samedi 17 octobre 2020

Confession d’une femme au foyer Ch. 08

 Traduction d'un récit de Quin.

**********

Elle me raconte ses premières aventures sexuelles.

Ma femme continue son récit. Elle vient de m'expliquer comment elle avait sucé le jeune employé.

- J'ai attendu qu'il veuille se soulager et aller aux toilettes. Je l'ai pris par la main et je l'y ai conduit. Il était surpris et nerveux. Je l'ai embrassé et je lui ai dit que je voulais le voir pisser. Il se plaça face à la cuvette et je lui ai dit : « Non pas là ». Je l'ai déplacé et je l'ai mis devant la baignoire. Je lui ai dit que je voulais voir le liquide sortir. Je me suis assise sur le bord sur le côté et je lui ai dit de pisser. Il s'est mis à uriner et j'ai mis ma langue sous le flux. Le garçon était nerveux et choqué, mais il souriait. Je lui ai dit de se déshabiller et de monter dans la baignoire. Et je l'ai accompagné. Sa queue était encore dure, alors je lui ai dit de la mettre en moi pour que je puisse sentir son urine dans mon ventre. Je lui ai également dit que s'il aimait nos petits jeux, il pourrait se joindre à nous et me baiser. Il me pénétra et je sentis son urine venir. Je me suis accrochée à lui en lui serrant les fesses. L'autre homme était resté près de la porte pour regarder. C'était quelques jours avant qu'ils ne reviennent.

Je dis alors :

- D'accord. Je ne veux pas connaître le détail de chaque visite. Parle-moi des choses les plus bizarres que tu as faites avec eux. As-tu été de nouveau sodomisée?

Elle acquiesça.

- Par les deux?

Elle mit ses mains sur sa bouche, baissa les yeux sur le sol et acquiesça de nouveau.

- Dis-moi ce que tu as fait de vicieux avec eux. Et ne me cache rien, je m'en apercevrai.

- Toutes ces choses sont un peu confuses dans ma tête. Je vais devoir te dire ce que je me souviens. Parfois, je les laissais tous les deux me déshabiller et jouer avec moi. Puis ils se levaient et je les branlais tous les deux en même temps alors que je restais assise. Puis ils approchaient leur sexe de ma bouche et je les laissais éjaculer sur ma langue. Tu as probablement deviné que parfois nous allions dans la salle de bain, et tu sais pourquoi.

- Dis-moi pourquoi!

Elle garda les yeux au sol.

- Pour qu'ils puissent faire pipi sur moi. Je m'asseyais dans la baignoire et ils dirigeaient leur queue vers moi et ils m'urinaient dessus.

- Ouvrais-tu la bouche?

- Oui. Répondit-elle doucement.

- Continue! Quoi d'autre?

- Une fois, j'ai posé leurs deux bites sur mes lèvres et je leur ai dit de faire pipi. J'ai ouvert la bouche et je les ai laissés pisser dedans en même temps.

- Parle-moi des sodomies.

- Un jour, quand ils sont arrivés, je me sentais particulièrement sexy. Dès qu'ils sont entrés dans la maison je les ai accueillis chaleureusement. J'ai senti qu'ils avaient envie de jouer avec moi et que je pouvais faire ce que je voulais.

- Dis-moi juste ce que tu as fait.

- Ils restaient debout. Alors j'ai enlevé ma culotte, j'ai sorti leurs deux bites et je les ai frottés sur mon entrejambe. Mais je savais que s'ils commençaient à me baiser, je jouirais rapidement et je perdrais mon excitation. Après qu'ils aient joué un peu avec mes seins, je voulais faire quelque chose de vicieux. Je les ai emmenés en haut et je leur ai dit d'enlever leur pantalon.

Elle rigola un peu.

- C'est drôle, ils l'ont fait, mais ils ont gardé leur chemise. Puis j'ai dit au patron d'aller chercher la crème sur ma coiffeuse. Il était un peu hésitant, mais il l'a fait. L'ouvrier ne comprenait pas trop. C'est ce qui m'a excité encore davantage. Je voulais le surprendre et je voulais avoir sa bite dans mon cul.

Pendant qu'il regardait, je couvrais le pénis du plus vieux de crème. J'attendais sa réaction quand il allait réaliser ce qui allait se passer. Je me sentais vraiment vicieuse. Je me suis retourné et je me suis penchée en écartant les jambes. J'ai senti un doigt se poser sur mon petit trou puis le pénétrer. L'homme le fait glisser plusieurs fois afin de l'enduire de crème. Je peux les voir à travers le miroir. Le plus jeune regarde en silence.

Ensuite j'ai senti mon anus s'étirer quand il a poussé sa queue en moi. Et il m'a baisée sans hésiter? J'ai aimé le regard du jeune qui me voit être enculée. Quand son patron en a fini en se vidant dans mon cul, il est allé dans la salle de bain pour se nettoyer. Pendant que nous attendions, J'ai embrassé l'ouvrier, puis je l'ai emmené dans la salle de bain avec moi. Il m'a regardé remplir une bassine avec de l'eau savonneuse et me nettoyer le cul. Puis je lui ai dit que c'était son tour et qu'il n'avait pas besoin de crème. Je me suis penchée en posant les mains sur le lavabo pour lui faire comprendre de me sodomiser. C'était la première fois où ils ont eu mon cul tous les deux.

Mais les moments les plus pervers étaient probablement lorsque j'en chevauchais un dos contre lui, que j'avais sa queue dans mon cul et que l'autre poussait sa bite dans ma chatte. Nous avons fait cette double pénétration à plusieurs reprises dans différentes positions.

- Et tu les as obligés de te pisser dessus?

- Oui, nous l'avons fait plusieurs fois.

- Tu m'as dit que ce n'était pas la première fois que tu avais eu des relations sexuelles avec ces ouvriers. C'était quand la première fois? Et avec qui? Moi qui te croyais naïve et inexpérimentée!

- C'était juste avant notre rencontre. Tu sais que je suis sortie dans de clubs et des discothèques avec mes amies. Parfois, si l'une de nous rencontrait un garçon, on ne rentrait pas ensemble à la maison.

Je me souvins des samedis soir de cette époque. En ce temps, tout le monde ne faisait pas que s'enivrer et des groupes de garçons prenaient leur voiture avec l'espoir d'avoir un peu de chance et des relations sexuelles à l'arrière de l'auto. Sinon dans notre petite ville, beaucoup de personnes utilisaient les transports en commun pour se rendre dans les plus grandes villes. En général, le soir, il y avait des bus tardifs ou des parents les ramenaient. Il y avait environ 16 kilomètres de campagne vallonnée entre ici et la grande ville la plus proche. Je laissai ma femme continuer.

- J'étais allée en discothèque avec trois amies et un garçon que j'avais déjà vu plusieurs m'a demandé de danser avec lui. En général les filles le trouvaient sexy et il semblait qu'il en avait une différente à chaque heure. J'étais flattée qu'il reste avec moi. Il m'a demandé si je voulais m'asseoir avec lui et discuter. Tu sais ce que ça signifiait, s'embrasser et se caresser dans la pénombre de la boite.

- As-tu fait ça souvent? Si je me souviens bien, ça pouvait devenir assez chaud. Certaines filles laissaient leur copain aller assez loin? Jusqu'où les as-tu laissés aller?

- Bon, je les laissais tripoter mes seins pendant qu'ils m'embrassaient? La plupart des filles le faisaient. Et si les gars ouvraient un bouton de mon chemisier ou mettaient une main sous mon pull, je ne les arrêtais pas. Quelques fois je mettais une main entre leurs jambes pour toucher leur bite. C'est ce qui s'est passé cette fois. Il m'a ensuite présentée à ses camarades qui sont restés à la table avec nous. Puis il m'a demandé d'embrasser l'un d'eux, car il avait été malchanceux pour trouver une fille. Je l'ai donc fait et je l'ai même laissé tripoter mes seins. Je voulais que l'autre qui m'avait invitée pense que j'avais de l'expérience et que j'étais un bon coup.

Enfin, il m'a demandé si je voulais bien qu'il me reconduise. Je l'ai trouvé galant et j'ai dit oui. Je m'attendais à ce que nous soyons tous les deux, mais je me suis trompée.

Elle reprit son souffle et réfléchit à la suite.

- Quand nous sommes arrivés au parking, trois de ses camarades sont apparus. Quand je lui ai demandé ce qui se passait, il m'a dit que ce n'était pas grave, que ça ne gâcherait pas notre plaisir. J'ai pensé sur le coup que les gars seraient déposés avant, mais je me suis trompé sur ce sujet également. La porte arrière de la voiture a été ouverte et l'un des gars a sauté à l'intérieur. Puis on m'a dit d'entrer et mon ami m'a suivi. J'étais coincée entre eux deux. Je me suis demandé pourquoi l'autre gars était passé derrière plutôt que de prendre la place du passager avant et nous laisser tranquillement nous câliner sur la banquette arrière. Ça aurait été normal.

Dès que nous avons démarré, mon copain m'a pris dans ses bars et a commencé à m'embrasser passionnément. Puis il a détaché quelques boutons de mon chemisier et a commencé à pincer mes tétons. Il faisait noir dans la voiture, alors je ne me suis pas inquiétée des autres. Mon ami semblait être expérimenté. Il me tripotait avec plus d'ardeur que les autres gars avec qui j'avais été. Il a embrassé mon cou et il a mis sa langue dans mon oreille. C'était la première fois que l'on me faisait ça.

J'ai remarqué aussi que l'on avait quitté la route principale. Le chauffeur m'a dit qu'il prenait des petites routes plus calmes. J'ai laissé mon ami détacher d'autres boutons et ouvrir mon chemisier. Celui à côté de moi lorgnait mon soutien-gorge, alors je me suis un peu éloignée de lui.

Mais j'ai été repoussé par mon ami qui a mis sa main sous ma jupe, a caressé mes cuisses et a posé sa main sur ma chatte sur ma culotte. Il a commencé à m'embrasser fougueusement et à caresser avec ses doigts ma petite fente à travers le tissu de ma culotte. Puis il a remonté ma jupe. Comme nous étions en rase campagne et qu'il faisait sombre dans la voiture, je me suis dit que personne ne pouvait le voir. Je l'ai entendu baisser sa braguette et il a pris ma main pour la poser sur sa bite. Je n'ai pas objecté et j'ai commencé à caresser lentement son membre. Il s'est mis à jouer avec mes seins en mettant sa main dans mon soutien-gorge. Et il continuait à me mordiller l'oreille et m'embrasser dans le cou. Puis soudain, j'ai senti la main de son ami remonter le long de ma jambe et ses doigts ont touché ma culotte. Je ne l'ai pas arrêté.

- Mais pourquoi ne l'as-tu pas arrêté?

Elle réfléchit un moment puis finit par admettre :

- C'était un peu effrayant, mais excitant et vicieux. Je n'avais jamais ressenti de telles sensations auparavant. Je savais que c'était vraiment pervers, mais je l'ai laissé continuer. Il a poussé ma jupe et a posé sa main complètement sur ma chatte. Il était assez rude. Je n'avais pas toute ma tête et je l'ai laissé faire. Mon ami m'a tourné le visage pour m'embrasser encore, puis il m'a demandé si je connaissais un endroit tranquille où nous pouvions nous arrêter un moment. J'ai regardé par la fenêtre et je leur ai indiqué un chemin que je savais être une impasse.

- Tu étais donc prête à ce que les choses aillent plus loin?

- Oui. Alors que nous roulions, j'avais réalisé que ça irait plus loin, mais ça n'a fait que m'exciter plus. Lorsque la voiture s'est arrêtée, le conducteur s'est retourné pour regarder et a baissé sa braguette. Je ne pouvais pas voir sa bite, mais je savais qu'il se masturbait. Il avait une bonne vue du spectacle. Ma jupe était remontée sur mes hanches et un gars avait sa main sur ma culotte. Mon chemisier était ouvert et mon soutien-gorge bien visible. Celui-ci a bientôt été dégrafé. J'étais la poitrine à l'air. Les deux gars se sont mis très vite à sucer mes tétons et tripoter mes seins tout en se relayant pour mettre leurs doigts dans ma chatte. Ils n'étaient pas doux et m'ont traité de façon assez brutale.

- Qu'est-ce que tu ressentais?

Lentement elle dit :

- Plus ils étaient brutaux, plus ça m'excitait. Mon ami m'a murmuré de baisser la braguette de son copain à côté et de jouer avec sa bite. C'est la première fois que j'ai eu la chance d'avoir une bite dans chaque main. Mais ce qui m'excitait le plus c'est de savoir que le conducteur regardait. Les gars ont pris chacun une de mes jambes pour la poser sur les leurs. Ainsi j'étais écartelée. Le conducteur m' dit que je devais retirer ma culotte. Mais je n'ai pas eu le temps. Un des gars était sur le point de jouir alors il m'a embrassé rudement. Je les ai juste masturbés un peu plus rapidement et l'un d'eux a éjaculé, l'autre faisant de même une minute plus tard.

J'ai pensé que le conducteur voudrait lui aussi monter à l'arrière, mais il s'est agenouillé entre les deux sièges et a dirigé sa queue vers moi. Je l'ai vu se masturber furieusement avant d'éjaculer sur moi. Les trois garçons ne se sont pas souciés de mon plaisir après ça. Ils m'ont raccompagnée chez moi pendant que je me rhabillais.

- Tu les as revus après ça?

- Oui. Quand je suis sortie de la voiture, mon ami m'a demandé si nous pouvions nous voir le mercredi soir suivant. J'ai dit « Oui d'accord ».

- Ne lui as-tu pas demandé si c'était lui seul ou avec les autres?

- Non je ne l'ai pas fait.

- Étais-tu gênée?

Elle me regarda et me répondit :

- Non, pas vraiment.

- Parle-moi du mercredi suivant. Que s'est-il passé?

- Nous nous étions donnés rendez-vous au parc. Je me suis assise sur un banc. C'était un soir où il faisait chaud. Mon ami est apparu derrière moi et m'a dit que ses amis étaient au bord du lac. Il m'a dit qu'il les retrouverait plus tard. Nous nous sommes promené dans le parc et nous avons bavardé. Puis nous sommes allés dans un café. Plus tard, alors que nous revenions du parc, une grosse fourgonnette est passée à côté de nous et le chauffeur nous a klaxonnés. C'était ses copains. Il m'a dit alors de monter devant. C'est alors que j'ai remarqué qu'il n'y avait pas de sièges à l'arrière mais seulement trois gars assis sur le sol.

J'ai reconnu le chauffeur qui était le même que la dernière fois. Je ne me suis pas retournée pour voir si je connaissais les autres. Le conducteur voulait aller au sommet de la colline pour admirer la vue. Il faisait encore clair et beaucoup de gens étaient là-haut. Les trois à l'arrière sont sortis et ont commencé à courir et jouer sur la colline. Mon ami a commencé à m'embrasser et toucher mes seins par-dessus mon pull. Le conducteur n'a pas bougé et regardait la vue, à la fois à l'extérieur et à l'intérieur de la camionnette. Je les ai tous les deux embrassés, mais comme beaucoup de gens passaient, je les ai arrêtés. J'avais peur que quelqu'un me reconnaisse. C'est alors que mon ami a demandé au chauffeur de nous emmener dans l'impasse de l'autre fois.

- Tu t'es rendu compte dans quelle situation tu te trouvais? Il n'y aurait que toi et cinq gars sur une petite route de campagne tranquille.

- Oui, je m'attendais à ce que les deux garçons de la fois dernière veuillent me toucher et que je doive branler leur bite. Mais je pensais que les trois autres nous laisseraient tranquilles.

- Donc ils ne l'ont pas fait? Demandai-je.

- Non ils sont restés. Nous sommes allés dans l'impasse et ils ont arrêté la fourgonnette. Il faisait noir donc il n'y avait personne dans les parages. Le chauffeur et mon ami ont commencé à m'embrasser et tripoter mes seins à nouveau. Puis mon ami a descendu sa braguette et sorti son pénis. Il a mis ma main dessus.

- Qu'est-ce que tu as fait?

- Eh bien, j'ai commencé à le masturber. Mais au bout d'un moment il m'a demandé si je ne voulais pas aller à l'arrière de la camionnette pour être plus confortable. Il m'a dit que je devrais aussi laisser les autres m'embrasser, c'était normal. Ils avaient un matelas en mousse sur lequel s'asseoir.

- Donc tu es montée à l'arrière de ton plein gré? Avec les cinq gars?

- Oui. Ils m'ont fait passer par-dessus le siège, puis ils m'ont regardée. Je me suis assise sur le matelas et ils se sont relayés pour m'embrasser et me tripoter les seins. Puis on m'a poussé à plat sur le dos tout en m'embrassant. J'ai senti une main remonter ma jupe. Je les ai laissés caresser ma chatte et ils ont écarté mes jambes plus larges. On a posé une de mes mains sur une bite et j'ai senti une queue frotter ma cuisse pendant que le gars se masturbait.

On m'a demandé ensuite d'enlever mon chemisier pour montrer ma poitrine. Je l'ai fait. J'étais excitée de les voir tous en train de se masturber en me regardant. Après avoir enlevé mon soutien-gorge, je les ai tous masturbé jusqu'à ce qu'ils éjaculent sauf le dernier.

- Qu'est-ce qui s'est passé avec le dernier?

- C'était celui qui était un peu plus rude que les autres. Il savait comment me traiter. Il a mordillé mes seins en les serrant fort et il a posé sa main sur ma chatte. Je l'ai laissé retirer son pantalon et me baiser. Les autres étaient jaloux et un peu énervés parce qu'ils n'avaient pas pensé à le faire.

- Alors, as-tu aimé?

- Oui. Le gars n'a pas arrêté de me demander si j'appréciais d'avoir une bite en moi. Et je n'arrêtais pas de dire oui. J'ai réalisé que j'aimais le fait que d'autres me regardent alors que je suis en train de me faire baiser. J'étais vraiment excitée.

- Si tu ne les avais pas fait jouir, leur aurais-tu permis de te baiser?

- Avec mon excitation, oui, je les aurais laissés le faire. D'ailleurs j'espérais à ce moment que l'un d'eux puisse bander à nouveau. Mais le gars m'a baisé violemment et profondément si bien que j'ai eu un orgasme. C'était génial d'avoir un orgasme face à cinq hommes. C'est ce qui m'a donné l'envie de voir plus d'un homme à la fois. J'aurais souhaité qu'il y eût d'autres fois où j'aurais pu les laisser tous faire, mais je ne les ai plus revus.Je les aurais laissés me baiser une fois par semaine, mais ce n'est jamais arrivé.

- Mais tu ne les as pas sucés? Quand as-tu sucé une bite pour la première fois? Avec qui?

- Tu ne vas peut-être pas aimer cette histoire. Me dit-elle doucement.

- Dis-moi quand même.

- Tu te souviens que juste avant notre mariage, je prenais le bus pour venir chez toi? Et qu'une fois, j'étais très en retard?

Je me rappelai ce jour. Je vivais dans une grande ville à environ vingt kilomètres de la petite ville de campagne qu'elle habitait. Nous nous retrouvions le soir chacun notre tour en prenant le bus. Vingt kilomètres ce n'est pas loin, mais c'était un voyage assez lent à travers la campagne. Un soir, elle n'est arrivée que très tard. Elle m'a dit qu'elle avait raté le bus, mais j'ai été méfiant. Quand nous nous sommes embrassés, elle semblait déjà être assez excitée.

- Je n'ai pas manqué le bus, j'ai été accompagnée en voiture.

- Quelqu'un que je connaissais? Demandai-je brusquement.

Je voulus savoir qui était cette personne. Je m'attendis à ce qu'elle me dise que c'était un ancien petit copain, ou alors un de nos amis communs.

- C'était l'ami de mon père, M. JAMES.

Qu'est-ce qu'elle est en train de me dire maintenant? Je connaissais l'homme à qui elle fait allusion. A cette époque il devait avoir environ cinquante ans. Elle était juste adolescente et l'homme était plus âgé que son père. Je ne dis rien et la laissai continuer.

- Il quittait ma maison en même temps que je me dépêchais. J'étais en retard pour prendre le bus. Donc il m'a proposé de me conduire à l'arrêt. Mais il a conduit lentement, j'aurais pu aller plus vite en prenant les petites rues. Quand nous sommes arrivés à l'arrêt de bus, il n'y avait plus personne. J'ai compris que j'avais loupé le bus. L'ami de mon père m'a alors proposé de me conduire au village voisin. Il espérait doubler le bus en route.

Il conduisait lentement et n'arrêtait pas de faire des commentaires sur la façon dont je grandissais et comment j'étais devenue une jolie fille. Il m'a dit que j'avais développé une belle silhouette et qu'il aimerait bien être beaucoup plus jeune pour me demander de sortir avec lui. Plusieurs fois, il m'a pressé le genou. Mon manteau était ouvert et je pouvais sentir ses yeux se poser sur mes jambes.

- Qu'as-tu ressenti quand cet homme âgé flirtait avec toi?

- J'ai trouvé ça amusant parce qu'il me parlait comme si j'étais une petite fille. D'ailleurs, peut-être l'étais-je à ses yeux. Mais je me sentais flattée qu'un homme de cet âge pense à moi de cette façon. Puis tout d'un coup il m'a dit : « Est-ce que j'aurai un baiser pour me récompenser de t'avoir avancé? »

J'ai ru et je lui ai dit qu'il n'avait pas encore rattrapé le bus. Il m'a dit qu'il le ferait et il s'est garé dans un chemin et a dit : « puis-je en avoir un? ». Il a éteint le moteur et les phares. J'ai hoché la tête et j'ai dit : « Oui, mais vous êtes assez vieux pour être mon père ». Il m'a répondu : « C'est pourquoi je voudrais t'embrasser ».

J'étais encore plus amusée et je riais. C'était un vieux cochon, mais comme je le connaissais, je ne me sentais pas menacé. Il s'est déplacé, a passé ses bars autour de mes épaules et il a pressé ses lèvres contre les miennes. Je m'attendais à un petit bisou rapide et à un câlin, mais c'était un long baiser lubrique. Il a mis sa main sous mon manteau, mais il ne m'a pas touché les seins. Il a juste fait des petits mouvements circulaires sur mon ventre. Puis, quand il a cessé de m'embrasser, il m'a murmuré à l'oreille et m'a donné des petits bisous dans le cou. Il m'a dit que j'étais une belle fille et que mon petit copain était bien chanceux. Il m'a donné un autre baiser passionné et m'a dit que si je restais un moment avec lui, il me conduirait jusqu'au bout, que je pourrais oublier le bus. Il m'a dit que ça serait mieux que d'attendre seule dans le noir et le froid. Je lui dis d'accord du moment que je n'étais pas en retard.

- Tu as dû comprendre qu'il en voulait plus?

- Je m'attendais à ce qu'il veuille m'embrasser davantage et peut-être toucher mes seins par-dessus mes vêtements.

- Ça ne te dérangeait pas qu'il fasse ça?

- Non. J'ai apprécié la façon dont il m'embrassait. Il a démarré la voiture et quand j'ai demandé ce qu'il faisait, il m'a dit que nous allons dans un endroit plus tranquille. Il a pris une petite route et il s'est garé près d'un bois, sous les arbres.

- N'as-tu pas été inquiète alors?

- Non. Pour être honnête, j'ai ressenti un peu d'excitation. C'était après l'histoire avec les cinq garçons et il y avait quelque chose d'excitant à laisser un homme plus âgé m'embrasser et me toucher, surtout que c'était un ami de mon père.

En tout cas, il n'a pas perdu de temps et il a recommencé à m'embrasser. Cette fois, il a fait ce que je pensais et il a laissé sa main passer de mon ventre à ma poitrine. Il m'a embrassé dans le cou, derrière l'oreille et léché l'intérieur ce qui m'a fait fondre. J'ai frissonné. Il m'a demandé si c'était agréable et j'ai répondu « oui ». Puis j'ai senti sa main prendre mon sein. Il l'a massé et titillé mon téton avec son doigt. Il m'a encore demandé si c'était agréable. J'ai marmonné. Ça a semblé l'exciter et il a dit « bonne fille » avant de m'embrasser avec luxure.

Je pouvais le sentir défaire ma robe, puis il m'a dit que nous serions plus à l'aise sur la banquette arrière. J'ai alors dit que je serai en retard pour mon rendez-vous avec toi. Mail il m'a dit de te dire que j'avais raté le bus. Il m'a promis de m'emmener à temps pour l'arrivée du prochain. Il savait déjà que j'étais d'accord parce que pendant que nous parlions, il avait défait ma robe et l'avait ouverte complètement pour voir ma poitrine sous mon soutien-gorge. Ensuite il a glissé des doigts sous un bonnet pour sentir la chair de mon sein et pour titiller mon mamelon. Et je ne l'ai pas arrêté.

Puis il m'a dit que la porte arrière était déverrouillée et que je devais monter à l'arrière de la voiture. Quand j'ai commencé à refermer ma robe, il m'a dit de ne pas le faire. J'ai obéi et lui est monté de l'autre côté. Il m'a demandé alors si j'allais être une bonne fille et si j'allais lui permettre de bien voir mes seins. Je n'ai pas répondu alors il a remonté mon soutien-gorge et sorti mes seins.

Puis il est devenu un peu plus pervers. Il a tripoté mes seins et les a embrassés tout en me disant que j'étais une bonne fille. Pendant un instant il m'a parlé comme si j'étais une enfant, et ensuite il m'a demandé : « Laisses-tu ton petit ami jouer avec ça? ». Quand je lui ai répondu affirmativement, il s'est mis à respirer fort, il était vraiment excité.

Il m'a embrassé très fort sur les lèvres et j'ai senti sa main remonter ma robe sur mes cuisses. Il s'est excité encore plus, car je portais des bas alors que la mode commençait à être aux collants. La mini-jupe venait tout juste d'être à la mode. Sa main a pu toucher ma chair nue et il a tiré ma culotte sur le côté afin de mettre des doigts en moi. Même si je l'avais voulu, je n'aurais pas eu le temps de l'arrêter.

- Mais de toute façon tu ne le voulais pas?

Elle prit un air timide et elle admit :

- Non. Et surtout pas quand il a commencé à les déplacer.

Je pense qu'il a été surpris que je le laisse aller aussi loin. Il a sucé mes seins, embrassé mon cou et derrière mes oreilles. Puis il a mis sa langue dans mon oreille et je dois admettre que ça m'a fait fondre et frissonner.

Il m'a demandé si je te laissais me toucher entre les jambes. Quand j'ai dit oui, il est devenu plus excité et il a bougé sa main plus rapidement. Il m'a demandé si ça me plaisait. A ce moment je ne répondais que par oui ou non à ses questions, mais ça l'excitait énormément. Il m'a demandé alors si j'avais touché le sexe de mon petit ami. Je lui ai dit oui. Et il m'a demandé si j'avais déjà vu la bite d'un homme plus âgé. J'ai répondu alors que j'allais être en retard et je l'ai supplié de me ramener en ville. Il m'a dit qu'il le ferait si j'étais une bonne fille avec lui.

C'est là qu'il a défait son pantalon et sortit sa bite. Elle était énorme, longue et épaisse. Il m'a pris ma main et l'a enroulée autour de son sexe, puis il m'a commandé de la déplacer de haut en bas. J'étais fascinée par la taille de son engin et je gardais mes yeux dessus. Il a continué de me parler pendant que je le branlais. Il a remonté ma robe pour bien voir ma culotte et il a joué avec ma poitrine. Il m'a dit : « Tu aimes être une vilaine fille n'est-ce pas? » et « aimes-tu jouer avec ma bite? En as-tu vu une si grosse?. Puis il a ajouté ; « Vas-y, va plus vite, si tu me fais jouir, je t'emmènerai chez ton petit ami ».

Je l'ai branlé aussi fort que j'ai pu et bientôt il a éjaculé partout sur la vitre de la voiture. Il m'a embrassé et m'a dit que j'étais une gentille fille. Puis, alors que je pensais qu'il allait s'arrêter, il a mis sa bouche sur mes seins et il a remis des doigts dans ma chatte. Il a su trouver le bon endroit et il m'a masturbé jusqu'à ce que j'atteigne l'orgasme. Juste au moment où j'ai joui, il m'a demandé : « voulez-vous recommencer? ». J'étais tellement bien que j'ai crié « oui ».

Pendant le retour, il m'a dit de ne le dire à personne. J'étais majeur, mais je crois qu'il était inquiet que sa femme découvre ce qu'il venait de faire. Et de plus il était l'ami de mon père. Avant de sortir de la voiture, je lui ai dit que ce n'était pas bien et que nous n'aurions pas dû le faire. Il m'a attiré vers lui et m'a demandé si ça m'avait plu. J'ai hoché la tête et il a dit en guise d'au revoir : « hé bien, un homme âgé comme moi sait comment te donner du plaisir! Penses-y! nous en reparlerons dans quelques jours. »

- De toute évidence tu l'as revu. Tu ne m'as toujours pas parlé de la première fois que tu as sucé quelqu'un. Je suppose que c'était lui?

Je me sentis un peu plus excité. Il y avait quelque chose de très érotique dans l'image que je me représentais d'elle adolescente en train de sucer un homme plus âgé. Je connaissais l'homme dont elle parlait. Elle s'était laissée entraîner par un vieux pervers vicieux qui était censé être un citoyen respectable.

- Eh bien , c'était lui... En quelque sorte... Répondit-elle.

« En quelque sorte »? Que voulait-elle dire exactement?

A suivre...


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