Abusée - récit érotique domination soumission professeur chantage
Traduction d'une histoire de Jessiebnh.
*************
J'essaie de négocier.
Glen me lança un regard menaçant et il me poussa vers le canapé. Puis il me dit :
- Mes parents vont revenir de l'église dans moins d'une heure alors je te suggère de m'écouter si tu veux que les photos soient supprimées du site. Tu devrais faire ce que je te dis.
Soudainement, je réalisai pourquoi j'étais là : Les photos!
- Toutes les photos? Répondis-je.
- Pourquoi toutes les photos? Demanda Glen, un peu perplexe.
- le vin et la bière! Lâchai-je sans réfléchir.
- Ah oui l'alcool! La petite salope de professeur a acheté de la bière et du vin pour ses étudiants. Ce n'est pas bien hein?
Un sourire tordu apparut sur le visage du garçon.
- Elles doivent toutes être supprimées! Demandai-je sans vouloir poursuivre la discussion sur le sujet.
- D'accord! Toutes! Mais es-tu prête à faire tout ce que je te dis?
Glen se léchait les lèvres et me regardait d'un air méchant.
- Comment puis-je savoir si je peux te faire confiance? Répondis-je tout en sachant qu'il avait toutes les cartes en main.
- Je crois que tu n'as pas le choix de toute façon. Mais un marché est un marché, tu fais ce que je veux et je fais ce que tu veux, c'est gagnant-gagnant.
- Qu'est-ce que je dois faire?
Le regard de Glen me transperçait et me donnait des frissons. Il sourit vicieusement et me dit d'une voix très calme tout en s'approchant de moi :
- Tu dois devenir ma salope, prête à être utilisée comme je le souhaite.
Sans vraiment réfléchir, je laissai échapper :
- Pendant combien de temps?
- Un mois. Trente jours à partir d'aujourd'hui si tu es libre. Ensuite les photos seront détruites et nous continuerons nos vies comme si rien ne s'était passé.
- Non je ne suis pas d'accord. Je veux que les photos soient retirées du site MAINTENANT! Répondis-je courageusement.
Glen commença à jouer avec mes cheveux et à me caresser le visage. J'essayai de rester immobile mais ses yeux devinrent captivants. Je ne pouvais plus détourner mon regard.
- Pas de problème! Je peux désactiver le lien du barbecue et de la petite fête d'hier. Seuls toi et moi sommes au courant. Lorsque le mois sera écoulé, les photos seront détruites...A moins que tu ne veuilles des souvenirs de moi.
Maintenant Glen tenait mon menton et me regardait dans les yeux. J'étais captivée. Je n'avais jamais connu un homme aussi fort et autoritaire.
- Ok, que veux-tu? Murmurai-je.
Glen me regarda. Je savais qu'il jouait avec moi. Il ressemblait à un enfant le matin de Noël. Son excitation commençait à se propager.
- Montre-moi tes seins!
Sans que je ne sache vraiment pourquoi, cette demande obscène me sembla sans gravité, voire raisonnable. Je remontai mon haut de survêtement et ma poitrine fut exposée. Il sourit et regarda sa récompense. Je me rendis compte que mon corps avait un peu de pouvoir sur cet homme fort et agressif, alors qu'il se tenait devant moi, dévorant mes seins du regard.
Puis, Glen regarda sa montre et parut impatient. Il me dit :
- Ok, voici le marché! Tu te déshabilles, tu t'assois sur le canapé et tu te branles la chatte jusqu'à ce que tu jouisses. Je te laisse vingt minutes pour le faire. Ensuite tu te rhabilles et tu pars. Si tu y arrives, je retirerai immédiatement le lien. Si ce n'est pas le cas il restera jusqu'à ce que tu réussisses une tâche que je te donnerai par la suite. C'est facile pour une salope comme toi.
Je commençai à paniquer. Je n'avais jamais d'orgasme quand Mike me faisait l'amour. Et si je n'arrivais pas à jouir? Comme s'il lisait dans mes pensées, Glen ajouta :
- Ah oui, n'essaie pas de faire semblant. Je le verrai si tu simules. Et si tu te moques de moi, je supprimerai le mot de passe au lien d'enlever le lien.
Je suis resté immobile à le regarder. A ce stade mon esprit était engourdi. Glen me lança un regard agacé et montra sa montre en disant :
- Tu n'as plus que 18 minutes maintenant. Tu as ton avenir entre tes mains... Ou plutôt entre tes doigts devrais-je dire!
Il s'assit sur la chaise juste en face du canapé. Immédiatement je commençai à retirer mon survêtement. J'étais mortifiée d'être venue chez lui sans sous-vêtements. A quoi pensais-je? Je suis sûre que mon visage était aussi rouge que de la betterave. J'enlevai maladroitement mon pantalon et je me laissai tomber sur le canapé.
Soudain, je réalisai que je devais me masturber devant ce garçon. Etre nue était moins gênant par rapport à ça. Je ne m'étais jamais masturbée devant mon mari. Je fus remplie de honte. Je gardai mes jambes serrées et je mis ma main sur mon vagin.
- Non salope! pas comme ça!
Glen se leva de sa chaise et attrapa mes jambes. Il mit mes pieds sur le canapé en m'ouvrant les cuisses et exposant ainsi mon sexe.
- Comme ça! Dit le garçon avec un petit rire.
Il retourna à sa chaise et fixa ma chatte qui s'était humidifiée.
Je fermai les yeux et je commençai à me caresser. J'étais gênée de voir à quel point je mouillais et comment j'étais excitée devant ce jeune garçon dominant. Je commençai à sentir le plaisir monter dans mon bassin ainsi que l'humidité qui s'échappait de ma chatte. Mes doigts titillaient légèrement mon clitoris alors que mon autre main écartait mes petites lèvres pour ajouter à mon plaisir. Je réalisai que je montrai à ce jeune gars mon intimité et comment je me touchais. Cette pensée accéléra mes doigts mais c'était plus frénétique que plaisant. Je voulais jouir oui, mais je le voulais surtout pour que Glen enlève les photos qui me discréditeraient aux yeux de nos amis et de nos voisins. Mais je me suis bientôt sentie bloquée. Je ressentais du plaisir mais je ne pouvais faire plus.
Quand j'ouvris les yeux, je vis que Glen était debout. Il avait ouvert sa braguette et sortit sa queue. Sans aucune raison ça m'excita encore plus que s'il avait été complétement nu. Sa bite semblait plus imposante que sur la photo que j'avais regardé ce matin. Le gland était rouge et d'apparence moyenne. Il caressait lentement son membre en me regardant me tripoter la chatte.
Je ne pus détacher mes yeux de ce joli membre. A ce moment, cette bite était la seule au monde. Je commençai à fourrer trois doigts à l'intérieur de mon vagin tandis que je continuai à frotter énergiquement mon clitoris.
C'est alors que je sentis dans mon ventre comme une tension immense. C'était incroyable, il fallait que je me libère de cette tension. J'entendis les chuintements de mes doigts pendant que je les poussais plus profondément à l'intérieur de mon vagin. La main de Glen bougeait sur sa bite au rythme de mes doigts. Mon autre main devint floue sur mon clitoris.
C'est alors que je l'ai senti. Mon Dieu, quelle sensation! Mes jambes se levèrent et je les écartai le plus largement possible. Je ne réfléchis même pas à la position dans laquelle j'étais, je voulais juste être libérée. Je sentis un début de picotement dans mes orteils qui remonta directement jusque dans ma chatte. Je criai quand je jouis, en jetant toutes sortes de gros mots comme « putain » ou « merde ». Je fus choquée quand je compris à quel point j'étais obscène. Mes yeux étaient vitreux et je voyais flou la grosse bite à seulement quelques centimètres de moi.
Puis j'entendis Glen gémir et une décharge de sperme s'échappa de sa queue et m'éclaboussa. Mon orgasme s'intensifia quand son sperme chaud et gluant frappa mes seins. Mon corps eut des convulsions et pendant quelques secondes je ne sus où j'étais.
Glen tomba à genoux et commença à me lécher la chatte. Je ressentis plusieurs petites répliques de mon orgasme alors qu'il s'activait. J'étais au Paradis. Je n'avais jamais eu dans toute ma vie une telle expérience, un tel orgasme. Finalement j'en eus assez. Je berçai la tête de Glen entre mes mains et nous nous regardâmes dans les yeux.
- Ai-je réussi? Demandai-je dans un chuchotement rauque.
- Avec brio salope! Répondit Glen en se relevant.
Il attrapa mon bas et mon haut de survêtement et il me les jeta alors que j'étais affalée comme une poupée de chiffon sur le canapé.
- Habille toi et va-t'en! Commanda-t-il.
- Mais je suis toute...
Glen me coupa :
- Je viens de te marquer. Tu vas ramener mon sperme chez toi pour montrer que tu es maintenant ma salope mariée vide-couilles.
Pendant que je m'habillai, je demandai docilement à Glen pour les photos. Il m'assura qu'il effacerait le lien dès que je sortirai de chez lui.
Tout d'un coup, je craignis que ses parents arrivent et me voient sortir de leur maison couverte de sperme. Alors je me précipitai dans ma voiture et je rentrai chez moi en pensant aux prochains vingt-neuf jours.
A suivre...
J'essaie de négocier.
Glen me lança un regard menaçant et il me poussa vers le canapé. Puis il me dit :
- Mes parents vont revenir de l'église dans moins d'une heure alors je te suggère de m'écouter si tu veux que les photos soient supprimées du site. Tu devrais faire ce que je te dis.
Soudainement, je réalisai pourquoi j'étais là : Les photos!
- Toutes les photos? Répondis-je.
- Pourquoi toutes les photos? Demanda Glen, un peu perplexe.
- le vin et la bière! Lâchai-je sans réfléchir.
- Ah oui l'alcool! La petite salope de professeur a acheté de la bière et du vin pour ses étudiants. Ce n'est pas bien hein?
Un sourire tordu apparut sur le visage du garçon.
- Elles doivent toutes être supprimées! Demandai-je sans vouloir poursuivre la discussion sur le sujet.
- D'accord! Toutes! Mais es-tu prête à faire tout ce que je te dis?
Glen se léchait les lèvres et me regardait d'un air méchant.
- Comment puis-je savoir si je peux te faire confiance? Répondis-je tout en sachant qu'il avait toutes les cartes en main.
- Je crois que tu n'as pas le choix de toute façon. Mais un marché est un marché, tu fais ce que je veux et je fais ce que tu veux, c'est gagnant-gagnant.
- Qu'est-ce que je dois faire?
Le regard de Glen me transperçait et me donnait des frissons. Il sourit vicieusement et me dit d'une voix très calme tout en s'approchant de moi :
- Tu dois devenir ma salope, prête à être utilisée comme je le souhaite.
Sans vraiment réfléchir, je laissai échapper :
- Pendant combien de temps?
- Un mois. Trente jours à partir d'aujourd'hui si tu es libre. Ensuite les photos seront détruites et nous continuerons nos vies comme si rien ne s'était passé.
- Non je ne suis pas d'accord. Je veux que les photos soient retirées du site MAINTENANT! Répondis-je courageusement.
Glen commença à jouer avec mes cheveux et à me caresser le visage. J'essayai de rester immobile mais ses yeux devinrent captivants. Je ne pouvais plus détourner mon regard.
- Pas de problème! Je peux désactiver le lien du barbecue et de la petite fête d'hier. Seuls toi et moi sommes au courant. Lorsque le mois sera écoulé, les photos seront détruites...A moins que tu ne veuilles des souvenirs de moi.
Maintenant Glen tenait mon menton et me regardait dans les yeux. J'étais captivée. Je n'avais jamais connu un homme aussi fort et autoritaire.
- Ok, que veux-tu? Murmurai-je.
Glen me regarda. Je savais qu'il jouait avec moi. Il ressemblait à un enfant le matin de Noël. Son excitation commençait à se propager.
- Montre-moi tes seins!
Sans que je ne sache vraiment pourquoi, cette demande obscène me sembla sans gravité, voire raisonnable. Je remontai mon haut de survêtement et ma poitrine fut exposée. Il sourit et regarda sa récompense. Je me rendis compte que mon corps avait un peu de pouvoir sur cet homme fort et agressif, alors qu'il se tenait devant moi, dévorant mes seins du regard.
Puis, Glen regarda sa montre et parut impatient. Il me dit :
- Ok, voici le marché! Tu te déshabilles, tu t'assois sur le canapé et tu te branles la chatte jusqu'à ce que tu jouisses. Je te laisse vingt minutes pour le faire. Ensuite tu te rhabilles et tu pars. Si tu y arrives, je retirerai immédiatement le lien. Si ce n'est pas le cas il restera jusqu'à ce que tu réussisses une tâche que je te donnerai par la suite. C'est facile pour une salope comme toi.
Je commençai à paniquer. Je n'avais jamais d'orgasme quand Mike me faisait l'amour. Et si je n'arrivais pas à jouir? Comme s'il lisait dans mes pensées, Glen ajouta :
- Ah oui, n'essaie pas de faire semblant. Je le verrai si tu simules. Et si tu te moques de moi, je supprimerai le mot de passe au lien d'enlever le lien.
Je suis resté immobile à le regarder. A ce stade mon esprit était engourdi. Glen me lança un regard agacé et montra sa montre en disant :
- Tu n'as plus que 18 minutes maintenant. Tu as ton avenir entre tes mains... Ou plutôt entre tes doigts devrais-je dire!
Il s'assit sur la chaise juste en face du canapé. Immédiatement je commençai à retirer mon survêtement. J'étais mortifiée d'être venue chez lui sans sous-vêtements. A quoi pensais-je? Je suis sûre que mon visage était aussi rouge que de la betterave. J'enlevai maladroitement mon pantalon et je me laissai tomber sur le canapé.
Soudain, je réalisai que je devais me masturber devant ce garçon. Etre nue était moins gênant par rapport à ça. Je ne m'étais jamais masturbée devant mon mari. Je fus remplie de honte. Je gardai mes jambes serrées et je mis ma main sur mon vagin.
- Non salope! pas comme ça!
Glen se leva de sa chaise et attrapa mes jambes. Il mit mes pieds sur le canapé en m'ouvrant les cuisses et exposant ainsi mon sexe.
- Comme ça! Dit le garçon avec un petit rire.
Il retourna à sa chaise et fixa ma chatte qui s'était humidifiée.
Je fermai les yeux et je commençai à me caresser. J'étais gênée de voir à quel point je mouillais et comment j'étais excitée devant ce jeune garçon dominant. Je commençai à sentir le plaisir monter dans mon bassin ainsi que l'humidité qui s'échappait de ma chatte. Mes doigts titillaient légèrement mon clitoris alors que mon autre main écartait mes petites lèvres pour ajouter à mon plaisir. Je réalisai que je montrai à ce jeune gars mon intimité et comment je me touchais. Cette pensée accéléra mes doigts mais c'était plus frénétique que plaisant. Je voulais jouir oui, mais je le voulais surtout pour que Glen enlève les photos qui me discréditeraient aux yeux de nos amis et de nos voisins. Mais je me suis bientôt sentie bloquée. Je ressentais du plaisir mais je ne pouvais faire plus.
Quand j'ouvris les yeux, je vis que Glen était debout. Il avait ouvert sa braguette et sortit sa queue. Sans aucune raison ça m'excita encore plus que s'il avait été complétement nu. Sa bite semblait plus imposante que sur la photo que j'avais regardé ce matin. Le gland était rouge et d'apparence moyenne. Il caressait lentement son membre en me regardant me tripoter la chatte.
Je ne pus détacher mes yeux de ce joli membre. A ce moment, cette bite était la seule au monde. Je commençai à fourrer trois doigts à l'intérieur de mon vagin tandis que je continuai à frotter énergiquement mon clitoris.
C'est alors que je sentis dans mon ventre comme une tension immense. C'était incroyable, il fallait que je me libère de cette tension. J'entendis les chuintements de mes doigts pendant que je les poussais plus profondément à l'intérieur de mon vagin. La main de Glen bougeait sur sa bite au rythme de mes doigts. Mon autre main devint floue sur mon clitoris.
C'est alors que je l'ai senti. Mon Dieu, quelle sensation! Mes jambes se levèrent et je les écartai le plus largement possible. Je ne réfléchis même pas à la position dans laquelle j'étais, je voulais juste être libérée. Je sentis un début de picotement dans mes orteils qui remonta directement jusque dans ma chatte. Je criai quand je jouis, en jetant toutes sortes de gros mots comme « putain » ou « merde ». Je fus choquée quand je compris à quel point j'étais obscène. Mes yeux étaient vitreux et je voyais flou la grosse bite à seulement quelques centimètres de moi.
Puis j'entendis Glen gémir et une décharge de sperme s'échappa de sa queue et m'éclaboussa. Mon orgasme s'intensifia quand son sperme chaud et gluant frappa mes seins. Mon corps eut des convulsions et pendant quelques secondes je ne sus où j'étais.
Glen tomba à genoux et commença à me lécher la chatte. Je ressentis plusieurs petites répliques de mon orgasme alors qu'il s'activait. J'étais au Paradis. Je n'avais jamais eu dans toute ma vie une telle expérience, un tel orgasme. Finalement j'en eus assez. Je berçai la tête de Glen entre mes mains et nous nous regardâmes dans les yeux.
- Ai-je réussi? Demandai-je dans un chuchotement rauque.
- Avec brio salope! Répondit Glen en se relevant.
Il attrapa mon bas et mon haut de survêtement et il me les jeta alors que j'étais affalée comme une poupée de chiffon sur le canapé.
- Habille toi et va-t'en! Commanda-t-il.
- Mais je suis toute...
Glen me coupa :
- Je viens de te marquer. Tu vas ramener mon sperme chez toi pour montrer que tu es maintenant ma salope mariée vide-couilles.
Pendant que je m'habillai, je demandai docilement à Glen pour les photos. Il m'assura qu'il effacerait le lien dès que je sortirai de chez lui.
Tout d'un coup, je craignis que ses parents arrivent et me voient sortir de leur maison couverte de sperme. Alors je me précipitai dans ma voiture et je rentrai chez moi en pensant aux prochains vingt-neuf jours.
A suivre...
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