tout le contraire. J’en eus la confirmation quand ma femme sortit de l’eau. Elle s’essuya et enfila sa robe, elle m’embrassa tendrement, avec insistance et me dit simplement qu’elle retournait à notre bungalow et que je pouvais rester sur la plage si j’avais envie.
Je m’allongeai sur le ventre pour la regarder s’éloigner et surtout, pour ne pas croiser le regard du type, qui n’allait pas tarder pas à passer aussi. C’était au-dessus de mes forces de le laisser m’humilier en me toisant d’un regard plein d’excitation et de satisfaction.
 
Au bout de 15 minutes d’attente insoutenable, je quittai la plage pour aller voir. En marchant vers le bungalow, je m’aperçus que je bandais ! Je me glissais sans bruit entre la haie et la paroi en bois pour que l’on ne me voie pas en train de mater dans mon propre bungalow ! J’approchai de la fenêtre. Ils étaient là, dans la chambre. L’émotion me submergea, j’en tremblai de jalousie de la voir avec un autre. Elle était sur lui, elle ondulait sur sa queue en gémissant, visiblement complètement excitée. Ils lui pressaient vigoureusement les seins en lui parlant. Je n’entendais pas mais Sabine accéléra ses mouvements de hanches. Elle était déjà en sueur, si désirable comme ça, moite et totalement offerte. Il la fit se retirer et la pris par la nuque pour la guider vers sa queue. Ma femme le suça sans aucune retenue, ses lèvres si douces glissant sur cette queue provocante (j’avoue, plus grosse que la mienne et se recourbant vers le haut en érection). Elle se coucha ensuite en repliant les jambes, hyper ouverte. A l’intensité de son regard, je compris qu’elle ne simulait pas, elle voulait qu’il la baise. Il ne se fit pas prier le salaud ! En pesant de tout son poids, il s’enfonça d’une traite en elle. Il se mit à la pilonner comme un âne, Sabine était en transe, avançant sa tête vers lui pour qu’il l’embrasse en la baisant. Le type sortit sa langue aussi et ils s’embrassèrent de façon totalement obscène.

En les voyant faire ça, je sentis un liquide chaud me couler le long de la jambe. Je jouissais sans même me toucher la queue. Et ça n’arrêtait pas, j’étais secoué par les spasmes pendant que ma femme se faisait baiser jusqu’aux trompes par cette brute ! Ça dura encore un bon moment, Sabine l’emprisonnait entre ses jambes en criant de bonheur. Elle empoignait les fesses musclées du type qui sans faiblir devait lui cramer la chatte à grands coups. Soudain je le vis se retirer et lui asperger le ventre en renversant la tête vers l’arrière. Ma chérie était aux anges, complètement rassasiée de sexe et trempée. 

Je fus surpris de la voir caresser son ventre plein de sperme, elle qui trouve ça plutôt sale d’habitude. En bon mâle dominant, le type s’essuyait déjà la queue sur nos draps. En discutant avec ma femme, je l’aperçus enfiler son short. Il l’embrassa goulûment, elle se cambra comme une chatte reconnaissante… Je m’abaissai pour qu’ils ne me voient pas. J’entendis l’homme sortir et s’éloigner. J’étais furieux mais surtout honteux, honteux d’être le cocu, et honteux d’en avoir jouis avec une telle intensité. 
 
Je rentrai dans le bungalow, j’entrai dans la chambre… Sans pouvoir m’approcher du lit, je la regardai. Elle aussi était gênée, elle n’osait pas me regarder franchement. J’avais à la fois envie de pleurer, de la gifler et de la baiser ! Elle se leva et vint se coller à moi tendrement. Je sentis sa chaleur, sa peau encore moite, l’odeur de la luxure sur elle. A cet instant, je la détestai, mais je me remis à bander comme un âne contre son ventre. Elle passa la main dans mon short poisseux et elle me fit profiter de ses nouveaux talents de suceuses. Comme pour se faire pardonner, elle alla jusqu’au bout. En fermant les yeux, je me laissais aller, je lui jouis dans la bouche, incapable de lui faire le moindre reproche… Au fond de moi, je savais d’ailleurs que j’étais responsable de cette situation. 
 
Après une douche, nous fîmes comme si rien n’était arrivé. Un bon dîner, quelques rires… Mais dans le lit, on ne put pas s’empêcher d’en reparler. On en avait besoin autant l’un que l’autre… Je crois d’ailleurs que c’était essentiel pour maintenir le fil de notre complicité. En parler nous excita de nouveau et on fit l’amour avant de s’endormir, rassurés sur notre amour.
 
Le lendemain était le dernier jour, le dernier aussi dans cette parenthèse que nous nous étions accordée. Nous sommes donc partis tôt à la plage pour en profiter. Mon rival n’était pas là et je savourais d’être seul avec ma chérie… Si épanouie, si désirable… En se baignant, je me collai à elle. Sous l’eau, sa main trouva ma queue. Je la soulevai et ses jambes se calèrent autour de ma taille. Ma main descendit le long de son sillon fessier. Dans cette position, je ne fus pas surpris de sentir son anus tout boursouflé. Quel plaisir de le palper, surtout que je sais que cette caresse, malgré elle, la rend complètement dingue. Mais il était impossible d’aller plus loin ici car contrairement à leurs réputations, les plages naturistes ne sont pas des baisodromes ! On nagea donc un peu pour se calmer et surtout pour que je puisse sortir de l’eau sans avoir la queue au garde à vous !
 
Je perdis toutes mes envies en revenant vers nos serviettes. Le salaud était arrivé et comme par hasard, il était installé tout près, en position pour mater ma femme. Sabine resta naturelle, mais quand elle s’allongea, la pose qu’elle prit ne me laissa aucun doute sur la suite des événements. Les jambes légèrement repliées et assez ouvertes, elle lui montrait sa chatte comme la dernière des salopes… Surtout que notre petit jeu dans l’eau avait fait son effet. Ses lèvres gonflées s’entrouvraient et elle le montrait à ce porc. Une fois sèche, elle se passa de la crème et me demanda de lui en mettre dans le dos. Malgré moi, je lui en voulais, je voulais la punir de s’offrir aussi facilement à ce type. Sans vraiment lui laisser le choix, j’étalai aussi de la crème sur ses fesses. Elle ne disait rien, pensant sûrement à son mâle qui mâtait. Mon majeur glissa et se replia contre son anus. Elle se contracta aussitôt, sans bouger pour ne pas attirer l’attention, mais furieuse j’en suis sûr, que je dévoile son petit secret. Puis je le retirai en m’allongeant et en lui disant simplement : 

- Voilà.
 
Je dois être dingue, j’enrage à l’idée que ce type baise ma femme et en même temps, je lui indique ce qui serait la pire des humiliations pour moi !
 
Finalement, un peu plus tard, le type se lève et passe devant nous. Sabine, comme une petite garce docile se lève à son tour, enfile sa petite robe et part dans la même direction. Cette fois-ci, je ne veux pas lui laisser trop d’avance. Je la suis à distance, elle marche en se tortillant. Mais au lieu de tourner vers notre bungalow, je la vois entrer dans les sanitaires. J’hésite, j’ai pas envie de me faire repérer et de passer pour le cocu voyeur (que je suis pourtant). Mais je ne peux pas m’en empêcher alors sans bruit, je me glisse à l’intérieur, il y fait moins chaud, et à cette heure, c’est désert. Je ne la vois pas. Et puis je l’entends, elle est dans une des toilettes, la porte est fermée alors je me glisse dans celle d’à coté. Elle parle à voix basse avec le type, je pousse le verrou en priant qu’ils ne m’entendent pas, car les cloisons sont fines et ouvertes en haut. 
 
- Alors petite salope, t’en veux encore ? Ma grosse queue t’a manqué pas vrai ?

Contrairement à hier, je ne vois rien, mais j’entends absolument tout. Je devine que les mains du type trousse la robe de ma femme. Elle gémit déjà.

- Hhmmm t’es toute trempée… Tu as pensé à moi je suis sûr quand ton mari t’a baisé hier soir ?

Un « oui » timide de ma femme me fait enrager.

- Il t’a baisé combien de temps avec sa p’tite queue ? 5 minutes ? »

Silence…

- 2 minutes ?! Tu m’étonnes que t’as le feu au cul. T’inquiètes pas va… Je vais te baiser comme tu le mérites sale pute et tu vas t’en souvenir !

La garce ! Je n'en revenais pas qu’elle le laisse dire ça ! Je ne suis pas un apollon mais merde, 
17 cm c’est honorable quand même ! Je suis sûr que ça l’excite qu’il lui dise tout ça. J’entends un bruit de succion, une succion régulière et humide. Les images défilent dans ma tête, ma femme accroupie, la robe troussée et le cul à l’air, est en train de pomper cet enfoiré. 

- Vas-y, suce là bien… régales toi chérie… Ouiii je sens ta gorge… Tu le veux dans le cul aujourd’hui c’est ça ? Oui ? Oui j’en suis sur.

La queue à la main, je n’ose pas me branler trop vite, de peur de tout lâcher déjà ! Soudain, la cloison bouge dans un bruit sourd et me fait sursauter. Elle se met à bouger de plus en plus et ma femme gémit. Elle est sûrement empalée sur lui, soulevée en l’air comme une petite poupée dans ses bras musclés. Il souffle comme une bête, je les entends s’embrasser encore. J’entends Sabine : 

- Baise-moi ! Baise-moi !

Elle me surprend encore, c’est elle qui réclame. 
 
- Vas-y ! Vire moi cette robe et penche-toi, je vais te bouffer le cul, pétasse !

Froissement de tissu puis bruits de langues… Il doit lui écarter largement le cul pour faire sortir son œillet, à moins qu’elle ouvre ses fesses elle-même ? Je me branle, j’ai des gouttes au bout du gland… Non, pas déjà, il faut que je tienne. Puis j’entends le type souffler à nouveau, mais cette fois Sabine pousse un long râle. Putain il l’a enculé ! 

- Hmmm c’est tout serré ! t’es vierge du cul ou quoi ?

Ma femme râle à nouveau, encore et encore. Bruit de crachats, puis à nouveau un râle, mais très vite remplacé par des petits gémissements. Il doit lui couper le souffle en butant au max en elle. Ça va plus vite, j’entends les couilles du type qui claquent bruyamment contre la chatte de ma femme. Il accélère encore, elle cri sans retenue ! 

- T’es bonne putain. Ce cul, ce cul ! C’est la première fois que tu te fais baiser dans les chiottes ? Ça te plaît on dirait.
 
L’entendre dire ça me rend fou et je lâche tout, je m’en mets plein les mains, mon sperme coule sur le carrelage. A côté, ça continue, il la pilonne, ça accélère, ses couilles claquent fort, il va jouir mais non, il ralentit et continue à la ravager. Dans quel état elle doit être ! Je ne l’entends plus. Soudain un cri rauque. Puis plus un bruit, un long silence… Il se vide en elle ? Je n’y crois pas et pourtant je ne vois pas d’autres possibilités. 

Une petite claque.

- C’est bien, t’es une bonne petite pute.

Il la traite comme une pouliche ce salaud.

- Dommage que t’habites loin, je me serai bien vidé les couilles de temps en temps…

- ,,,

- Bon, pas de réponse, tant pis pour toi, moi j’en trouverai d’autres. Ah, un conseil, lave-toi bien le cul sinon ça va lui faire tout drôle à ton p’tit mari !
 
Je détestai vraiment ce type, en plus de baiser ma femme, il se comporte comme un porc. La porte d’à côté s’ouvre, j’entends le type s’éloigner, puis à nouveau, plus aucun bruit. Je sors, ma femme est assise sur les toilettes, elle relève la tête et des larmes coulent sur ses joues. Elle passe une main entre ses cuisses, j’entrevois ce qu’elle fait. Le sperme du type s’évacue bruyamment. Moi je suis hypnotisé par ce spectacle, je ne dis pas un mot, je ne sais pas quoi dire. Je l’aide juste à se relever car visiblement, elle n’en peut plus. Je ramasse sa robe par terre, elle est sale et je l’aide à l’enfiler. Elle s’approche des lavabos, se passe de l’eau sur le visage pour retrouver un peu de dignité et nous sortons silencieusement des sanitaires. Arrivée au bungalow, elle va directement à la chambre et se laisse tomber sur le lit, je la rejoins et elle se blottit contre moi. Pendant qu’elle dort, les événements défilent à nouveau dans ma tête.

Pourquoi a-t-elle pleuré ? De jouissance ? De honte ? De douleur ? Ou de peine qu’il la quitte sans aucun regrets ?… Peut-être pour toutes ces raisons…
 
Finalement, il est temps que nous rentrions.

FIN

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