Texte d'Alexis.
Punition à la plage.
Pour rejoindre la plage, je dois traverser le camping de long en large, toujours totalement nue. Mais cette fois, je m’en tire à peu de frais, avec quelques mains baladeuses sur mes fesses, mes seins et ma vulve. Élément nouveau, je remarque certains regards appréciateurs de jeunes femmes, mais sur le moment je n’y prête alors pas plus attention que cela.
Arrivée à la plage, je longe celle-ci afin de retrouver mon Jean. Le soleil étant de plomb, beaucoup de femmes ont la poitrine à l’air et ne portent qu’un string minimaliste. Vous pourriez penser que ma nudité se fond plus dans le décor. Il n’en est rien : étrangement, ma chatte dénudée attire tous les regards !
Au bout de 2 minutes de marche, j’aperçois au loin une de mes concurrentes du concours : Julie. Il faut dire que celle-ci ne passe pas inaperçue : une vingtaine d'années, grande, blonde aux cheveux bouclés, belles jambes soyeuses, belles cuisses pleines et puissantes, fesses rebondies bien mises en valeur par un string dont la ficelle lui rentre complètement dans la raie du cul, deux obus à l’air libre en forme de pomme. Je suis bien consciente que je n’ai pu battre une telle beauté au concours qu’en mettant mes charmes à disposition de mes électeurs ! Ma concurrente malheureuse est en grande discussion avec une jeune femme élancée, brune à la peau mate, et aux longs cheveux, qui a elle aussi la poitrine à l’air.
Un peu gênée de croiser le chemin de Julie, je continue cependant d’avancer à la recherche de Jean. Julie finit par m’apercevoir, mais continue sa discussion. Au fur et à mesure que j’avance, la gêne que je ressens se fait de plus en plus pressante. La brune, que je ne vois que de dos, me rappelle quelqu’un. Son allure générale, sa façon de bouger, me met en alerte.
Je m’apprête à tourner à 90 degrés afin de ne pas passer à côté des 2 jeunes femmes, lorsque l’inconnue se retourne brusquement. Je reste pétrifiée sur place : il s’agit de Laetitia, la responsable du secrétariat médical ou je travaille!
- Coralie... la chatte à l’air en public... quelle surprise ! S’exclame t-elle d’une voix suave.
- Mais je suis distraite : c’est vrai que tu as promis ton cul à tout le monde pour te faire élire Miss Camping !
- Non… C’est pas… Bredouillé-je.
- Vu ce que j’ai vu et entendu pendant le concours... c’est tout comme ! Mais si tu as un doute, nous pourrons revoir ce moment inoubliable sur mon caméscope : j’ai tout filmé ! En gros plan ! Un coup de chance ! Réplique t-elle le sourire aux lèvres.
Mon cœur rate un battement. Je crois que je vais m’évanouir. La salope ! La connaissant, elle va se faire un plaisir de faire circuler ça sous le manteau au magasin ! Je vais devenir la risée de tous et toutes. Peut-être me faire renvoyer ! Elle qui prend un malin plaisir à humilier son personnel, elle ne va pas me rater !
- Et j’ai bien noté qu’il n’y avait pas de restriction dans tes engagements ma jolie ! Ajoute Julie en me saisissant un sein à pleine main.
- Je vais donc profiter de l’occasion qui m’est donné de vérifier si c’était bien juste que tu l’emportes sur moi !
- Oh non, pas en public ! Couinais-je.
Consciente des engagements que j’avais pris, il ne me venait pas à l’idée de me dérober, mais je ne voulais absolument pas me faire tripoter par une femme en public. Je me doutais bien qu’une telle nouvelle ferai le tour du camping et que le lendemain ce serait l’hallali !
- Et pourquoi, je ne te peloterai pas en public, ma salope ? Pour préserver ta pudeur ? Mais ça fait longtemps que tu n’en a plus aucune !’, lance Julie sur un ton venimeux.
- Allons Julie, il faut être compréhensif ! Dit Laetitia en me mettant la main droite sur les fesses.
- Je suis d’accord que Coralie n’a plus de pudeur depuis longtemps... mais avec les hommes ! Se faire mater, peloter et tringler par un mâle, soit. Devant un public féminin, soit. Mais se faire mater, peloter, voire tringler par une femme, c’est nouveau ! Il y a des dunes à quelques mètres...Autant aller derrière ou tu pourras profiter de Coralie en toute discrétion pour elle... et comme bon te semblera.
Julie semble hésiter. Je veux forcer sa décision.
- D’autant qu’il n’y a pas de problème sur le principe, je tiendrai mes engagements. Mon corps est à votre entière disposition.
Cela me fait drôle de vouvoyer une fille de mon âge. Mais, intuitivement, je sais que c’était la bonne attitude à prendre. Julie veux prendre une revanche. Il faut lui en donner pour son argent. De toute façon, je ne peux pas y couper.
Tu es vraiment une garce ! Me lance Julie, en me saisissant par le bras et en me tirant vers les dunes de sables.
Arrivées derrière celles-ci, je vois que Laetitia ferme la marche. Elle jette un gros sac au sol.
- Tu as oublié tes petites affaires Julie.
- Merci ! Répond celle-ci avec un sourire carnassier.
D’un geste brutal, Julie me jeta alors au sol.
- A quatre pattes pouffiasse ! Je vais t’apprendre à voler les concours à celles qui valent mieux que toi ! Cambre-toi mieux que ça et écarte les cuisses que l’on puisse admirer ta chatte de pute !
Mécaniquement, comme dans un état second, j’obéis. J’entends alors la fermeture éclair d’un sac s’ouvrir. La chair de poule couve mon corps. C’est alors que le premier coup de baguette s’abat sur mes fesses. Une baguette de coudrier. La baguette me mord la peau en pénétrant dans les chairs de mes fesses. Je retiens mon hurlement de douleur et de détresse.
- Beugle si tu veux chienne ! Que du monde vienne voir le spectacle et ait ainsi l’idée d’en faire autant plutôt que bêtement te fourrer le con avec leurs bites ! Commente Julie.
Les autres coups suivent. Jusqu’à cinq. De plus en plus douloureux.
- Pitié... je ne vais plus pouvoir me retenir de crier... mon cul va exploser... Murmuré-je.
- Il faut être humain, Julie ! Enchaîne Laetitia.
- Regarde, elle a le cul en feu ! Elle ne va plus pouvoir s’asseoir de la soirée !
Éperdue de gratitude de ce soutien, je lance un petit « Merci ».
- Je m’étais promis de lui donner 10 coups de baguettes, et elle recevra 10 coups !
- Soit, mais tu peux donner les 5 coups restants ailleurs que sur les fesses ! Lance ma chef de rayon.
Un frisson glacé me parcourt le dos. La garce, c’est là qu’elle voulait en venir en me « venant en aide ».
- Mais où veux-tu la corriger ailleurs que sur les fesses ? Demande Julie.
Laetitia éclate de rire.
- Ah, l’innocence de la jeunesse ! Avec un martinet, j’aurai pu lui cingler la chatte, mais avec une baguette de coudrier... les seins restent une possibilité !
- 5 coups sur ses pis de vache laitière ! Génial ! S’écrie Julie.
- Mais il faut que Coralie soit d’accord ! Après tout, elle peut préférer recevoir les 5 coups sur son cul en définitive ! Ajoute Laetitia.
- A genoux ! Commande Julie.
Puis après que j’ai obtempéré, elle demande :
- Alors qu’elle est ta préférence ma jolie ? Cul ou seins ?
Le choix est cornélien ! Je sais que vu l’état de mes fesses, de nouveaux coups de baguettes à cet endroit me feront hurler de douleur et attireront les campeurs. Mais je suis bien consciente que les coups de baguettes sur les seins vont être parfaitement visibles et... interprétés comme il se doit par les campeurs ! Mais les coups reçus sur les fesses vont déjà l’être me dis-je. Et puis, le danger n’est pas pour tout de suite, alors que si je me mets à hurler, c’est de suite que je vais devoir affronter l’assemblée et peut-être la curée qui va s’ensuivre! Cela me décide.
- Sur les seins ! Bredouillé-je.
- Alors, présente-les-moi ! Lance Julie, implacable.
En sanglots, je prends mes seins par en dessous et les lui présente. Le sourire aux lèvres, Julie abat la baguette de coudrier sur la poitrine offerte. A 5 reprises, comme convenu. A la fin de la correction, je tremble de tous mes membres, mais j’ai réussi à ne pas crier.
- Nous voilà quitte ! S’écrie Julie.
Haletante, je me relève, imaginant que je vais pouvoir me libérer de mes tortionnaires.
- Et où va tu comme ça, ma jolie ? Me demande Laetitia en me voyant faire mine de partir.
- Je repars à la recherche de mon mari Répondis-je d’une toute petite voix.
Julie éclate de rire.
- Comme je suis bonne fille, je t’emmène, je sais où il est ! Me lance t-elle.
Et, prenant son sac en main, elle part à travers les dunes. Je la suis. Laetitia ferme la marche. Nous marchons deux à trois minutes, tournons une dernière fois à gauche et débouchons derrière une dune. Un homme est allongé. Une fille est sur lui. Accroupie, penchée en avant, elle s’embroche avec frénésie sur sa verge en donnant l’impression d’être une grenouille.
- Ta femme ne t-a jamais fait ça, hein mon cochon ! C’est ça... va à fonds ! Bouffe-moi les nichons… Lance t-elle.
Bien que je ne vois que son cul, la voix me permet de reconnaître Christelle, une des concurrentes malheureuse du concours.
- Oui... vas-y, lâche la purée... la prochaine fois tu me prendras par le cul mon salaud !
S’agrippant brutalement aux fesses de la jeune fille, l’homme éjacule dans un râle d’agonie. Christelle s’effondre sur lui, puis bascule sur sa droite. Je découvre que l’homme en question est... Jean, mon mari.
Un vertige faillit me faire tomber au sol, mais Laetitia me retient par un bras. Jean me voit et se redresse en un mouvement.
- Coralie, je... Commence-t-il.
Je vois rouge. Ma main part sans que je m’en rende compte et je lui mets une gifle mémorable. Laetitia nous sépare de suite.
- Allons Coralie, un peu de dignité... tu ne vas pas me dire que tu es surprise ?
Saisie, je la regarde sans pouvoir parler.
- Tu te balades à poil dans le camping, tu te fais peloter par tous les mecs que tu rencontres, sauter par certains, laissant ton mari seul... et tu comptes qu’il restera de marbre devant un joli lot ?
- Mais je n’ai pas voulu ça . Bafouillé-je.
- Parce que quelqu’un t’a forcé à prendre les engagements que tu as pris ?
Pendant cet échange, Julie et Christelle se sont rapprochées de Jean pour finir par se coller à lui. Christelle lui prend la verge en main et se met à le branler tout doucement. Julie se met à lui malaxer les bourses. Paralysé, Jean ne fait rien pour se dégager. Il me regarde fixement. Laetitia regarde la scène et semble trouver tout cela normal.
- Bref ma petite, si tu veux garder ton homme, tu ferais mieux de te montrer plus ouverte d’esprit et admettre que pendant que tu t’exhibes, que tu te fais fouiller et sauter, lui aussi peut saisir les bonnes occasions.
- Oh, Jean... j’abandonne le bénéfice de ce concours idiot... que les choses redeviennent comme avant. Dis-je entre deux sanglots.
- Coralie... tu as pris des engagements... et puis, je n’ai pas de quoi payer le camping. Répondit mon mari en baissant les yeux.
Le salaud ! Le rapiat ! Il nous avait emmenés ici sans avoir de quoi payer, en connaissant dès le début l’existence de cet ignoble concours et en étant sans doute déjà décidé de me persuader à le passer !
- Et bien, baise qui tu veux mon salaud ! Hurlé-je.
- Pendant ce temps, je me donnerai à tous ceux qui voudront de moi... et, il y a du monde !
- Et si vous le voulez, pendant votre séjour ici, vous pouvez venir loger chez moi Coralie. Me dit Laetitia.
- Je loue un mobil-home, et je vous trouverai bien une place... Cela vous épargnera de voir votre mari en trop bonne compagnie !
Pendant que nous parlons, la verge de Jean s’est redressée. Julie s’agenouille et se met à la pomper avec énergie.
- Je vous suis. Répondis-je à Laetitia par dépit, la voix étranglée par les sanglots, en n’ayant aucune idée de ce qui allait suivre.
Et sur ce, je prends la direction du mobil-home, le nez retroussé, certaine d'avoir cloué le bec de mon Jean. Laetitia me suit. Je ne vois donc pas le sourire narquois qu'elle me lance.
A suivre...
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