vendredi 29 juin 2018

Abusée Ch. 11

Abusée - récit érotique  domination soumission professeur chantage

Traduction d'une histoire de Jessiebnh.

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Soumise à l'école.

 Tandis que je fixai la position obscène de la vice-principale, je m'aperçus que PRUIT avait déboutonné mon gilet, ouvert mon chemisier et était en train de détacher mon soutien-gorge. Ma poitrine fut honteusement exposée à tous dans la salle. Je pus me rendre compte de l'excitation de Mme SMOLEN alors qu'elle frottait sa chatte imberbe sans vergogne. Cela m'excita.

Je sentis le prof d'EPS saisir mes deux mamelons avec ses doigts puis les tirer vers le bas. Mes seins furent tendus au maximum et je dus me baisser vers l'entrejambe de ma sous-directrice. J'avais trop honte pour la regarder dans les yeux alors je fixai mon regard sur son sexe.

Comment m'étais-je trouvée dans cette situation? Quelques minutes plus tôt, j'étais avec les vingt nouveaux enseignants de l'école dans cette salle. Mais quand ils étaient partis, la vice-principale, Mme SMOLEN, m'avait demandé ainsi qu'à M. PRUIT de rester.

Maintenant, j'étais forcé par Glen de commettre toutes sortes d'actes pervers avec ma patronne et PRUIT m'y aidait en forçant ma tête dans l'entrejambe de Mme SMOLEN. Je me souviens m'être dit que je n'avais jamais rien fait avec une autre femme, et comment j'étais gênée que le nouveau professeur d'EPS soit témoin de ma honte.

Je fermai les yeux et je laissai le parfum de Marianne me guider. Je me souviens encore de l'odeur piquante, sexuelle et humide. Je savais que c'était son odeur intime car elle était semblable à l'odeur que j'exsudais quand j'étais excitée. Mes lèvres trouvèrent sa chatte glabre. Je commençai à lécher comme si j'étais une chatte nettoyant son chaton. J'entendis Mme SMOLEN gémir, et je sentis son excitation quand elle bougea ses hanches contre mes lèvres.

Je fis courir ma langue le long de sa fente. Arrivée au sommet, je forçai le bout de ma langue sur le clitoris exposé. J'étais de plus en plus excitée. Mes yeux étaient fermés et plus rien dans la pièce ne comptait, Glen et M. PRUIT compris. Je me concentrai sur ma tâche, faire plaisir à Marianne, faire plaisir à ma patronne. Je glissai mes mains sous ses cuisses pour écarter encore plus ses jambes avec mes avant-bras. Maintenant ses talons hauts pendaient de chaque côté de la table et sa chatte brûlante était bien ouverte aux assauts de ma bouche.

Après lui avoir bien écarté les jambes, je plongeai ma tête dans son sexe et je la baisai carrément avec ma langue. Ses gémissements sont devenus de plus en plus importants et l'humidité de sa chatte se transforma en une moiteur gluante sur mes joues. Bien que je n'aie jamais mangé une chatte auparavant, j'avais souvent rêvé le faire.

Je commençai à réfléchir pourquoi Glen ne m'avait pas appelé d'une semaine. Mme SMOLEN avait dû détourner son attention de ma personne. Maintenant, c'était à mon tour de montrer à cette vache de 40 ans ce que l'on ressent quand une vraie femme vous fait l'amour. A ce moment-là je voulus montrer à Glen que j'étais la meilleure des amantes. Je voulus donner à ma patronne orgasme sur orgasme jusqu'à ce qu'elle reste inanimée aux pieds de Glen comme une vieille serpillière.

Oui c'était ma patronne, la vice-principale de l'école, mais ce soir elle était ma salope et ça serait l'ordinaire petite Mme B. qui la ferait jouir jusqu'à ce qu'elle me supplie d'arrêter, ou de jamais m'arrêter...

J'ouvris les yeux. Les lèvres de sa chatte étaient ouvertes comme une fleur devant mon visage. Elles étaient engorgées, humides et chaudes. Ma tête et mes épaules étaient en mouvement, je léchai, je lapai son trou humide. Dès qu'elle s'habituait à mon rythme et que sa chatte venait à la rencontre de mon visage, je changeais de mode opératoire. D'abord ses petites lèvres, puis son trou humide, puis son clito que je suçais profondément. Il fallait que je recherche d'autres sensations à lui envoyer, qu'elle ait comme des décharges électriques dans la colonne vertébrale. Je m'activai comme une folle.

Je poussai ses jambes de telle sorte qu'elle soit devant moi comme une dinde en attente d'être farcie. Sa chatte béante réclamait du plaisir. Je contemplai son visage. Les yeux de Marianne n'étaient que deux fentes, son visage et son cou étaient rouges et marbrés. Sa respiration était saccadée. Je la fixai avec un air de défi alors que mes mains glissèrent jusqu'à ses seins matures. Ses cuisses s'écartèrent encore plus. L'odeur de son sexe emplit la salle de conseil.

Je continuai à la regarder effrontément tout en effleurant son clitoris avec ma langue. Sans avertissement, je saisis ses mamelons et je les tirai tout en suçant son clitoris. Voila. Mme SMOLEN eut son premier orgasme. Comme mes bras et mes épaules tenaient ses jambes, elle n'eut pas d'autre choix que de gicler sa cyprine dans ma bouche tout en criant :

- AAAAAAHHHHH! OUHHHHHH!

Elle grogna vulgairement en jouissant, son nectar de femme coulant dans ma bouche. Les muscles de son estomac se ridèrent et elle cambra son dos, présentant son trou du cul à mon regard. Sachant que son clito était devenu trop sensible pour être léché, je commençai à attaquer son trou du cul avec ma langue. En même temps, mon nez pénétra sa chatte. Ses yeux se révulsèrent et elle eut un nouvel orgasme. Cette fois je pus sentir sa chatte pulser et son petit trou se serra sur ma langue. Ce fut alors que j'entendis une litanie de mots immondes.

- Jouis Salope! Gicle dans ma bouche vieille pute! Jouis sale putain!

C'était moi, maudissant ma patronne, l'appelant par tous les noms pervers que je connaissais tout en léchant alternativement son cul et son clito. J'étais comme une folle, dirigeant toute mon énergie vers ma langue qui baisait cette femme d'âge mur qui écartait les jambes en face de moi comme pour se faire trousser.

C'est à ce moment que je m'aperçus que quelqu'un avait soulevé ma jupe et déplacé ma culotte sur le côté. Il se préparait à me baiser. Je supposai que c'était Steve PRUIT, mais, à ce moment-là je m'en fichais. Le premier coup de bite me coupa le souffle. Une paire de mains attrapa mes hanches et les tint fortement. Je pus sentir l'homme plier les genoux pour pourvoir mieux me pénétrer et me baiser comme une chienne en chaleur.

Je posai ma tête sur le monticule rasé de Marianne et je fermai les yeux. L'odeur âcre de sa féminité m'excita encore plus si bien que je commençai à pousser mon cul sur la bite qui me baisait. Je pouvais entendre les bruits humides que faisait ma chatte alors qu'on la pilonnait. Dans la salle, résonnait l'écho de claquement des cuisses d'un mâle contre mes fesses. Les sons et les odeurs de cette séance de sexe débridé tourbillonnaient dans ma tête.

Habituellement je ne jouissais pas en étant baisé sauf si je frottais mon clitoris. Mais cette fois, je pus sentir mes orteils se tordre et un orgasme enfla dans mon ventre et jaillit comme un ressort. L'endroit, les odeurs et les sons ont emplis ma tête en une cacophonie de sensations pendant que la queue me pilonnait avec une intensité animale. J'entendis ma voix crier alors que chaque coup de bite me coupait le souffle.

- Oh mon Dieu, baise-moi... BAISE- MOI!

Le bruit de notre accouplement s'amplifia. Je sentis ses couilles battre mon clito à chaque poussée. Ma vision était floue, j'étais dans un autre monde. Je vis les lèvres de Mme SMOLEN bouger avant d'entendre sa voix :

- Baise la petite pute! Baise cette chienne! elle aime qu'on la baise avec force et dureté cette salope!

Marianne cracha ses mots comme si elle était un démon. Elle attrapa mes cheveux et tira ma tête en l'air alors que je berçai toujours ses deux seins dans mes mains. Elle me força à la regarder dans les yeux pendant qu'on me pistonnait par-derrière. Mes yeux étaient vitreux et tout ce que je pouvais faire c'est de me soumettre. Elle me jeta un regard de mépris et elle cracha droit sur mon visage en visant ma bouche.

Je fus choquée et immédiatement une colère intense monta en moi et je pensai que j'allais éclater.

- Vous... Espèce de salope...

Je criai et je me tortillai entre ses cuisses. Mais son emprise sur mes cheveux était inflexible. Elle cracha de nouveau sur moi avec mépris. Instinctivement je crachai vers elle. Elle me gifla violemment. Et celui qui me baisait commença à me frapper le cul. Puis il jouit. Et j'eus un nouvel orgasme géant.

- OHHHHHHHHHHH! Criai-je pendant que l'orgasme traversait mon corps.

Mes yeux roulèrent et je m'évanouis.

*****

Quand je repris connaissance, j'entendis la voix autoritaire de Mme SMOLEN qui donnait des ordres.

- Voilà PRUIT, allongez-vous sur le dos sur la table. Et mettez cette petite chienne sur vous. Je veux qu'elle n'oublie jamais ce qu'elle va prendre ce soir.

Les yeux mi-clos, je vis Steve PRUIT, nu, grimper sur la table d'où Marianne venait de descendre. Je remarquai la tâche humide brillante au bout de la table, là où sa chatte se trouvait. Réalisant que M. PRUIT était maintenant nu devant moi, je regardai curieusement pour voir à quoi sa queue ressemblait. Et je faillis m'évanouir à nouveau.

La queue de PRUIT n'était pas très grande en fait. Elle paraissait petite. Elle ressemblait à un cône. La tête excisée semblait beaucoup trop petite pour le reste de la queue. Elle était perchée sur un petit pénis de la largeur d'une canette. Ce que PRUIT n'avait pas en longueur. Je me demandai ce qu'une jeune fille sentirait quand il mettrait les derniers centimètres de sa queue dans sa petite chatte.

J'étais dans un état second alors que je voyais M. PRUIT obéir aux ordres de la vice-principale. En dehors de sa bite laide et un peu déformée, Steve PRUIT était très beau. Son corps était bronzé et musclé comme celui que l'on attend d'un professeur d'EPS. Je le regardai alors qu'il roulait sur le dos et que sa petite queue épaisse pointait au plafond.

- Que la salope monte sur « petit obus »! Ordonna Mme SMOLEN.

« Petit obus »! Je commençai à rire nerveusement. Je ne serai plus capable de regarder PRUIT sans penser à « Petit obus ».

Glen me poussa et me monta sur la table. Je rampai entre les jambes du professeur puis je montai sur ses jambes et je me mis docilement au-dessus de sa queue. Je baissais les yeux vers son visage. Ses yeux bleus brillaient. Wow que ce mec était beau! Si on ne regardait pas sa bite, on aurait pu le prendre pour un Dieu.

- Attends jusqu'au moment où tu sentiras cette chose, petite salope. Dit Mme SMOLEN.

Marianne pris dans sa main la petite bite trapue de PRUIT et le frotta contre les lèvres de ma chatte entrouverte. Je pouvais sentir que le professeur d'EPS levait les hanches pour essayer de me pénétrer. Mais je restais asse haut pour que seul le gland sépare les lèvres de ma chatte. Je pouvais entendre les bruits mouillés de ma chatte humide au contact de la bite qui était frottée dessus. Marianne la promenait le long de ma fente humide en veillant bien à titiller mon clitoris à chaque passage.

Je sentis les bras puissants de Glen encercler ma taille et Mme SMOLEN fit aux deux hommes un signe de tête. Alors, en même temps, Glen me poussa vers le bas par la taille et PRUIT remonta son cul. Je fus empalée en un seul mouvement sur l'épaisse queue du professeur. Sa bite entra complètement en moi et ma chatte s'étira d'une façon quasiment impossible. Pourtant j'avais l'impression de ne rien avoir au fond de mon sexe. J'eus le souffle coupé sous le plaisir et la douleur. J'entendis le rire méchant de la vice-principale :

- Ne t'inquiète pas, tu vas t'y habituer ma chérie. J'espère qu'il y a assez de place en toi pour deux.

Glen me tenait dans ses bras musclés pendant que PRUIT baisait ma chatte avec sa drôle de bite. Je baissai les yeux vers le professeur d'EPS et admirai son beau visage. Un tendon dans son cou ressortait alors qu'il me martelait avec envie. Je pensai aux autres enseignantes qui avaient été au petit soin pour lui quelques instants plus tôt dans cette même salle. Un sentiment de fierté m'envahit. C'était moi, Jessie, qu'il avait choisi de baiser. C'était ma chatte qui était écartelée jusqu'au point de rupture par la masse épaisse de sa queue.

Glen relâcha son emprise sur ma taille puis, d'une main forte, il me poussa dans le dos pour que je me baisse sur PRUIT. Je sentis quelqu'un séparer mes fesses. Je savais bien que c'était Mme SMOLEN car je sentais ses gros ongles creuser la chair de mon cul. Je l'entendis cracher et je sentis l'air frais sur la moiteur de mon petit trou du cul.

Rapidement un doigt explora mon intimité. Et chaque fois que PRUIT donnait un coup de reins, le doigt rencontrait sa bite à travers la fine membrane qui sépare mes deux trous.

La vice-principale essuya son doigt sur mes fesses et dit :

- Ça suffira comme préparation. Maintenant, il est temps pour notre petite salope mariée d'expérimenter deux bites à la fois. Allez Glen, monte cette petite pute et baise son cul comme la chienne qu'elle est.

La main chaude de Glen quitta mon dos et il monta sur la grande table de la salle de conseil. Il plaça ses pieds à plat de chaque côté de moi sur la surface polie. Je le sentis s'accroupir, ses cuisses musclées pressées contre mes hanches. Puis je sentis la tête de sa magnifique queue commençai à sonder mon trou du cul exposé et tourné vers le haut.

Je fermai les yeux et serrai les dents, attendant le pire.

A suivre...

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