jeudi 1 octobre 2020

Cauchemar à la villa de campagne Ch. 04

 Histoire de Méfistho

Et la fête continue.

Le gitan avance avec deux bergers bâtards et un Rotweiller. Les molosses sont énormes mais semblent obéissants. Ma pauvre mère à peine réveillée ne réalise pas encore la situation. Elle est encore à moitié endormie et se retrouve subitement sur l'herbe. Je reste à voir la scène derrière la véranda. La nuit est tombée mais il y'a un faible éclairage due au ciel dégagé. Je distingue juste l'attroupement dans le gazon du jardin. Des rires aussi. Le corps blafard et nu de ma mère maintenu par quatre gaillards qui écartent ses membres afin d'offrir ses orifices. La rondeur de ses gros seins sont aisément discernables. Les chiens avancent et reniflent ma mère un peu partout. Ils semblent curieux. Sentir ses truffes humides la renifler la chatouille un peu. Les chiens hument la souillure sur son corps. Ils doivent clairement détecter que le corps qu'ils reniflent est celui d'une femelle. Ils battent la queue ce qui indique qu'ils sont intéressés mais intéressés à quoi? Puis le gitan dit un truc à un des gars qui éclate de rire et court vers la maison. Il file droit vers la cuisine en bousculant ses potes et farfouille dans le frigo. Puis il revient en courant et en secouant un truc. D'autres intrigués, sortent aussi.

- De la chantilly! j'ai trouvé que ça.

- Envoie!

Le gitan détache les chiens et avec un sourire recouvre le corps de ma mère avec la crème chantilly. Il asperge d'abord ses membres puis les bras et les jambes qui sont étirés par ses collègues. Les chiens excités commencent à laper.

- Tenez bien cette salope! Vous allez voir qu'elle va jouir!

Pendant que les chiens lèchent ses bras et ses jambes, le gitan secoue la bombe et en asperge la poitrine opulente. Il en met une bonne dose. Il continue la traînée en ligne droite en passant par le ventre et direction la chatte rasée et fournie qu'il inonde de beaucoup de crème. Il prend un des deux bergers par la tête et lui fait lécher. Ma mère sent la langue fouiller sa chatte et comprend les intentions malsaines.

- Pitié, pas ça! pas çaaaaaaa!

Mais ses lamentations excitent le gitan encore plus. Il écarte les lèvres de son sexe et colle la tête du berger bâtard dessus pour qu'il la lèche. La langue avide, longue et baveuse s'insinue en elle. Elle est vive et bien malgré elle, elle lui procure du plaisir. Les deux autres lui lapent sa grosse poitrine. Le gitan a relâché le berger bâtard et remet une couche de crème sur ses nibards. Ça lui fait plaisir de voir ses chiens lécher cette paire de seins de bourgeoise. Les gros seins sont lapés et les coups de langues du Rottweiller sont si puissants que même son gros sein est soulevé. A tout moment, on a l'impression que le molosse va lui gober son nichon tant il est excité mais il n'en est rien. Bien que le sein de ma mère ait l'aspect d'un énorme bout de chair qu'il lèche, seul la chantilly l'intéresse.

J'entends légèrement les bruits que font les langues. Ma mère commence à gémir à cause des stimulations. La langue dans sa chatte la fait mouiller et le chien lape la cyprine mélangée à la chantilly. Les gros coups de langue sur ses nichons lui font redresser subitement les tétons au milieu des auréoles marrons. Bien qu'elle tente de repousser le plaisir, elle ne peut y échapper. Il rajoute une couche de chantilly car la scène l'excite trop.

- Regardez! une chienne pour mes chiens!

Les mots sont durs, très hard et sans pitié. Les trois molosses sont sur son corps, en train de la lécher, de la souiller de leur salive. Mais ça ne suffit pas au gitan et sans qu'il dise un mot, les gars qui la retenait au sol la redresse comme une poupée de chiffon.

- A quatre pattes maintenant!

Ses gros seins pendent. Son dos cambré offre les deux grosses fesses et bien sûr sa chatte. Un berger bâtard est passé en dessous elle pour lécher la chantilly qui dégouline de ses grosses mamelles ballottantes. Le Rottweiller lui sent l'anus et la chatte. Le gitan met le reste de la bombe. Il lèche, renifle et instinctivement lui grimpe dessus. Je n'ose plus regarder la scène car elle me dégoûte. Ma propre mère est baisée par des chiens. J'entends maman hurler de honte, elle, la pharmacienne, la bourge, la mère de famille, traitée aussi bassement, humiliée de cette façon. Les rires et les encouragements sont si forts. Mais qui pourrait entendre un tel vacarme dans cet endroit perdu. Ecœuré, je m'assois sur le canapé et m'endort suite aux effets de l'alcool.

Le lendemain, vers midi, je me réveille. La maison est sens dessus dessous. Il y a encore plus de personnes que je croyais. Certains cuvent, d'autres se promènent ou boivent encore. Ils se sont appropriés les lieux. Dehors, j'entends un bruit : Le véhicule revient avec le métis accompagné de trois autres gars. Ma sœur Lysa est à l'arrière entre deux hommes. Elle sort en même temps qu'eux, libre de ses mouvements à mon grand étonnement.

- Maman! Maman!

Mais c'est vrai? Où est ma mère?

Elle rentre dans la maison et me regarde à peine. Elle file droit à la chambre mais rien. Elle fouille la maison mais rien non plus. Dehors, des rires. Je comprends. Un attroupement autour d'un corps nu. Lysa se précipite et identifie aussitôt ma mère. Elle ronfle, nue et allongée sur le ventre, les yeux mi-clos et la bouche entrouverte. A moitié rassurée, Lysa se doute bien de ce qu'elle a dû subir toute la nuit. Elle-même est passée par là et, durant la soirée, a servi de pute au métis et à ses trois amis rencontrés plus tard, après la boite de nuit. Elle voit sa propre mère, nue, les orifices encore dilatés par les outrages. Et quels outrages, car elle ignore qu'elle a été donnée à des chiens. Elle observe son anus. Oui, elle a bien été sodomisée et pas qu'une fois. Sa bouche, son sexe et ses seins ont aussi servi à procurer du plaisir. Son visage est collé de sperme et d'ailleurs tout son corps est souillé. Elle a du mal à l'admettre mais ce corps qui a servi de jouet sexuel est bien celui d'Isabelle, la femme qui l'a mis au monde, qui l'a nourrie et éduquée.

- On va la réveiller!

Le gitan qui semble ne pas avoir dormi, revient avec un seau d'eau. Il lui jette et l'effet est immédiat. Isabelle se retrouve à poil, toute mouillée devant sa fille. On la relève.

- Allez, au lavage, salope! T'as intérêt à te faire bonne sinon on t'attache avec nos amis à poils!

A cette phrase et devant les rires, elle se souvient et se cache les yeux : les chiens! Elle marche vers la maison et Lysa est sommée d'apporter des restes de boissons. Elle se fait peloter au passage bien sûr. Elle est vraiment sexy avec sa mini-jupe et son cul rebondi, rien avoir avec celui d'Isabelle, marqué par le temps et les grossesses. Lysa se laisse tripoter, ses jambes fines, ses petits seins ronds, son ventre plat avec son piercing sur le nombril. Le métis semble avoir des vues sur elle à nouveau et la ceinture comme s'il était jaloux. Il lui roule une pelle en lui pelotant les fesses.

Au bout de trois quarts d'heure ma mère ressort à son tour sous les sifflets, les rires et les applaudissements accompagnés de quolibets. Lysa se masque les yeux, choquée : voir sa mère habillée ainsi et pire encore car les gaillards ont fouillé dans les affaires de Lysa. Les sandales talons haut, ce sont les siennes. Ma mère a réussi miraculeusement à refermer le bouton de la mini-jupe en cuir noir. Jamais Lysa ne l'avait portée encore car elle la trouvait trop vulgaire.

D'ailleurs, ma mère doit souffrir énormément car son cul est pressé dedans et son ventre ressort même un peu. C'est une catastrophe car elle a une grosse paire de fesses et des cuisses un peu forte. Cette mini-jupe la rend vulgaire, sans classe, à la limite du ridicule : Une femme de son âge porter ce genre de vêtement! Isabelle a mis un débardeur noir à fine bretelle et un motif de rose blanc, avec un décolleté monstrueux. Ses seins nus à l'intérieur ne sont pas retenus car elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses gros seins se baladent librement. Le visage maquillé à outrance de ma mère est inexpressif, résigné. Les hommes ont fait d'elle leur chose, leur jouet de chair, leur pute.

A ce moment, le coup de téléphone rituel de mon père qui prend des nouvelles sur l'avancement des travaux. Ma mère répond avec tout le calme qu'il faut. A quoi bon risquer de tout dire à son mari, a quoi bon risquer une humiliation encore pire : révéler son calvaire et que tout le monde sache pour son viol, celui de sa fille, les chiens etc... Peut-être que si elle est coopérative, ils se lasseront et la relâcheront ainsi que Lysa et moi. La conversation dure une demi-heure et pendant qu'elle parle à son mari, les agresseurs la pelote. Elle n'ose pas rechigner et ce sont des dizaines de mains qui la fouille.

Elles s'introduisent sous sa mini-jupe, tapent et massent ses fesses. Ses jambes se font caresser ainsi que ses mollets. Comble du tout, un des excités parvient à passer ses deux mains dans l'échancrure de son débardeur et s'amuse avec ses gros seins qu'il est parvenu à faire sortir. Ses deux mamelles sont sorties de l'échancrure et pendent par-dessus le débardeur tout en étant malaxées. D'un seul coup, elle devient blême. Elle dit au téléphone :

- Je ne savais pas, je n'étais pas prévenue!

- Elles ont voulu vous faire une surprise mais à mon avis elles ont du se perdre!

- D'accord...je vais les prévenir!

- Merci chérie et à bientôt, je t'appelle demain!

- Oui, mon chéri, bi ...bisous!

Elle raccroche. Tous la regarde. Le gitan demande :

- Alors, pourquoi tu fais cette tête-là?

- Ecoutez! je ferai tout ce que vous voudrez mais ne leur faites rien!

- Quoi?

- Ma belle-sœur vient avec sa fille! Laissez-les!

Des rires.

- Oui, on va les laisser mais on va les laisser venir.

Là, c'est le comble de la malchance, de l'horreur absolue. Ma tante Claudine va tomber dans un guet-apens à son tour. Et elle vient avec ma cousine, mais laquelle?

Ma mère se fait claquer légèrement. Elle est vraiment ridicule avec sa mini-jupe et maintenant ses gros seins qui ressortent et qui pendent lourdement par l'échancrure. Mais tout ça semble plaire à la vingtaine de personnes ici présentes. C'est vrai qu'ils se sont plus acharnés sur ma mère. Lysa semble ne pas les préoccuper ...pour l'instant. Ils forcent ma mère à enlever sa culotte à dentelle noire. Le spectacle excite le métis qui commence à envisager de baiser Lysa. Ses caresses sont explicites et très entreprenantes. Le gitan assis sur le canapé fait asseoir ma mère qui s'empale sur sa grosse bite.

- Voilà, tu mettras plus de culotte comme ça on pourra te baiser quand on voudra!

Puis il gémit en la baisant. Ses seins sautent mollement de haut en bas. Lysa a un sein dehors et le métis la doigte sous sa mini-jupe en jean. Il a baissé sa culotte. Une fois le gitan vidé, il se lève et cède sa place à un autre. Cela se passe comme ça durant une bonne heure. Le métis a emmené Lysa dans la chambre de ma mère et l'a baisée là-bas. La partouze alors s'interrompt. Je reconnais la voiture de tante Claudine accompagnée de ma cousine Michèle...

A suivre...


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