Elle me raconte qu’elle a continué plus tard.
Ma femme était coincée contre le plan de travail de la cuisine, la jupe retroussée à la taille. J'enfonçai ma bite et je la soulevai du sol en regardant sa poitrine rebondir de bas en haut. Ses tétons pointaient dans le chemisier déboutonné. J'avais soulevé son soutien-gorge pour libérer ses seins. Elle avait été baisée de nombreuses fois ainsi par d'autres hommes.
- Ça ressemblait à ça quand les ouvriers t'ont baisée? Culotte par terre, seins à l'air pendant que les autres regardaient? Demandai-je.
- Oui parfois. Je regardais leur bite et je les voulais en moi. Des fois ils me laissaient les prendre en main pendant que je me faisais baiser.
Je ne voulus pas gâcher l'occasion de lui faire raconter plus de son histoire. Donc j'allai lui proposer que l'on monte à l'étage quand elle laissa échapper un gémissement et cria :
- Ne t'arrête pas, baise-moi fort, fais-moi jouir!
J'enfonçai ma bite plus profondément mais plus lentement. Je saisis ses fesses et je la soulevai du sol, faisant ainsi frotter la base de ma bite conte son clitoris. Mes mains la faisaient descendre et monter sur ma queue.
- Est-ce que tu penses à toutes ces bites bien raides? Tu étais vraiment une cochonne de les laisser relever ta jupe et te baiser.
Elle ne répondit pas, ses yeux étaient fermés. Puis elle frissonna, ses gémissements se firent de plus en plus forts. Elle m'attrapa par les cheveux et enfouit ma figure dans sa poitrine.
- Oui... Baise-moi... J'aime les hommes qui me pénètrent... J'aime montrer mon corps. J'aime regarder et toucher des bites... J'aime les sucer... Baise-moi plus fort... Oui je jouis...
Ce fut probablement l'orgasme le plus intense que j'aie vu chez elle et que j'avais provoqué. Ensuite nous sommes montés. Mais comme sa faim sexuelle avait été satisfaite, nous nous sommes couchés et nous avons sombré dans le sommeil.
Quelques heures devaient être passées quand je sentis que ma femme s'agitait. Je restai immobile et sentis les draps bouger légèrement. Elle bougeait son bras. Elle était en train de se caresser. Elle était prête à jouir de nouveau. Je me demandai quels souvenirs traversaient son esprit. Quelles pensées l'avaient excitée?
- Est-ce que ça te gênerait si tu continuais à me raconter l'histoire? Demandai-je.
- Quoi? répondit-elle surprise.
- De jouer avec ta chatte? Et pourquoi pas me branler aussi. Dis-moi comment tu as été vicieuse avec d'autres hommes?
Mon sexe était déjà bien raide alors que je me caressais dans le lit. S'il touchait ma femme, je crois que je jouirai trop tôt.
- A quoi penses-tu? demandai-je.
- Ce que j'ai fait dans la salle de bain. J'ai honte de ce que j'ai laissé arriver, mais ça m'excite toujours.
- Dis m'en plus! Comment as-tu rencontré ce type de nouveau?
- C'était quelques mois plus tard. Tu te souviens, des groupes d'ouvriers étaient chargés de faire les finitions. J'ai rencontré cet homme un jour en rentrant chez nous. Il travaillait avec un autre homme. Je me suis arrêtée pour lui parler. Et je lui ai dit qu'il pouvait m'appeler s'il voulait prendre un café. Il me dit que c'était difficile pour lui de s'échapper mais qu'il me remerciait. Puis après avoir réfléchi, il me dit que le mercredi suivant, il avait un rendez-vous dans la matinée et qu'il pourrait s'arrêter sur le chemin de retour à son chantier. Je luis dit que c'était ok mais qu'il devait m'appeler quelques minutes avant son arrivée pour lui confirmer que c'était bon.
« Comme elle peut être sournoise » pensai-je. Je n'avais jamais vu ce qu'elle faisait quand j'étais au travail.
- Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, mais quand mercredi arriva, j'avais hâte de le voir. Après son arrivée, nous nous sommes assis et nous avons discuté pendant un moment autour d'un café. Il m'a parlé du passé et m'a dit qu'il souhaitait pouvoir revenir. Je lui ai dit que je regrettais tout ce qui c'était passé, d'avoir laissé tous ces hommes venir et m'utiliser. Il me dit que les autres avaient tout gâché mais qu'il avait toujours aimé ce que nous faisions.
- Il voulait parler de quand il urinait? Demandai-je, même si je connaissais la réponse.
- Eh bien oui. Du moins j'ai compris ça. Il m'a demandé si j'avais des regrets à ce sujet ou si j'avais aimé.
-Et qu'est-ce que tu as répondu? Questionnai-je en lui passant ma main libre le long de son dos.
- J'ai admis que j'avais aimé. Dit-elle timidement.
- Est-ce que tu l'avais invité à la maison dans l'espoir que ça se reproduise?
- Je pense que oui, j'espérais que quelque chose se passerait.
- Et alors? demandai-je impatient.
- Tu le sais déjà ou tu te doutes. Répondit-elle.
Je lui dis :
- Je sais que tu as probablement couché de nouveau avec lui. Mais je ne sais pas si ça inclut des choses vicieuses dans la salle de bain.
- Il s'est passé quelque chose. Dit-elle encore un peu inquiète.
Malgré tout ce qu'elle m'avait raconté, il lui restait encore des choses dont elle avait du mal à parler et qu'elle voulait éviter de me dire.
- Il est trop tôt pour dormir. Pourquoi n'irions-nous pas chercher un verre pour le ramener ici. Proposai-je.
Mon but était évident. J'espérais qu'elle se détendrait et qu'un peu d'alcool lui délierait la langue.
- D'accord. Amène la bouteille avec toi alors. Dit-elle.
Nous avons pris un verre ou deux et je lui dit tranquillement :
- Écoute, mets de côté ce qui te tracasse et raconte-moi!
Je posai ma main sur un de ses seins et pour me montrer rassurant je lui embrassai de front.
- Éteins la lumière. Je ne veux pas que tu me voies pendant que je te le dis. Demanda-t-elle.
Elle s'allongea et me tourna le dos.
- La première fois qu'il est venu, quand nous avons parlé du passé, il m'a demandé de m'asseoir à côté de lui sur le canapé. Il m'a embrassé et je l'ai laissé dégrafer mon chemisier et mon soutien-gorge. Et moi, j'ai joué avec sa bite. Puis il commença à poser des questions comme toi tu le fais. Il m'a demandé ce que j'avais aimé dans le passé. Je ne voyais pas pourquoi je mentirai étant donné qu'il était là parfois. Je lui ai dit que j'étais exhibitionniste et que j'aimais montrer ma culotte, que j'aimais le faire devant plusieurs hommes car c'était plus excitant. Que J'avais apprécié que l'on me touche alors que les autres regardaient. Que j'aimais avoir des relations sexuelles avec plus d'un homme à la fois. Que j'adorais voir le sexe d'un homme pour la première fois. Et ensuite je lui ai avoué que j'aimais vraiment ce que nous faisions dans la salle de bain, que ça m'excitait énormément. Nous n'avons pas eu de relation sexuelle ce jour-là. Mes paroles l'avaient si bien excité qu'il a éjaculé partout sur me robe. Je l'ai enlevé et nous sommes allés dans les toilettes. Je l'ai laissé pisser sur moi et mes sous-vêtements. Désolé, c'est affreux de devoir te dire ces choses.
- Mais il y a pire à venir? Questionnai-je.
- Oui, bien pire. Dit-elle.
- Après ce jour-là, je ne l'ai pas vu pendant un bon moment et j'avoue que j'ai été désappointée. Je voulais encore plus de ce que nous faisions. Mais il n'y avait plus de travail dans le quartier et il était parti. Puis un jour, on frappa à la porte. Il me dit qu'il était passé au hasard pour voir si j'étais là. Il ajouta qu'il travaillait maintenant pour son propre compte et qu'il travaillait dans la région. Il avait embauché un autre homme pour l'aider. Il me dit qu'il aurait sûrement un peu plus de temps libre et qu'il pourrait téléphoner pour me voir de temps en temps.
Après une courte pause, elle continua :
- Il a donc commencé à appeler plus souvent, une ou deux fois par semaine. J'ai perdu alors toutes inhibitions. Je savais que ça durerait peu de temps donc je décidai d'en tirer le meilleur parti. Je n'avais jamais à faire semblant avec lui, je pouvais vivre mes fantasmes sexuels et il ne remettait jamais rien en question. Nous n'avions aucun attachement émotionnel. C'était juste une relation amicale et sexuelle. Je savais que nous avions les mêmes fantasmes.
- Dis-moi ce que tu as fait! Dis-je en posant mes deux mains sur sa poitrine.
Je m'étais tourné vers elle et ma bite était dans la raie de ses fesses.
- Un jour, nous sommes allés dans la salle de bain et il m'a baisé debout. Je lui ai demandé de faire pipi en moi. Il aimait que je reste habillée, que je lève ma jupe et que je pisse dans ma culotte. Le meilleur c'est quand il voulait me goûter. Je restais devant lui, les jambes ouvertes et il s'agenouillait. Il me disait auparavant de garder mes vêtements à l'exception de ma culotte. Il ouvrait les petites lèvres de ma chatte et me doigtait. Il regardait puis approchait son visage de ma chatte. Il l'embrassait et la léchait. Puis je commençai à faire pipi. Il laissait des gouttes courir sur sa langue puis laissait sa bouche se remplir avant de recracher. Et quand j'avais terminé il embrassait et léchait encore ma chatte. Je plaçais alors ma main derrière sa tête et je poussais mon bassin sur sa langue jusqu'à ce que je jouisse. Cet homme était prêt à faire n'importe quoi avec moi.
Elle s'arrêta de parler, rassemblant ses souvenirs. Puis elle dit :
- Un jour quelque chose d'autre s'est passé. Et c'est cela que j'ai du mal à te dire. Nous étions dans la chambre et j'étais nue jusqu'à la taille. J'étais debout devant lui et je caressais sa queue. Puis je me suis tournée et penchée en avant. J'ai posé mes bras sur la chaise et levé mes fesses en l'air. Il a caressé mon cul d'une main tandis que l'autre attrapait mes seins. Son gland se positionna à l'entrée de ma chatte, mais je ne le voulais pas là. Donc je mis ma main entre mes jambes, je saisis sa queue et je la poussai entre mes fesses.
- Tu veux dire que tu voulais qu'il te sodomise? demandai-je le cœur battant.
- Depuis la première fois que j'avais été enculée, je fantasmais sur ça. Et je pouvais le réaliser. Bien que je ne fusse pas sûre d'aller au bout.
- Continue! Dis-je, excité.
- Je pris les doigts de l'homme et je les guidai vers mon petit trou. J'essayai d'en enfoncer un, mais ça me fit trop mal. Je lui dis alors d'aller chercher le pot de crème sur la table de la salle de bain. Je le regardai, il était un peu confus. Je n'ai rien dit et j'ai enlevé le bouchon du pot. J'ai mis de la crème sur ses doigts, puis je me suis tournée et penchée à nouveau sur la chaise en écartant les jambes. Il savait ce que je voulais. Alors il mit un doigt dans mon cul puis deux. Il n'était pas sûr de savoir comment les enfoncer. Mais quand j'ai commencé à me balancer d'avant en arrière sur sa main, ça l'a excité. Je voulais sa bite en moi, dans mon cul. Je lui ai dit d'arrêter, je me suis tournée te j'ai enduit sa bite de crème. Nous étions tous les deux très excités à l'idée de ce qui allait suivre. Je l'ai embrassé et mis ma langue dans sa bouche pendant que je lubrifiai sa queue. Puis je me suis tournée pour lui offrir mon cul. Je le sentis écarter mes fesses et sa queue se posa à l'entrée de mon petit trou.
La main de ma femme s'activa sous les draps, et sa respiration devint plus intense.
- Tu as vraiment aimé alors? Dis-je stupidement.
- Oh oui. C'était génial d'avoir sa queue dans mon cul. C'est le summum de la soumission, se laisser enculer et laisser un homme pisser dans sa bouche.
Elle était loin dans son souvenir. Elle disait presque n'importe quoi. Je pris sa main pour l'arrêter.
- Ralentis, ne jouis pas encore! Commandai-je.
Puis j'ajoutai :
- Tu as encore des choses à me dire. Y'a-t-il pire à venir? Quelque chose de plus vicieux?
Elle commença à pleurer et dit :
- Oui. Après qu'il ait joui dans mon cul, je lui ai demandé d'y laisser sa queue et de pisser dedans. Peux-tu imaginer que ta femme demande ça?
Tout en pleurant, elle dit d'une voix frénétique :
- Peux-tu imaginer ta femme, penchée sur une chaise, fesses nues, la bite d'un homme enfoncé dans son cul, lui demandant qu'il pisse dedans? Pense à ça! Quand les enfants étaient à l'école et que tu étais au travail, je laissai des hommes me baiser. Et avec celui-ci, nous nous sommes pissés dessus et je l'ai laissé m'enculer. Parce que je le voulais et non parce qu'il me l'avait demandé. Je voulais sa queue dans mon cul.
Elle était vraiment dans son histoire. Soudain, elle se tourna vers moi. Sa langue commença à me lécher le visage, ma bouche, mes joues, mon cou.
- C'est comme ça que je nettoyais son visage. Après lui avoir pissé dessus et qu'il ait pissé dans ma bouche. S'il te plaît, baise-moi maintenant! Est-ce que ça t'excite encore de savoir quel genre de mauvaise fille j'ai été?
Elle était comme folle.
- Mets ta bite en moi et laisse là, je vais te raconter encore plus de choses vicieuses. C'est plus excitant de faire des choses avec un étranger ou avec quelqu'un dont tu sais que c'est mal de le laisser te toucher. Je l'ai laissé m'enculer bien des fois. Je me retournais et je poussais mon cul en l'air. Une fois, j'ai enlevé ma culotte et je me suis allongée sur la table de la cuisine. Il a soulevé mes jambes au-dessus de ma tête pour bien exposer mes fesses et ma chatte. Il a fourré sa queue dans mon cul et m'a bien baisée. Parfois il s'asseyait sur une chaise de cuisine, la bite bien dressée et je descendais sur lui pour que mon cul s'empale sur son membre. Nous avions une bâche en plastique que tu n'as jamais vue, et quand je m'asseyais sur lui, nous essayions de faire pipi l'un sur l'autre. Tu voulais tout savoir donc je te dis tout. Je voulais du sexe pervers, avec toi c'était devenu ennuyeux. Parfois je m'allongeais et je me masturbais. J'ouvrais ma chatte pour qu'il pisse à l'intérieur, puis il remontait sur mes seins et enfin sur ma bouche que j'ouvrais aussi.
Elle s'arrêta et me posa une question :
- En as-tu entendu assez? Parce que crois-le ou non, il y a plus!
Mais elle n'attendit pas ma réponse avant de continuer :
- Oui plus! L'homme dut réduire ses visites à cause de son travail et de son employé. Il me dit qu'il viendrait plus souvent s'il n'avait pas besoin de rester avec son ouvrier. Il dit en plaisantant qu'il pourrait l'amener et le laisser s'asseoir dans la cuisine et lire le journal pendant que nous étions en haut. Il ajouta que parfois ils devaient attendre des matériaux et qu'ils pourraient venir s'ils n'étaient pas trop loin.
Étrangement, le comportement de ma femme était soudainement devenu plus normal. Mais je ne parlai toujours pas.
- Je lui ai dit que je ne voulais pas recommencer avec différents hommes qui venaient me rendre visite quand ils en avaient envie. J'en avais plus que ma part de tout ça. Toutefois il me dit que ce serait amusant de taquiner son ami. Plus j'y pensai, plus je me dis que tout irait bien, que son ouvrier ne dirait rien, qu'il serait content de prendre un café et lire le journal pendant que nous monterions. J'ai demandé quel genre d'homme il était, s'il était capable d'attendre patiemment pendant que son patron avait des relations sexuelles avec une femme au foyer. Il me dit qu'il avait 19 ans et qu'il était très timide et naïf en matière de sexe, qu'il se contentait d'acheter des magazines pornos. Quand il est revenu, je lui ai dit que s'il le voulait il pourrait amener son employé la prochaine fois.
- L'idée t'avait excité? Demandai-je.
- Pas vraiment, j'étais juste curieuse de savoir à quoi il ressemblait. Répondit-elle.
Puis elle continua :
- Quoi qu'il en soit, l'homme commença à amener son employé avec lui et tout alla bien. Je n'ai pas beaucoup discuté avec lui. Nous lui disions que nous revenions et nous allions à l'étage. J'ai trouvé très sexy la façon dont il me regardait quand nous redescendions. Je suppose qu'il essayait d'imaginer ce que nous avions fait. Après quelques visites, nous restâmes parfois plus longtemps dans la cuisine. L'homme m'avait dit qu'il était dommage que son employé soit puceau. Il me demanda pourquoi je ne le taquinais pas. Nous nous asseyions habituellement l'un à côté de l'autre sur le petit canapé. Nous nous embrassâmes un peu et nous nous caressâmes devant lui tout en bavardant tous les trois avant de monter. Le jeune avait parfois l'air un peu gêné mais il semblait prendre du plaisir à regarder.
Elle reprit son souffle.
- Puis j'ai accepté de donner un peu de frisson à son employé, mais j'ai dit que je n'irai pas trop loin. Donc un jour, pendant que nous nous embrassions, je laissai l'homme tripoter mes seins puis déboutonner mon chemisier. Il en écarta les pans afin que le jeune garçon puisse voir mon soutien-gorge. Puis il mit ses mains dans les balconnets et s'assura que son employé continue à regarder. Je l'ai laissé soulever mes seins. J'ai jeté un regard au garçon qui était abasourdi. Je lui ai juste souri. Mon ami a alors laissé mes seins exposés et a commencé à m'embrasser tout en glissant sa main sur ma cuisse et en troussant ma jupe. Il poussa sa main jusqu'à ce que ma culotte soit visible. Il allait plus loin que je n'avais prévu.
- Mais ça ne t'a pas dérangé?
- Non. J'aimais mon corps. Je voulais le garçon, je voulais qu'il me touche.
- Et te baiser? Demandai-je.
- Oui... Je voulais voir sa queue... et le laisser me baiser. Je voulais jouer à mes jeux avec lui. Je voulais qu'il me regarde bien, qu'il me détaille car ça me donnait des frissons. Le patron arrêta de m'embrasser et je restai exactement là où j'étais, ma jupe relevée, ma culotte bien visible, les seins à l'air. L'homme me caressa les cuisses pendant que je regardais le garçon et lui disais : « Ce n'est pas grave si tu aimes regarder ». Ensuite j'ai écarté mes jambes et j'ai relevé un peu plus ma jupe. A ce moment je me conduisais comme une salope, je poussais les choses plus loin.
Elle s'arrêta pour réfléchir à la suite des évènements et me raconta :
- Tandis que le patron embrassait mes seins, je pris sa main pour la poser sur le bord de ma culotte. Tout en regardant toujours le garçon, je retirai ma culotte. Les doigts de l'homme trouvèrent le chemin vers mon clitoris. Je gardai les jambes écartées pendant un moment pour que le garçon voit les lèvres de ma chatte. Je lui ai demandé s'il en profitait. Quand il hocha la tête, je tapotai la place à côté de moi. Après qu'il se soit assis, je mis un sein dans sa main en lui disant : « tu peux l'embrasser et sucer le téton aussi ». Il était un peu nerveux alors j'ai mis sa main derrière sa tête et je l'ai doucement guidé vers mon mamelon. Puis j'ai descendu sa braguette et j'ai mis ma main dans son pantalon. Sa queue était grande et épaisse... Elle était chaude et palpitante.
Ma femme fit une autre pause.
- Je voulais en profiter au maximum alors je dis au patron d'enlever complètement ma culotte. Pendant ce temps je regardai le garçon pour voir l'effet que ça avait sur lui. Il continua à sucer mon sein tout en regardant ma chatte exposée. Quand ma culotte fut enlevée, je pris une de ses mains et je la plaçai entre mes jambes. Il respirait fort et j'ai cru qu'il allait s'évanouir. Il n'avait jamais rien vu de tel auparavant donc j'allais le laisser s'amuser. Son patron s'en fichait, il appréciait le spectacle. Pendant que le garçon jouait avec ma chatte, je lui ai demandé s'il aimerait bien monter avec nous. Comme s'il allait dire non! Je lui ai dit qu'il le pouvait si nous pouvions avoir confiance en lui. Je lui ai dit que je voulais qu'il me fasse certaines choses et qu'avec son patron nous faisions parfois des choses particulièrement bizarres. D'ailleurs celui-ci fut un peu surpris que j'aille aussi loin. Alors j'ai demandé au garçon si ça lui allait. Il me répondit « Bien sûr » en me souriant et en continuant de bouger ses doigts sur ma chatte.
Une nouvelle pause.
- C'était excitant de leur parler pendant qu'ils me tripotaient. L'employé était très timide. Je lui demandai : « Alors? Est-ce qu'on peut te faire confiance si on te laisse participer avec nous? ». Il murmura un « oui ». Je le regardai dans les yeux et lui dis : « T'es déjà tu fait sucer la bite? ». Il rougit et me dit non. J'ajoutai : « Quand tu éjaculeras tu pourras le faire dans ma bouche ». Le garçon trembla d'excitation. Je voulais vraiment l'impressionner alors je me suis agenouillée entre ses jambes et je lui ai fait une lente fellation. Sa queue était belle, et il ne me fallut pas beaucoup de temps pour le faire jouir. J'ai tout avalé et j'ai attendu. Je savais que ça allait lui donner l'envie de faire pipi. Je me suis demandé si ça serait trop osé pour lui mais j'étais prête à le découvrir.
A suivre...
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