Ecrit en collaboration avec Verdu.
Prise en Main
Didier :
Le vendredi, je me prépare pour l’apéritif chez les nouveaux voisins. Je me fais beau et envoûtant avant d’aller sonner à leur porte. C’est le mari qui m’ouvre :
— Bonjour, cher voisin, je suis François de Villaret. Veuillez entrer ! Vous m’excuserez, mais j’ai appris depuis peu que vous veniez prendre l’apéritif. Ma femme avait oublié de me le dire. Entrez, Monsieur… ?
— Didier ! Appelez-moi Didier ça sera plus simple !
— Très bien Didier, donc appelez-moi François. Vous avez raison, ne faisons pas de manières. Entrez dans le salon !
Je pénètre chez mes voisins et suis le mari jusqu’au salon richement meublé. Un grand ensemble de trois canapés trône au milieu.
— Les enfants, venez dire bonjour à Monsieur, puis vous irez dans vos chambres.
Les mômes viennent me saluer et je me force à leur répondre en souriant. Je n’aime pas les gosses et je n’en ai pas, du moins je n’en ai pas la connaissance. Puis je vois la mère entrer dans le salon. Elle est habillée d’un chemisier blanc sous lequel on devine le soutien-gorge qui retient sa belle poitrine. Elle porte une jupe serrée qui lui arrive aux genoux et des talons hauts.
— Bonjour Monsieur ! dit-elle en me tendant la main.
Je lui prends et la garde quelques secondes de trop en la regardant droit dans les yeux.
— Bonjour, Madame, vous êtes élégante.
Je la vois rougir avant de retirer sa main. Son mari ne s’est aperçu de rien. Il est dans un buffet en train de sortir des bouteilles. Sa femme dit alors :
— Attends François, je vais t’aider !
Je la sens un peu gênée. Quand elle se tourne pour rejoindre son mari, je fixe son cul bien bombé sous la jupe serrée. Quel manque de goût ! Me dis-je en voyant les contours de sa culotte.
J’ai bien l’impression de troubler ma voisine. Bizarre, une femme si arrogante et si hautaine cacherait-elle un mal-être. Je crois Albert quand il m’a dit que son mari ne la baisait plus depuis longtemps. De toute façon il est tellement insignifiant. Il s’installe dans un canapé et commence à pianoter son téléphone comme si je n’étais pas là. Sa femme est partie à la cuisine pour aller chercher des amuse-gueule. J’ai drôlement envie de gifler son mari pour le faire réagir.
Bientôt ma voisine revient avec un plateau. Elle le dépose devant moi en m’offrant une superbe vue sur son décolleté et sa magnifique poitrine. Est-ce volontaire ? En tout cas je ne me gêne pas pour regarder. Elle s’assoit en face de moi et maintenant c’est une vue bien dégagée sur sa culotte qui m’est offerte. De plus elle rougit donc elle sait bien ce qu’elle vient de faire. Généralement quand une femme me montre ses atouts, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et elle fait bientôt partie de mon harem.
Le mari se réveille et écarte son téléphone pour porter un Toast. Nous trinquons et discutons. Je leur parle un peu de moi pour amorcer les confidences. Je vois que le mari est impressionné. Le couple me parle alors de leurs affaires, mais je suis déjà au courant grâce à Alfred.
Soudain un enfant appelle en pleurs. Ma voisine ne sachant trop que faire, je lui dis d’aller voir son môme. C’est l’occasion pour moi d’être un peu seul avec elle. Je prétexte de vouloir visiter leur appartement pour l’accompagner. Le mari reste fixé sur son téléphone. Je suis la maîtresse de maison dans l’escalier en colimaçon qui monte à l’étage. J’ai presque le nez sur la croupe féminine. Je vois bien le contour de sa culotte sous la jupe. Quelle abomination !
Je laisse Charlotte calmer sa gamine et j’attends qu’elle sorte de la chambre d’enfant. Quand elle se retrouve devant moi, je prends ma voix charmeuse et je dis :
— Charlotte, tu es une femme élégante, mais tu as fait une faute de goût dans ta tenue…
Elle a l’air ébahie et un petit peu en colère que je lui parle ainsi. Mais je continue :
— En effet ! Avec une jupe pareille, on ne met pas de culotte, à la limite un string ! Retire-moi cette culotte immédiatement !
J’ai pris mon ton le plus autoritaire, celui qui fait frémir la gent féminine. Peu de femmes ont résisté à ce ton de commandement. Mais elle résiste et bafouille. Puis je la vois se tourner pour m’obéir. Elle ne veut pas que je voie sa honte. J’ai gagné, je sais que je la tiens. Je la prends par le bras et lui dis :
— Non ! Face à moi ! Regarde-moi et soulève ta jupe !
Je veux que l’humiliation de cette femme arrogante soit totale. Rouge de confusion, elle soulève sa jupe pour me dévoiler une culotte fleurie.
— J’attends ! dis-je pour enfoncer le clou.
Elle tremble, mais elle enlève sa culotte. Je peux voir son intimité et la touffe de poils roux qui couvre sa chatte. Que c’est laid ! J’ai l’impression qu’elle ne s’entretient plus, il faut dire que si son mari ne s’intéresse plus à elle je la comprends. Mais il faudra que je remédie à ça. Je tends la main et ordonne :
— Donne !
Elle me tend sa culotte que je porte à mon nez pour la sentir avant de la mettre dans ma poche. Elle veut réajuster sa jupe, mais je lui interdis. Je lui demande alors de me faire visiter la maison dans cette tenue. Je la suis dans l’appartement alors que sa jupe est retroussée à sa taille. Son joli cul bombé se balance sous mes yeux. J’ai une trique d’enfer. S’il n’y avait pas ses enfants et son mari, je la plierais en deux et l’épinglerais rapidement.
À la fin de la visite, alors que nous devons redescendre les escaliers, je vois son regard suppliant. C’est bien, je vois qu’elle devient soumise et attend ma permission pour descendre sa jupe. Je lui autorise tout en lui ordonnant de garder les jambes écartées quand elle est assise.
Elle acquiesce et me souffle même un merci. Elle est à moi, je le sais ! La femme directrice de société, bourgeoise dans l’âme, arrogante, snob, hautaine est à ma botte. Mon charisme et mon autorité ont eu raison d’elle. Je commence déjà à m’imaginer comme je vais m’amuser avec celle belle femme mature.
Nous descendons et trouvons le mari affairé. Il doit partir à l’étranger pour le week-end, un problème dans une usine, je crois. Très bien ça m’arrange. Pour ne pas éveiller de soupçon si je restais, je prends congé du couple en disant au mari :
— Ne vous inquiétez pas, je prendrais soin de votre charmante épouse.
J’ai un sourire vicieux en direction de sa femme et je sors de leur appartement. Mais j’ai un gros problème, je bande comme un âne. Il ne me reste plus qu’une chose à faire. Je rentre chez moi et j’appelle la petite étudiante Rachel. Cinq minutes plus tard, elle frappe à la porte.
— Entre ! Crié-je.
Timide elle franchit la porte. Elle est habillée comme je lui ai ordonné quand elle marche dans l’immeuble : une jupe d’écolière écossaise vraiment très courte, on peut voir la rondeur de son cul qui dépasse, ainsi qu’un haut serré qui moule bien sa grosse poitrine. Elle reste debout au milieu du salon en attendant mes ordres.
Je suis assis sur le canapé et je la regarde. Puis je lui dis :
— Je te remercie du service que tu m’as rendu avec l’ami d’Albert. Raconte-moi comment ça s’est passé !
— Oui Monsieur. J’ai accompagné Monsieur Albert chez son ami sénégalais, un grand noir effiloché. Monsieur Albert a dit quelques mots au creux de l’oreille de son ami alors que j’attendais sans rien dire. Son ami m’a ordonné de me déshabiller, puis il est passé derrière moi et a saisi mes gros seins à pleines mains. Il les a tripotés et tordus à me faire mal. Mais je n’ai pas protesté, Monsieur ! Dit-elle soudainement effrayée.
Elle a eu peur que je la gronde. Avant qu’elle continue son histoire, je sors mon sexe et commence à me branler.
— Vas-y ! Continue !
— Ensuite il a sorti son sexe qui était vraiment très gros et il s’est caressé en me demandant de me mettre à quatre pattes. Quelques minutes après, il m’a pénétré et il m’a baisé pendant longtemps.
— Est-ce que tu as joui ?
— Je suis désolée, Monsieur, je n’avais peut-être pas l’autorisation, mais j’ai eu deux orgasmes. Il était si gros Monsieur, il me remplissait complètement, je ne pouvais pas me retenir.
Elle est encore effrayée. C’est vrai que je lui avais dit qu’elle n’avait pas le droit de jouir sans ma permission. Il faut que je rectifie les choses.
— Ne t’inquiète pas ! S’il s’agit d’un homme chez lequel je t’ai envoyé, tu as le droit de jouir.
Je la vois souffler de soulagement. Je lui demande :
— je suppose qu’il s’est soulagé ! Où ? Dans ta bouche ou dans ta chatte ?
— Dans ma chatte Monsieur ! Il m’a agrippé les seins, a donné un dernier coup de reins pour bien enfoncer sa bite en moi et il a éjaculé.
— Bon ! Tu prends toujours la pilule que mon médecin t’a prescrite ?
— Oui Monsieur.
— Bien, il ne faudrait pas que tu tombes enceinte et que tu loupes tes études. Tu te vois ramener un enfant noir chez toi ?
Elle écarquille les yeux. Je sais que ses parents sont pauvres et se saignent pour les études de Rachel, donc elle a à cœur de les rendre fiers.
— Tes parents sont contents de ton travail ?
— Oui Monsieur ! Grâce à vous je peux étudier sans avoir à chercher un petit boulot. Je vous remercie beaucoup Monsieur.
— Alors, viens là et remercie-moi d’une autre façon avec ta bouche !
Elle avance vers moi et se met à genoux. Elle avale ma bite et s’applique à me faire une bonne fellation. Elle garde les mains dans le dos comme une bonne soumise. Après cinq minutes, je pose mes mains sur sa tête pour appuyer dessus. Mon gland touche le fond de sa gorge. Rachel se retient de se débattre. Je me vide alors dans sa bouche, puis je retire ma bite. Rachel me montre sa bouche pleine de sperme avant d’avaler et de tirer la langue pour me le montrer. Je hoche la tête et elle se met à lécher ma bite pour la rendre bien propre. Je lui demande alors :
— Tu fais quoi demain soir ?
— Rien Monsieur, j’étudie !
— Très bien ! Tu étudieras chez Madame de Villaret et tu garderas ses enfants. Présente-toi chez elle à vingt heures ! Tu peux disposer.
— Bien Monsieur !
Rachel sort de mon appartement et je vais prendre une douche avant de me poser devant la télévision et réfléchir à ce que je vais faire à ma voisine le lendemain.
Le matin je me lève tôt pour aller donner un papier à Albert. Je lui dis de le remettre impérativement à Charlotte dans la journée. Il est écrit : « Ce soir, une étudiante qui habite dans un de mes studios viendra à vingt heures faire du baby-sitting chez toi. Je veux que tu me rejoignes un quart d’heure plus tard. Je veux que tu t’habilles en bourgeoise sexy. Ça veut dire sous-vêtements en dentelle, chemisier et jupe classe, porte-jarretelles, bas et talons hauts. Ne sois pas en retard »
Je ne peux m’empêcher d’avoir des doutes. Peut-être va-t-elle se reprendre et décliner l’invitation. « Mais non Didier, sois sûr de ton pouvoir de séduction sur les femmes, elle va accourir » me dis-je.
Je passe ma journée à régler certaines affaires en attendant avec impatience la soirée.
À vingt heures dix, je suis sur mon canapé, détendu et j’attends. À vingt heures quinze, on frappe à ma porte. Je me lève et vais ouvrir. Comme je m’y attendais, Charlotte est sur mon palier. Je l’invite du geste à entrer. Elle avance et je lui désigne le salon. Elle y entre et fait mine de s’asseoir sur le canapé.
— Qui t’a autorisé à t’asseoir ? dis-je avec mon ton autoritaire.
Elle sursaute et se remet debout très vite. J’ordonne alors :
— Debout au milieu du salon, les bras sur les côtés.
Elle obéit l’air un peu effrayé. Est-ce qu’elle se demande ce qu’elle fait ici ? Je tourne lentement autour d’elle pour la détailler. Je sens qu’elle est mal à l’aise. Elle s’est bien habillée comme j’avais demandé. Passant derrière elle je soulève sa jupe et je vois effectivement qu’elle porte des bas avec un porte-jarretelles et une belle petite culotte en dentelle. Je me replace devant elle et je déboutonne deux boutons de son chemisier pour découvrir un soutien-gorge assorti qui retient sa poitrine que j’avais devinée imposante. Je vois qu’elle commence à trembler donc je retourne m’asseoir sur mon canapé en face d’elle et je dis :
— Je crois Charlotte que tu as besoin d’être dressée et je vais m’en charger. Tout d’abord tu vas te déshabiller en ne gardant que le porte-jarretelles, les bas et les talons. Tout le reste doit être en tas par terre.
Je la vois hésiter, mais elle met ses mains sur son chemisier et le déboutonne lentement avant de le retirer et le laisser tomber par terre. Puis elle baisse la fermeture de sa jupe qui rejoint bientôt le chemisier. Elle me regarde en se disant peut-être que ça suffit. Mais je la fixe dans les yeux sans rien dire. Alors elle se baisse et dégrafe le porte-jarretelles de ses bas pour pouvoir baisser sa culotte qui rejoint ses autres vêtements. Elle rattache le porte-jarretelles en essayant de garder une main devant sa touffe rousse. Je souris devant cette pudeur inappropriée, mais je la laisse continuer. D’une main elle dégrafe son soutien-gorge, l’enlève et le jette sur le tas à ses pieds. Rapidement elle remet un bras et sa main devant sa poitrine. Elle me fait penser au tableau « La naissance de Vénus » bien que Charlotte soit un peu plus plantureuse que la femme de cette peinture. Je décide alors qu’il est temps que j’intervienne :
— C’EST QUOI ÇA ? JAMBES ÉCARTÉES, LES MAINS SUR LA TÊTE, DOIGTS CROISES ! Crié-je.
Elle sursaute et je vois la peur dans ses yeux. Toutefois elle obéit très vite et prend la position. Il est temps de passer au jeu des questions. C’est à ce moment que l’humiliation et la dégradation de la femme en font une soumise parfaite. Elle est obligée de me répondre et comme il s’agit de questions intimes c’est tout à fait gênant.
— Je vais te poser des questions et je tiens à ce que tu répondes clairement sans mentir. Depuis quand n’as-tu pas baisé ?
— … Presque… Presque un an Didier… répond-elle en rougissant.
— Attends, ce n’est plus Didier, mais Monsieur maintenant, compris ?
— oui Did… Oui Monsieur.
— Bien ! Ta chatte doit être remplie de toiles d’araignée non ! Mais ce n’est pas une question.
Je cherche à l’humilier le plus possible afin qu’elle soit bien malléable par la suite.
— Qui est le dernier à t’avoir baisée ?
— Mon mari monsieur !
— Et il te baise comment ?
— Classiquement Monsieur ! Dans la position du missionnaire !
— Et tu as joui ?
— Non, Monsieur !
— Quand as-tu joui pour la dernière fois ?
— Euhh… Hier soir Monsieur ! Dit-elle vraiment gênée.
— Et comment as-tu fait ? Ton mari est parti non ?
— Euhhh… je me suis caressée et doigtée Monsieur.
— Quelle petite cochonne ! La dirigeante d’entreprise se doigte chez elle quand elle est toute seule ! Sais-tu sucer ?
— Un peu, mais je n’ai pas pratiqué beaucoup Monsieur ! Répond-elle en rougissant encore plus de ma remarque précédente
— Ça s’apprend ! As-tu déjà été enculée ?
— Non jamais Monsieur. Répond-elle d’un air dégoûté.
— On va y remédier.
Je la vois pâlir, mais je continue :
— As-tu déjà été baisée par plusieurs hommes ?
— Non jamais Monsieur !
— Il faudra y remédier aussi.
Puis je finis par la question cruciale :
— Prends-tu la pilule ?
— Non, Monsieur Didier. J'ai un stérilet...
— Je veux que tu prennes la pilule, tu iras chez le docteur Pierre Richet pour qu'il te le retire et te prescrive la pilule.
— Oui Monsieur Didier...
Je me réjouis de son air effrayé et de son rougissement qui ressort bien sur sa peau blanche de rousse. Je me lève alors du canapé et m’approche d’elle. J’approche mon visage très près du sien et je lui dis :
— Je ne veux pas que tu bouges !
Je descends ma main sur sa chatte, prends ses poils pubiens à pleine poignée et tire violemment dessus.
— AIE ! AIE ! AIE ! crie-t-elle en essayant de rester immobile.
— C’est vraiment trop touffu ici, une vraie forêt vierge, tu m’enlèveras tout ça, compris ?
— Oui Monsieur ! répond-elle en essayant de reprendre son souffle après cette douleur subite.
Je passe derrière elle et commence à palper son cul. Toujours dans l’idée de l’humilier au maximum je dis :
— Quel gros cul ! Un vrai cul de grosse vache, tu ne penses pas ?
— Oui Monsieur !
Je repasse devant elle et m’occupe maintenant de sa poitrine. Je soupèse ses seins, les tripote. Je pince ses tétons et je les tords. Je la vois grimacer sans se plaindre. Soudain je donne une claque sur chaque sein. Charlotte a le souffle coupé et pousse un cri, mais elle garde la position. Le contour de ma main s’imprime en rouge sur chacun de ses seins.
— Bien, tu sais obéir !
Ma main redescend sur sa toison pubienne tandis que je la regarde dans les yeux, je vois s’afficher de la peur, elle craint que je tire encore violemment dessus. Mais mes doigts se glissent jusqu’à ses petites lèvres que j’écarte. Je m’aperçois qu’elle mouille et abondamment. Elle est excitée. Je glisse facilement deux doigts dans son antre et je les retire recouvert de son jus. Je les monte jusqu’à son visage et dis :
— Tu mouilles Charlotte ! Ça te plaît ce traitement ?
— …
Elle n’ose pas répondre.
— Je ne répéterai pas ma question !
— Euhhh … Oui Monsieur ! dit-elle d’une petite voix.
— Ouvre la bouche !
Elle obéit et je mets mes doigts dans sa bouche. Je les essuie sur sa langue et les enfonce plus loin. Elle écarquille les yeux. Ce n’est sûrement pas quelque chose à laquelle elle est habituée.
— Nettoie mes doigts !
Elle essaie tant bien que mal de bouger sa langue autour de mes doigts, mais ça ne suffit pas, alors elle ferme la bouche, aspire et avale son jus.
Je sors mes doigts et je redescends ma main sur sa chatte. J’introduis maintenant trois doigts dans son sexe et je commence un va-et-vient. Je me débrouille pour que mon pouce vienne frotter son clitoris. Je vois que la respiration de Charlotte devient saccadée, alors j’accélère mon mouvement. Je lui branle la chatte et après un moment je vois ses yeux rouler dans sa tête. Elle pousse un long gémissement alors que ses genoux flanchent. Je la retiens debout jusqu’à ce qu’elle reprenne ses esprits.
— Une bonne petite salope ! Tiens, lèche ma main !
Elle obéit et se délecte de sa cyprine. Je retourne m’asseoir sur le canapé. Je lui ordonne alors de s’approcher de moi à quatre pattes. Elle s’agenouille et avance vers moi. Ses seins pendent et se balancent sous elle à chaque pas. Arrivée devant moi elle s’arrête.
— Bon je veux que tu me masturbes et que tu recueilles mon sperme dans tes mains. Ensuite tu le mettras dans ta bouche et tu me montreras, puis tu l’avaleras. Je veux te voir tirer la langue et me montrer ta bouche vide.
Elle ouvre mon pantalon, sort ma bite déjà raide et commence à la caresser, puis elle me branle en s’appliquant le plus possible. Comme je suis bien excitée par cette séance, et regardant Charlotte, cette belle rousse plantureuse à ma merci, il ne faut pas longtemps avant que j’éjacule. Mon foutre sort en jets de ma bite et Charlotte a bien du mal à tout récupérer. Il lui en tombe même sur le nez. Elle lèche ses mains et me montre mon sperme dans sa bouche. Puis elle avale avec une petite grimace et me montre que sa bouche est vide.
— Bien ! Casse-toi maintenant ! dis-je durement.
Mon ton sec la surprend, mais elle se lève, rejoint le tas de ses vêtements et commence à s’habiller.
— Sors de chez moi ! Va te rhabiller ailleurs !
Après qu’elle ait fermé la porte, ses vêtements dans ses bras, je rigole en pensant qu’elle se retrouve nue sur mon palier, complètement humiliée. La femme d’affaires, la bourgeoise arrogante se retrouve sur mon palier à poil, c’est hilarant.
******
Charlotte :
Je suis agréablement surprise par la réponse de mon voisin. Jusqu’à présent, il me semblait si distant, mais je perçois bien qu’il ne semble pas m’apprécier.
Dans l’appartement, je vérifie rapidement les devoirs des enfants. Décidément, il va vraiment falloir que nous leur trouvions une école digne de ce nom. Il faudra que je me renseigne sur les écoles privées des environs.
Je prépare rapidement le repas du soir pour que tout soit prêt quand François arrivera. Avec ses horaires à rallonge, il va encore manquer le coucher des enfants.
François arrive enfin. Je viens juste de finir de les coucher et je profite d’un peu de calme en regardant une émission sans grand intérêt à la télé.
— Le repas est prêt... lui dis-je.
— Heureusement, je l’entends grommeler. J’ai passé une journée épouvantable. Ces Russes sont absolument abominables. J’avais déjà du mal avec les Américains, mais alors les Russes...
—Je sais mon chéri. J'en ai aussi dans ma clientèle. Mais ils ont de l’argent, tout comme les Chinois et les Arabes...
— Mouais...
Je me lève pour me rapprocher de lui. Il me fait un bisou furtif au coin des lèvres avant de s’installer à table.
Il attrape la télécommande et passe sur une chaîne d’information en continu, plus absorbé par les paroles des journalistes que par ce que je lui raconte sur les enfants.
— Au fait ! J’ai croisé le voisin en rentrant... Je lui ai proposé de venir prendre l’apéritif vendredi soir. Tu ne rentreras pas trop tard...
— Oui... Oui...
Je comprends bien qu’il n'a pas vraiment écouté ce que je viens de lui dire. À la fin du repas, je le laisse débarrasser et finir de ranger avant de prendre une douche et d’enfiler mon pyjama. Je reste nue sous mon pyjama court, mais je sais bien que François ne me touchera pas encore cette nuit.
La semaine se passe sans grand évènement, j’ai juste été troublé par la réception d’une relance de facture qu’il me semblait avoir payée. Encore une fois, une preuve de l’incompétence d'Adeline. Il faudra peut-être que je pense à m’en débarrasser.
Tous les matins, nous croisons Albert qui astique le hall d’entrée. Thomas et Clothilde ont pris l’habitude de l’embrasser. Cela me gêne un peu, mais je les laisse faire. Je le salue en souriant. Je suis presque certaine que lors je lui tourne le dos, ses yeux sont fixés sur mes fesses. Mais après tout, pourquoi le priver de ce plaisir.
Le vendredi matin, je rappelle à François notre invité de ce soir. Bien évidemment, il avait oublié. Mais il me promet d’être à l’heure.
Je suis encore dans la cuisine où je viens de faire manger les enfants quand on sonne à la porte. C’est notre voisin. Je demande à François d’aller ouvrir, et je les entends se saluer. Quand j’arrive dans le salon, les enfants ont obéi pour une fois et ils sont montés dans leurs chambres.
Je rougis quand Didier me félicite pour ma tenue et me tient longuement la main. Par réflexe, j’ai retenu un mouvement vers lui pour lui faire la bise. Mais dans mon dos, je réalise que François est encore perdu devant le bar. En me penchant pour attraper les bouteilles, je ne peux m’empêcher de le trouver mon voisin bel homme dans son costume et sa lavallière. Qui porte encore ce genre d’accessoire de nos jours ? Il n’y a pas à dire, François ne lui arrive pas à la cheville.
Je sers les verres et invite notre invité à s’asseoir pendant que je vais chercher de quoi grignoter à la cuisine.
— Excusez-moi ! Ce ne sont que des surgelés que j’ai réchauffés, mais vous savez ce que c’est quand on travaille... On n’a pas le temps à perdre à faire de la grande cuisine.
Comme à son habitude François s’est installé dans le canapé du fond, il ne me reste plus que celui qui fait face à Didier. Je pose le plateau sur la table basse, en me penchant un peu sous son regard. Je suis certaine qu’il regarde dans mon décolleté. Au lieu de me mettre en colère, cela me flatte.
Une fois assise, je réalise mon erreur. Tel que je suis installée, j’offre une vue plongeante sur ma culotte sous ma jupe à Didier. À son sourire, je comprends qu’il a vu. Je baisse les yeux en rougissant. Il serait malvenu de changer de place.
— À notre rencontre ! Lance François en levant nos verres.
Nous trinquons et nous commençons à parler. Didier nous apprend qu’il possède la quasi-totalité de l’immeuble. Au premier étage vivent deux couples de personnes âgées. Et Albert habite dans la loge du rez-de-chaussée. J’apprends qu’il loue six chambres de bonne à des étudiants, et qu’il est à la tête d’une fortune considérable.
François est impressionné et lui parle de son métier, de ses affaires, des projets de son entreprise. Je lui raconte mon expérience professionnelle et comment j’ai peu à peu réussi à faire mon trou dans le secteur du voyage.
C’est alors qu’un de nos enfants appelle.
— Sûrement un cauchemar, dis-je.
— Vous devriez aller voir, me dit Didier. Et si cela ne vous gêne pas, accepteriez-vous de me faire visiter rapidement ? Je savais que les anciens propriétaires avaient fait réaménager pour faire ce duplex, mais je ne l’ai jamais vu fini.
— Non ! Bien sûr vous pouvez venir avec moi.
— Oui ! dit François, sans lever les yeux de son téléphone.
J’invite Didier à me suivre. Il est tout près de moi quand je monte l’escalier en colimaçon qui permet l’accès à l’étage. C’est tout juste si je ne sens pas son visage contre mes fesses.
Je calme Clothilde qui avait effectivement fait un cauchemar. Après un câlin et un bisou, elle se rendort.
Je sors de la chambre de ma fille et me prépare à continuer la visite quand Didier me toise et me fixe.
— Charlotte, tu es une femme élégante, mais tu as fait une faute de goût dans ta tenue...
Je le regarde stupéfaite, pour qui se prend-il pour me tutoyer ainsi ? Mais je ne veux pas faire de scandale, surtout avec les enfants qui dorment à côté et je me contente de serrer les dents.
— En effet ! Avec une jupe pareille, on ne met pas de culotte, à la limite un string ! Retire-moi cette culotte immédiatement !
— Mais...
— Il n’y a pas de "mais" qui tiennent. Veux-tu que j’appelle ton mari pour lui demander ce qu’il en pense ?
— Non... Non... dis-je en bafouillant.
Je commence à me tourner pour lui obéir, affolée, effrayée. Mais, il me retient par le bras.
— Non ! Face à moi ! Regarde-moi et soulève ta jupe !
Rouge de confusion, je retrousse lentement ma jupe, je lui dévoile alors une culotte de coton blanc avec des fleurs.
— J'attends ! dit-il.
En tremblant, je fais glisser ma culotte sur mes cuisses. Il peut voir mon intimité, ma toison rousse, je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Sans un mot, il me tend la main.
— Donne !
Je lui tends ma culotte. Il la prend et la porte à son nez avant de la glisser dans sa poche. Je veux rajuster ma jupe, mais il m’en empêche.
— Fais-moi visiter comme cela... et prends ton temps !
Je le précède dans le couloir et lui indique la chambre de Thomas qui dort, je lui ouvre notre suite parentale. Il me demande à voir la salle de bain. Je finis par la chambre d’ami. J’essaye de rester naturelle en lui disant.
— Elle peut aussi servir pour la baby-sitter quand nous sortons le soir. Comme cela elle peut rester dormir ici et elle n’a pas besoin de rentrer chez elle, tard dans la nuit, mais nous n’en avons pas encore trouvé.
Il opine du chef sans me parler. Je me prépare à retourner vers le salon. Arrivée en haut des escaliers, je le regarde implorante. Je ne peux pas descendre avec la jupe remontée, la chatte et le cul à l’air.
— Tu peux baisser ta jupe ! Mais assise, tu gardes tes genoux écartés...
— Oui ! dis-je en soufflant.
Je chuchote même un “Merci !”
Quand nous arrivons au salon. François fait les cent pas au téléphone. Il est énervé. Il raccroche et nous regarde.
— Ma chérie, il y a un problème sur un site de production. Il me faut absolument partir. Je ne sais pas quand je pourrais rentrer du week-end.
Il regarde Didier en s’excusant.
— Apparemment, il y a eu une explosion, on ignore si c’est un accident ou autre chose.
— Je comprends ! dit Didier. Ne vous inquiétez pas, je prendrais soin de votre charmante épouse.
Mon voisin me fixe et il se dirige vers la porte. Il a toujours ma culotte dans sa poche.
— À bientôt !
Je regarde mon mari.
— C’est quoi cette histoire d’explosion ?
— Regarde la télé, ça fait le tour des chaînes d’infos... Un taxi m’attend en bas pour m’emmener à l’aéroport. Je prépare mes affaires et j’y vais.
En effet, je découvre les images de la catastrophe. François m’embrasse en partant et je me retrouve seule.
Choquée par ce que je viens de subir avec Didier, je n’arrive pas à trouver le sommeil.
A deux heures du matin, je n'arrive toujours pas à dormir. Je décide alors de faire ce que j'ai trouvé de mieux pour m'endormir, me caresser et jouir. Je glisse mes doigts entre mes cuisses et je commence à jouer avec mon clitoris. Je remue dans le lit, je peux me permettre de le faire, seule dans ce grand lit. Rapidement, j'atteins l'orgasme et je jouis en silence. Je maîtrise cela parfaitement, car il m'arrive régulièrement de faire cela, lorsque je me sens en manque et que François n'a pas daigné m'honorer. Immobile, silencieuse dans le lit, je me fais jouir à côté de mon homme endormi.
Je suis réveillée par Clothilde qui grimpe dans mon lit.
— Maman ! J'ai faim…
— Oui ma chérie, je vais te préparer ton chocolat…
Reprendre mon rôle de mère me permet d'oublier l'humiliation subie hier soir avec Didier. Quelle audace ! Oser faire cela sous les yeux de mon mari ou presque… me dis-je. Mais en même temps, je n'ai rien fait pour l'en empêcher. Il faut reconnaître que son regard, sa voix m'ont conquise. Je dirais même séduite. L'autorité naturelle qui se dégage de cet homme est incomparable. C'est un homme, un vrai. Rien à voir avec François qui se laisse trop souvent marcher sur les pieds.
Je me lève en pyjama et je prépare le petit-déjeuner. J'explique aux enfants que leur père a dû s'absenter pour le travail. Cela ne les perturbe même plus tellement c'est devenu fréquent. Papa n'est pas là, c'est normal.
La matinée est déjà bien avancée quand un enfant dans chaque main, je traverse le hall pour aller faire des courses. Comme d'habitude depuis le début de la semaine, ils me lâchent pour aller embrasser Albert, toujours fidèle au poste. Je le vois se pencher pour les serrer dans ses bras. J'ai presque de la peine pour lui, seul, ici dans un pays étranger, sans famille, sans enfants. Mais je me ressaisis. Je ne vais tout de même pas lui montrer de l'empathie.
— Bonjour Madame Charlotte !
— Bonjour Albert !
Tiens, il m'appelle par mon prénom, cela me surprend un peu, mais je sais aussi que c'est une manière courant pour eux de nous appeler ainsi.
— Monsieur Didier m'a demandé de vous remettre cette enveloppe.
-Merci ! lui dis-je en prenant l'enveloppe qu'il me tend.
Je la glisse dans mon sac à main et après avoir vérifié que les enfants sont bien installés dans la voiture, j'ouvre cette enveloppe.
"Ce soir, une étudiante qui habite dans un de mes studios viendra à vingt heures faire du baby-sitting chez toi. Je veux que tu me rejoignes un quart d’heure plus tard. Je veux que tu t’habilles en bourgeoise sexy. Ça veut dire sous-vêtements en dentelle, chemisier et jupe classe, porte-jarretelles, bas et talons hauts. Ne sois pas en retard"
Par réflexe, je froisse le papier et le jette en boule par la fenêtre. Il tombe dans le caniveau et il est emporté au loin.
Non ! Mais pour qui se prend-il ! Il est hors de question que je fasse ce qu'il me demande. Je ne suis pas une pute !
Je me gare énervée sur le parking du centre commercial, en ayant insulté plusieurs automobilistes au passage. J'essaye de me calmer et le désir de Thomas d'aller chercher le caddy pour les courses finit de faire tomber ma colère. Je me mets à réfléchir.
Enfin ! Un homme qui semble avoir de l'intérêt pour moi ! Et qu'est-ce que je risque ? Une bonne partie de jambes en l'air me fera du bien, depuis le temps que François m'ignore…
Je prends ma décision, j'irai voir Didier chez lui ce soir. De plus il m'a trouvé une baby-sitter, je n'ai même pas besoin de m'en occuper. Par contre je suis un peu plus embêtée par sa demande pour mes dessous. Ce n'est vraiment pas le type de sous-vêtements que je mets, de la dentelle et un porte-jarretelles. Encore un fétichiste de l'ensemble trois-pièces ! Où vais-je pouvoir trouver cela ? Il y a bien un rayon sous-vêtements au supermarché, mais il mérite mieux que des dessous bon marché. Je me rappelle alors avoir vu une boutique de lingerie dans la galerie marchande. Avec les enfants ce ne sera pas très pratique, mais je ferai vite.
Je traverse les rayons du supermarché de manière organisée et efficace. Avec le chariot plein, je retrouve cette boutique.
— Restez à côté du caddy, les enfants, je n'en ai pas pour longtemps.
Je rentre dans la petite échoppe en gardant un œil sur les enfants. Rapidement, je trouve ce que je cherche, un ensemble coordonné, mais s’il y a des culottes en taille 40, impossible de mettre la main sur un 90C pour le soutien-gorge. Heureusement la vendeuse vient à mon secours et s'empresse d'aller en chercher un dans la réserve. À la caisse, je rougis un peu en lui demandant si elle a des bas qui vont avec le porte-jarretelles.
— C'est pour faire une surprise à monsieur ! me dit-elle en souriant.
De quoi je me mêle, pensé-je. Mais je n'ai pas envie de polémiquer, il me faut ces bas.
— Je vous propose ceux-là ! Et si vous voulez un conseil, enfilez votre culotte après les bas… mais je dis ça, je dis rien…
Je la remercie et règle mes achats pour rejoindre au plus vite mes enfants.
Dans l'après-midi, je regarde plus attentivement ce que je viens d'acheter. Je ne vais pas avoir le temps de les passer à l'eau et je n'aime pas porter des sous-vêtements sans les avoir lavés avant, mais je n'ai pas le choix. J'ai aussi eu François au téléphone qui me dit que l'accident est vraiment grave et qu'il va être absent plus d'une semaine. Peut-être pourrais-je demander à la baby-sitter si ses horaires lui permettent d'aller chercher les enfants après l'école ?
Plus l'heure approche et plus je suis énervée. Je me sens comme une adolescente qui se rend à son premier rendez-vous amoureux. Didier me renvoie à mes émois adolescents, jamais je n'aurais imaginé cela.
Pendant que les enfants jouent dans le salon, je me prépare. Que m'a dit la vendeuse ce matin au sujet des bas ? Je ne m'en souviens plus. Tant pis et je commence par mettre ma culotte avant de fixer les bas au porte-jarretelles. Je me regarde dans le miroir ainsi. Je ne me reconnais pas. D'habitude je me vois en culotte et soutien-gorge de coton blanc.
L'heure approche, je passe rapidement me rafraîchir le visage dans la salle de bains quand on sonne à la porte. Ce doit être la baby-sitter envoyée par Didier.
J'ouvre et découvre Rachel dans une jupe plissée vraiment courte et un chemisier trop petit pour elle. Décidément, il va falloir quelque chose pour cette pauvre petite ! Ces tenues sont vraiment bonnes à jeter.
— Bonsoir Madame ! Monsieur Didier m'a dit que vous aviez besoin de moi pour garder vos enfants ce soir !
— Oui ! Et je te remercie… tu es vraiment gentille de venir comme cela. J'espère que cela ne te dérange pas ?
— Oh non, madame, j'ai emmené de quoi travailler quand ils seront couchés.
Je souris, j'espère que mes enfants seront aussi studieux qu'elle quand ils seront étudiants. Je lui explique rapidement la personnalité des enfants et ce qu'il faut faire pour les rassurer en cas de besoin, mais je ne m'inquiète pas. Elle semble avoir l'habitude et Clothilde trouve de suite une amie pour jouer.
À mon tour… me dis-je.
Je respire un grand coup et je vais frapper à la porte de Didier. Il vient m'ouvrir aussitôt. Il est toujours aussi élégant, il me fixe et me fait signe d'entrer dans le salon. Alors que je me prépare à m'asseoir, il me reprend d'un ton ferme. Je reste debout et me fige comme il me le demande.
Il tourne autour de moi, regarde ce que je porte sous ma jupe et entrouvre mon chemisier. Je tente de calmer ma respiration quand il m'affirme que j'ai besoin d'être prise en main et dressée. Je murmure un oui inaudible, puis il me demande de me mettre nue, de ne garder que les bas, le porte-jarretelles et mes chaussures. Ça y est ! me dis-je. Nous y sommes !
Je fais glisser ma jupe à mes pieds puis retire mon chemisier. J'hésite un peu avant de retirer ma culotte.
C'était ça ! Il fallait enfiler la culotte en dernier… Je suis obligée de dégrafer les bas puis de les refixer pour retire ma culotte. Cela dure plus longtemps.
Dans un réflexe de pudeur, je cache mon sexe et ma poitrine avec mes mains après avoir ôté mon soutien-gorge. Cela ne plaît pas à Didier qui m'ordonne de les poser sur ma tête. J'ai honte. Je suis totalement à sa merci. Il est assis sur le canapé, il m'inspecte de haut en bas, puis il commence à me poser une série de questions sur mon intimité. Je rougis encore plus humiliée. Mais je lui dis la vérité, certaine qu'il se rendrait compte de mes mensonges. Quand il me parle de la pilule, je n'en reviens pas.
Pourquoi ne veut-il pas du stérilet ? Pourquoi veut-il que je prenne la pilule ? J'ai toujours peur de l'oublier et de risquer de tomber enceinte. Il est vrai que le risque est nul au vu de la fréquence de mes rapports avec François. Mais si Monsieur, il veut que je l'appelle comme cela maintenant, me fait l'amour, cela reviendra au même, j'aurais toujours ce risque au-dessus de ma tête.
Il se lève enfin et il s'approche de moi, je sens son souffle sur mon visage. Il plaque sa main sur mon pubis et me tire sur les poils. Je crie, il me fait mal. Il semble dégoûté, je m'épilerai dès que possible comme il le souhaite. J'en ai encore des larmes aux yeux quand il me palpe les fesses et me lance :
— Quel gros cul ! Un vrai cul de grosse vache, tu ne penses pas ?
— Oui Monsieur…
Quelle honte ! Jamais on ne m'avait parlé comme cela, mais malgré tout, je sens des papillons dans mon ventre. L'attitude de Monsieur m'excite. Il vient ensuite me tripoter les seins et il leur donne une violente gifle à chacun. En baissant les yeux, je peux voir la marque de ses doigts sur ma peau laiteuse. Je n'ai pas bougé. Il me félicite, mais je vois sa main retourner vers mon bas-ventre. Instinctivement, j'ai un mouvement de recul auquel il ne semble pas prêter attention.
C'est alors que je sens ses doigts me pénétrer et me fouiller. Je frémis. Il les ressort et il me les passe sous le nez. Je sens mon odeur intime. Je suis trempée.
— Tu mouilles Charlotte ! Ça te plaît ce traitement ?
— …
Je ne sais que répondre, et surtout, comment répondre.
— Je ne répéterai pas ma question !
— Euhhh … Oui Monsieur ! Dis-je d'une voix de petite fille, prise en faute.
— Ouvre la bouche !
J'ouvre les lèvres et j'ai alors le goût de ma mouille sur ma langue, je grimace. Mais le pire arrive quand il entre profondément ses doigts dans ma bouche et qu'il me demande de le nettoyer. Ses doigts presque dans ma gorge me donnent la nausée, je ne peux pas bouger ma langue, je sens que je bave. Je ferme alors ma bouche et je déglutis, avalant ma salive au goût de ma chatte.
Il retire alors ses doigts pour les introduire de nouveau en moi. Mais, en plus, je sens son pouce sur mon clitoris. Avec un talent incomparable, il trouve mes zones les plus sensibles et les plus excitables. Rapidement, je ne peux plus résister et dans un gémissement, je jouis. Je flageole, heureusement qu'il me retient sinon je serai tombée au sol.
Il présente de nouveau ses doigts à ma bouche. Cette fois sans hésiter je les suce, je bave dessus pour les lui nettoyer. Quand j'ai dégluti, il retourne s'asseoir dans le canapé. À sa demande, je dois venir le rejoindre à quatre pattes. Je sens ma poitrine remuer à chaque mouvement. Je le vois se délecter de ce spectacle humiliant. Puis il me demande une chose que personne ne m'a jamais demandée :
— Bon ! Je veux que tu me masturbes et que tu recueilles mon sperme dans tes mains. Ensuite tu le mettras dans ta bouche et tu me montreras, puis tu l’avaleras. Je veux te voir tirer la langue et me montrer ta bouche vide.
Étonnée, je m'attendais à ce qu'il me fasse l'amour, je commence à le caresser avec mes doigts, je le masturbe comme il m'arrivait de le faire à François. Il doit être bien excité, car il gicle rapidement. J'ai du mal à tout récupérer dans mes mains, et je reçois même la première giclée sur le visage. Je lèche mes mains couvertes de sperme en faisant attention de ne pas avaler. Quand mes mains sont propres, j'ouvre la bouche et tire la langue pour lui montrer qu’elle est pleine de son foutre. Il me fait un signe discret qui me fait comprendre que je peux avaler. J'avale tout rapidement en espérant qu'il ne se rende pas compte que je déteste cela, il risquerait d'être en colère. J'ouvre de nouveau ma bouche pour lui montrer que j'ai bien obéi.
Alors cet ordre sec, glaçant tombe :
—Bien ! Casse-toi maintenant !
Incrédule, stupéfaite, je ramasse ma culotte pour me rhabiller. Un nouveau commandement :
— Sors de chez moi ! Va te rhabiller ailleurs !
Je prends vite mes vêtements et je sors nue sur le palier. J'entends la porte claquer derrière moi. En larmes, encore plus en colère qu’hier soir par l'attitude de Didier, je remets rapidement ma jupe et mon chemisier pour descendre à mon appartement.
Devant la porte, je reprends contenance pour ne pas montrer mon trouble à la jeune Rachel. Je la vois, studieuse dans le salon en train de travailler.
—Oh ! Bonsoir Madame ! Je ne vous attendais pas si tôt ! La soirée s'est bien passée ?
— Oui Rachel ! Merci ! Et pour toi, cela a été avec les enfants ?
— Oh oui, Madame, ils ont été adorables et j'espère que les miens seront aussi bien élevés que les vôtres quand j'en aurai. Je serais ravie de revenir les garder, Madame !
Je lui souris, décidément cette petite m'impressionne. Sa manière de parler de mes enfants fait retomber ma colère. Je revis en images et en mots la soirée, serais-je capable de revivre une telle humiliation ?
Je demande alors à Rachel, si elle est d'accord pour prendre les enfants à la sortie de l'école.
— Il faudra que je voie en fonction de mes diverses obligations, mais cela me ferait plaisir. Bien sûr !
— Que fais-tu comme études ?
—Je suis en troisième année d’économie.
Elle me parle alors de ses études, de ses parents qui l'aident à les financer. Je lui promets de la rémunérer à la hauteur de son investissement. Elle me remercie.
Cette discussion m'a complètement calmée et je me souviens de l'exigence de Didier concernant ma toison pubienne.
— Dis-moi Rachel ! Demain, je veux emmener les enfants à la piscine, cela fait longtemps que je ne me suis pas fait le maillot… Et ce matin, en faisant les courses, j'ai oublié d'acheter de la crème dépilatoire. En aurais-tu ? Je te la rembourserai !
— Oui Madame ! Bien sûr !
— Est-ce que tu peux aller m'en chercher ?
— Bien sûr Madame… Je reviens.
Pendant qu'elle va chercher la crème, je lui prépare une enveloppe avec son salaire pour la soirée, plus un bonus pour la crème.
Elle revient quelques minutes plus tard et nous échangeons, enveloppe contre crème. Quand elle regarde l'enveloppe, elle lève la tête vers moi, surprise.
— Tant que cela ! Madame ! Il ne fallait pas…
— Mais si ! Tu le mérites.
Quand je me retrouve seule, je soupire. Cette soirée ne s'est pas du tout passée comme je le pensais, mais au moins, j'ai trouvé une baby-sitter.
Dans le lit, je me passe le film de la soirée en boucle. Plus je me souviens et plus je suis excitée. Oui ! Monsieur est bien l'homme qu'il me fallait. Je m'endors après m'être caressé et avoir joui une nouvelle fois.
A suivre...
excellent, bonne progression crescendo
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