Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.
Récit de Gabrieldutour
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Ma mère se libère – 2ème partie.
Je vide cul sec mon verre d'alcool et m'empresse de les rejoindre. Je baisse mon pantalon et voyant cela, ma mère se jette sur ma queue surexcitée par le fait que moi, Julien, son propre fils, me joigne à la partouze.
Experte, elle s'occupe de nous chacun son tour, veillant à ce qu'aucun d'entre nous n'éjacule trop vite. Mais trop excité, Selim lui éjacule en pleine face et ma mère avale, sans se faire prier, toute sa semence en ne laissant perdre aucune goutte.
Elle se concentre sur lui et astique son membre jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte de sperme.
Le moustachu arbore un sourire vicieux et me regarde tandis que Joachim termine de la foutre à poil en lui enlevant sa mini-jupe. Il me prend par le bras et me laisse tomber sur le lit puis il s'empare de maman, complètement nue, et la met sur moi.
- Vas-y, baise avec ta pute de mère!
Ma mère prend les devants et s'empale le plus possible sur mon gourdin raide comme un piquet. Aussitôt je pose les mains sur son cul et commence à effectuer des va-et-vient à l'intérieur de ma mère. Elle ondule du bassin et j'ai encore la vision de ses loches gigantesques qui bougent à quelques centimètres de mon visage.
Les autres, le verre à la main, fixent la scène d'inceste avec des yeux de fauves en rut. Le moustachu, le plus pervers de tous, finit son verre d'un seul coup et pose à son tour ses mains sur le cul de ma mère. Là, il lui écarte largement les deux fesses et commence à exhiber son trou du cul.
- Une pute comme toi, à mon avis, n'a pas besoin d'être préparée pour se faire enculer
Il introduit son membre impressionnant dans le cul de maman puis commence à la bourrer de toute ses forces. Ma mère pousse un râle de jouissance. La voilà prise par les deux trous.
En chef d'orchestre, le moustachu ordonne à Joachim de grimper sur le lit et de se poster à genoux devant elle. Ma mère engouffre le sexe d'ébène aux gros testicules bien remplis dans sa bouche gourmande et insatiable puis commence à pomper sec. Elle halète de plaisir et respire très fort. La voilà prise par les trois trous et en plus son fils adoré participe.
Son corps subit les coups de boutoirs du moustachu et moi je la baise par le vagin tout en mordillant et suçant ses tétons tandis que Joachim la saisit sauvagement par les cheveux et la force à bien pomper.
Pendant ce temps, je discerne Selim complètement excité, qui passe un nombre incalculable de coup de fil à l'aide de son portable. Le moustachu finit par se lâcher dans le cul de ma mère. Il éjacule en poussant un gémissement de fauve enfin satisfait de pouvoir se vider les couilles.
C'est par grosses saccades qu'il libère son foutre dans les entrailles de maman. A mon tour, je me décharge à l'intérieur de son vagin. Ma mère a abandonné la fellation qu'elle pratiquait sur Joachim et elle hurle de bonheur comme jamais. Une bouffée de chaleur électrique monte en elle : Elle atteint l'orgasme.
Elle se sent pleine de semence chaude et éprouve un sentiment de jouissance intense.
Le moustachu et moi nous retirons et la laissons sur le lit, bien pleine, se remettre de ses émotions. Mais Joachim n'avait pas eu son compte et se mit au-dessus d'elle.
Il s'empare des gros nichons de maman qu'il frotte autour de sa grosse queue pour se branler. Ma mère pose ses mains sur les mains du noir et l'aide à presser ses grosses loches aux larges auréoles brunes. Au bout de quelques minutes de branlette espagnole, il ne se retient plus et explose. Le sperme jaillit et inonde l'opulente poitrine de maman ainsi qu'une bonne partie de son visage. Affamée, elle commence à lécher le foutre étalé sur ses seins puis récupère avec ses mains le sperme maculant son visage.
Elle lèche un à un ses doigts devant nous avec un air de chienne en chaleur. Selim a pris Joachim à part et échange quelques mots. Le moustachu remet son pantalon, me félicite de nouveau d'avoir une mère aussi salope et me conseille d'en profiter sans me poser de question. Puis il s'en va, heureux d'avoir pu baiser cette femme facile qui n'est autre que ma mère. Je sens que la soirée se termine et je décide de raccompagner les deux compères.
Mais Selim vient vers moi et me demande mon numéro de portable que je lui donne.
- Ecoute, on va embarquer cette pute avec nous et on te la ramènera dans deux jours.
.
Excité par une telle proposition, complètement saoul et sans réfléchir aux risques encourus, j'accepte mais à la seule condition qu'ils filment la scène au caméscope numérique. Selim me regarde avec des yeux de pervers et opine.
Ils se dirigent vers la chambre ou ma mère est allongée encore sous l'effet du plaisir procuré par cette partouze inespérée. Joachim la prend par les pieds et Selim par les bras puis ils l'emportent, complètement à poil, comme un vulgaire sac de patates vers la camionnette.
- Vous oubliez ses vêtements. Leur crie-je, bien naïf.
Joachim éclate de rire :
- Là où on l'emmène, elle n'en a pas besoin.
Ils poussent maman dans la camionnette et s'en vont avec leur butin.
Pendant deux jours, je me maudissais encore et encore d'avoir fait ce geste infâme et si ignoble. J'avais livré ma propre mère à des inconnus. Je me jurais de ne plus boire une goutte d'alcool de ma vie après ça.
Selim m'appelle enfin pour me donner des nouvelles.
- Ta mère ne parle pas beaucoup mais écoute ça.
A travers le portable, j'entends les rires de nombreuses personnes ainsi que des tintements de bouteilles. J'entends également des cris de jouissances de femme qui en disent long sur la principale activité de ma mère. Selim me confirme son retour demain soir et il me dit :
- Demain, j'aurai une petite surprise pour toi, Man et te biles pas, ici elle est traitée comme une reine........des putes.
.
J'attends donc avec impatience le retour de maman. Je passe une mauvaise nuit en imaginant les pires scénarios. D'un autre côté, il m'arrive de penser aux nombreux outrages sexuels qu'elle doit subir en ce moment même et je ne peux m'empêcher de bander à cette idée.
Le lendemain soir, pour mon plus grand soulagement, la camionnette revient comme convenu. Ma mère en sort nue, méconnaissable et son corps souillé de partout. Elle est portée par deux gars et accompagnée de Selim.
Elle est déposée sur le canapé et remercie les deux jeunes qui repartent sans rien dire. Selim le regard vicelard me tend des cd.
- Tout est là, mec! J'en ai filmé le plus possible!
Puis ils s'en vont comme si de rien n'était. J'aide ma mère à prendre sa douche car elle a un peu de mal à marcher (vous devez deviner pourquoi). Elle me sourit ironiquement et me susurre à l'oreille avant de se coucher
- Aah, Julien mon fils.......Tu es un sacré pervers mais je ne le regrette pas.
Laissant ma mère récupérer des folies de son corps, je me précipite sur mon ordinateur portable et insère les cd. Il y en a pour une bonne dizaine d'heures et ce salopard de Selim a pris son pied à bien filmer. En commençant à les visionner, j'ai su immédiatement que ces cd seraient sans doute les meilleurs films pornos de ma collection.
Ma mère, toujours complètement à poil, avait été entraînée dans une espèce de hangar sombre et dégueulasse où elle était visiblement attendue par une bonne vingtaine d'hommes dont l'échelle d'âge variait de quinze à quarante-cinq ans et de toutes nationalités.
Il y'avait un nombre impressionnant de packs de bière qui attendaient l'arrivée de ma mère pour être ouverts. Maman sembla un peu paniquer à la vue de tous ces mâles qui lorgnaient son corps et en particulier son cul et ses seins énormes.
Joachim la tenait par les bras et l'entraîna vers le fond où se trouve un vieux matelas poisseux et jaune. Mais il préféra d'abord l'offrir à ses compagnons qui ne se firent pas prier. Des dizaines de mains vicieuses palpèrent tout son corps. Sa chatte, son cul et ses gros nichons furent pelotés sans hésitation.
Ils se la passaient comme un pantin prenant leur pied à sentir leurs doigts caresser ce corps de femme qui pourrait facilement être celui d'une prostituée ou mieux encore, celui d'une hardeuse aux gros seins. Ils la traitaient de tous les noms : « pute », « chienne en chaleur », « salope en manque », « garage à bite ».
Ma mère ne tarda pas à confirmer son côté pervers et salope. Elle poussa de petits gémissements de plaisir pour le plus grand bonheur de ses partenaires. Sentir toutes ses mains parcourir son corps la stimulait au plus haut point.
Comme une pro, elle se mit à genoux et commença à tailler des pipes magnifiques à ces hommes heureux de pouvoir baiser celle qu'ils appellent désormais : « La pute aux gros seins ».
Pendant une bonne demi-heure, elle branla, suça et avala de temps à autre le sperme d'un gars trop excité pour se retenir. Ma mère fut ensuite traînée sans ménagement vers le matelas crasseux ou elle fut allongée. C'était parti. Pendant deux longs jours et deux longues nuits, ma mère subit les derniers outrages.
Les hommes se relayaient pour la baiser et il en arrivait d'autres et de plus en plus. Ils la firent boire de l'alcool régulièrement et en grande quantité afin de bien la désinhiber.
Là où cela fut plus dur pour elle, ce fut le moment où elle dut se faire sodomiser par toute l'assemblée. Selim a pris un certain plaisir à filmer les queues entrer dans le cul de ma mère de même à faire des gros plans sur son anus dilaté, souillé et dégoulinant de sperme.
Il faisait aussi de gros plan sur le visage de maman qui tantôt gémissait de douleur et tantôt de plaisir.
Pendant des heures, le cul de ma mère subit, sans répit, les assauts de mandrins de toutes tailles.
Les gars faisaient la queue et étaient de plus en plus nombreux à vouloir l'enculer. De nombreux coups de téléphones portables avaient été passés et sans cesse, il y avait de nouveaux arrivants, toujours plus.
Rassurez-vous, chacun et sans exceptions, pu ramoner le cul de ma mère à sa guise et pourtant le défilé semblait ininterrompu. Certains poussèrent le vice jusqu'à l'introduction de bouteilles de bières vides dans son con et son anus déjà sérieusement malmené.
Elle fut prise par tous les trous et de toutes les façons possibles et inimaginables. D'innombrables branlettes espagnoles furent effectuées entre ses gros seins laiteux et pour son plus grand plaisir. Ses nichons furent soupesés, palpés et malaxés par des dizaines de mains tandis que des bouches avides tétaient, léchaient et mordillaient ses tétons.
Le tout lui procurait un plaisir immense et sans précédent, qui se manifestait par ses gémissements d'extase. Il arrivait plusieurs fois qu'un groupe de gars l'entoure et se branle au-dessus d'elle inondant tout son corps de foutre chaud qu'elle s'empressait d'étaler avec délectation sur ses grosses loches.
Certain s'amusèrent, tout en la traitant de tous les noms, à verser de la bière sur son opulente poitrine, qui se mélangeait au sperme que ma mère s'empressait d'engloutir. Ce ne fut que lorsqu'elle fut pleine, satisfaite et ses trous dégoulinants de sperme que Selim annonça une pause et coupa la scène.
J'ai donc passé toute la nuit et une bonne partie de la matinée à mater le reste du film de la partouze « un peu forcée » de ma mère. Elle ressemblait par moments à une superbe hardeuse assoiffée de sexe. Je m'étais masturbé plusieurs fois en regardant le film. Voir cette femme, qui est en plus ma mère, se comporter comme la dernière de toutes les salopes me flanque une gaule inimaginable. Je décide de me repasser la scène de ses sodomies répétées et j'entreprends de me branler.
C'est alors que j'entends un bruit et me retourne. Ma mère, réveillée, se tient debout derrière moi, en peignoir, et fronce les sourcils.
- Tu es encore plus pervers que je le pensais, Julien.
Je ne dis rien car me voici pris sur le fait en train de me masturber devant un passage particulièrement crade la mettant en scène. Ceci dit, elle me dit avec le regard d'une maman tendre et aimante :
- Mais je suis heureuse que tu la regardes et que cela te procure du plaisir.
Elle s'agenouille entre mes jambes et commence à me branler comme pour me récompenser. Je suis abasourdi par son geste mais heureux. Elle commence à me sucer et rapidement j'éjacule dans sa bouche décidément si insatiable.
Fatigué par ma nuit blanche, je dors toute la journée puis me réveille vers 17h00. Maman, pieds nus et toujours en peignoir, est dans la cuisine. Elle semble nerveuse et inquiète.
Toute souriante, elle me dit :
- bien dormi?
Je lui réponds que oui. Son comportement m'intrigue car elle tourne en rond en buvant de temps à autre les restes d'une bouteille de whisky.
On a l'impression qu'elle attend quelque chose et avec une impatience qu'elle dissimule très mal. Soudain le téléphone portable sonne et elle s'en empare aussitôt tout excitée. Elle pose sa main gauche sur sa poitrine et pousse un petit gémissement de soulagement en disant « Merci ».
Elle passe son temps à éluder mes questions jusqu'à ce qu'une vingtaine de minutes plus tard, un bruit de camionnette attire notre attention et un coup de klaxon retentit. Le visage de maman s'illumine de bonheur et elle ôte son peignoir. A ma grande stupeur, elle est complètement à poil et la voilà maintenant qui se dirige vers la porte sans complexe.
- Maman....mais ne sors pas comme ça! Met quelque chose! Lui crie-je naïvement. Elle se retourne et me dit en souriant :
- Ne t'inquiète pas, là où je vais, je n'en ai pas besoin.
Bien évidemment, je ne vis ma mère que deux jours plus tard et dans le même état que la dernière fois avec en plus, sur elle, une très forte odeur d'urine.
Mon père nous a rejoint comme convenu et ma mère, bien malgré elle, dû se résoudre à redevenir la bourgeoise puritaine et bien comme il faut. Ma sœur nous a rejoint aussi avec son petit ami devenu ingénieur il y'a peu.
Nous passons le reste des vacances comme une famille normale, bourgeoise et bien comme il faut. Mon père m'a emprunté mon portable pour taper une lettre et maman et moi avons paniqué.
Heureusement, le dossier dans lequel j'ai écrit ce texte était bien planqué et les cd bien cachés. De temps en temps, une camionnette blanche passe devant la maison mais hélas ma mère ne peut les rejoindre.
De retour chez nous, dans le Nord, nous reprenons une activité on ne peut plus banale et je suis retourné vivre avec Laetitia. Ma mère se retrouve donc seule, toute la journée.et libre.
Il m'arrive encore de mater très souvent la vidéo et elle me fait toujours autant d'effet car j'ai le bonheur de savoir que cela n'est pas du fictif.
De même qu'il n'est pas exclu que ce pervers de Selim ait vendu le film de maman et qu'il soit diffusé quelque part sur un site de cul bien hardos.
a suivre...
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Ma mère se libère – 2ème partie.
Je vide cul sec mon verre d'alcool et m'empresse de les rejoindre. Je baisse mon pantalon et voyant cela, ma mère se jette sur ma queue surexcitée par le fait que moi, Julien, son propre fils, me joigne à la partouze.
Experte, elle s'occupe de nous chacun son tour, veillant à ce qu'aucun d'entre nous n'éjacule trop vite. Mais trop excité, Selim lui éjacule en pleine face et ma mère avale, sans se faire prier, toute sa semence en ne laissant perdre aucune goutte.
Elle se concentre sur lui et astique son membre jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte de sperme.
Le moustachu arbore un sourire vicieux et me regarde tandis que Joachim termine de la foutre à poil en lui enlevant sa mini-jupe. Il me prend par le bras et me laisse tomber sur le lit puis il s'empare de maman, complètement nue, et la met sur moi.
- Vas-y, baise avec ta pute de mère!
Ma mère prend les devants et s'empale le plus possible sur mon gourdin raide comme un piquet. Aussitôt je pose les mains sur son cul et commence à effectuer des va-et-vient à l'intérieur de ma mère. Elle ondule du bassin et j'ai encore la vision de ses loches gigantesques qui bougent à quelques centimètres de mon visage.
Les autres, le verre à la main, fixent la scène d'inceste avec des yeux de fauves en rut. Le moustachu, le plus pervers de tous, finit son verre d'un seul coup et pose à son tour ses mains sur le cul de ma mère. Là, il lui écarte largement les deux fesses et commence à exhiber son trou du cul.
- Une pute comme toi, à mon avis, n'a pas besoin d'être préparée pour se faire enculer
Il introduit son membre impressionnant dans le cul de maman puis commence à la bourrer de toute ses forces. Ma mère pousse un râle de jouissance. La voilà prise par les deux trous.
En chef d'orchestre, le moustachu ordonne à Joachim de grimper sur le lit et de se poster à genoux devant elle. Ma mère engouffre le sexe d'ébène aux gros testicules bien remplis dans sa bouche gourmande et insatiable puis commence à pomper sec. Elle halète de plaisir et respire très fort. La voilà prise par les trois trous et en plus son fils adoré participe.
Son corps subit les coups de boutoirs du moustachu et moi je la baise par le vagin tout en mordillant et suçant ses tétons tandis que Joachim la saisit sauvagement par les cheveux et la force à bien pomper.
Pendant ce temps, je discerne Selim complètement excité, qui passe un nombre incalculable de coup de fil à l'aide de son portable. Le moustachu finit par se lâcher dans le cul de ma mère. Il éjacule en poussant un gémissement de fauve enfin satisfait de pouvoir se vider les couilles.
C'est par grosses saccades qu'il libère son foutre dans les entrailles de maman. A mon tour, je me décharge à l'intérieur de son vagin. Ma mère a abandonné la fellation qu'elle pratiquait sur Joachim et elle hurle de bonheur comme jamais. Une bouffée de chaleur électrique monte en elle : Elle atteint l'orgasme.
Elle se sent pleine de semence chaude et éprouve un sentiment de jouissance intense.
Le moustachu et moi nous retirons et la laissons sur le lit, bien pleine, se remettre de ses émotions. Mais Joachim n'avait pas eu son compte et se mit au-dessus d'elle.
Il s'empare des gros nichons de maman qu'il frotte autour de sa grosse queue pour se branler. Ma mère pose ses mains sur les mains du noir et l'aide à presser ses grosses loches aux larges auréoles brunes. Au bout de quelques minutes de branlette espagnole, il ne se retient plus et explose. Le sperme jaillit et inonde l'opulente poitrine de maman ainsi qu'une bonne partie de son visage. Affamée, elle commence à lécher le foutre étalé sur ses seins puis récupère avec ses mains le sperme maculant son visage.
Elle lèche un à un ses doigts devant nous avec un air de chienne en chaleur. Selim a pris Joachim à part et échange quelques mots. Le moustachu remet son pantalon, me félicite de nouveau d'avoir une mère aussi salope et me conseille d'en profiter sans me poser de question. Puis il s'en va, heureux d'avoir pu baiser cette femme facile qui n'est autre que ma mère. Je sens que la soirée se termine et je décide de raccompagner les deux compères.
Mais Selim vient vers moi et me demande mon numéro de portable que je lui donne.
- Ecoute, on va embarquer cette pute avec nous et on te la ramènera dans deux jours.
.
Excité par une telle proposition, complètement saoul et sans réfléchir aux risques encourus, j'accepte mais à la seule condition qu'ils filment la scène au caméscope numérique. Selim me regarde avec des yeux de pervers et opine.
Ils se dirigent vers la chambre ou ma mère est allongée encore sous l'effet du plaisir procuré par cette partouze inespérée. Joachim la prend par les pieds et Selim par les bras puis ils l'emportent, complètement à poil, comme un vulgaire sac de patates vers la camionnette.
- Vous oubliez ses vêtements. Leur crie-je, bien naïf.
Joachim éclate de rire :
- Là où on l'emmène, elle n'en a pas besoin.
Ils poussent maman dans la camionnette et s'en vont avec leur butin.
Pendant deux jours, je me maudissais encore et encore d'avoir fait ce geste infâme et si ignoble. J'avais livré ma propre mère à des inconnus. Je me jurais de ne plus boire une goutte d'alcool de ma vie après ça.
Selim m'appelle enfin pour me donner des nouvelles.
- Ta mère ne parle pas beaucoup mais écoute ça.
A travers le portable, j'entends les rires de nombreuses personnes ainsi que des tintements de bouteilles. J'entends également des cris de jouissances de femme qui en disent long sur la principale activité de ma mère. Selim me confirme son retour demain soir et il me dit :
- Demain, j'aurai une petite surprise pour toi, Man et te biles pas, ici elle est traitée comme une reine........des putes.
.
J'attends donc avec impatience le retour de maman. Je passe une mauvaise nuit en imaginant les pires scénarios. D'un autre côté, il m'arrive de penser aux nombreux outrages sexuels qu'elle doit subir en ce moment même et je ne peux m'empêcher de bander à cette idée.
Le lendemain soir, pour mon plus grand soulagement, la camionnette revient comme convenu. Ma mère en sort nue, méconnaissable et son corps souillé de partout. Elle est portée par deux gars et accompagnée de Selim.
Elle est déposée sur le canapé et remercie les deux jeunes qui repartent sans rien dire. Selim le regard vicelard me tend des cd.
- Tout est là, mec! J'en ai filmé le plus possible!
Puis ils s'en vont comme si de rien n'était. J'aide ma mère à prendre sa douche car elle a un peu de mal à marcher (vous devez deviner pourquoi). Elle me sourit ironiquement et me susurre à l'oreille avant de se coucher
- Aah, Julien mon fils.......Tu es un sacré pervers mais je ne le regrette pas.
Laissant ma mère récupérer des folies de son corps, je me précipite sur mon ordinateur portable et insère les cd. Il y en a pour une bonne dizaine d'heures et ce salopard de Selim a pris son pied à bien filmer. En commençant à les visionner, j'ai su immédiatement que ces cd seraient sans doute les meilleurs films pornos de ma collection.
Ma mère, toujours complètement à poil, avait été entraînée dans une espèce de hangar sombre et dégueulasse où elle était visiblement attendue par une bonne vingtaine d'hommes dont l'échelle d'âge variait de quinze à quarante-cinq ans et de toutes nationalités.
Il y'avait un nombre impressionnant de packs de bière qui attendaient l'arrivée de ma mère pour être ouverts. Maman sembla un peu paniquer à la vue de tous ces mâles qui lorgnaient son corps et en particulier son cul et ses seins énormes.
Joachim la tenait par les bras et l'entraîna vers le fond où se trouve un vieux matelas poisseux et jaune. Mais il préféra d'abord l'offrir à ses compagnons qui ne se firent pas prier. Des dizaines de mains vicieuses palpèrent tout son corps. Sa chatte, son cul et ses gros nichons furent pelotés sans hésitation.
Ils se la passaient comme un pantin prenant leur pied à sentir leurs doigts caresser ce corps de femme qui pourrait facilement être celui d'une prostituée ou mieux encore, celui d'une hardeuse aux gros seins. Ils la traitaient de tous les noms : « pute », « chienne en chaleur », « salope en manque », « garage à bite ».
Ma mère ne tarda pas à confirmer son côté pervers et salope. Elle poussa de petits gémissements de plaisir pour le plus grand bonheur de ses partenaires. Sentir toutes ses mains parcourir son corps la stimulait au plus haut point.
Comme une pro, elle se mit à genoux et commença à tailler des pipes magnifiques à ces hommes heureux de pouvoir baiser celle qu'ils appellent désormais : « La pute aux gros seins ».
Pendant une bonne demi-heure, elle branla, suça et avala de temps à autre le sperme d'un gars trop excité pour se retenir. Ma mère fut ensuite traînée sans ménagement vers le matelas crasseux ou elle fut allongée. C'était parti. Pendant deux longs jours et deux longues nuits, ma mère subit les derniers outrages.
Les hommes se relayaient pour la baiser et il en arrivait d'autres et de plus en plus. Ils la firent boire de l'alcool régulièrement et en grande quantité afin de bien la désinhiber.
Là où cela fut plus dur pour elle, ce fut le moment où elle dut se faire sodomiser par toute l'assemblée. Selim a pris un certain plaisir à filmer les queues entrer dans le cul de ma mère de même à faire des gros plans sur son anus dilaté, souillé et dégoulinant de sperme.
Il faisait aussi de gros plan sur le visage de maman qui tantôt gémissait de douleur et tantôt de plaisir.
Pendant des heures, le cul de ma mère subit, sans répit, les assauts de mandrins de toutes tailles.
Les gars faisaient la queue et étaient de plus en plus nombreux à vouloir l'enculer. De nombreux coups de téléphones portables avaient été passés et sans cesse, il y avait de nouveaux arrivants, toujours plus.
Rassurez-vous, chacun et sans exceptions, pu ramoner le cul de ma mère à sa guise et pourtant le défilé semblait ininterrompu. Certains poussèrent le vice jusqu'à l'introduction de bouteilles de bières vides dans son con et son anus déjà sérieusement malmené.
Elle fut prise par tous les trous et de toutes les façons possibles et inimaginables. D'innombrables branlettes espagnoles furent effectuées entre ses gros seins laiteux et pour son plus grand plaisir. Ses nichons furent soupesés, palpés et malaxés par des dizaines de mains tandis que des bouches avides tétaient, léchaient et mordillaient ses tétons.
Le tout lui procurait un plaisir immense et sans précédent, qui se manifestait par ses gémissements d'extase. Il arrivait plusieurs fois qu'un groupe de gars l'entoure et se branle au-dessus d'elle inondant tout son corps de foutre chaud qu'elle s'empressait d'étaler avec délectation sur ses grosses loches.
Certain s'amusèrent, tout en la traitant de tous les noms, à verser de la bière sur son opulente poitrine, qui se mélangeait au sperme que ma mère s'empressait d'engloutir. Ce ne fut que lorsqu'elle fut pleine, satisfaite et ses trous dégoulinants de sperme que Selim annonça une pause et coupa la scène.
J'ai donc passé toute la nuit et une bonne partie de la matinée à mater le reste du film de la partouze « un peu forcée » de ma mère. Elle ressemblait par moments à une superbe hardeuse assoiffée de sexe. Je m'étais masturbé plusieurs fois en regardant le film. Voir cette femme, qui est en plus ma mère, se comporter comme la dernière de toutes les salopes me flanque une gaule inimaginable. Je décide de me repasser la scène de ses sodomies répétées et j'entreprends de me branler.
C'est alors que j'entends un bruit et me retourne. Ma mère, réveillée, se tient debout derrière moi, en peignoir, et fronce les sourcils.
- Tu es encore plus pervers que je le pensais, Julien.
Je ne dis rien car me voici pris sur le fait en train de me masturber devant un passage particulièrement crade la mettant en scène. Ceci dit, elle me dit avec le regard d'une maman tendre et aimante :
- Mais je suis heureuse que tu la regardes et que cela te procure du plaisir.
Elle s'agenouille entre mes jambes et commence à me branler comme pour me récompenser. Je suis abasourdi par son geste mais heureux. Elle commence à me sucer et rapidement j'éjacule dans sa bouche décidément si insatiable.
Fatigué par ma nuit blanche, je dors toute la journée puis me réveille vers 17h00. Maman, pieds nus et toujours en peignoir, est dans la cuisine. Elle semble nerveuse et inquiète.
Toute souriante, elle me dit :
- bien dormi?
Je lui réponds que oui. Son comportement m'intrigue car elle tourne en rond en buvant de temps à autre les restes d'une bouteille de whisky.
On a l'impression qu'elle attend quelque chose et avec une impatience qu'elle dissimule très mal. Soudain le téléphone portable sonne et elle s'en empare aussitôt tout excitée. Elle pose sa main gauche sur sa poitrine et pousse un petit gémissement de soulagement en disant « Merci ».
Elle passe son temps à éluder mes questions jusqu'à ce qu'une vingtaine de minutes plus tard, un bruit de camionnette attire notre attention et un coup de klaxon retentit. Le visage de maman s'illumine de bonheur et elle ôte son peignoir. A ma grande stupeur, elle est complètement à poil et la voilà maintenant qui se dirige vers la porte sans complexe.
- Maman....mais ne sors pas comme ça! Met quelque chose! Lui crie-je naïvement. Elle se retourne et me dit en souriant :
- Ne t'inquiète pas, là où je vais, je n'en ai pas besoin.
Bien évidemment, je ne vis ma mère que deux jours plus tard et dans le même état que la dernière fois avec en plus, sur elle, une très forte odeur d'urine.
Mon père nous a rejoint comme convenu et ma mère, bien malgré elle, dû se résoudre à redevenir la bourgeoise puritaine et bien comme il faut. Ma sœur nous a rejoint aussi avec son petit ami devenu ingénieur il y'a peu.
Nous passons le reste des vacances comme une famille normale, bourgeoise et bien comme il faut. Mon père m'a emprunté mon portable pour taper une lettre et maman et moi avons paniqué.
Heureusement, le dossier dans lequel j'ai écrit ce texte était bien planqué et les cd bien cachés. De temps en temps, une camionnette blanche passe devant la maison mais hélas ma mère ne peut les rejoindre.
De retour chez nous, dans le Nord, nous reprenons une activité on ne peut plus banale et je suis retourné vivre avec Laetitia. Ma mère se retrouve donc seule, toute la journée.et libre.
Il m'arrive encore de mater très souvent la vidéo et elle me fait toujours autant d'effet car j'ai le bonheur de savoir que cela n'est pas du fictif.
De même qu'il n'est pas exclu que ce pervers de Selim ait vendu le film de maman et qu'il soit diffusé quelque part sur un site de cul bien hardos.
a suivre...
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