Abusée - récit érotique domination soumission professeur chantage
Traduction d'une histoire de Jessiebnh.
*************
Réunion à l'école.
Le lendemain, j'étais sur le chemin de l'école en pensant comment ma vie avait changé depuis que Glen avait pris des photos compromettantes à notre barbecue de fin d'année. Mon contrat avec le jeune garçon se terminait dans une semaine. Ensuite il détruirait toutes les photos qui auraient pu me faire perdre mon emploi et ma réputation.
Je repensai aux tâches que m'avaient imposées Glen. J'avais dû sucer plusieurs de ses amis, certains étant même d'anciens élèves que j'avais eus. J'avais été partouzée à la maison de sa fraternité et baisée par mon mari qui ne m'avait pas reconnu. J'avais dû sucer Glen dans les toilettes hommes d'un bar ainsi qu'un inconnu qui était entré pour se soulager.
Mon esprit tournait à cent à l'heure. J'étais contente que mon épreuve soit presque terminée, mais étrangement, j'étais triste à cette idée. Dans sept jours, je n'aurai plus « l'excuse » de faire tout cela pour obtenir la destruction de photos. Je n'aurai plus aucune raison d'être la salope de Glen, d'être à son service ou à celui d'autres hommes auxquels il me donnait. Ce conflit me tourmentait.
Je commençai à souhaiter que Glen me téléphone pour me donner une mission sexuelle. Je ne l'avais pas vu depuis une semaine. Puis je me souvins que je devais assister à un dîner à l'école organisé par le vice-directeur pour les nouveaux enseignants et que ma présence était obligatoire.
Alors que je pensais à tout cela, mon téléphone sonna :
- Bonjour, Jessie à l'appareil.
Une voix brusque d'homme répondit :
- Hey!
Mon cœur bondit dans ma gorge. C'était Glen. D'un ton glacial qui déguisa la sensation de picotement qui débuta entre mes jambes, je dis :
- Ça fait déjà un certain temps que je ne vous avais pas entendu. Depuis quand êtes-vous sorti de votre trou?
- Ce ne sont pas des manières jolis nichons. Ma grosse bite te manque? Roucoula Glen d'une voix vicieuse.
- Tu me dégoûtes! Crachai-je dans le téléphone alors que la vision de son magnifique pénis se présenta devant mes yeux.
- Que fais-tu ce soir jolis nichons?
- Je suis occupée. Je dois rester à l'école jusqu'à 22 heures.
- C'est intéressant. Qui vas-tu baiser? Ou alors tu ne le sais pas encore? Peut-être vas-tu distribuer des tickets, te pencher sur ton bureau et inviter toute l'école à te passer dessus comme la bonne putain que tu es.
Ma chatte s'humidifia au fur et à mesure de ses mots. Je détestais Glen et son arrogance, mais il n'y avait aucun doute que son imagination dégoûtante avait l'effet recherché.
D'un ton sarcastique, je lui répondis :
- Écoute! J'aimerai discuter avec toi Glen, mais pour le moment je roule vers l'école. Que veux-tu?
Il y eut une longue pause. Mon estomac se noua. Que voulait-il? Qu'est-ce que son esprit obscène avait-il préparé pour moi? A la fois je redoutai et je désirai ardemment sa réponse.
- Jolis petits nichons, notre contrat se termine dans une semaine et je suis un gentleman ...
- Ha! reniflai-je dans mon téléphone alors que mon cœur battait rapidement dans ma poitrine.
- Je pense que je pourrai te prendre après ta réunion et nous pourrions faire la fête. Tu aimes faire la fête n'est-ce pas jolis nichons?
- Je t'ai dit que j'étais occupée jusqu'à 22 heures.
- Super! Je passerai te chercher à l'école à 22 heures alors.
- Mais... Balbutiai-je en entendant le clic du téléphone de Glen qui avait raccroché.
- Bâtard! Espèce de salaud! Criai-je à haute voix dans ma voiture.
Il fallait que je limite les dégâts. En pensée, je vis le vice-directeur ainsi que mes collègues de l'école constater que Glen venait me chercher. Il fallait que je trouve une excuse pour mon mari Mike qui savait que la réunion se terminerait à 22 heures. Cela faisait beaucoup de choses à arranger avant la fin de la journée si je voulais que cette période de 30 jours se terminent sans répercussions.
Je me garai sur ma place de stationnement attitrée et je coupai le moteur.
- Merde, merde et merde! Hurlai-je en frappant le volant.
Je pris trois grandes respirations et je laissai le calme revenir en moi. Puis mentalement, je fis la liste des choses à faire : « D'abord, je vais appeler Mike à l'heure du déjeuner pour lui dire que le vice-directeur veut me rencontrer après le dîner. Ensuite j'appellerai Glen à 16 heures, juste après ma dernière classe pour lui dire que je le rencontrerai au bar en dehors de la ville et non ici à l'école. Oui, je peux le faire! »
Je me dis que j'avais tenu trois semaines jusqu'à maintenant. Alors je pouvais bien tenir sept jours de plus.
******
La journée passa très vite. Et ce fut très bien car on était vendredi. Quand la cloche signala la fin de la dernière heure de cours, je me déplaçai jusqu'à la salle des professeurs pour rencontrer les nouveaux enseignants et la vice-principale. Il était 16h45 et le dîner devait commencer par un cocktail à 17h30 et quelques présentations. Tour à tour, nous, les femmes, sommes allées dans les toilettes pour vérifier notre maquillage et papoter un peu. Certains des nouveaux enseignants avaient apporté des vêtements pour se changer. Ils croyaient peut-être être invités à une grande réception!
Le dîner avait lieu dans la salle du conseil qui était dans la partie administrative du bâtiment scolaire. Nous aidâmes à mettre en place les boissons et la nourriture sur la table d'appoint de la salle puis nous prîmes place autour de la table de conférence. Peu de temps après, Marianne SMOLEN, la directrice adjointe, démarra la réunion et appela Stéphanie, la responsable d'orientation qui fit une brève présentation.
Je laissai mon esprit vagabonder et bientôt je me retrouvai à rêvasser plutôt que d'écouter.
Les discussions traînèrent en longueur. Mais je fus intriguée par la tenue de Marianne. Elle était très classe pour une sous-directrice. Elle était vêtue d'un costume en laine à la mode. Mais ses longues jambes galbées et sexy étaient bien visibles sous la jupe qui tombait à mi-cuisses. Je la regardai caracoler dans la salle sur ses chaussures à hauts talons.
Tandis que j'admirai sa silhouette féminine, je m'aperçus qu'elle ne portait pas de soutien-gorge sous son caraco. Pendant toute la journée, les boutons de sa veste de costume avaient été fermés mais maintenant sa veste était ouverte. Il était évident que ses seins bien murs étaient libres sous le caraco.
Pendant que je regardai Mme SMOLEN, je commençai à souhaiter d'être moins petite et trapue. Cette femme avait près de quarante ans et c'était une bombe. Je pensai qu'elle était peut-être intimidée ou jalouse des jeunes femme célibataires présentes et qu'elle s'était habillée pour leur montrer qu'elle pouvait toujours faire illusion.
Je regardai tout autour de la salle et j'étudiai les deux seules personnes qui n'étaient de jeunes enseignants. Arty SIMON était nouveau dans notre école, mais il n'était pas jeune. Il était maigre comme un épouvantail et complètement dégarni. Je ne pus le regarder en face sans être obligée de fixer les poils qui sortaient de ses narines. Beurk!
Ensuite il y avait Steve PRUIT, le plus récent professeur d'éducation physique et sportive. Voilà, ça c'était un bel exemplaire masculin. Superbement beau, sa mâchoire carrée se terminait par une petite fossette sur le menton. Steve était maigre, musclé et très grand, plus d'1m85. Sans aucun doute, il faisait battre plus rapidement le cœur de chaque femme dans l'école. C'était décourageant de voir toutes les jeunes enseignantes tourner autour de lui avant la réunion, papillonnant pour attirer son attention.
Mon regard revint sur Mme SMOLEN et je commençai à penser que la veste ouverte était peut-être un stratagème pour capturer notre professeur d'EPS. Je me retournai vers Steve pour voir sa réaction. Effectivement, ses yeux suivaient les seins qui se balançaient lentement sous le caraco. Il fixait les mamelons qui étaient visibles à chaque fois que la veste s'ouvrait.
Je me mis à penser au jour où la vice-directrice SMOLEN avait été embauchée. Il y avait eu beaucoup de rumeurs qui disaient qu'elle avait laissé son emploi dans un grand établissement à cause d'indiscrétions. Selon une version, certains élèves l'avaient espionné sur le parking, tard dans la nuit, alors qu'elle se livrait à une activité sexuelle illicite qui se termina quand elle urina en public.
Les histoires sur elle n'étaient pas précises et à peine croyables mais ça lui donna un air de mystère derrière son corps sexy. En tout cas une chose était claire, elle avait abandonné un travail beaucoup plus lucratif et ambitieux pour un poste très peu rémunéré. Toutefois, malgré toutes ces rumeurs, son comportement au cours des deux dernières années fut exemplaire et il n'y eu aucun autre ragot alors qu'elle travaillait avec nous. Je me dis que c'était honteux la façon dont les femmes célibataires qui n'ont pas peut de montrer leur féminité devienne des proies pour les moulins à potins.
Je sortis de mes pensées quand des applaudissements polis s'élevèrent autour de la table. La réunion semblait terminée. Et le repas du traiteur était installé par le personnel de notre cafétéria. Je m'amusai de voir ces vieilles femmes choyer M. PRUIT comme s'il était célèbre.
Le dîner se déroula sans incident, et, après quelques discussions, la vice-principale SMOLEN remercia les nouveaux enseignants réunis et leur souhaita une bonne année scolaire. La réunion prit fin. Mon cœur se mit à battre plus rapidement en pensant à Glen qui devait m'attendre au bar et à Mike, à la maison, qui devait se demander si je serai encore longue.
Je jetai un regard à l'horloge sur le mur et je réalisai que Mme SMOLEN avait réussi à terminer la réunion et le dîner qui suivait un peu plus tôt. Il était seulement 21h15. J'avais appelé Mike à l'heure du déjeuner pour lui dire que la soirée se terminerait sûrement après 22h00. Je lui avais dit aussi que je devais ensuite rencontrer la sous-directrice et qu'il ne devait pas m'attendre pour se coucher. Je savais aussi qu'il était sûrement assis dans le canapé à regarder du sport à la télé et qu'il serait sans doute endormi quand je rentrerai. Je me rappelai qu'il ne restait que sept jours de galère et je repris courage.
- Mme BONHAM et M. PRUIT?
Je tournai la tête et je vis Mme SMOLEN penchée sur une pile de papier avec ses lunettes tandis que les autres enseignants quittaient la salle et l'école. « Merde! que veut-elle? » pensai-je.
- Je voudrais vous dire quelques mots avant que vous ne partiez. Pouvez-vous rester quelques instants pendant que les autres partent?
Au ton de sa voix, je devinai que ce n'était pas une simple invitation. C'était un ordre et je sus tout de suite que quelque chose se tramait. Mes pensées se bousculèrent dans ma tête. Avait-elle eu connaissance de choses que j'avais faites avec Glen? Est-ce que l'homme dans les toilettes du bar de Rick m'avait reconnu?
Mon cœur s'affola dans ma poitrine et mon visage devint chaud. Le sommet de mes oreilles était en feu et il n'y avait aucun doute que mon visage était rouge pivoine. Steve PRUIT me fit un signe de tête accompagné d'un sourire. J'étais mal à l'aise.
- Il fait chaud ici non? Dis-je à Steve.
Un grand sourire se propagea dans sa mâchoire robuste. Il ne répondit rien. Ses yeux brillaient. Mon Dieu, qu'il était beau! Je pris conscience de ma tenue. Pourquoi n'avais-je pas apporté des vêtements de rechange comme quelques-uns des nouveaux enseignants l'avaient fait? Je portais un vieux gilet sur un chemisier blanc que j'avais dû prendre des centaines de fois. Il fallait vraiment que je rafraîchisse ma garde-robe.
Puis j'entendis cette voix que je pouvais reconnaître entre mille.
- Salut bébé!
Je tournai ma tête comme si j'avais été giflée. C'était Glen. Il entra dans la salle, enjoué et détendu. Il se pavana comme si tout le monde savait qu'il avait une grosse queue dans son jean serré.
Je fus mortifiée! Il était venu à l'école, devant ma directrice, ma patronne. J'étais foutue.
Glen passa devant moi sans me regarder, comme si je n'existais pas. Je ne compris pas pourquoi il ne me parla pas. Je suivis son regard et je vis Mme SMOLEN avec un grand sourire sur le visage.
- Glen, mon chéri, tu es ici. C'est un timing parfait!
En m'ignorant complètement, Glen rejoignit la vice-principale et la prit dans ses bras. Il commença à l'embrasser langoureusement. Je m'évanouis presque en voyant leur langue s'entortiller dans leur bouche. Tout en sentant un peu de jalousie enfler en moi, je regardai la main du jeune garçon qui monta le long de la veste de Mme SMOLEN et commença à caresser la grosse poitrine. Pendant que le couple continuait de s'embrasser, Glen tira sur le mamelon droit qui avait durci sous la soie du caraco.
Je dois dire que ce fut une expérience qui me laissa complètement abasourdie. Je ne sentais plus aucune partie de mon corps. J'avais comme un bourdonnement dans les oreilles tandis que je regardai cet étudiant, mon maître-chanteur, tripoter les nichons de la sous-directrice qui avait la quarantaine. Le sang me monta à la tête et ma vue se brouilla quand je pensai, qu'il y a seulement quelques minutes, cette salle était remplie de collègues enseignants. Et là, tout de suite, l'homme qui possédait mon corps, l'homme qui m'avait transformée en salope avide de sperme, embrassait ma patronne et la faisait gémir comme une chienne. Je crus m'évanouir. Ça n'avait pas de sens. Mes genoux commencèrent à fléchir et je tremblai en regardant le couple.
A ce moment-là, je sentis deux bras forts envelopper ma taille par-derrière. Quelque chose de dur fut pressé entre mes fesses. C'était M. PRUIT, le nouveau professeur d'EPS. Je sentis son eau de toilette masculine quand il approcha sa tête de mon cou. Je me sentis fondre devant lui dans un état d'abandon total quand il commença à mordiller mon lobe d'oreille.
Je suis certaine que tout cela se passa en moins de cinq secondes, mais j'eus l'impression que cela dura des heures. Tout se passait au ralenti à l'époque.
Enfin, Glen et Marianne se séparèrent et me dévisagèrent avec une lueur d'amusement dans le regard. J'eus alors conscience de ma situation. J'étais debout devant ma patronne, la vice-directrice de l'école tandis que le nouveau professeur d'EPS poussait son pénis très dur contre mon cul. Ma figure était rouge betterave et mes oreilles devaient sûrement fumer tellement elles étaient chaudes.
- Alors Glen, est-ce que tu pourras mettre ta petite salope mariée à ma disposition? Demanda Mme SMOLEN avec une voix rauque de désir.
- Oh bébé, cette petite salope fera tout ce que je lui demande. Répondit Glen en continuant de jouer avec le mamelon de la sous-directrice.
Un rire profond sortit de la gorge de Marianne alors qu'elle sauta sur le bord de la table de conférence juste devant moi. Je vis sa jupe en laine remonter au-dessus du haut de ses bas et je m'aperçus qu'elle avait un porte-jarretelles. Elle remonta ses chaussures à talons hauts sur le dessus de la table et elle écarta ses jambes vulgairement.
Je sentis les mains de M. PRUIT remonter vers mes seins alors que je regardai fixement l'entrejambe de la vice-principale. Elle ouvrit lentement ses jambes, révélant à mes yeux rivés sur elle, une chatte rasée au teint de pêche.
Marianne me sourit en voyant que je ne pouvais me détourner de sa chatte gonflée. Ses deux mains étaient maintenant entre ses jambes et sa jupe était retroussée autour de sa taille. Elle commença à tirer sur les petites lèvres de sa chatte, révélant ainsi l'humidité scintillante à l'intérieur.
Tout en faisant cela, elle jeta sa tête sensuellement en arrière puis secoua sa crinière pour détacher ses cheveux châtains. Glen se pencha sur elle et se remit à l'embrasser tandis qu'elle caressait sans vergogne sa chatte engorgée devant mes yeux.
Quand ils finirent leur baiser, Mme SMOLEN me regarda avec ses yeux pétillants et elle dit d'une voix vicieuse :
- Fais-lui lécher ma chatte Glen!
Et elle ajouta d'un ton sérieux :
- Je veux que tu la mettes à ma disposition. Je veux que tu me laisses l'utiliser comme la petite salope qu'elle est.
Glen me regarda alors que Steve commençait à me déshabiller lentement.
- Allez petite salope, prends soin de sa chatte! Fais-la jouir pour moi!
Je sentis que les mains du professeur d'EPS me poussaient doucement mais fermement vers la chatte luisante de Mme SMOLEN. Trop choquée et complètement humiliée, j'obéis lentement à leurs ordres comme un agneau que l'on mène à l'abattoir.
A suivre...
Réunion à l'école.
Le lendemain, j'étais sur le chemin de l'école en pensant comment ma vie avait changé depuis que Glen avait pris des photos compromettantes à notre barbecue de fin d'année. Mon contrat avec le jeune garçon se terminait dans une semaine. Ensuite il détruirait toutes les photos qui auraient pu me faire perdre mon emploi et ma réputation.
Je repensai aux tâches que m'avaient imposées Glen. J'avais dû sucer plusieurs de ses amis, certains étant même d'anciens élèves que j'avais eus. J'avais été partouzée à la maison de sa fraternité et baisée par mon mari qui ne m'avait pas reconnu. J'avais dû sucer Glen dans les toilettes hommes d'un bar ainsi qu'un inconnu qui était entré pour se soulager.
Mon esprit tournait à cent à l'heure. J'étais contente que mon épreuve soit presque terminée, mais étrangement, j'étais triste à cette idée. Dans sept jours, je n'aurai plus « l'excuse » de faire tout cela pour obtenir la destruction de photos. Je n'aurai plus aucune raison d'être la salope de Glen, d'être à son service ou à celui d'autres hommes auxquels il me donnait. Ce conflit me tourmentait.
Je commençai à souhaiter que Glen me téléphone pour me donner une mission sexuelle. Je ne l'avais pas vu depuis une semaine. Puis je me souvins que je devais assister à un dîner à l'école organisé par le vice-directeur pour les nouveaux enseignants et que ma présence était obligatoire.
Alors que je pensais à tout cela, mon téléphone sonna :
- Bonjour, Jessie à l'appareil.
Une voix brusque d'homme répondit :
- Hey!
Mon cœur bondit dans ma gorge. C'était Glen. D'un ton glacial qui déguisa la sensation de picotement qui débuta entre mes jambes, je dis :
- Ça fait déjà un certain temps que je ne vous avais pas entendu. Depuis quand êtes-vous sorti de votre trou?
- Ce ne sont pas des manières jolis nichons. Ma grosse bite te manque? Roucoula Glen d'une voix vicieuse.
- Tu me dégoûtes! Crachai-je dans le téléphone alors que la vision de son magnifique pénis se présenta devant mes yeux.
- Que fais-tu ce soir jolis nichons?
- Je suis occupée. Je dois rester à l'école jusqu'à 22 heures.
- C'est intéressant. Qui vas-tu baiser? Ou alors tu ne le sais pas encore? Peut-être vas-tu distribuer des tickets, te pencher sur ton bureau et inviter toute l'école à te passer dessus comme la bonne putain que tu es.
Ma chatte s'humidifia au fur et à mesure de ses mots. Je détestais Glen et son arrogance, mais il n'y avait aucun doute que son imagination dégoûtante avait l'effet recherché.
D'un ton sarcastique, je lui répondis :
- Écoute! J'aimerai discuter avec toi Glen, mais pour le moment je roule vers l'école. Que veux-tu?
Il y eut une longue pause. Mon estomac se noua. Que voulait-il? Qu'est-ce que son esprit obscène avait-il préparé pour moi? A la fois je redoutai et je désirai ardemment sa réponse.
- Jolis petits nichons, notre contrat se termine dans une semaine et je suis un gentleman ...
- Ha! reniflai-je dans mon téléphone alors que mon cœur battait rapidement dans ma poitrine.
- Je pense que je pourrai te prendre après ta réunion et nous pourrions faire la fête. Tu aimes faire la fête n'est-ce pas jolis nichons?
- Je t'ai dit que j'étais occupée jusqu'à 22 heures.
- Super! Je passerai te chercher à l'école à 22 heures alors.
- Mais... Balbutiai-je en entendant le clic du téléphone de Glen qui avait raccroché.
- Bâtard! Espèce de salaud! Criai-je à haute voix dans ma voiture.
Il fallait que je limite les dégâts. En pensée, je vis le vice-directeur ainsi que mes collègues de l'école constater que Glen venait me chercher. Il fallait que je trouve une excuse pour mon mari Mike qui savait que la réunion se terminerait à 22 heures. Cela faisait beaucoup de choses à arranger avant la fin de la journée si je voulais que cette période de 30 jours se terminent sans répercussions.
Je me garai sur ma place de stationnement attitrée et je coupai le moteur.
- Merde, merde et merde! Hurlai-je en frappant le volant.
Je pris trois grandes respirations et je laissai le calme revenir en moi. Puis mentalement, je fis la liste des choses à faire : « D'abord, je vais appeler Mike à l'heure du déjeuner pour lui dire que le vice-directeur veut me rencontrer après le dîner. Ensuite j'appellerai Glen à 16 heures, juste après ma dernière classe pour lui dire que je le rencontrerai au bar en dehors de la ville et non ici à l'école. Oui, je peux le faire! »
Je me dis que j'avais tenu trois semaines jusqu'à maintenant. Alors je pouvais bien tenir sept jours de plus.
******
La journée passa très vite. Et ce fut très bien car on était vendredi. Quand la cloche signala la fin de la dernière heure de cours, je me déplaçai jusqu'à la salle des professeurs pour rencontrer les nouveaux enseignants et la vice-principale. Il était 16h45 et le dîner devait commencer par un cocktail à 17h30 et quelques présentations. Tour à tour, nous, les femmes, sommes allées dans les toilettes pour vérifier notre maquillage et papoter un peu. Certains des nouveaux enseignants avaient apporté des vêtements pour se changer. Ils croyaient peut-être être invités à une grande réception!
Le dîner avait lieu dans la salle du conseil qui était dans la partie administrative du bâtiment scolaire. Nous aidâmes à mettre en place les boissons et la nourriture sur la table d'appoint de la salle puis nous prîmes place autour de la table de conférence. Peu de temps après, Marianne SMOLEN, la directrice adjointe, démarra la réunion et appela Stéphanie, la responsable d'orientation qui fit une brève présentation.
Je laissai mon esprit vagabonder et bientôt je me retrouvai à rêvasser plutôt que d'écouter.
Les discussions traînèrent en longueur. Mais je fus intriguée par la tenue de Marianne. Elle était très classe pour une sous-directrice. Elle était vêtue d'un costume en laine à la mode. Mais ses longues jambes galbées et sexy étaient bien visibles sous la jupe qui tombait à mi-cuisses. Je la regardai caracoler dans la salle sur ses chaussures à hauts talons.
Tandis que j'admirai sa silhouette féminine, je m'aperçus qu'elle ne portait pas de soutien-gorge sous son caraco. Pendant toute la journée, les boutons de sa veste de costume avaient été fermés mais maintenant sa veste était ouverte. Il était évident que ses seins bien murs étaient libres sous le caraco.
Pendant que je regardai Mme SMOLEN, je commençai à souhaiter d'être moins petite et trapue. Cette femme avait près de quarante ans et c'était une bombe. Je pensai qu'elle était peut-être intimidée ou jalouse des jeunes femme célibataires présentes et qu'elle s'était habillée pour leur montrer qu'elle pouvait toujours faire illusion.
Je regardai tout autour de la salle et j'étudiai les deux seules personnes qui n'étaient de jeunes enseignants. Arty SIMON était nouveau dans notre école, mais il n'était pas jeune. Il était maigre comme un épouvantail et complètement dégarni. Je ne pus le regarder en face sans être obligée de fixer les poils qui sortaient de ses narines. Beurk!
Ensuite il y avait Steve PRUIT, le plus récent professeur d'éducation physique et sportive. Voilà, ça c'était un bel exemplaire masculin. Superbement beau, sa mâchoire carrée se terminait par une petite fossette sur le menton. Steve était maigre, musclé et très grand, plus d'1m85. Sans aucun doute, il faisait battre plus rapidement le cœur de chaque femme dans l'école. C'était décourageant de voir toutes les jeunes enseignantes tourner autour de lui avant la réunion, papillonnant pour attirer son attention.
Mon regard revint sur Mme SMOLEN et je commençai à penser que la veste ouverte était peut-être un stratagème pour capturer notre professeur d'EPS. Je me retournai vers Steve pour voir sa réaction. Effectivement, ses yeux suivaient les seins qui se balançaient lentement sous le caraco. Il fixait les mamelons qui étaient visibles à chaque fois que la veste s'ouvrait.
Je me mis à penser au jour où la vice-directrice SMOLEN avait été embauchée. Il y avait eu beaucoup de rumeurs qui disaient qu'elle avait laissé son emploi dans un grand établissement à cause d'indiscrétions. Selon une version, certains élèves l'avaient espionné sur le parking, tard dans la nuit, alors qu'elle se livrait à une activité sexuelle illicite qui se termina quand elle urina en public.
Les histoires sur elle n'étaient pas précises et à peine croyables mais ça lui donna un air de mystère derrière son corps sexy. En tout cas une chose était claire, elle avait abandonné un travail beaucoup plus lucratif et ambitieux pour un poste très peu rémunéré. Toutefois, malgré toutes ces rumeurs, son comportement au cours des deux dernières années fut exemplaire et il n'y eu aucun autre ragot alors qu'elle travaillait avec nous. Je me dis que c'était honteux la façon dont les femmes célibataires qui n'ont pas peut de montrer leur féminité devienne des proies pour les moulins à potins.
Je sortis de mes pensées quand des applaudissements polis s'élevèrent autour de la table. La réunion semblait terminée. Et le repas du traiteur était installé par le personnel de notre cafétéria. Je m'amusai de voir ces vieilles femmes choyer M. PRUIT comme s'il était célèbre.
Le dîner se déroula sans incident, et, après quelques discussions, la vice-principale SMOLEN remercia les nouveaux enseignants réunis et leur souhaita une bonne année scolaire. La réunion prit fin. Mon cœur se mit à battre plus rapidement en pensant à Glen qui devait m'attendre au bar et à Mike, à la maison, qui devait se demander si je serai encore longue.
Je jetai un regard à l'horloge sur le mur et je réalisai que Mme SMOLEN avait réussi à terminer la réunion et le dîner qui suivait un peu plus tôt. Il était seulement 21h15. J'avais appelé Mike à l'heure du déjeuner pour lui dire que la soirée se terminerait sûrement après 22h00. Je lui avais dit aussi que je devais ensuite rencontrer la sous-directrice et qu'il ne devait pas m'attendre pour se coucher. Je savais aussi qu'il était sûrement assis dans le canapé à regarder du sport à la télé et qu'il serait sans doute endormi quand je rentrerai. Je me rappelai qu'il ne restait que sept jours de galère et je repris courage.
- Mme BONHAM et M. PRUIT?
Je tournai la tête et je vis Mme SMOLEN penchée sur une pile de papier avec ses lunettes tandis que les autres enseignants quittaient la salle et l'école. « Merde! que veut-elle? » pensai-je.
- Je voudrais vous dire quelques mots avant que vous ne partiez. Pouvez-vous rester quelques instants pendant que les autres partent?
Au ton de sa voix, je devinai que ce n'était pas une simple invitation. C'était un ordre et je sus tout de suite que quelque chose se tramait. Mes pensées se bousculèrent dans ma tête. Avait-elle eu connaissance de choses que j'avais faites avec Glen? Est-ce que l'homme dans les toilettes du bar de Rick m'avait reconnu?
Mon cœur s'affola dans ma poitrine et mon visage devint chaud. Le sommet de mes oreilles était en feu et il n'y avait aucun doute que mon visage était rouge pivoine. Steve PRUIT me fit un signe de tête accompagné d'un sourire. J'étais mal à l'aise.
- Il fait chaud ici non? Dis-je à Steve.
Un grand sourire se propagea dans sa mâchoire robuste. Il ne répondit rien. Ses yeux brillaient. Mon Dieu, qu'il était beau! Je pris conscience de ma tenue. Pourquoi n'avais-je pas apporté des vêtements de rechange comme quelques-uns des nouveaux enseignants l'avaient fait? Je portais un vieux gilet sur un chemisier blanc que j'avais dû prendre des centaines de fois. Il fallait vraiment que je rafraîchisse ma garde-robe.
Puis j'entendis cette voix que je pouvais reconnaître entre mille.
- Salut bébé!
Je tournai ma tête comme si j'avais été giflée. C'était Glen. Il entra dans la salle, enjoué et détendu. Il se pavana comme si tout le monde savait qu'il avait une grosse queue dans son jean serré.
Je fus mortifiée! Il était venu à l'école, devant ma directrice, ma patronne. J'étais foutue.
Glen passa devant moi sans me regarder, comme si je n'existais pas. Je ne compris pas pourquoi il ne me parla pas. Je suivis son regard et je vis Mme SMOLEN avec un grand sourire sur le visage.
- Glen, mon chéri, tu es ici. C'est un timing parfait!
En m'ignorant complètement, Glen rejoignit la vice-principale et la prit dans ses bras. Il commença à l'embrasser langoureusement. Je m'évanouis presque en voyant leur langue s'entortiller dans leur bouche. Tout en sentant un peu de jalousie enfler en moi, je regardai la main du jeune garçon qui monta le long de la veste de Mme SMOLEN et commença à caresser la grosse poitrine. Pendant que le couple continuait de s'embrasser, Glen tira sur le mamelon droit qui avait durci sous la soie du caraco.
Je dois dire que ce fut une expérience qui me laissa complètement abasourdie. Je ne sentais plus aucune partie de mon corps. J'avais comme un bourdonnement dans les oreilles tandis que je regardai cet étudiant, mon maître-chanteur, tripoter les nichons de la sous-directrice qui avait la quarantaine. Le sang me monta à la tête et ma vue se brouilla quand je pensai, qu'il y a seulement quelques minutes, cette salle était remplie de collègues enseignants. Et là, tout de suite, l'homme qui possédait mon corps, l'homme qui m'avait transformée en salope avide de sperme, embrassait ma patronne et la faisait gémir comme une chienne. Je crus m'évanouir. Ça n'avait pas de sens. Mes genoux commencèrent à fléchir et je tremblai en regardant le couple.
A ce moment-là, je sentis deux bras forts envelopper ma taille par-derrière. Quelque chose de dur fut pressé entre mes fesses. C'était M. PRUIT, le nouveau professeur d'EPS. Je sentis son eau de toilette masculine quand il approcha sa tête de mon cou. Je me sentis fondre devant lui dans un état d'abandon total quand il commença à mordiller mon lobe d'oreille.
Je suis certaine que tout cela se passa en moins de cinq secondes, mais j'eus l'impression que cela dura des heures. Tout se passait au ralenti à l'époque.
Enfin, Glen et Marianne se séparèrent et me dévisagèrent avec une lueur d'amusement dans le regard. J'eus alors conscience de ma situation. J'étais debout devant ma patronne, la vice-directrice de l'école tandis que le nouveau professeur d'EPS poussait son pénis très dur contre mon cul. Ma figure était rouge betterave et mes oreilles devaient sûrement fumer tellement elles étaient chaudes.
- Alors Glen, est-ce que tu pourras mettre ta petite salope mariée à ma disposition? Demanda Mme SMOLEN avec une voix rauque de désir.
- Oh bébé, cette petite salope fera tout ce que je lui demande. Répondit Glen en continuant de jouer avec le mamelon de la sous-directrice.
Un rire profond sortit de la gorge de Marianne alors qu'elle sauta sur le bord de la table de conférence juste devant moi. Je vis sa jupe en laine remonter au-dessus du haut de ses bas et je m'aperçus qu'elle avait un porte-jarretelles. Elle remonta ses chaussures à talons hauts sur le dessus de la table et elle écarta ses jambes vulgairement.
Je sentis les mains de M. PRUIT remonter vers mes seins alors que je regardai fixement l'entrejambe de la vice-principale. Elle ouvrit lentement ses jambes, révélant à mes yeux rivés sur elle, une chatte rasée au teint de pêche.
Marianne me sourit en voyant que je ne pouvais me détourner de sa chatte gonflée. Ses deux mains étaient maintenant entre ses jambes et sa jupe était retroussée autour de sa taille. Elle commença à tirer sur les petites lèvres de sa chatte, révélant ainsi l'humidité scintillante à l'intérieur.
Tout en faisant cela, elle jeta sa tête sensuellement en arrière puis secoua sa crinière pour détacher ses cheveux châtains. Glen se pencha sur elle et se remit à l'embrasser tandis qu'elle caressait sans vergogne sa chatte engorgée devant mes yeux.
Quand ils finirent leur baiser, Mme SMOLEN me regarda avec ses yeux pétillants et elle dit d'une voix vicieuse :
- Fais-lui lécher ma chatte Glen!
Et elle ajouta d'un ton sérieux :
- Je veux que tu la mettes à ma disposition. Je veux que tu me laisses l'utiliser comme la petite salope qu'elle est.
Glen me regarda alors que Steve commençait à me déshabiller lentement.
- Allez petite salope, prends soin de sa chatte! Fais-la jouir pour moi!
Je sentis que les mains du professeur d'EPS me poussaient doucement mais fermement vers la chatte luisante de Mme SMOLEN. Trop choquée et complètement humiliée, j'obéis lentement à leurs ordres comme un agneau que l'on mène à l'abattoir.
A suivre...
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