jeudi 15 octobre 2020

Le patron de son mari Ch. 02

 Histoire de George VI traduite par Coulybaca.


l'asservissement de Linda se poursuit.

5° LE BIKINI

Linda dormit peu cette nuit là.

Au matin, Glenn devait se rendre à un séminaire. Linda croyait que Ron aussi participait à ce séminaire, elle dormit tard, puis prit une longue douche. Elle s'était assurée qu'elle avait bien fermé les rideaux avant de prendre sa douche.

Alors qu'elle se douchait, Ron introduisit son passe. Coup de pot, Linda n'avait pas verrouillé sa porte après le départ de Glenn, c'est en sortant de la salle de bain une serviette en main qu'elle buta sur Ron. Elle avala sa salive et se réfugia derrière sa serviette.

- Tu peux enlever cette serviette, j'ai déjà tout vu de tes charmes ! Gloussa Ron hilare.

- Comment... Que... Pourquoi n'êtes-vous pas au séminaire ! Bégaya Linda affolée.

- Glenn était prévu sur ce séminaire, mais pas moi... Glenn va être retenu pendant plusieurs heures..."

- ...

Ron avait en main un sac plastique.

- Je t'ai apporté un cadeau !

Linda tenait toujours la serviette devant elle alors que Ron posait le sac plastique sur la commode et en tirait quelque chose. Il tenait entre ses mains un minuscule bikini blanc.

- Je t'offre un nouveau maillot ! J'ai bien aimé celui que tu portais hier, mais je crois que celui-ci mettra plus tes charmes en valeur ! 

- Enfile-le ! Lui intima-t-il d'une voix autoritaire.

Sur l'aire de la piscine, James et Larry, les collègues de Glenn, étaient assis dans le jacuzzi avec plusieurs autres employés de la firme. Il y avait aussi trois jeunes hommes qui étaient directement sous les ordres de Glenn : Will, Brett et Mick.

- Où est Ron ? Demanda James.

- Il nous a donné rendez-vous ici ! Qu'il ramènerait une invitée ! 

Tout en attendant Ron ils évoquèrent les images de Glenn baisant sa somptueuse femme la nuit dernière. Les trois subordonnés de Glenn avaient tous le béguin de Linda depuis qu'ils l'avaient rencontrée, ils étaient impatients de découvrir ses charmes et si possible ses prouesses sexuelles.

Ron arriva à la piscine accompagné de Linda. Il se dépouilla prestement de sa chemise et de son pantalon et les rejoignit dans le Jacuzzi. Tous les yeux se posèrent sur Linda, alors qu'elle retirait son short. Elle portait le micro bikini blanc que venait de lui offrir Ron.

Ron gloussa en voyant la tête de ses collaborateurs qui écarquillaient des yeux abasourdis. Non seulement il se réjouissait de les voir faire une telle binette, mais par ailleurs il se réjouissait de leur regonfler le moral. James Larry et leurs comparses semblaient effectivement se réjouir du spectacle qu'il leur offrait.

Linda leur tournait le dos. Ils avaient les yeux rivés sur ses fesses nues. Elle avait conservé un peu du bronzage de l'été dernier et ses fesses blanches contrastaient violemment avec la peau légèrement tannée de ses cuisses et de son dos. Elle se pencha en avant pour enlever son short révélant la mince lanière de tissu sensée dissimuler sa chatte.

Elle enleva ensuite timidement son tee-shirt, lorsqu'elle se retourna à contre cœur vers le jacuzzi les baigneurs ne parvinrent pas à en croire leurs yeux. Elle portait un soutien gorge des plus minimum, les deux minuscules triangles de tissu blanc étaient faits pour dissimuler de tout petits tétons, pas pour une opulente poitrine. Un lien serrait étroitement ses nibards l'un contre l'autre ne dissimulant que ses mamelons raidis. Ses nichons débordaient de partout, par les cotés, le haut, le bas des triangles soyeux.

Linda était une femme mature, une ménagère pas une jeune bimbo siliconée de 19 ans et elle était bien consciente des imperfections de ses charmes. Mais ces hommes regardaient ses nibards comme des chefs d'œuvres de la nature et son petit ventre rondouillard ne les rebutait pas plus. En quelque sorte ces quelques imperfections renforçaient son impact érotique.

Alors qu'elle s'approchait du Jacuzzi pour se joindre Ron, elle vit que les collaborateurs de son époux braquaient leurs yeux sur elle. La ficelle de son string s'était enfoncée dans ses babines et ne cachait plus guère sa chatoune. Ron lui fit enjamber le jacuzzi et prendre place entre Larry et lui. Il lui chuchota à l'oreille de mouiller le haut de son maillot. Linda s'exécuta, plongeant son torse dans l'eau pour mouiller le soutien-gorge de son maillot. Puis elle se rassit enfoncée dans l'eau jusqu'à la ceinture.

Elle portait le maillot que Ron lui avait offert la veille lui signalant qu'il était taillé dans une matière spéciale : sec on aurait dit un maillot tout à fait ordinaire comme tous les maillots, mais lorsqu'il était mouillé, il devenait transparent, plus encore qu'un tee-shirt mouillé.

Lorsque Linda se redressa, le haut de son maillot avait virtuellement disparu. Linda vit que tous les hommes avaient leurs regards vissés sur sa poitrine. Ses larges aréoles bruns foncés étaient clairement visibles au travers de ce tissu translucide, elle aurait pu tout aussi bien être torse nu.

Les petits triangles couvraient à peine ses aréoles et ses tétons pointaient au travers. Il y avait un large écart entre les deux minuscules pièces de tissu, lorsqu'elle se penchait en avant, ses deux nibards se pressaient l'un contre l'autre. A chacun de ses mouvements ses nichons dansaient sous les yeux ravis des spectateurs enchantés.

Linda jeta un œil horrifié sur son soutien-gorge quasi transparent, elle comprit que c'était le but recherché par le patron de son mari lorsqu'il lui avait offert ce maillot, les deux collaborateurs et les trois sous-fifres travaillant sous les ordres de son mari étaient captivés par ce spectacle enchanteur. Elle était mortifiée de se voir exhiber de cette façon, elle se serait crue dans un cauchemar, se retrouvant quasiment nue au milieu de nombreux spectateurs, chacun faisant comme si tout était normal.

Quelques instants plus tôt, les trois jeunes sous-fifres étaient sceptiques lorsque James leur avait dit que les aréoles des nibards de Linda étaient bien plus larges que les miches d'autres femmes et maintenant ils étaient bien obligés de reconnaître que c'était l'entière vérité.

Linda remettait continuellement en place les triangles de tissu tentant, de façon fort utopique, de voiler ses aréoles, lesquels avaient tendance à s'évader de leur prison de tissu. Réalisant que de toute manière, son soutien-gorge était totalement transparent, elle se résigna.

Toutes les conversations tournaient sur elle, ils ne se cachaient pas pour faire des allusions salaces. Linda cherchait à faire comme si tout était normal, parlait peu, se contentant d'émettre quelques timides répliques.

Elle dévisageait les hommes qui l'entouraient, se demandant qu'elles étaient ceux qui l'avaient matée faisant l'amour avec son mari.

Ron posa sa main sur sa cuisse sous l'eau. Au travers des bulles sporadiques, Larry et Jacques voyaient la main de Ron s'agiter sur la chatoune de Linda. Elle le sentit glisser sa main sous le petit triangle de tissu et lui palper la chagatte introduisant un doigt tendu dans sa fente. Elle se forcer à sourire tout en s'interdisant de se tortiller.

Ron lui intima de le suivre dans la piscine, elle se leva avec lui, il lui prit la taille et l'immobilisa sous les yeux de ses amis pour quelques longs instants. Son maillot aussi était strictement transparent, Linda baissa les yeux et vit clairement son buisson échevelé exposé aux yeux de ses mateurs comme si elle n'avait rien sur les fesses.

Comme Ron la maintenait en place continuant à converser avec ses employés, elle les voyait yeux rivés à sa luxuriante toison. Quelques poils follets s'évadaient même par les cotés du mince triangle.

Lorsqu'elle s'écarta de ses spectateurs avides, ils purent reluquer sa croupe dénudée se balancer mollement au rythme de sa démarche chaloupée.

- Je suis certain qu'ils sont ravis de reluquer tes fesses !Commenta Ron hilare.

Linda se contenta de rougir et pressa le pas. Ils plongèrent dans la piscine déserte.

Il avait vachement envie de la baiser, mais il y avait une petite famille qui se tenait à l'autre bout de la piscine. Il se contenta donc pour l'instant de lui peloter avidement les fesses la chatte et les nichons, l'eau dissimulant ses manœuvres lubriques.

Lorsque la petite famille partit, il s'assit sur le rebord de la piscine aux trois quarts immergés dans l'eau. Il lui ordonna de se poster entre ses cuisses. Les baigneurs dans le jacuzzi avaient une vue totalement libre sur lui caressant les seins nus de Linda.

- Serre tes nibards sur ma pine ! La commanda-t-il.

A contre cœur, le dos cambré elle enveloppa sa bite de ses opulentes mamelles, elle bougeait ses nichons de bas en haut facilitant la tâche de Ron qui la baisait entre les miches. Les mateurs ne voyaient pas très bien la bite et les nibards des protagonistes mais ce qu'ils faisaient était si évident.

Linda essayait de ne pas trop éclabousser les alentours, elle regardait fascinée la bite apparaître et disparaître dans le doux écrin formé par ses nichons, jaillissant parfois à quelques centimètres de son visage. 

Au grand soulagement de Linda, Ron lui dit de cesser et se remettre le haut de son maillot en place, mais il ajouta :

- Suce-moi ! 

Elle enfouit sa tête entre ses cuisses et referma ses lèvres sur sa grosse bite chlorée. Dans le jacuzzi, les spectateurs voyaient la tête de Linda plonger et remonter entre les cuisses de Ron. Elle suça doucement au début, tandis que Ron jetait un œil égrillard à ses employés cantonnés dans le jacuzzi.

Il semblait à Linda que cette pipe dura des heures, elle le suçait de tout son cœur, espérant qu'il jouirait rapidement. Elle l'absorbait aussi profondément qu'elle le pouvait dans sa gorge, sa bouche coulissant savamment sur sa hampe enduite de salive. Elle haussa le rythme, allant de plus en plus en plus vite; elle voulait en finir rapidement de peur que quelqu'un ait l'idée de venir piquer une tête dans la piscine et de ce fait puisse les voir en pleine action.

- Ca y'est, je jouis ! Grommela Ron d'une voix étranglée et elle reçut un flot de foutre au fin fond de sa gorge.

Elle se débrouilla pour ne pas étouffer, avalant le flot de foutre au gré de ses émissions sans chercher à recracher sa semence dans la piscine. Ron lui intima de nettoyer sa bite de la langue, elle s'appliqua comme une bonne petite ménagère la débarrassant de toute souillure à grand coup de lèche.

6° LA CREME A RASER

La séance à la piscine terminée, Linda remonta dans sa chambre, se dépouilla du bikini, prit une nouvelle douche, et se changea avant le retour de Glenn.

Ils étaient libres jusqu'à 20 heures, heure du cocktail dans une salle de banquet quelques étages plus bas. Au retour de Glenn, ils quittèrent l'hôtel et allèrent manger en tête-à-tête dans un restaurant extérieur. Linda se réjouissait à l'idée que dans quelques heures ils prendraient le vol de retour demain matin, et que cela marquerait la fin de son cauchemar. Le fait que Glenn l'accompagne à la petite fête de ce soir la rassurait.

Mais, à leur retour à l'hôtel, un message de Ron attendait Glenn. Un couple de nouveaux clients voulait visiter la ville, Ron voulait qu'il s'en charge. Linda sentit son cœur s'emballer.

- Mais que vais-je faire, si tu m'abandonnes ? Dois-je t'accompagner ? 

- Non... Ron me dit que tu es toujours invitée au cocktail de ce soir, il dit qu'il veillera sur toi ! 

Glenn la quitta quelques minutes plus tard, habillée de sa robe de soirée, Linda s'assit sur son lit. Elle avait décidé de ne pas assister à la petite fête sans son mari. Elle ne voulait pas vivre un nouvel enfer sous les ordres de Ron. Elle venait de vivre la journée la plus humiliante de sa vie, il avait eu à deux reprises des rapports sexuels avec elle, il devrait en être pleinement satisfait, cela devrait lui suffire. Mais elle craignait fort que ce ne soit pas par coïncidence que Ron ait missionné Glenn ce soir.

Elle entendit la porte de sa chambre s'ouvrir, elle espérait que c'était Glenn qui revenait, mais ce fut Ron qui rentra dans la chambre. Elle était si désappointée qu'elle ne remarqua pas tout de suite le sac de papier qu'il avait en main.

- T'étais très sexy dans ton minuscule bikini cet après-midi ! Dit Ron en entrée.

Linda fatiguée, énervée se contenta de grogner.

- Et tu t'es montrée si chaude hier soir avec Glenn ! Mais il y quelque chose que je veux que tu changes ! 

Ron saisit le sac et en sortit un rasoir jetable et une bombe de mousse à raser, il les lui tendit en souriant.

- Allons dans la salle de bain, il est temps que tu fasses un peu de toilette !

- Oh, non... Je vous en prie ! Le supplia humblement Linda.

Mais lorsqu'il entra dans la salle de bain, elle le suivit. Il mit l'eau à couler dans la baignoire, gentiment il lui vota sa robe et sa petite culotte, elle se retrouva de nouveau entièrement nue. Il se déshabilla à son tour, dévoilant sa grosse bite bandée. Il grimpa dans la baignoire et posa une serviette sur le rebord il indiqua à Linda de s'asseoir sur la serviette jambes pendantes dans l'eau. Il s'assit entre ses cuisses grandes ouvertes empoigna un gant de toilette, et mouilla la chatoune de Linda. Il secoua alors la bombe de mouse à raser, en projeta une bonne dose au creux de sa main et l'étala sur sa toison broussailleuse.

- Du calme ma petite chérie, je suis un très bon adepte du rasoir ! Rigola-t-il posant le rasoir sur ses poils.

En dépit de l'assurance de Ron, Linda était très nerveuse de sentir une lame de rasoir si proche de son intimité. Ce qui s'ajoutait à l'humiliation de se trouver nue avec un homme nu dans sa baignoire.

Elle écarta encore plus ses cuises, son entrejambe bien posé sur le rebord de la baignoire et se tint parfaitement immobile alors que Ron entreprenait de raser sa chatoune.

- Que dira Glenn en voyant ça ? Se demanda-t-elle à voix haute.

- Tu lui diras que c'est une petite surprise que tu lui fais ! Ne te l'a-t-il jamais demandé auparavant ? 

- On a jamais abordé ce sujet ! 

Ron avait commencé par l'extérieur de sa toison, mais à la grenade honte de Linda il ne se contenta pas d'une coupe bikini, il lui rasa la totalité de son mont de Vénus. Gentiment, doucement coup de lame après coup de lame il s'assura qu'il n'avait oublié aucun poil.

- Qui se trouvait sur le balcon hier soir ? S'informa Linda.

- Il n'y avait que Karl, Larry, James et moi ! 

Linda repensait avec honte que son patron et 2 collègues de son mari les avaient observés faisant l'amour la nuit dernière.

- Mon Dieu, mon Dieu ! Grommela-t-elle éperdue.

Ron la fit s'accroupir dans la baignoire pour rincer proprement sa chatoune dénudée. Elle se rassit sur le rebord de la baignoire pour une dernière minutieuse inspection.

- Ah splendide ! S'exclama Ron ravi.

Il l'avait assise au fond de la baignoire avec lui. Elle dut s'asseoir le dos contre son torse, il l'enlaçait de ses jambes. Il attrapa le savon et entreprit de lui savonner le dos, ses mains savonneuses coururent sur son torse enduisant ses nichons d'une mousse blanchâtre, les deux grosses miches lubrifiées brillaient doucement, ce spectacle était épatant pensait Ron.

- Tout le monde aime voir tes gros nibards ! Dit-il en les pétrissant.

- Tes grosses aréoles brunes foncés sont tellement surprenantes ! Et tes tétons bandent si facilement et sont alors si longs !

Tout en commentant, il étirait ses mamelons enduits de savon. Elle s'était agenouillée dans la baignoire, il savonnait maintenant sa chatte et son cul, ses mains onctueuses palpant voluptueusement ses charmes.

- Nous avons particulièrement aimé voir ton cul cambré en l'air alors que tu suçais Glenn, ta tête se levant et s'abaissant sur sa bite dressée.

Ron la fit se mettre à quatre pattes, il se posta dans son dos et pressa son gland contre sa chatte déboisée, il entra facilement dans son antre détrempé, s'engouffrant aisément dans son fourreau bien lubrifié et entreprit de la baiser lascivement en levrette.

- J'aimais bien ton buisson touffu ! Mais Karl préfère les chattes rasées. Grogna Ron lui caressant son mont chauve.

Le fond de la baignoire était garni d'un revêtement anti-glisse qui irritait les genoux, mais cela permettait de se mouvoir en toute tranquillité. Ses miches pendaient et dansaient au gré de leurs mouvements, il parlait d'une voix rauque surmontant le bruit des clapotis de l'eau résonnant dans la baignoire.

- J'aime la façon dont dansent tes nichons au gré de mes coups de boutoir. Et cette façon que tu as de cambrer les fesses sur tes longues jambes nacrées. Tes nibards m'excitent au plus haut point ! 

Linda l'écoutait mi ravie, mi humiliée, jamais on ne lui avait parlé ainsi de ses charmes tout en la baisant à couilles rabattues.

- Oh, oh... Grommela-t-elle alors qu'il s'enfouissait profondément en elle. Elle était tout proche de l'orgasme.

- N'arrêtez pas... Je vous en prie ! 

Ron coulissait de plus en plus vite dans sa chatte accueillante, il cracha son foutre au fin fond de son utérus, l'éclaboussant de partout alors qu'elle jouissait à son tour.

7° LE COCKTAIL

Ron et Linda arrivèrent à la soirée sur le coup de 20 heures 30. La salle consistait en un large couloir meublé de quelques chaises, un canapé et une chambre séparée avec un seul lit de grande taille. Linda tournait la tête en tous sens pour essayer de comprendre où ils se trouvaient.

Tous les gens qui se trouvaient à la piscine quelques heures plut tôt se trouvaient réunis avec en plus Karl et quelques client masculins qu'elle avait rencontré plus tôt et d'autres hommes qu'elle ne connaissait pas.

Elle était la seule femme, la plupart des hommes la déshabillaient avec concupiscence, de la tête aux pieds. Plus tôt, dans sa chambre, Ron avait inspecté sa tenue pour la soirée. Elle avait caché sa chatte fraîchement rasée sous une petite culotte de dentelle noire, lorsqu'elle avait voulu enfiler son soutien-gorge Ron l'avait attrapé au vol l'informant :

- La petite culotte noire suffit, tu n'auras aucun besoin de soutien-gorge cette nuit !

Linda jeta un œil sur son image dans un miroir surmontant une commode dans la "salle de fête". Même avec un soutien-gorge, son corsage blanc s'avérait trop étroit et trop fin pour qu'elle se sente à l'aise en le portant, elle avait pensé le porter sous une petite veste, mais Ron lui avait dit de la laisser dans la chambre. Il était évident que cette jeune femme qu'elle voyait dans le miroir ne portait pas de soutien-gorge sous son corsage.

Son pantalon de jean était et de beaucoup trop étroit, il la moulait de façon assez obscène, révélant ses rondeurs voluptueuses, une veste aurait aussi dissimulé sa chute de reins.

Ron s'excusa, devant discuter avec quelques clients, il la laissa seule alors que des hommes aux intentions pas trop nettes s'approchaient d'elle. Elle discutait avec ces hommes qui l'avaient vue quasiment nue à la piscine ce jour même, ainsi qu'avec ceux qui l'avaient matée faisant l'amour avec son mari la nuit précédente.

Certains clients de son mari se présentèrent à nouveau, tout en lui parlant, ils gardaient les yeux rivés sur ses nibards. Ron mit alors en route un magnétophone bon marché. Ron pensa qu'il avait vraiment eu une bonne idée de demander à l'un des subordonnés de James d'amener un Cd musical lorsque retentit le tempo prononcé d'un air de rap.

- Danse pour lui, il adorera ! 

Linda était le centre d'intérêt de tous ces hommes, elle était humiliée comme jamais. Danser pour un vieil homme sous les yeux de dizaines de spectateurs concupiscents ! Mais elle avait trop à perdre, elle avait perdu toute dignité ces deux derniers jours, pour refuser quoi que ce soit à Ron.

Il l'emmena vers la table basse, elle ôta ses chaussures et l'escalada souplement.

Se tenant face à la chaise de Karl, entourée par la foule des spectateurs elle se mit à danser sur le rythme de hip-hop, pour le vieil homme qui bénéficiait d'un point de vue original, se trouvant bien plus bas qu'elle.

La foule siffla et trépigna alors qu'elle commençait à bouger ses pieds et ses hanches. Ils avaient tous les yeux braqués sur elle. Linda était consciente d'offrir un gentil spectacle en dansant pour ce vieil homme, mais elle savait en son fort intérieur que Ron attendait des efforts de sa part pour électriser la salle.

Elle savait qu'elle devait danser en exprimant toute sa sensualité, qu'elle devait se montrer très érotique. Elle se creusait la tête pour se remémorer toutes les figures qu'elle connaissait jusqu'aux mouvements d'aérobic. Elle leva les bras aux cieux et se trémoussa, elle pouvait se voir évoluer dans le grand miroir mural face à elle. Sa poitrine libre de toute entrave se balançait au rythme de ses pas, elle savait qu'entre autre c'est bien ce qu'espérait voir Ron.

Ron et quelques spectateurs émettaient des commentaires, des suggestions de plus en plus crues, criant :

- Remue ton popotin... trémousse-toi plus ! 

C'est alors qu'elle réalisa que le morceau joué s'appelait : "A poil, mets toi à poil !"

Ron enjamba la table et se mit à danser avec elle, il s'agissait plus de simuler une bonne partie de baise que de danser. Il pressait sa bite tendue contre ses fesses, mains posées sur ses hanches, obligeant Linda à balancer son pelvis d'avant en arrière. 

Jetant un œil vers le bas Linda constata que Karl prenait un plaisir fou à la voir évoluer. Linda posa la main sur le bouton du bas de son corsage et le dégrafa. Elle pouvait voir, dans le miroir, qu'il dévoilait son nombril. Instinctivement elle posa les mains sur Ron cherchant à le dissuader de remonter son corsage.

- Allez Linda laisse moi faire !  On va offrir au patron un spectacle mémorable ! N'oublie pas que la moitié des spectateurs ici présents ont déjà contemplé tes nibards ! 

Paniquée Linda s'accrochait à son corsage, malgré sa défense passive il remontait lentement son corsage jusqu'à ce que jaillissent ses gros nichons sous les yeux des spectateurs conquis. Il repoussa son chemisier au-dessus de sa tête et l'en dépouilla, la foule trépignait et applaudissait ravie su spectacle. Elle voyait son image réfléchie par le miroir, ses nibards se balançant mollement alors qu'elle dansait torse nu devant un grand nombre de spectateurs enthousiastes qui la connaissaient.

A l'exception de cette dernière nuit, alors qu'elle n'avait pas eu à affronter directement les yeux des spectateurs pour qui elle se déshabillait, ou cette matinée où elle avait pu feindre croire qu'elle était couverte, elle ne s'était jamais exhibée délibérément, et cette fois ces hommes trépignaient, hurlaient, sifflaient exigeant de la voir à poil.

- Enlève ton pantalon ! Lui hurla Ron.

Son cri fut reprit en chœur par l'assistance :

- A poil ! A poil ! A poil ! 

Elle descendit la fermeture éclair, et tortilla lentement du popotin. Ses nichons pendants dansaient au rythme de ses trémoussements alors qu'elle se penchait pour retirer son falzar. Elle continuait à danser torse nu, en petite culotte de soie noire avant que la foule insatiable réclama encore plus.

Ce n'est qu'en les entendant hurler d'enlever sa petite culotte qu'elle se rappela avoir rasé petit chaton. Ron lui avait dit que Karl préférait les chattes imberbes. Il avait tout programmé ce bâtard !

Linda crocha ses pouces de chaque coté de son affriolant sous-vêtement, et lentement le roula sur ses hanches. Le moment le plus humiliant survint lorsqu'elle sent un vent frais courir sur son mont chauve, et qu'elle entendit la foule exploser de rire. Elle jeta un œil sur Karl trônant sur sa chaise. Il regardait Ron le pouce levé en signe de contentement.

Linda examinait avec curiosité sa fente fermée surmontée de son mont de Vénus dépourvu de tout poil, dans le miroir. Elle ne s'était plus jamais vue ainsi depuis ses 12 ans, elle se sentait beaucoup plus exposée que lorsqu'elle avait encore son buisson touffu, elle entendit quelqu'un murmurer :

- Elle s'est rasée la chatte ! 

Et un autre renchérit :

- Elle avait des poils ce matin ! 

Quelqu'un remplaça le Cd par un autre intitulé "Whoop, elle est ici", elle reprit son tempo.

- Qu'ai-je fait pour mériter cela ? Se demandait-elle sombrement.

- Mon Dieu ! Faite que cela cesse !

Mais malgré son humiliation évidente et de sa répugnance à se comporter ainsi, il y avait une part d'elle-même que l'excitation évidente de ces hommes enchantait. Son corps semblait agir en toute autonomie ! 

Elle regardait cette femme dons le miroir, complètement nue, ne portant plus que ses boucles d'oreilles, un collier ras du cou et son alliance qui se trémoussait agitant sensuellement ses hanches, balançant ses nibards, sautant de long en large. Jusqu'à son estomac et son ventre qui étaient secoués de spasmes convulsifs, ses nibards dansaient, parfois à l'unisson, parfois en opposition l'un à l'autre, de bas en haut, de gauche à droite. Elle ne ressemblait en rien à une innocente victime ! On aurait cru une pute, une impudente salope effectuant un strip-tease.

Quelques spectateurs faisaient des remarques salaces comme si elle n'était pas là :

- Bordel mate moi ces gros nibards qui se balancent mollement ! 

- Ca doit une strip-teaseuse !

- Mais non c'est une pute ! 

D'autres lui hurlaient des suggestions lubriques :

- Ecarte les cuisses ! 

- Remue ton cul ! 

Quel que soit le degré de dégradation qu'impliquaient ces ordres, son corps s'y soumettait automatiquement.

Linda se retourna et balança sa croupe dénudée sous les yeux extasiés de Karl, elle regardait dans le miroir ce qui se passait dans on dos, et observait sa croupe de femme de 36 ans danser et se trémousser en tournant des hanches.

- J'espère que cela suffira ! Pensait-elle au fin fond d'elle-même.

- Fais-lui une danse au corps à corps ! Hurla Ron

Linda n'avait vu des femmes se livrer à ses danses que dans 1 ou 2 films. Tout ce qu'elle en savait c'est que la danseuse se postait devant un gars et s'asseyait littéralement sur ses genoux en tortillant du cul.

Elle descendit de la table basse et s'approcha du vieillard, puis elle planta ses jambes de chaque coté des siennes, elle se pencha et secoua ses nibards sous ses yeux extasiés. Karl rit et posa la main sur ses hanches, il attira Linda sur ses genoux. Elle s'assit sur lui jetant un œil sur cet homme qui lui souriait le visage au niveau de ses miches. Elle se cambra pour s'éloigner de quelques centimètre de lui, se frottant de bas en haut sur ses genoux alors que Karl lui tenait les hanches.

- Oh les mecs, c'est drôlement jouissif ! S'exclama-t-il enchanté.

Il promena ses mains sur sa croupe et lui écarta suavement les fesses, sous les encouragements des spectateurs il l'attira plus étroitement contre son torse. Linda verrouilla ses cuisses autour de son buste sentant sa grosse bite pointer dans son entrecuisse. Karl glissa ses mains sur son buste et empoigna ses tétons raidis. 

Linda jeta un œil effrayé sur Ron, elle l'appelait au secours, mais il souriait et riait avec les autres. Elle ne pouvait rien faire d'autre qu'autoriser le vieillard à palper ses gros nichons. Il pressait et étirait ses mamelles, lui pinçant ses longs tétons, tout en l'obligeant à bouger ses hanches de droite à gauche, puis il se pencha sur elle et posa les lèvres sur son mamelon gauche.

Au vu du peu de sommeil dont elle avait bénéficié la nuit dernière et des événements qui s'étaient enchaînés toute la journée, les facultés de réflexion de Linda étaient nettement amoindries. Elle aurait voulu mettre fin à cette expérience traumatisante mais elle ne trouvait pas de moyen qui ne mécontenterait pas Ron. Aussi se contentait-elle de demeurer passive le laissant faire selon ses désirs.

Cependant le frottement constant de la grosse bite de Karl contre sa fentine embrasée alors qu'il lui mignotait les nibards commençait à l'exciter furieusement, même si elle s'efforçait de s'empêcher d'y penser. Quittant ses mamelons, Karl lui saisit la nuque et lui roula une pelle enflammée. Le vieil homme avait introduit sa langue dans sa bouche et l'obligeait à répondre à son baiser passionné, ce faisant, il lui étirait durement les mamelons.

Elle sentait un puissant orgasme monter dans ses flancs. Elle avait de plus en plus de mal à contrôler sa respiration et les tressautements de son corps. Son corps le suppliait de poursuivre ses caresses enivrantes mais elle aurait préféré mourir que de jouir sous les yeux de cette nombreuse assistance.

Dans un dernier effort de résistance elle se redressa. Elle regarda Ron qui affichait un ordre muet sur son visage, il l'avisait qu'elle n'en avait pas fini avec son patron. Elle jeta un coup d'œil circulaire sur les spectateurs en arrière plan qui l'encourageaient de la voix et du geste.

Elle se retourna et secoua ses fesses au ras de son visage. Il agrippa fermement sa fesse droite et asséna quelques gifles sur sa fesse gauche, puis il la souleva d'une main au-dessus de ses genoux.

Elle se pencha en arrière continuant à danser entre ses bras sans réaliser que de l'autre main, il repoussait son pantalon sur ses cuisses pour faire jaillir sa grosse bite déployée. Karl agrippa les hanches de Linda et la tira vers le bas sur ses genoux. Sa peau toucha de la chair chaude, elle réalisa alors que cette colonne chaude qui se pressait dans on entrecuisse n'était que la bite déployée et dénudée de Karl.

Avant qu'elle ait eu le temps de réagir, Karl parcourait du gland sa fentine embrasée.

- Non, cela ne se peut pas ! Espéra-t-elle stupidement, mais Karl donna une violente poussée, sa grosse bite s'engouffra dans sa chatte détrempée.

Les spectateurs face à eux l'encouragèrent en voyant sa grosse pine disparaître dans sa foufoune rasée. Les yeux de Linda étaient grand ouverts comme des soucoupes elle avala sa salive en émettant un couinement aigu. Karl lui tenait fermement les hanches et labourait vigoureusement la femme de son subordonné, la faisant danser de bas en haut sur sa pine raidie, il tendit la main et se mit à triturer ses mamelles.

Cet orgasme qu'elle craignait tant d'avoir se faisait de plus en plus proche, elle ferma les yeux cherchant à penser à quelque chose d'autre, mais en vain. Elle était nue, en train de se faire foutre, sur le point de jouir au beau milieu de cette salle pleine de collègues et d'employés de son mari.

Karl posa une main sur son mont de Vénus, tout prêt de sa bite et tritura habilement son clito

- OooooooOOOOOOEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE! .... OOOOHHHH..... Oooooooooooh....."

EeeeeeEEEEEEEEEEEE... ! 

Les spectateurs riaient aux éclats tout en encourageant leur patron et la ravissante femme de leur collègue.

- Ohhhhh... AaaaaaaaaHHHHH... Waowwwwwww...  !

Linda enroula ses chevilles autour des pieds de la chaise et se mit à gigoter furieusement sur la bite dressée de Karl. Il tenait fermement son nichon droit, le gauche dansait dans toutes les directions. Il lui triturait de plus en plus activement le clito.

- Ho... Hu... WaaaaaahhhhoooOOOOOOOOOOOO !

Agrippant la ravissante jeune femme Karl projetait des gerbes de foutre dans sa chatte accueillante, Linda le sentait s'épancher en elle, une nouvelle vague de frissons de jouissance la submergea à alors qu'elle couinait son plaisir.

Elle retint la main de Karl pressée sur son clito et le plus lourd, le plus long, le plus intense orgasme qu'elle ait jamais subi la submergea.

A suivre...


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