Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.
Récit de Gabrieldutour
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Ma mère se libère – 1ère partie.
Bonjour à tous, c'est encore moi, Julien, 20 ans et étudiant en fac de lettre. C'est avec une certaine excitation que j'ai décidé de vous raconter la suite des événements consécutifs à cette soirée un peu particulière que j'ai passé avec ma mère.
J'ai toujours eu la manie d'emporter mon ordinateur portable et ce, même en vacances. J'ai pu donc m'atteler à l'écriture de ce texte relatant les derniers exploits de ma mère Martine. Je viens de réussir mes examens de passage en seconde année. Ma copine, Laetitia, est partie pour le mois en Corée et je suis actuellement en vacances dans le sud de la France. En effet, mon père, Dominique qui est cadre supérieur, nous a proposé, à maman et à moi, de passer quelques jours dans une maison secondaire près de la mer. Son travail lui prend beaucoup de son temps mais il a promis de nous rejoindre la semaine suivante.
Ma mère et moi nous acharnons à redonner un semblant de civilisation à la petite maison de vacances. Cela fait pas mal de temps que nous n'y avons pas mis les pieds et le jardin est dans un état pitoyable. Mais rassurez-vous, nous savons profiter du soleil et de la plage.
D'autant plus que ma mère a vaincu sa timidité et n'hésite plus à porter des maillots de bains. Ma mère s'appelle Martine et est, à l'origine, une bourgeoise puritaine, fidèle à mon père et très axée sur les principes moraux. Mais suite à de multiples évènements, elle a changé.
Elle est devenue beaucoup plus cool et depuis notre nuit torride, elle se lâche davantage. Maman est une femme mature d'1m64, très bien conservée et qui va sur ses 47 ans (Elle paraît en avoir 35). Elle est brune, coiffée au carré et aux yeux noisette. Son visage n'a presque pas de rides et elle a une belle bouche aux lèvres charnues qu'elle aime colorer en rouge carmin. Elle a un très léger embonpoint au niveau des hanches et des cuisses car elle a eu deux enfants, moi Julien et ma sœur cadette Catherine (qui vit avec son copain). Cela ne l'empêche pas d'avoir un postérieur et des jambes superbes. J'ajouterai également qu'elle possède de très gros seins dont elle avait honte au départ.
A la plage, les hommes de tout âge (même ceux qui sont avec leur femme ou copine) la matent tous sans exception avec des yeux concupiscents. Elle en a conscience et elle aime se sentir désirée. Ses maillots mettent en exergue tous ses atouts de femme. Ses seins énormes ballottent et menacent à tout moment de jaillir de son haut de maillot bleu et sa démarche est sensuelle voire provocatrice. J'ai donc plaisir à parader au côté de cette femme sexy, semblant sortir tout droit d'un film X et qui plus est ma propre mère.
Elle m'invite à lui passer de la crème solaire sur son dos. Je prends mon pied à la toucher et les pensées les plus salaces m'assaillent. Il est dommage qu'elle n'aime pas se baigner et préfère bronzer sous les regards vicieux des mâles avoisinants. Ma relation avec ma mère est devenue déroutante car depuis la nuit dernière, j'ai tendance à la voir comme une amante plus qu'une mère. Son corps me fait terriblement envie, certes, mais j'ai encore le blocage du tabou de l'inceste (Souvenez-vous, j'étais bien saoul à ce moment-là et donc désinhibé). Chaque fois qu'elle m 'embrasse maintenant, j'ai une érection du tonnerre et je deviens tout rouge de honte. Maman rit de cela et elle semble bien moins affectée de notre partie de jambes en l'air que moi. Elle a changé et j'ai du mal à reconnaître la bourgeoise austère et prude, la femme fidèle de mon père, qui m'a donné naissance et élevé pour être quelqu'un de bien.
Elle est presque devenue une nouvelle femme. Nous revenons de la plage et prenons un petit cocktail bien corsé sur la table de la pelouse (Ces derniers temps, maman et moi picolons beaucoup). Il fait beau et ma mère et moi sommes en maillot de bain dans le jardin. Comme d'habitude, chauffés par l'alcool, nous nous mettons à parler de sexe. J'apprends de sa bouche que la nuit dernière a été une révélation pour elle et que désormais elle irait plus loin en ce qui concerne le cul. Elle ne m'en veut pas, loin s'en faut, d'avoir forcé les choses. Elle regrette amèrement ces années passées à se mentir à elle-même et à jouer à la sainte nitouche bourgeoise et fidèle. Je fais semblant d'être outré lorsqu'elle me parle du viol collectif dont elle fut victime. L'acte, certes violent, avait provoqué un petit déclic et réveillé ses pulsions et fantasmes les plus inavoués. Ma mère ose même me révéler qu'elle cherchait inconsciemment à se faire violer ce jour-là.
Choqué mais terriblement excité par de tels aveux, je sens une vague de chaleur bien perverse monter en moi. Il est hors de question de lui révéler mes actes de voyeurisme mais j'éprouve un intense désir de l'aider dans sa volonté de dépravation. Je me mets donc à la convaincre d'aller de l'avant et que je serais désormais, si elle le voulait bien, son complice et amant à l'occasion. Je serais son meilleur témoin en cas de problèmes ou d'éventuels bruits arrivant aux oreilles de mon père. Nous tenions tous les deux à garder la cohésion familiale, et même si ma mère s'engage à tromper papa, je sais qu'elle l'aime. Les yeux de maman s'illuminent en entendant ma proposition. Une joie immense éclaire son visage et le fait que moi, son propre fils, partage et désire participer à son désir de dépravation lui réjouit le cœur. Elle avance sa tête et m'embrasse tendrement sur la bouche tout en me faisant du pied.
Dans un premier temps, sa jambe nue me caresse les cuisses de façon très significative pendant que ses lèvres titillent les miennes. Je commence à bander très sérieusement d'autant plus que ses doigts de pied commencent à me masser le sexe. Elle sourit et m'embrasse de nouveau. Au contact de ses lèvres, je ne peux plus me retenir et je lui roule un langoureux patin. Elle me le rend telle une femelle en chaleur. Nos langues se mêlent et mes mains se plaquent contre ses deux gros seins laiteux que je pétris sans perdre une seconde. Ils sont chauds et en les soupesant, je sens facilement ses tétons qui durcissent à travers le maillot. L'odeur de crème solaire qui émane de son corps me stimule. Maman baisse mon caleçon blanc et s'empare de mon sexe qu'elle commence à branler de plus en plus vite avec sa main experte. Je sens que je vais éjaculer surtout qu'elle l'a enfourné dans sa bouche gourmande.
Ma main se pose sur sa tête et accompagne ses va-et-vient. Mes efforts pour me retenir sont gigantesques et sous l'impulsion, je plaque cette superbe femme en maillot de bain sur l'herbe fraîchement coupée. Comme la nuit dernière, je lui arrache très violemment son slip de bain bleu que je jette le plus loin possible et la pénètre de toutes mes forces. Elle écarte largement les cuisses et son sexe, dont les lèvres sont déjà bien humides, accueille mon mandrin ainsi que mes coups de boutoir particulièrement violents. Maman gémit de plaisir lorsqu'elle sent ma semence profane et chaude entrer en elle par grosses saccades. J'ai plaisir à me lâcher en elle de façon si brutale. Je réalise que mon attitude est plus bestiale avec ma mère qu'avec ma copine ou mes ex.
Avec mes copines, il y'avait le sentiment amoureux et le désir de faire de beaux préliminaires. Pour maman, c'est différent. J'ai vraiment envie de la baiser le plus sauvagement possible et je crois que c'est cela qu'elle attend de moi. Ainsi, je suis au-dessus d'elle, les mains posées sur ses gros nichons en train de la baiser comme une chienne en manque dans le jardin familial.
Je n'ai même pas fait attention au voisinage et par chance, il n'y' a personne qui nous voit. Les couilles vidées, je me retire d'elle la laissant sur le dos, la chatte à l'air, reprendre ses esprits. Je regrette un peu de m'être lâché aussi rapidement mais j'étais si excité.
Je rentre m'asseoir sur le petit canapé du salon pendant qu'elle se relève et récupère les restes de son slip de bain anéanti. Elle semble un peu frustrée que cela ne dure pas plus longtemps et, toujours la chatte à l'air, se verse un verre. Je sens qu'elle n'est pas satisfaite. Je lui propose d'aller faire un tour en ville, le temps que je reprenne des forces. Elle ne me répond pas et file prendre une douche.
Le soir, nous prenons un petit repas dans le jardin où nous avons baisé il y'a quelques heures. Elle est en tee-shirt moulant et en short. Maman est un peu ailleurs et je suis persuadé qu'elle n'a pas été satisfaite, qu'elle n'a pas eu sa dose de sexe. Inutile de tourner autour du pot, un seul gars ne peut plus la satisfaire désormais et elle sent dans son bas ventre une étrange sensation, comme un effet de manque. Elle sent que ses seins et notamment au niveau de ses tétons, ont besoin d'être touchés ou pincés. Elle finit par se lever et me dit :
- Julien, si nous allions en ville. Je ne suis pas venue en vacances pour rester cloîtrée dans la maison.
Je lui donne raison et elle file se changer dans sa chambre. Je suis loin de me douter de ce qui va se passer. Ma mère, comme à son habitude, prend son temps et au bout d'une bonne demi-heure, la voilà qui avance vers moi tout en arborant un immense sourire.
En la voyant, les bras m'en tombent. J'ai l'impression d'avoir en face de moi, la dernière des salopes. Elle s'est maquillée de façon outrancière avec son fidèle rouge à lèvres carmin. De plus, elle dégage une forte odeur de parfum féminin qui ne peut laisser indifférent la gente masculine. Coté vêtements, elle n'a jamais fait aussi fort. Sa mini-jupe en cuir noir lui couvre tout juste les fesses et elle est très moulante car elle épouse les formes de son cul. Ses jambes sont à l'air et elle porte de belles sandales noires à talon aiguille lui donnant quelques centimètres de plus. En ce qui concerne sa poitrine, c'est à la limite de l'indécence. Elle a choisi de mettre pour seul haut, un soutien-gorge balconnet noir en lycra. Ses seins déjà énormes, sont compressés et ressortent par le haut comme deux ballons comprimés fortement.
- Comment me trouves tu mon chéri? Me demande-t-elle de façon ironique.
Je bégaye un peu mais finis par me ressaisir :
- Euh... Ne crois-tu pas que cela est un peu exagéré. Pourquoi ne pas remettre tes vêtements d'hier. Ils étaient superbes et moins provocants.
Elle sourit.
- Ecoute Julien, prenons un dernier verre et sortons. Je te dirais quelque chose en cours de route.
Ma mère semble déterminée à sortir vêtue de la sorte et il est inévitable que la fin de soirée risque d'être chaude. Nous avalons un dernier verre et direction la ville. Cela prit beaucoup de temps car maman avait du mal à marcher à cause de sa mini-jupe en cuir beaucoup trop courte. Ses talons à aiguilles attirent immédiatement l'attention des hommes aux alentours et lorsque ceux-ci matent l'étalage des atouts de ma mère (et en particulier le ballottement provoquant de ses énormes seins), ils n'hésitent pas à lâcher quelques quolibets bien salaces à son encontre. Plusieurs fois, elle s'est faite aborder malgré ma présence, et plusieurs fois, j'ai eu peur qu'elle se fasse violer en pleine rue et aux yeux de tous.
Ma mère est restée délicieusement impavide devant cette menace. Nous nous arrêtons finalement en face d'un bar de nuit assez crasseux et décidons de boire quelques verres. Bien sûr, maman fait son petit effet en entrant dans le rade. Les clients cessent de parler subitement et fixent son corps de façon insistante tout en buvant leur verre d'alcool. Il est encore tôt et nous trouvons de la place sur une petite table. Le temps passe et l'endroit commence à grouiller de monde.
- Au fait, que voulais-tu me dire tout à l'heure?
Elle me regarde et avance la tête pour me susurrer un petit quelque chose à l'oreille. Ce qu'elle me révèle me choque et cela a pour effet de la faire sourire. Me voilà pris d'une envie pressante d'aller aux toilettes. Je m'excuse auprès de ma mère et elle m'annonce qu'elle va en profiter pour commander au comptoir. A mon retour des WC, ma mère n'a toujours pas fini de commander.
Et pour cause, en regardant près du comptoir, je la vois en train de discuter et de trinquer avec trois gars qui la serrent de près. Il y a deux jeunes et un gars moustachu qui paraît avoir la quarantaine. Parmi les jeunes d'environ le même âge que moi, il y a un arabe et un noir. Je m'assoie tout en regardant ma mère se faire draguer. A leurs regards, il est évident que ce ne sont pas les sujets de conversations de maman qui les intéressent.
La musique est à fond et il faut parler plus fort. Il commence à faire soif. Les gars se sont rapprochés de plus près acculant maman contre le comptoir. Le moustachu bien chaud commence à lui caresser les genoux tout en remontant vers ses cuisses nues. Voyant cela, le jeune arabe commence à soupeser les gros nichons de ma mère puis à les malaxer lentement. Avec stupeur, je vois ma mère, adossée contre le comptoir, se laisser tripoter outrageusement dans le bar. L'arabe a enfourné ses deux mains dans le soutien-gorge noir et tente de la dépoitrailler afin de pouvoir sucer ses tétons. Le moustachu a carrément enfourné ses doigts sous la mini-jupe et confirme le petit secret que m'a révélé ma mère.
- Elle ne porte pas de culotte! Et elle mouille, la salope!
A ces mots, elle semble sortir de sa torpeur et se dégage de l'étreinte du solide moustachu. Elle ôte délicatement les mains du jeune arabe puis semble leur parler. L'arabe file dehors en courant et maman me fait signe d'avancer. Elle me présente aux gars qui me dévisagent bizarrement et leur signale que je suis son fils. Nous réglons nos consommations et sortons tous les quatre de cet endroit enfumé. A l'entrée, Selim, le jeune arabe, nous attend au volant d'une petite camionnette blanche. Ma mère me fait un clin d'œil :
- Plus besoin de rentrer à pied!
Nous grimpons tous dans le véhicule de Selim et nous nous dirigeons vers notre petite maison. Tout au long du trajet, les gars, très excités, pelotent le corps de maman sans se soucier de ma présence. Joachim, le noir, s'active principalement sur ses seins tandis que le moustachu enfonce ses doigts dans la chatte humide de ma mère. Maman, tout en gémissant, se laisse faire et Joachim lui arrache son soutien-gorge et libère enfin les deux grosses loches de ma mère.
Le moustachu n'en revient pas. Pourtant, à l'observer s'affairer sur le con de ma mère, il a dû en voir des femmes. Il reste en extase devant cette poitrine énorme qui pend de façon provocante devant lui. Il réclame sa part de nichons tout en la traitant de « pute vache à lait ». Mais Joachim n'est pas prêt à laisser sa place et le moustachu se contente de se tourner vers moi en me félicitant d'avoir une mère comme cela. En arrivant à la maison, il est dur de faire sortir les trois protagonistes (dont ma mère) du camion car ils sont excités comme des fous.
Selim commence à s'énerver car il veut sa dose de sexe gratuit. J'ouvre la maison et tout le monde s'y engouffre sans demander son reste. Maman ôte ses sandales noires qu'elle met de côté avant que Joachim s'empare d'elle et la traîne de force, les seins à l'air, vers la chambre en la traitant de « putain » et de « salope en manque ».
Il est suivi de près par Selim et le moustachu. Ma mère ne dit rien et semble prendre plaisir à se faire insulter et dominer par ces inconnus d'un soir. Ils forcent maman à s'agenouiller et défont leurs braguettes.
- Une petite gâterie pour commencer espèce de poufiasse. Dit le moustachu.
Ma mère s'empare des queues turgescentes de toutes les couleurs et commence sa séance de fellation. Elle branle de ses mains expertes Joachim et Selim tout en pompant avidement le moustachu placé devant elle.
Je verse des remontants bien corsés et je reste à mater ma propre mère sucer ces trois vicieux dans la chambre conjugale. Je commence à avoir la trique et Selim le remarque.
- Qu'est-ce que tu attends là comme un con. Viens donc te faire sucer par cette pute bouffeuse de queue.
Outré, je me contente de répondre :
- C'est ma mère.
Le moustachu reprend :
- Justement, profites-en! Et en plus, c'est sans doute la plus belle salope que je n'ai jamais baisée.
Maman ne dit rien car elle est bien trop concentrée sur son activité. Ils continuent à m'inciter à me faire sucer par ma propre mère et devant le spectacle, je ne peux plus me retenir.
A suivre.....
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Ma mère se libère – 1ère partie.
Bonjour à tous, c'est encore moi, Julien, 20 ans et étudiant en fac de lettre. C'est avec une certaine excitation que j'ai décidé de vous raconter la suite des événements consécutifs à cette soirée un peu particulière que j'ai passé avec ma mère.
J'ai toujours eu la manie d'emporter mon ordinateur portable et ce, même en vacances. J'ai pu donc m'atteler à l'écriture de ce texte relatant les derniers exploits de ma mère Martine. Je viens de réussir mes examens de passage en seconde année. Ma copine, Laetitia, est partie pour le mois en Corée et je suis actuellement en vacances dans le sud de la France. En effet, mon père, Dominique qui est cadre supérieur, nous a proposé, à maman et à moi, de passer quelques jours dans une maison secondaire près de la mer. Son travail lui prend beaucoup de son temps mais il a promis de nous rejoindre la semaine suivante.
Ma mère et moi nous acharnons à redonner un semblant de civilisation à la petite maison de vacances. Cela fait pas mal de temps que nous n'y avons pas mis les pieds et le jardin est dans un état pitoyable. Mais rassurez-vous, nous savons profiter du soleil et de la plage.
D'autant plus que ma mère a vaincu sa timidité et n'hésite plus à porter des maillots de bains. Ma mère s'appelle Martine et est, à l'origine, une bourgeoise puritaine, fidèle à mon père et très axée sur les principes moraux. Mais suite à de multiples évènements, elle a changé.
Elle est devenue beaucoup plus cool et depuis notre nuit torride, elle se lâche davantage. Maman est une femme mature d'1m64, très bien conservée et qui va sur ses 47 ans (Elle paraît en avoir 35). Elle est brune, coiffée au carré et aux yeux noisette. Son visage n'a presque pas de rides et elle a une belle bouche aux lèvres charnues qu'elle aime colorer en rouge carmin. Elle a un très léger embonpoint au niveau des hanches et des cuisses car elle a eu deux enfants, moi Julien et ma sœur cadette Catherine (qui vit avec son copain). Cela ne l'empêche pas d'avoir un postérieur et des jambes superbes. J'ajouterai également qu'elle possède de très gros seins dont elle avait honte au départ.
A la plage, les hommes de tout âge (même ceux qui sont avec leur femme ou copine) la matent tous sans exception avec des yeux concupiscents. Elle en a conscience et elle aime se sentir désirée. Ses maillots mettent en exergue tous ses atouts de femme. Ses seins énormes ballottent et menacent à tout moment de jaillir de son haut de maillot bleu et sa démarche est sensuelle voire provocatrice. J'ai donc plaisir à parader au côté de cette femme sexy, semblant sortir tout droit d'un film X et qui plus est ma propre mère.
Elle m'invite à lui passer de la crème solaire sur son dos. Je prends mon pied à la toucher et les pensées les plus salaces m'assaillent. Il est dommage qu'elle n'aime pas se baigner et préfère bronzer sous les regards vicieux des mâles avoisinants. Ma relation avec ma mère est devenue déroutante car depuis la nuit dernière, j'ai tendance à la voir comme une amante plus qu'une mère. Son corps me fait terriblement envie, certes, mais j'ai encore le blocage du tabou de l'inceste (Souvenez-vous, j'étais bien saoul à ce moment-là et donc désinhibé). Chaque fois qu'elle m 'embrasse maintenant, j'ai une érection du tonnerre et je deviens tout rouge de honte. Maman rit de cela et elle semble bien moins affectée de notre partie de jambes en l'air que moi. Elle a changé et j'ai du mal à reconnaître la bourgeoise austère et prude, la femme fidèle de mon père, qui m'a donné naissance et élevé pour être quelqu'un de bien.
Elle est presque devenue une nouvelle femme. Nous revenons de la plage et prenons un petit cocktail bien corsé sur la table de la pelouse (Ces derniers temps, maman et moi picolons beaucoup). Il fait beau et ma mère et moi sommes en maillot de bain dans le jardin. Comme d'habitude, chauffés par l'alcool, nous nous mettons à parler de sexe. J'apprends de sa bouche que la nuit dernière a été une révélation pour elle et que désormais elle irait plus loin en ce qui concerne le cul. Elle ne m'en veut pas, loin s'en faut, d'avoir forcé les choses. Elle regrette amèrement ces années passées à se mentir à elle-même et à jouer à la sainte nitouche bourgeoise et fidèle. Je fais semblant d'être outré lorsqu'elle me parle du viol collectif dont elle fut victime. L'acte, certes violent, avait provoqué un petit déclic et réveillé ses pulsions et fantasmes les plus inavoués. Ma mère ose même me révéler qu'elle cherchait inconsciemment à se faire violer ce jour-là.
Choqué mais terriblement excité par de tels aveux, je sens une vague de chaleur bien perverse monter en moi. Il est hors de question de lui révéler mes actes de voyeurisme mais j'éprouve un intense désir de l'aider dans sa volonté de dépravation. Je me mets donc à la convaincre d'aller de l'avant et que je serais désormais, si elle le voulait bien, son complice et amant à l'occasion. Je serais son meilleur témoin en cas de problèmes ou d'éventuels bruits arrivant aux oreilles de mon père. Nous tenions tous les deux à garder la cohésion familiale, et même si ma mère s'engage à tromper papa, je sais qu'elle l'aime. Les yeux de maman s'illuminent en entendant ma proposition. Une joie immense éclaire son visage et le fait que moi, son propre fils, partage et désire participer à son désir de dépravation lui réjouit le cœur. Elle avance sa tête et m'embrasse tendrement sur la bouche tout en me faisant du pied.
Dans un premier temps, sa jambe nue me caresse les cuisses de façon très significative pendant que ses lèvres titillent les miennes. Je commence à bander très sérieusement d'autant plus que ses doigts de pied commencent à me masser le sexe. Elle sourit et m'embrasse de nouveau. Au contact de ses lèvres, je ne peux plus me retenir et je lui roule un langoureux patin. Elle me le rend telle une femelle en chaleur. Nos langues se mêlent et mes mains se plaquent contre ses deux gros seins laiteux que je pétris sans perdre une seconde. Ils sont chauds et en les soupesant, je sens facilement ses tétons qui durcissent à travers le maillot. L'odeur de crème solaire qui émane de son corps me stimule. Maman baisse mon caleçon blanc et s'empare de mon sexe qu'elle commence à branler de plus en plus vite avec sa main experte. Je sens que je vais éjaculer surtout qu'elle l'a enfourné dans sa bouche gourmande.
Ma main se pose sur sa tête et accompagne ses va-et-vient. Mes efforts pour me retenir sont gigantesques et sous l'impulsion, je plaque cette superbe femme en maillot de bain sur l'herbe fraîchement coupée. Comme la nuit dernière, je lui arrache très violemment son slip de bain bleu que je jette le plus loin possible et la pénètre de toutes mes forces. Elle écarte largement les cuisses et son sexe, dont les lèvres sont déjà bien humides, accueille mon mandrin ainsi que mes coups de boutoir particulièrement violents. Maman gémit de plaisir lorsqu'elle sent ma semence profane et chaude entrer en elle par grosses saccades. J'ai plaisir à me lâcher en elle de façon si brutale. Je réalise que mon attitude est plus bestiale avec ma mère qu'avec ma copine ou mes ex.
Avec mes copines, il y'avait le sentiment amoureux et le désir de faire de beaux préliminaires. Pour maman, c'est différent. J'ai vraiment envie de la baiser le plus sauvagement possible et je crois que c'est cela qu'elle attend de moi. Ainsi, je suis au-dessus d'elle, les mains posées sur ses gros nichons en train de la baiser comme une chienne en manque dans le jardin familial.
Je n'ai même pas fait attention au voisinage et par chance, il n'y' a personne qui nous voit. Les couilles vidées, je me retire d'elle la laissant sur le dos, la chatte à l'air, reprendre ses esprits. Je regrette un peu de m'être lâché aussi rapidement mais j'étais si excité.
Je rentre m'asseoir sur le petit canapé du salon pendant qu'elle se relève et récupère les restes de son slip de bain anéanti. Elle semble un peu frustrée que cela ne dure pas plus longtemps et, toujours la chatte à l'air, se verse un verre. Je sens qu'elle n'est pas satisfaite. Je lui propose d'aller faire un tour en ville, le temps que je reprenne des forces. Elle ne me répond pas et file prendre une douche.
Le soir, nous prenons un petit repas dans le jardin où nous avons baisé il y'a quelques heures. Elle est en tee-shirt moulant et en short. Maman est un peu ailleurs et je suis persuadé qu'elle n'a pas été satisfaite, qu'elle n'a pas eu sa dose de sexe. Inutile de tourner autour du pot, un seul gars ne peut plus la satisfaire désormais et elle sent dans son bas ventre une étrange sensation, comme un effet de manque. Elle sent que ses seins et notamment au niveau de ses tétons, ont besoin d'être touchés ou pincés. Elle finit par se lever et me dit :
- Julien, si nous allions en ville. Je ne suis pas venue en vacances pour rester cloîtrée dans la maison.
Je lui donne raison et elle file se changer dans sa chambre. Je suis loin de me douter de ce qui va se passer. Ma mère, comme à son habitude, prend son temps et au bout d'une bonne demi-heure, la voilà qui avance vers moi tout en arborant un immense sourire.
En la voyant, les bras m'en tombent. J'ai l'impression d'avoir en face de moi, la dernière des salopes. Elle s'est maquillée de façon outrancière avec son fidèle rouge à lèvres carmin. De plus, elle dégage une forte odeur de parfum féminin qui ne peut laisser indifférent la gente masculine. Coté vêtements, elle n'a jamais fait aussi fort. Sa mini-jupe en cuir noir lui couvre tout juste les fesses et elle est très moulante car elle épouse les formes de son cul. Ses jambes sont à l'air et elle porte de belles sandales noires à talon aiguille lui donnant quelques centimètres de plus. En ce qui concerne sa poitrine, c'est à la limite de l'indécence. Elle a choisi de mettre pour seul haut, un soutien-gorge balconnet noir en lycra. Ses seins déjà énormes, sont compressés et ressortent par le haut comme deux ballons comprimés fortement.
- Comment me trouves tu mon chéri? Me demande-t-elle de façon ironique.
Je bégaye un peu mais finis par me ressaisir :
- Euh... Ne crois-tu pas que cela est un peu exagéré. Pourquoi ne pas remettre tes vêtements d'hier. Ils étaient superbes et moins provocants.
Elle sourit.
- Ecoute Julien, prenons un dernier verre et sortons. Je te dirais quelque chose en cours de route.
Ma mère semble déterminée à sortir vêtue de la sorte et il est inévitable que la fin de soirée risque d'être chaude. Nous avalons un dernier verre et direction la ville. Cela prit beaucoup de temps car maman avait du mal à marcher à cause de sa mini-jupe en cuir beaucoup trop courte. Ses talons à aiguilles attirent immédiatement l'attention des hommes aux alentours et lorsque ceux-ci matent l'étalage des atouts de ma mère (et en particulier le ballottement provoquant de ses énormes seins), ils n'hésitent pas à lâcher quelques quolibets bien salaces à son encontre. Plusieurs fois, elle s'est faite aborder malgré ma présence, et plusieurs fois, j'ai eu peur qu'elle se fasse violer en pleine rue et aux yeux de tous.
Ma mère est restée délicieusement impavide devant cette menace. Nous nous arrêtons finalement en face d'un bar de nuit assez crasseux et décidons de boire quelques verres. Bien sûr, maman fait son petit effet en entrant dans le rade. Les clients cessent de parler subitement et fixent son corps de façon insistante tout en buvant leur verre d'alcool. Il est encore tôt et nous trouvons de la place sur une petite table. Le temps passe et l'endroit commence à grouiller de monde.
- Au fait, que voulais-tu me dire tout à l'heure?
Elle me regarde et avance la tête pour me susurrer un petit quelque chose à l'oreille. Ce qu'elle me révèle me choque et cela a pour effet de la faire sourire. Me voilà pris d'une envie pressante d'aller aux toilettes. Je m'excuse auprès de ma mère et elle m'annonce qu'elle va en profiter pour commander au comptoir. A mon retour des WC, ma mère n'a toujours pas fini de commander.
Et pour cause, en regardant près du comptoir, je la vois en train de discuter et de trinquer avec trois gars qui la serrent de près. Il y a deux jeunes et un gars moustachu qui paraît avoir la quarantaine. Parmi les jeunes d'environ le même âge que moi, il y a un arabe et un noir. Je m'assoie tout en regardant ma mère se faire draguer. A leurs regards, il est évident que ce ne sont pas les sujets de conversations de maman qui les intéressent.
La musique est à fond et il faut parler plus fort. Il commence à faire soif. Les gars se sont rapprochés de plus près acculant maman contre le comptoir. Le moustachu bien chaud commence à lui caresser les genoux tout en remontant vers ses cuisses nues. Voyant cela, le jeune arabe commence à soupeser les gros nichons de ma mère puis à les malaxer lentement. Avec stupeur, je vois ma mère, adossée contre le comptoir, se laisser tripoter outrageusement dans le bar. L'arabe a enfourné ses deux mains dans le soutien-gorge noir et tente de la dépoitrailler afin de pouvoir sucer ses tétons. Le moustachu a carrément enfourné ses doigts sous la mini-jupe et confirme le petit secret que m'a révélé ma mère.
- Elle ne porte pas de culotte! Et elle mouille, la salope!
A ces mots, elle semble sortir de sa torpeur et se dégage de l'étreinte du solide moustachu. Elle ôte délicatement les mains du jeune arabe puis semble leur parler. L'arabe file dehors en courant et maman me fait signe d'avancer. Elle me présente aux gars qui me dévisagent bizarrement et leur signale que je suis son fils. Nous réglons nos consommations et sortons tous les quatre de cet endroit enfumé. A l'entrée, Selim, le jeune arabe, nous attend au volant d'une petite camionnette blanche. Ma mère me fait un clin d'œil :
- Plus besoin de rentrer à pied!
Nous grimpons tous dans le véhicule de Selim et nous nous dirigeons vers notre petite maison. Tout au long du trajet, les gars, très excités, pelotent le corps de maman sans se soucier de ma présence. Joachim, le noir, s'active principalement sur ses seins tandis que le moustachu enfonce ses doigts dans la chatte humide de ma mère. Maman, tout en gémissant, se laisse faire et Joachim lui arrache son soutien-gorge et libère enfin les deux grosses loches de ma mère.
Le moustachu n'en revient pas. Pourtant, à l'observer s'affairer sur le con de ma mère, il a dû en voir des femmes. Il reste en extase devant cette poitrine énorme qui pend de façon provocante devant lui. Il réclame sa part de nichons tout en la traitant de « pute vache à lait ». Mais Joachim n'est pas prêt à laisser sa place et le moustachu se contente de se tourner vers moi en me félicitant d'avoir une mère comme cela. En arrivant à la maison, il est dur de faire sortir les trois protagonistes (dont ma mère) du camion car ils sont excités comme des fous.
Selim commence à s'énerver car il veut sa dose de sexe gratuit. J'ouvre la maison et tout le monde s'y engouffre sans demander son reste. Maman ôte ses sandales noires qu'elle met de côté avant que Joachim s'empare d'elle et la traîne de force, les seins à l'air, vers la chambre en la traitant de « putain » et de « salope en manque ».
Il est suivi de près par Selim et le moustachu. Ma mère ne dit rien et semble prendre plaisir à se faire insulter et dominer par ces inconnus d'un soir. Ils forcent maman à s'agenouiller et défont leurs braguettes.
- Une petite gâterie pour commencer espèce de poufiasse. Dit le moustachu.
Ma mère s'empare des queues turgescentes de toutes les couleurs et commence sa séance de fellation. Elle branle de ses mains expertes Joachim et Selim tout en pompant avidement le moustachu placé devant elle.
Je verse des remontants bien corsés et je reste à mater ma propre mère sucer ces trois vicieux dans la chambre conjugale. Je commence à avoir la trique et Selim le remarque.
- Qu'est-ce que tu attends là comme un con. Viens donc te faire sucer par cette pute bouffeuse de queue.
Outré, je me contente de répondre :
- C'est ma mère.
Le moustachu reprend :
- Justement, profites-en! Et en plus, c'est sans doute la plus belle salope que je n'ai jamais baisée.
Maman ne dit rien car elle est bien trop concentrée sur son activité. Ils continuent à m'inciter à me faire sucer par ma propre mère et devant le spectacle, je ne peux plus me retenir.
A suivre.....
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