Histoire de George VI traduite par Coulybaca.
Suite et fin des aventures de Linda.
8° LA PARTOUZE :
Linda, haletante et suffocante gisait sur les genoux de Karl, des larmes délayaient son maquillage. Lorsque Karl eut suffisamment recouvré son souffle, il dut repousser Linda pour se relever. Linda vacillait sur ses jambes et rapidement s'écroula sur le canapé entre James et Larry. Les deux proches collègues de son mari tendirent les mains et empoignèrent ses nichons.
Linda était humiliée, mais ne se trouvait en position ni physique ni mentale d'objecter. Elle restait assise, passive les autorisant à poursuivre leurs caresses lascives. Larry saisit une de ses mains et la plaça sur son entrecuisse au-dessus du pantalon. Docilement Linda empauma la bosse saillante et la caressa lentement.
Au bout d'un moment Larry lui fit stopper ses caresses pour déboutonner la braguette de son pantalon et descendre ce dernier sur ses genoux, sa grosse bite jaillit à l'air libre. Linda tendit la main et empoigna sa mentule déployée.
James imita rapidement son comparse et Linda empoigna de même son membre dressé.
Ils reprirent en main ses nibards, les secouant, les serrant, les étirant les pelotant copieusement, roulant ses mamelons sensibles entre le pouce et l'index sous les yeux des spectateurs ravis et stupéfaits. Chacun leur tour ils roulèrent des patins enfiévrés, explorant de leurs langues la bouche de leur victime consentante.
Puis ils embouchèrent ses tétons, les léchant, les mordillant, les mâchouillant les suçant lubriquement.
James tendit la main vers son entrecuisse et caressa des doigts sa chatte désherbée, puis il inséra deux doigts dans son fourreau et les agita voluptueusement.
Linda ressentait à nouveau honte et excitation mêlée. Elle soupirait tout en tortillant des hanches. Qu'importe l'humiliation qu'elle éprouvait sous ces caresses indésirées, elle ne pouvait s'empêcher de gémir et de se trémousser. Ses yeux tantôt ouverts, tantôt fermés, ne reflétaient que le vide.
Larry murmura à son oreille :
- Suce-moi comme tu as sucé Ron dans la piscine !
Servilement Linda s'installa à genoux entre ses cuisses et éteignit sa bite entre ses lèvres chaudes et douces. Comme elle lui taillait une pipe, elle tendit la main continuant à branler langoureusement James.
Will un des ambitieux sous-fifres de Glenn se posta dans son dos. Il n'était pas particulièrement bien fait de sa personne, plutôt râblé, mais il était doté d'une personnalité des plus agressives. Bien qu'ivre il n'allait pas laisser passer une telle occasion de se faire la femme de son chef. Depuis qu'il avait rencontré Linda il pensait que son chef était drôlement verni d'avoir si ravissante femme.
Linda s'était toujours montrée aimable avec lui lors des réunions de la compagnie, mais il pensait qu'elle était rudement prude et coincée du trou du cul. Il était sceptique depuis qu'il avait entendu ses copains raconter comment elle s'était occupée du patron dans la piscine. Pourtant ce matin même il l'avait vue vêtue de son microscopique bikini transparent qui révélait tous ses appâts. Il l'avait vu sucer le patron de son mari, et comprenait maintenant pourquoi Glenn était si apprécié de sa direction.
Et maintenant elle suçait effrontément la queue de cet homme après s'être fait prendre par le grand patron sous les yeux d'une nombreuse assistance, formée par les collègues et les clients de son mari, qui se régalait de reluquer ses charmes.
Il se demandait comment cette salope pouvait se comporter avec autant d'impudence.
Will s'agenouilla derrière Linda, il baissa la fermeture éclair de son pantalon et le tira avec son caleçon sur ses genoux, sa bite jaillit agressivement à l'air libre. Il jeta un œil, entre ses jambes bien écartées, sur sa chatoune rasée, pointa son gland sur sa fentine et s'enfouit lentement en elle.
Instinctivement Linda grogna mais continua à sucer son partenaire en trémoussant son cul. Elle jeta un œil par-dessus son épaule le temps de réaliser qu'elle se faisait baiser par Will, son cadet de 13 ans, elle était bien trop désarmée pour l'en empêcher.
Will coulissait aisément dans la chaude cramouille détrempée de Linda, il savourait pleinement cette levrette.
Mick un des autres sous-fifres de son mari s'assit à coté de Larry, il sortit impatiemment sa bite et le lui donna à branler.
Inconsciemment Linda suçait avec art Larry lui accordant une pipe aussi savoureuse que juteuse, avec un total détachement elle branlait James et Mick simultanément. Elle ne pouvait ignorer la bite de Will qui la labourait en profondeur, son pubis claquant contre ses fesses à chaque coup de boutoir.
Les hommes qui n'étaient pas directement impliqués dans cette scène lubrique tournaient autour un verre à la main. Ils observaient avec attention les lèvres de Linda coulisser sur la grosse bite de Larry alors qu'elle manipulait habilement les bites de James et Mick entre ses doigts manucurés, alors que son cul dansait sous les assauts répétés de Will.
"Comment peuvent-ils me faire ça à moi ?" se demandait Linda.
Elle aurait aimé qu'on lui montre un certain respect et que quelqu'un intervienne pour faire cesser tout ça ! " J'avais des rapports des plus corrects avec tous ces hommes, ils semblaient me respecter... Mais à l'instant même où ils en ont eu l'occasion ils m'ont traitée comme une poupée de chair juste bonne à assouvir leurs appétits luxurieux ! Ils ne m'ont plus du tout considérés comme une personne, mais comme un OBJET SEXUEL !".
Linda n'avait jamais réellement réfléchi à cette notion d'objet sexuel auparavant. "Comment ai-je pu être aussi aveugle ? Chaque fois qu'un homme semblait me montrer du respect, en réalité il espérait juste profiter de mes charmes ! C'est vraiment le seul véritable but de ces hommes, goûter aux appâts de toutes les femmes qu'ils croisent !".
Larry ne put se retenir plus longtemps, il grogna plusieurs fois, son premier grommellement alerta Linda, lorsqu'il s'enfouit au fin fond de sa gorge, elle recula la tête, relâcha sa bite, les jets de foutre s'écrasèrent sur son visage, elle ferma les yeux alors que l'épaisse purée envahissait ses narines, ses joues, sa chevelure et ses yeux. Les yeux fermés pour éviter que le foutre ne s'insère sous ses paupières le visage couvert de semence blanchâtre elle continuait à branler James alors que Will se démenait vigoureusement au cœur de sa féminité embrasée.
Soudain Will s'extirpa de sa chatte et cracha des flots de foutre sur le cul et le dos de Linda.
Linda s'effondra sur les genoux de Larry. Mais il se releva rapidement tandis que James se glissait à sa place. Elle leva les yeux vers James, puis regarda sa bite et entreprit de le su-er à son tour.
L'un des clients de Glenn remplaça Will dans son dos.
Et bientôt elle se retrouva à nouveau suçant une pine alors qu'une autre l'embrochait en levrette. Cette fois avant que l'homme ne s'épanche en elle, elle se mit à grogner et gémir, se trémoussant alors qu'elle succombait à son tour à un puissant orgasme.
Après plusieurs pipes et plusieurs levrettes, Linda vit s'approcher Brett qui posa ses mains sur elle. Brett était aussi un jeune employé de son mari, elle se sentait secrètement attirée par lui. Ce n'est pas qu'elle espérait avoir une aventure avec lui, mais il était grand, souriant, avenant et au demeurant extrêmement séduisant. Elle aimait bien le rencontrer lors des réunions de l'entreprise. Linda espérait que ce charmant jeune homme mettrait fin aux humiliations sexuelles qu'elle subissait, mais au lieu de répondre à ses vœux, il l'empoigna et la coucha au sol.
La ravissante femme couverte de foutre était allongée sur le dos, il l'enfourcha et s'accroupit sur son torse. Il introduisit un puis deux, puis trois doigts dans sa foufoune les agitant vivement en elle tout en lui riant au nez. Linda gémit alors qu'il lui évasait douloureusement le goulot.
Elle leva les yeux et vit que tout ce petit monde la regardait avidement, mais il semblait que c'était au tour de Brett de profiter de ses charmes. Elle ouvrit les cuisses en grand l'invitant silencieusement à la posséder, mais Brett ne voulait pas la baiser, au lieu de cela, il enleva pantalon et caleçon, se posta au-dessus de Linda et s'abaissa sur ses miches.
Il enfourcha sa lourde poitrine et inséra sa grosse bitte entre ses nichons. Il lui prit alors la main et l'invita à presser ses deux nibards l'un contre l'autre alors qu'il coulissait entre eux. Linda était mortifiée de voir ce jeune homme dédaigner sa chatoune et l'utiliser comme un jouet sexuel. Sa bite allait et venait dans son écrin soyeux. Linda les yeux baissés voyait son gland apparaître et disparaître d'entre ses miches à quelques centimètres de son visage.
Les spectateurs encourageaient Brett, l'un d'eux se laissa tomber entre ses cuisses et entreprit de la doigter vigoureusement. Linda maintenait ses nibards en place enveloppant son épaisse bite entre ses deux nichons serrés.
Lorsqu'il éjacula, son foutre s'écrasa sur ses miches, son buste, son cou et son visage.
9° LINDA ET LA PUTE :
Les clients continuaient à affluer dans la grande salle, Ron entendit frapper à la porte et se dirigea vers elle. Diable il avait quasiment, oublié la suite de ses plans, il ouvrit la porte et une noire américaine très élégante entra dans la salle. Craignant que Linda ne puisse tenir toute la nuit, il avait loué les services d'une pute pour l'aider à divertir l'assistance.
La jeune femme semblait avoir une trentaine d'années bien qu'il soit difficile d'apprécier son âge, elle avait des cheveux épais et défrisés, une couleur de peau très sombre et était très jolie.
Elle sourit et se présenta elle-même comme Marva, Ron la paya immédiatement et lui dit qu'elle toucherait peut-être un bonus si tout se passait bien. Marva répliqua qu'elle avait une très grosse expérience de ce genre de réunions de mâles entourant une ravissante femme blanche entièrement nue.
Linda allongée sur le dos sur la table basse, se faisait sauter par un client alors que ses nibards dansaient au gré des coups de boutoir de son "amant", Marva présumait que Linda était une autre prostituée chargée de distraire en sa compagnie l'assistance. Quand le client en eut fini et se retira, Marva se mit en action :
- Eh toi la salope ! Interpella-t-elle Linda.
Cette intervention attira l'attention de tous. Linda regardait confuse la jeune femme noire.
- hé petite pute, viens m'bouffer la chatte ! Viens payer de ta personne salope !
Linda jeta un œil affolé vers Ron qui s'était posté au coté de Marva.
- A genoux ! Ordonna Marva d'une voix sèche.
Linda descendit de la table et s'agenouilla à quelques centimètres de Marva. Cette dernière déboucla la ceinture de son imper et s'en dépouilla rapidement, elle portait un soutien-gorge noir pigeonnant, un string de dentelle noir, des hauts talons et rien d'autre.
Elle se tenait face à Linda elle dégrafa l'attache de son soutien-gorge et l'enleva. Ses nichons étaient presque aussi gros que ceux de Linda, mais ils étaient bien fermes et pointaient comme des obus, ils étaient coiffés de gros mamelons noirs.
- Suce mes tétons ! Intima t'elle à Linda.
Linda, confuse jeta un nouveau coup d'œil vers Ron, il lui sourit hochant affirmativement la tête, elle comprit que c'était lui qui avait mijoté ce plan. Comme elle n'avait pas obéi à la seconde, Linda tendit la main et lui asséna une violente gifle sur les fesses, Linda couina sous l'effet de la surprise.
Elle répéta menaçante :
- Suce !
Et cette fois Linda matée, obéit docilement. Elle s'agenouilla face à Marva et posa les mains sur ses hanches pour s'équilibrer et pressa ses lèvres sur le mamelon dardé du nibard gauche de la jeune prostituée noire. Suivant les instructions de la jeune pute elle lécha, mordilla, mâchouilla les nibards de sa partenaire.
Linda se cramponnait à sa ferme croupe, à son tour Marva entreprit de téter les mamelons de Linda de façon très expérimentée.
- Enlève-moi ma culotte ! Souffla Marva et Linda la roula lentement sur ses cuisses.
Le mont de Vénus de Marva était intégralement chauve, on voyait clairement ses babines roses qui tranchaient sur le reste de sa carnation.
- Bouffe-moi la chatte !
Pour la première fois, Linda se penchait sur la foufoune d'une autre fille et entreprit de parcourir de la langue sa cramouille détrempée. La pute noire mal embouchée l'insultait constamment. Elle enfonçait sa langue profondément dans sa moule, la parcourant à grandes lèches.
- C'est pas terrible, je vais te montrer comment faire ! Intervint Linda l'obligeant à se coucher à plat dos sur la moquette.
Elle l'enfourcha tête bêche et pressa sa chatte sur le visage de Linda tout en enfouissant son visage dans son entrecuisse. Elle dénicha rapidement la fentine inondée de Linda, pour la première fois de sa vie Linda exécutait un 69 avec une autre fille sous les vifs encouragements des spectateurs.
Linda était dégoûtée de devoir lécher la chatte d'une autre femelle, mais elle faisait de son mieux pour la satisfaire. Marva était une experte du bouffage de chatte, Linda répétait les caresses de Marva. Ses sens s'éveillaient lentement sous cet expert léchage de moule, Marva verrouilla ses cuisses sur la tête de Linda.
Les spectateurs entendirent alors Linda grogner sourdement. Marva finit par réaliser que Linda n'était pas une professionnelle, juste une quelconque salope que ces hommes avaient rameutée.
Linda trémoussait des hanches et verrouillait ses cuisses autour de la tête de Marva. Elles remuaient sur le plancher intimement liées l'une à l'autre, se léchant et se mordillant tout en couinant.
Marva distinguait la différence entre un orgasme feint et un véritable orgasme, et à sa façon de se tortiller et de geindre, elle savait que Linda ne simulait pas. Marva cassa leur étreinte, elle se coucha tout près de Linda, qui était encore en état de sidération.
Et maintenant Marva changeait de personnalité, la dominatrice se muait en amante.
- C'était merveilleux ma chérie, tu dois très souvent faire des choses comme ça ! La taquinait Marva.
Puis elle planta ses lèvres sur celles de Linda, elle inséra sa langue dans sa bouche et la lui inspecta suavement. Linda répondait à ses baisers enflammés et savourait le goût de ses propres secrétions dans la bouche de celle qui venait de tant la faire tant jouir.
Puis Marva posa la main sur ses nichons, Linda regardait les petites mains noires qui dessinaient des petits cercles sur ses gros nibards couleur ivoire. Puis elle saisit un de ses nichons et le pressa contre un de Linda, les deux tétons semblaient s'étreindre en une petite lutte lubrique.
Marva poussait des gémissements feints et Linda répondait poussait de vrais geignements.
La main de Marva descendit le long de son ventre et trouva son chaton, elle titilla rapidement ses babines et dénicha son clito qu'elle pressa entre ses doigts, Linda gémissait à nouveau elle écarta ses cuisses en grand et agrippa la main de Marva. Marva se saisit de celle de Linda et la posa sur sa chatoune, puis elle soupira :
- Doigte-moi ma chérie !
Les deux femmes s'embrassèrent avec passion et se doigtèrent mutuellement sous les yeux de l'assistance emballée.
Marva repoussa la main de Linda et la fit sucer ses doigts, immédiatement un nouvel orgasme submergea Linda ses hanches se crispèrent sur la main de Marva elle poussa un hurlement perçant et se mit à trembler comme une feuille.
10° LA TOUCHE FINALE
Marva se retira dans la chambre et se fit sauter par des clients pour le temps qu'ils l'avaient retenue.
Quelqu'un se rendit compte que le canapé s'ouvrait pour former un lit d'appoint. Karl étala Linda dans sur le sofa pour que les invités puissent continuer à s'amuser avec elle. Il avait bien observé la façon dont son mari la baisait la veille au soir, il voulait baiser avec elle à l'identique.
Il s'allongea sur le dos et invita Linda à l'enfourcher. Linda se plaça elle-même à l'aplomb de la bite dressée de Karl selon les consignes de Karl.
- Je veux que tu baises avec moi comme avec Glenn la nuit dernière !
Linda gênée se rappela alors que la veille au soir elle s'était donnée en spectacle en train de baiser avec son mari écarta les cuisses exactement comme 24 heures plus tôt. Il lui jeta un coup d'œil satisfait alors qu'elle se positionnait confortablement. Il lui caressa lascivement les hanches et les cuisses avant de lui empoigner les fesses exactement comme Glenn la veille. Puis il se saisit de ses nibards et étira ses tétons, Linda se pencha en avant pour laisser pendre ses nichons sur le visage de Karl.
Elle baissa les yeux sur lui et le vit attraper ses pendules qui dansaient devant ses yeux et chopa un mamelon entre ses dents. Elle le chevauchait rapidement, comme elle chevauchait Glenn la nuit précédente, elle sentait croître son excitation.
Ron, qui s'était épanché sans ses orifices trois fois ces dernières 24 heures décida de profiter de sa position pour faire une dernière chose qu'il désirait imposer à la femme de son subordonné. Il grimpa sur le lit alors que Linda était toujours perchée sur Karl et s'installa entre les jambes de Karl.
Karl vit faire Ron, il comprit immédiatement ses intentions et attira Linda sur son torse. Alors que Linda se positionnait pour garder précieusement la bite de Karl en elle, Ron pouvait voir la bite de Karl aller et venir dans la moule de Linda, juste sous son petit trou du cul serré.
Un tube de lubrifiant à la main, il en déposa une noisette sur son majeur et entreprit de lui en enduire le goulot. Effarouchée Linda se retourna pour voir ce qui se tramait, mais Karl la tenait bien, elle poussa un petit cri aigu :
- Ohhh !
C'était une sensation étrange, inconfortable, de sentir quelque chose qui s'insérait dans son anus. Ron lui fouillait activement le trou d cul lui évasant le goulot pour déposer plus profondément le gel lubrifiant et pour lui évaser le goulot. Puis il enduisit son gland et sa hampe de gel, et pointa son gros champignon sur son œillet frémissant, Karl tenait Linda pour faciliter la tâche de Ron. Linda comprit ce qu'il voulait faire et couina :
- Non, pas ça... Je ne veux pas... On ne m'a jamais...
Comme Ron le supposait elle était vierge de la rondelle.
- Nonnnnn... Vous êtes bien trop gros...
Ron s'enfouissait lentement dans ses reins, centimètre après centimètre, Linda couinait en se tortillant.
Karl lui murmura :
- Du calme ma chérie, relâche tes sphincters... Ils s'adapteront !
Linda suivit son conseil, mais continuait à frissonner alors qu'il s'enfouissait de plus en plus profondément dans son fion. Puis il commença de lentes allées et venus, Karl reprit le pilonnage de sa chatte. Les deux hommes gloussaient alors qu'ils cherchaient à harmoniser leurs allées et venues dans ses orifices asservis.
Linda ne s'était jamais sentie aussi dégradée, c'était une sensation très étrange d'avoir deux bites en elle uniquement séparées par la fine membrane de son périnée, deux bites qui lui distendaient horriblement ses deux orifices. Elle s'efforçait de rester sereine et relaxée alors que les deux hommes la martelaient en con et en cul.
Elle jeta un coup d'œil circulaire sur les collègues et les subordonnés de son mari, encerclant le canapé, ils applaudissaient et encourageaient vivement leurs deux patrons.
- oh... ohhhh... Grogna Linda.
Ses gémissement se transformèrent en grognements alors qu'elle sentait un énième orgasme poindre. Elle était couverte de sueur, et elle grognait comme une truie. Elle n'avait jamais entendu de sons aussi gutturaux sortir de sa bouche. Elle pouffait comme une vieille locomotive à vapeur et les hommes faisaient chorus. Tous trois grognaient en chœur sur le sofa bougeant dans tous les sens.
- UH!.... UH!.... UH!.... UH!.... HUUUGGGGGG !!! Coassait Linda éperdue.
Le rythme et l'ampleur de leurs pénétrations croissaient encore, les grognements de Linda tranchaient sur les gémissements plus clairs des deux hommes, mais le tout se mêlait en un cacophonique indescriptible. Karl explosa dans sa chatte, et elle sentit immédiatement un autre flot de foutre lui tapisser les muqueuses anales. Les plaintes de Linda se poursuivirent longtemps après que les autres se soient tus.
Comme Ron extirpait sa grosse bite de son fondement ce qui permit à Karl de se relever, l'assistance entière se réunit autour du canapé et leur fit une brillante ovation.
Linda retomba sur le dos sur le canapé et regarda les clients et les employés qui faisaient la queue bite en main attendant leur tour de la sauter. Que ce soit par, deux ou trois à la fois la soirée risquait d'être longue.
11° DE RETOUR AU BUREAU :
Deux mois après la convention, en fin de semaine, Ron entendit qu'on frappait à la porte de son bureau, il dit d'entrer, et vit Linda jetant un coup d'œil par la porte entrouverte. Ron ne l'avait pas revue depuis la convention.
- Eh Bien, salut, quelle bonne surprise ! S'exclama Ron étonné de la voir là.
- Euh, salut Ron Répondit Linda calmement.
Elle se tenait muette dans l'entrée du bureau.
- Entre Linda ! L'invita courtoisement Ron.
Elle pénétra dans le bureau et referma la porte dans son dos. Elle se posta face à Ron, de l'autre coté de son bureau. Ron ne pouvait s'empêcher de la reluquer de la tête aux pieds. Elle portait une tenue provocante, un tee short bleu ciel moulant et une jupe de jean très très courte montrant ses cuisses nues.
- Je cherche Glenn... Nous devions nous retrouver pour manger ensemble ce midi !
Ron hésita quelques instants, puis la prévint :
- Glenn est en rendez-vous clientèle pour toute la journée ! Je ne crois pas qu'il rentrera aujourd'hui !
- Oh, euh... Je n'étais pas au courant... Soupira Linda, mais elle ne faisait pas un geste pour quitter le bureau.
- ...
- Je pense que tu le savais pertinemment ! En fait j'étais dans le bureau de Glenn quand il t'a appelé ce matin. Je l'ai entendu te dire qu'il ne serait pas dans son bureau de toute la journée !
Prise à mentir, Linda baissa la tête pendant quelques secondes.
- Euh..... En fait... Je voulais vous remercier d'avoir tiré Glenn de ce mauvais pas !
- N'en parlons plus ! Rétorqua Ron se demandant pourquoi diable elle tenait à le remercier après ce qu'il lui avait fait endurer.
- Glenn est un excellent collaborateur. Je suis très heureux, pour vous deux, que les choses aient pu s'arranger.
Sur ces mots il recula sa chaise et se leva, puis l'interrogea :
- Glenn a-t-il appris quelque chose sur ce qui s'est passé pendant la convention ?
- Oh non..... Il n'en sait rien... Répliqua vivement Linda.
- Puis-je te poser une question ma petite Linda ?
- Bien sur !
Ron hésitait, bien qu'elle se laissa tutoyer, il ne savait pas encore jusqu'ou il pouvait pousser le bouchon.
- Qu'a pensé Glenn de... De ta chatte rasée ?
Linda souriait, visiblement confuse.
- Oh, il a pensé que c'était une adorable surprise... Mais il n'a pas montré beaucoup d'intérêt pour cette disposition.
Ron souriait à pleines dents maintenant, cette franche discussion avec Linda lui avait indiqué la voie à suivre..
- Laisse-tu repousser ta toison ?
- Euh, oui...
Ron était fort surpris du changement de tenue de Linda, mais il savait qu'elle-même serait transformée après ce qu'elle avait vécu lors de la convention. Elle avait trop joui pour ne pas admettre au fond d'elle-même qu'elle avait savouré certains aspects de ce week-end.
- Approche ! Lui intima Ron.
Elle contourna le bureau se postant devant Ron. Ses jambes nues étaient halées, sa jupe révélait la plus grande partie de ses cuisses elle se tenait jambes largement écartées. Il tendit la main et entreprit de remonter sa jupe. Linda avala sa salive mais n'offrit aucune résistance, sa jupe remonta au-dessus de ses hanches et bouchonna autour de sa taille.
La chatoune dénudée de Linda se trouvait à quelques centimètres du visage de Ron, son mont de vénus était couvert d'une courte toison brune d'environ 1 cm. Ron la poussa en arrière, elle s'assit sur l'arête de son bureau, il sépara alors ses cuisses, approcha sa chaise et enfouit son visage dans son entrecuisse embrasé, elle referma ses cuisses sur sa tête.
James avait vu Linda pénétrer dans le bureau il jeta un œil et vit que la porte du bureau de Ron était fermée, il gagna le bureau de Larry pour l'avertir que Linda se trouvait dans les bureaux. Ils prévinrent les autres employés de sa présence. Ils remontèrent dans le couloir et certains tendirent l'oreille contre la porte de Ron.
Ayant entendu la voix de Linda, James ouvrit discrètement la porte, il jeta un œil inquisiteur dans la salle et vit Linda assise sur le bureau face à Ron qui avait le visage enfoui entre ses cuisses. Ron leva les yeux sur Linda.
- Montre-moi tes nibards ! Lui ordonna-t-il.
Linda croisa les bras, attrapa le col de son chemisier et l'enleva le passant au-dessus de sa tête. Elle portait un soutien-gorge noir, elle le dégrafa et ouvrit son soutien-gorge, ses nichons tout blancs jaillirent sous les yeux de son "amant". Elle se pencha en arrière alors que Ron lui bouffait la chatte tout en caressant ses miches.
Ron se redressa, se débarrassa de son pantalon et brandit sa bite déployée entre ses cuisses, Linda était assise sur le rebord du bureau alors que Ron la labourait avec ardeur.
Larry, James et les autres employés jetaient des coups d'œil par l'entrebâillement de la porte. Linda leur avait manqué à tous depuis qu'ils l'avaient baisée deux mois plus tôt.
Ils observaient Ron qui la pilonnait sans merci. Linda se laissa tomber à plat dos sur le bureau et ils virent ses loches danser au gré des coups de boutoir de Ron. Le temps de digérer son week-end de stupre, Linda ne pouvait nier l'extrême plaisir qu'elle avait pris à se faire ramoner ainsi.
Bien que continuant à avoir des relations sexuelles avec son mari, elle était très insatisfaite après cette expérience ou tant de grosses bites l'avaient ramonée profondément, son émoi de voir tant d'hommes la désirer et satisfaire leurs appétits en elle et le fait d'avoir été initiée à des actes qu'elle n'avait jamais pratiqués ni même envisagé chez elle.
Elle ne pouvait pas se l'expliquer clairement, mais elle s'était sentie obligée de venir au bureau de son mari lors de son absence, obsédée par son envie de voir ses appétits sexuels satisfaits par Ron et ses cruels employés. Comme un violeur qui ne peut s'empêcher de trouver des victimes, elle ne pouvait s'empêcher de désirer être violentée encore et encore. En fait elle était son propre tourmenteur.
Linda dut se lever et se retourner. Ron l'obligea à se pencher sur le bureau et il la baisa comme une chienne. Comme il la martelait de violents coups de boutoir, ses seins dansaient de droite à gauche, les employés captivés par le spectacle regardaient ses fesses s'ouvrir et se fermer à chaque assaut.
Linda couina et gémit, submergée par le plus intense orgasme qu'elle ait eut ces deux derniers mois, elle jouit juste à l'instant ou Ron se vidait en elle, lui aspergeant les muqueuses de sa crème grasse.
Elle gisait sur le dos reprenant lentement son souffle.
C'est alors qu'ils entendirent la porte couiner, et qu'ils virent qu'ils avaient des spectateurs enthousiastes. Linda baissa la tête et sourit gênée. Ron se contenta de dire :
- Très bien les gars, vous feriez aussi bien de rentrer dans le bureau !
Linda se releva entièrement nue, si l'on excepte ses chaussures et sa jupe bouchonnée autour de sa taille. Larry et James murmurèrent :
- Salut Linda...
Larry lui roula une pelle tandis que James empoignait ses nichons. Brett, Will, Mick et les autres la doigtèrent chacun à leur tour.
Bientôt Larry s'assit dans le fauteuil de Ron, et Linda s'assit sur lui tournant le dos, sa bite bien ancrée dans sa petite chatte accueillante. Elle faisait une pipe à James assit sur le rebord du bureau, les autres lui palpaient les nibards, se faisaient branler, ou se tenaient en arrière plan se régalant du spectacle érotique en attendant leur tour..
Cette fois même le jeune Brett put l'embrasser et la baiser à couilles rabattues.
Linda alla de bureau en bureau le reste de l'après-midi, se faisant caresser et baiser. Ils furent peu à travailler cet après-midi là, pourtant ils avaient tous programmés des coups de fil et des ventes.
Entre les appels ils pouvaient se rendre dans n'importe quel bureau où Linda se faisait sauter pour lui peloter les miches ou se faire sucer. Larry allait jusqu'à téléphoner tout en lui pelotant sévèrement les loches.
Ils avaient commandé des pizzas et Linda dut se rendre dans le hall d'entrée, seule et nue, pour recevoir les pizzas des mains d'un livreur ravi de l'aubaine. Elle signa aussi pour réceptionner un colis et du demander au facteur :
- Aimeriez vous une récompense rapide ?
Le facteur empoigna ses nibards avec concupiscence, et lorsqu'il eut délivré son colis il eut droit à une délicieuse pipe en guise de pourboire.
Ils la prirent une dernière fois sur la photocopieuse avant de la laisser partir. Son nichon droit était pressé contre la vitre et fut photocopié, ainsi ses "amants" purent garder en souvenir l'image des ses larges aréoles. Will épingla même une copie sur son mur, juste à coté de son soutien-gorge noir.
Le lendemain Glenn lui dit de les enlever, ignorant qu'il regardait des souvenirs de la partie de baise à laquelle venait de participer sa femme avec tous les membres du bureau.
Il ne pouvait d'ailleurs se douter qu'elle s'était jurée de revenir à la moindre occasion, elle ne pouvait plus se contenter de ses maigres prestations après une telle fête des sens.
FIN
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