Abusée - récit érotique domination soumission professeur chantage
Traduction d'une histoire de Jessiebnh.
*************
Une bonne douche de retour du bar.
Dans une torpeur sexuelle, je sortis du bar de Rick par-derrière. Mes yeux me firent mal lorsque j'ouvris la porte. La lumière du soleil se reflétait sur les cailloux du parking. J'étais couverte de sperme, ma petite robe était tâchée et froissée. Même s'il faisait 30° dehors, je tremblai sous le coup de ce qui venait de se passer.
J'entrai dans ma voiture et je démarrai le moteur. Le soleil avait fait cuire l'intérieur et il faisait très chaud. Mais j'étais trop pressée pour ouvrir les fenêtres ou mettre la climatisation. Je voulais juste partir de là très vite. J'entendis mes roues crisser sur les cailloux alors que je quittai le parking et repris la route principale pour rentrer en ville.
Je regardai le bar de Rick disparaître dans mon rétroviseur et je poussai un soupir de soulagement. J'allumai la radio et cherchai une station de country. Mes doigts tapèrent la mesure sur mon volant et je réalisai que je riais nerveusement. Mon cœur battait la chamade. C'est comme si j'avais volé une banque. Je me sentais en vie.
Je m'aperçus que ma voiture sentait le sexe à plein nez. Il faisait chaud et je dégoulinais de sueur et de sperme. J'en avais partout sur moi et ma robe. J'ouvris toutes les fenêtres pour laisser entrer de l'air frais. Je réfléchis qu'il fallait que je me débrouille pour faire disparaître cette odeur de sexe avant que Mike ne la remarque.
Sans m'en rendre compte, ma main fut bientôt sous ma robe en train de caresser ma chatte. Oh mon Dieu, j'étais une grosse salope. Je n'arrivai pas à croire ce que je faisais.
A ce moment, j'arrivai à la périphérie de la ville et je me dirigeai vers le premier feu rouge de l'avenue. Je stoppai au feu. La musique sortait de ma voiture dont toutes les fenêtres étaient ouvertes pour aérer et faire disparaître l'odeur de sexe et de sperme.
Je tournai la tête et je m'aperçus qu'une voiture venait s'arrêter à mon niveau. Il s'agissait de M. JONHSON, le propriétaire du magasin de bricolage où nous allons souvent Mike et moi. Il me fit un grand sourire. Ma main sous ma robe s'immobilisa. Avait-il vu que je caressais ma chatte? Sait-il que je viens de sucer deux hommes chez Rick. Voit-il le sperme sur mon visage ou dans mes cheveux?
Je me sentis sexy et vivante. Je fis à M. JONHSON un grand sourire chaleureux. Puis je recommençai à branler ma chatte. Il rougit et hocha la tête. Tandis que je le regardai fixement dans les yeux, je poussai deux doigts dans ma grotte humide et chaude.
Oh mon Dieu, je commençai à jouir. L'homme me fit un signe de tête poli quand le feu passa au vert. Il tourna à droite et descendit la rue vers son magasin. Je continuai tout droit, mes doigts fourrant ma chatte, en espérant ne pas avoir d'accidents alors que des petites répliques de mon orgasme secouèrent mon corps repu de sexe.
Je ne sais pas trop pourquoi, mais j'avais l'impression d'être une Super-girl. C'était comme si j'étais fière d'être devenues une salope à sperme et que je voulais que tout le monde le sache. La bonne petite Jessie, professeur exemplaire et femme discrète était une vraie salope. Je me sentais forte et puissante. Je ne faisais rien de mal et rien ne pouvait me toucher.
Alors que je me garai dans notre allée, je cherchai des signes que mon mari était à la maison. Je vérifiai mon visage dans le rétroviseur. Effectivement, il y avait encore du sperme dans mes cheveux près de mon oreille droite. J'attrapai une serviette et nettoyai le mieux que je le pus. Puis je glissai la serviette sous ma robe pour essuyer ma chatte dégoulinante. J'ouvris mon sac à main et j'appliquai du rouge à lèvres et une petite touche de fard à joues. Enfin, je descendis de ma voiture et je me dirigeai vers la maison en fredonnant la chanson entendue plus tôt.
- Mike? tu es à la maison? Criai-je d'une voix heureuse et enjouée.
- Ici bébé! Entendis-je.
Mike était assis à la table de la salle à manger avec des dossiers étalés. Il me tournait le dos et me regarda à peine.
Maintenant, vous pensez peut-être que je serais heureuse qu'il soit occupé après ce que je venais de faire une demi-heure avant. Mais non, même pas! Pas cette petite avaleuse de sperme, cette salope de Jess!
- Comment vas-tu mon grand? Dis-je d'une voix sexy alors que mes deux mains commencèrent à parcourir sa poitrine sensuellement.
Mais il dit :
- Pas maintenant Jess! Je dois terminer ces dossiers pour mon travail. Pourquoi n'irais-tu pas nous faire quelque chose à manger?
Mike se tortilla dans son siège quand mes mains attrapèrent son entrejambe et que je lui mordillai l'oreille. Il y avait seulement une demi-heure que deux gars avaient éjaculé dans ma bouche et mon visage. Mais j'avais faim de sexe et je voulais une autre bite, même si ça en était une peu remarquable comme celle de Mike.
- Alors bébé, trop occupé pour jouer? Dis-je avec une moue dans la voix.
Je fis descendre une de mes mains dans son pantalon alors que l'autre s'introduisait sous sa chemise pour jouer avec ses mamelons.
Mike commença à rire et je fis de même. Il pencha la tête en arrière et leva les yeux vers moi avec un grand sourire. Je ne sais pas ce qui me prit. Je me mis à l'embrasser passionnément en collant ma langue dans sa gorge. Était-ce une tentative inconsciente de lui faire goûter le foutre des deux hommes que je venais de sucer?
J'étais tellement excité que je commençai à frotter ma chatte contre le bord de la chaise en bois de mon mari, à travers ma robe froissée. Dieu, que j'étais excitée! Je voulais une bite maintenant!
Nos langues s'entremêlèrent. Si Mike goûta quelque chose d'inconnu pour lui, il ne dit rien. Je saisis ses deux tétons et je les tordis durement.
- AIE! Arrête! Ça suffit!
Je le laissai et je lui lançai un regard noir. Puis je dis avec de la déception dans la voix :
- Je vois que tu n'es pas trop en forme. Je vais prendre une douche avant de préparer à manger. Pourras-tu attendre?
En vérité je m'en foutais de ce qu'il allait répondre. Qu'il aille se faire foutre ce salaud jamais excité!
- Oui Jess, parfait! il me faut encore 45 minutes encore!
« Ouais c'est ça connard » pensai-je en montant les escaliers. J'avais un nœud dans le ventre. J'eus peur de ce que je venais de faire : jeter mon infidélité au visage de mon mari. Je ne pus croire que je l'avais embrassé avec la puanteur du sperme sur moi. Que j'étais conne!
Je regardai ma robe et je vis les tâches humides sur le côté. Heureusement que Mike n'avait pu me voir en face.
Je commençai à me déshabiller dès que je fus à l'étage. Je roulai, robe, culotte et soutien-gorge en boule et je les fourrai au fond du panier à linge.
J'allumai l'eau de la douche et bientôt la salle de bain se remplit de vapeur. Je me rendis compte que je tremblais, mais je ne sus pourquoi. Je n'avais pas vraiment peur même si j'aurais dû. C'était comme si je ne pouvais pas m'arrêter de jeter mon infidélité au visage de mon mari. Est-ce que je voulais me faire prendre?
Je tremblai en entrant sous la douche. Je laissai l'eau chaude me laver « Laver tout ce sperme » pensai-je « laver mes péchés ».
Je crois que j'avais plus peur de moi que de n'importe quoi d'autre. Je devenais une autre personne. C'était excitant mais en même temps ça me faisait peur.
Pendant que je savonnai mes seins, je réalisai que j'avais besoin d'être libérée sexuellement. Une fois de plus, mes doigts trouvèrent le chemin de mon sexe et commencèrent à le caresser. Je vis une bouteille de shampoing extrêmement grosse dans le coin de la douche. J'en pris une noix et je la mis à l'intérieur de ma chatte. Puis je m'accroupis dans la douche et commençai à faire pénétrer la bouteille dans ma chatte.
Je sentis ma respiration s'accélérer. C'était stupide, c'était trop gros. Mais je poussai un peu plus et mon clito fut entraîné à l'intérieur tandis que l'extrémité de la bouteille me pénétra.
Même si j'avais un peu mal, la sensation était incroyable. Dans mon esprit, je commençai à revivre mon après-midi chez Rick. Je vis la queue de Glen devant moi qui m'appelait avec son épaisseur impressionnante.
Je m'accroupis un peu plus bas et poussai plus fortement. La bouteille de shampoing pénétra de quelques centimètres supplémentaires. Je pus sentir mes terminaisons nerveuses me picoter. Je n'avais jamais eu auparavant ce genre de sensation.
Très vite, mon monde se réduit à ma chatte et à la bouteille. Je continuai de pousser tout en frottant mon clitoris avec fureur. Je pris la bouteille par son col et je l'enfonçai plus profondément dans mon vagin. J'étais étirée à l'extrême, c'était douloureux au-delà de la raison. Mais j'arrêtai de branler mon clito et je m'accroupis aussi bas que je le pouvais dans la douche et je pistonnai ma chatte avec la bouteille en la tenant à deux mains.
J'hyperventilai, je pouvais à peine respirer. Je jouis, mais ce fut un genre d'orgasme que je n'avais jamais ressenti auparavant. J'eus l'impression qu'une boule de chaleur enflait dans mon ventre puis explosait et remplissait tout mon corps. Mes yeux sortirent de ma tête et mon jus de ma chatte. Je me souviens m'être demandée ce qui se passerait si Mike tirait le rideau de douche et me trouvait dans cette position dégoûtante. Ça me fit jouir encore plus.
Mon visage était rouge betterave, mes veines enflées dans mon cou. Je jouis si intensément que ma vision devint floue. Mais j'avais comme image cette énorme bouteille de shampoing enfoncée dans ma chatte.
J'étais accroupie comme si j'essayais de donner naissance à cette monstrueuse bouteille. Je me souviens avoir pensé que j'étais vraiment une salope pour désirer cela, pour avoir céder à cette obscène pulsion d'enfoncer profondément cet objet dans mon sexe.
A ce moment-là j'étais à la fois au paradis et en enfer.
A suivre...
J'entrai dans ma voiture et je démarrai le moteur. Le soleil avait fait cuire l'intérieur et il faisait très chaud. Mais j'étais trop pressée pour ouvrir les fenêtres ou mettre la climatisation. Je voulais juste partir de là très vite. J'entendis mes roues crisser sur les cailloux alors que je quittai le parking et repris la route principale pour rentrer en ville.
Je regardai le bar de Rick disparaître dans mon rétroviseur et je poussai un soupir de soulagement. J'allumai la radio et cherchai une station de country. Mes doigts tapèrent la mesure sur mon volant et je réalisai que je riais nerveusement. Mon cœur battait la chamade. C'est comme si j'avais volé une banque. Je me sentais en vie.
Je m'aperçus que ma voiture sentait le sexe à plein nez. Il faisait chaud et je dégoulinais de sueur et de sperme. J'en avais partout sur moi et ma robe. J'ouvris toutes les fenêtres pour laisser entrer de l'air frais. Je réfléchis qu'il fallait que je me débrouille pour faire disparaître cette odeur de sexe avant que Mike ne la remarque.
Sans m'en rendre compte, ma main fut bientôt sous ma robe en train de caresser ma chatte. Oh mon Dieu, j'étais une grosse salope. Je n'arrivai pas à croire ce que je faisais.
A ce moment, j'arrivai à la périphérie de la ville et je me dirigeai vers le premier feu rouge de l'avenue. Je stoppai au feu. La musique sortait de ma voiture dont toutes les fenêtres étaient ouvertes pour aérer et faire disparaître l'odeur de sexe et de sperme.
Je tournai la tête et je m'aperçus qu'une voiture venait s'arrêter à mon niveau. Il s'agissait de M. JONHSON, le propriétaire du magasin de bricolage où nous allons souvent Mike et moi. Il me fit un grand sourire. Ma main sous ma robe s'immobilisa. Avait-il vu que je caressais ma chatte? Sait-il que je viens de sucer deux hommes chez Rick. Voit-il le sperme sur mon visage ou dans mes cheveux?
Je me sentis sexy et vivante. Je fis à M. JONHSON un grand sourire chaleureux. Puis je recommençai à branler ma chatte. Il rougit et hocha la tête. Tandis que je le regardai fixement dans les yeux, je poussai deux doigts dans ma grotte humide et chaude.
Oh mon Dieu, je commençai à jouir. L'homme me fit un signe de tête poli quand le feu passa au vert. Il tourna à droite et descendit la rue vers son magasin. Je continuai tout droit, mes doigts fourrant ma chatte, en espérant ne pas avoir d'accidents alors que des petites répliques de mon orgasme secouèrent mon corps repu de sexe.
Je ne sais pas trop pourquoi, mais j'avais l'impression d'être une Super-girl. C'était comme si j'étais fière d'être devenues une salope à sperme et que je voulais que tout le monde le sache. La bonne petite Jessie, professeur exemplaire et femme discrète était une vraie salope. Je me sentais forte et puissante. Je ne faisais rien de mal et rien ne pouvait me toucher.
Alors que je me garai dans notre allée, je cherchai des signes que mon mari était à la maison. Je vérifiai mon visage dans le rétroviseur. Effectivement, il y avait encore du sperme dans mes cheveux près de mon oreille droite. J'attrapai une serviette et nettoyai le mieux que je le pus. Puis je glissai la serviette sous ma robe pour essuyer ma chatte dégoulinante. J'ouvris mon sac à main et j'appliquai du rouge à lèvres et une petite touche de fard à joues. Enfin, je descendis de ma voiture et je me dirigeai vers la maison en fredonnant la chanson entendue plus tôt.
- Mike? tu es à la maison? Criai-je d'une voix heureuse et enjouée.
- Ici bébé! Entendis-je.
Mike était assis à la table de la salle à manger avec des dossiers étalés. Il me tournait le dos et me regarda à peine.
Maintenant, vous pensez peut-être que je serais heureuse qu'il soit occupé après ce que je venais de faire une demi-heure avant. Mais non, même pas! Pas cette petite avaleuse de sperme, cette salope de Jess!
- Comment vas-tu mon grand? Dis-je d'une voix sexy alors que mes deux mains commencèrent à parcourir sa poitrine sensuellement.
Mais il dit :
- Pas maintenant Jess! Je dois terminer ces dossiers pour mon travail. Pourquoi n'irais-tu pas nous faire quelque chose à manger?
Mike se tortilla dans son siège quand mes mains attrapèrent son entrejambe et que je lui mordillai l'oreille. Il y avait seulement une demi-heure que deux gars avaient éjaculé dans ma bouche et mon visage. Mais j'avais faim de sexe et je voulais une autre bite, même si ça en était une peu remarquable comme celle de Mike.
- Alors bébé, trop occupé pour jouer? Dis-je avec une moue dans la voix.
Je fis descendre une de mes mains dans son pantalon alors que l'autre s'introduisait sous sa chemise pour jouer avec ses mamelons.
Mike commença à rire et je fis de même. Il pencha la tête en arrière et leva les yeux vers moi avec un grand sourire. Je ne sais pas ce qui me prit. Je me mis à l'embrasser passionnément en collant ma langue dans sa gorge. Était-ce une tentative inconsciente de lui faire goûter le foutre des deux hommes que je venais de sucer?
J'étais tellement excité que je commençai à frotter ma chatte contre le bord de la chaise en bois de mon mari, à travers ma robe froissée. Dieu, que j'étais excitée! Je voulais une bite maintenant!
Nos langues s'entremêlèrent. Si Mike goûta quelque chose d'inconnu pour lui, il ne dit rien. Je saisis ses deux tétons et je les tordis durement.
- AIE! Arrête! Ça suffit!
Je le laissai et je lui lançai un regard noir. Puis je dis avec de la déception dans la voix :
- Je vois que tu n'es pas trop en forme. Je vais prendre une douche avant de préparer à manger. Pourras-tu attendre?
En vérité je m'en foutais de ce qu'il allait répondre. Qu'il aille se faire foutre ce salaud jamais excité!
- Oui Jess, parfait! il me faut encore 45 minutes encore!
« Ouais c'est ça connard » pensai-je en montant les escaliers. J'avais un nœud dans le ventre. J'eus peur de ce que je venais de faire : jeter mon infidélité au visage de mon mari. Je ne pus croire que je l'avais embrassé avec la puanteur du sperme sur moi. Que j'étais conne!
Je regardai ma robe et je vis les tâches humides sur le côté. Heureusement que Mike n'avait pu me voir en face.
Je commençai à me déshabiller dès que je fus à l'étage. Je roulai, robe, culotte et soutien-gorge en boule et je les fourrai au fond du panier à linge.
J'allumai l'eau de la douche et bientôt la salle de bain se remplit de vapeur. Je me rendis compte que je tremblais, mais je ne sus pourquoi. Je n'avais pas vraiment peur même si j'aurais dû. C'était comme si je ne pouvais pas m'arrêter de jeter mon infidélité au visage de mon mari. Est-ce que je voulais me faire prendre?
Je tremblai en entrant sous la douche. Je laissai l'eau chaude me laver « Laver tout ce sperme » pensai-je « laver mes péchés ».
Je crois que j'avais plus peur de moi que de n'importe quoi d'autre. Je devenais une autre personne. C'était excitant mais en même temps ça me faisait peur.
Pendant que je savonnai mes seins, je réalisai que j'avais besoin d'être libérée sexuellement. Une fois de plus, mes doigts trouvèrent le chemin de mon sexe et commencèrent à le caresser. Je vis une bouteille de shampoing extrêmement grosse dans le coin de la douche. J'en pris une noix et je la mis à l'intérieur de ma chatte. Puis je m'accroupis dans la douche et commençai à faire pénétrer la bouteille dans ma chatte.
Je sentis ma respiration s'accélérer. C'était stupide, c'était trop gros. Mais je poussai un peu plus et mon clito fut entraîné à l'intérieur tandis que l'extrémité de la bouteille me pénétra.
Même si j'avais un peu mal, la sensation était incroyable. Dans mon esprit, je commençai à revivre mon après-midi chez Rick. Je vis la queue de Glen devant moi qui m'appelait avec son épaisseur impressionnante.
Je m'accroupis un peu plus bas et poussai plus fortement. La bouteille de shampoing pénétra de quelques centimètres supplémentaires. Je pus sentir mes terminaisons nerveuses me picoter. Je n'avais jamais eu auparavant ce genre de sensation.
Très vite, mon monde se réduit à ma chatte et à la bouteille. Je continuai de pousser tout en frottant mon clitoris avec fureur. Je pris la bouteille par son col et je l'enfonçai plus profondément dans mon vagin. J'étais étirée à l'extrême, c'était douloureux au-delà de la raison. Mais j'arrêtai de branler mon clito et je m'accroupis aussi bas que je le pouvais dans la douche et je pistonnai ma chatte avec la bouteille en la tenant à deux mains.
J'hyperventilai, je pouvais à peine respirer. Je jouis, mais ce fut un genre d'orgasme que je n'avais jamais ressenti auparavant. J'eus l'impression qu'une boule de chaleur enflait dans mon ventre puis explosait et remplissait tout mon corps. Mes yeux sortirent de ma tête et mon jus de ma chatte. Je me souviens m'être demandée ce qui se passerait si Mike tirait le rideau de douche et me trouvait dans cette position dégoûtante. Ça me fit jouir encore plus.
Mon visage était rouge betterave, mes veines enflées dans mon cou. Je jouis si intensément que ma vision devint floue. Mais j'avais comme image cette énorme bouteille de shampoing enfoncée dans ma chatte.
J'étais accroupie comme si j'essayais de donner naissance à cette monstrueuse bouteille. Je me souviens avoir pensé que j'étais vraiment une salope pour désirer cela, pour avoir céder à cette obscène pulsion d'enfoncer profondément cet objet dans mon sexe.
A ce moment-là j'étais à la fois au paradis et en enfer.
A suivre...
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