Abusée - récit érotique domination soumission professeur chantage
Traduction d'une histoire de Jessiebnh.
*************
Invitée pour une fête d'étudiants.
Durant toute la semaine, mon esprit fut dans la tourmente. Je savais que Glen pouvait m'appeler à tout moment pour m'« utiliser ». Il me restait trois week-ends avant que son chantage soit terminé et que les images de consommation d'alcool à notre petite fête soient effacées. Glen n'aurait plus d'emprise sur moi. Mais en attendant je devais être cool et m'assurer que Mike ne soit pas au courant.
Je justifiai mes deux aventures avec Glen en me convainquant que si les photos de la fête restaient sur le site de l'équipe, je risquais de perdre mon travail de professeur au lycée. Pour le bien-être économique de notre famille, j'étais déterminée d'aller jusqu'au bout et de montrer à Glen que je pouvais subir tout ce qu'il imaginerait.
Je savais déjà qu'il avait sûrement prévu quelque chose pour moi ce week-end donc je commençai à dire à mon mari que je sortirai probablement vendredi ou samedi soir. Mike était occupé avec son travail, et dans son temps libre, il planifiait les entraînements de base-ball pour l'année prochaine. Si bien qu'il n'était pas très intéressé parce que j'allais faire le week-end prochain.
Chaque fois que le téléphone sonnait, mon cœur s'arrêtait de battre en pensant que c'était peut-être Glen. Ce jeune garçon savait comment me torturer. Il me fit attendre jusqu'au mercredi soir avant de m'appeler de nouveau.
Nous venions de finir de dîner et j'étais en train de nettoyer. Mike allait à l'extérieur pour travailler dans le jardin, car il faisait encore jour quand le téléphone sonna. Je sursautai et je criai :
- Je prends!
J'attendis que mon mari ait disparu dans la cour arrière avant de parler :
- Bonjour...
- La reine des suceuses! C'est bien vous?
- Glen? Pourquoi appelles-tu le soir quand mon mari est là. Murmurai-je dans le combiné en regardant autour de moi pour m'assurer que Mike ne revenait pas à la cuisine.
- Je veux te garder en éveil, beaux nichons!
- Qu'est-ce que tu veux?
- Eh bien voilà, nous faisons une fête avec ma fraternité vendredi soir et j'ai promis de fournir le divertissement.
Je savais que Glen était entré dans l'ancienne fraternité de mon mari car celui-ci l'avait parrainé. Bien que je ne connaisse pas beaucoup de membres actuels, j'avais dans le temps participé à plusieurs fêtes avec Mike et elles étaient souvent assez débridées.
- Qu'attends-tu de moi exactement? Demandai-je avec une certaine appréhension.
- Hé bien, Susie ALLEN et toi serez le divertissement... avec un tonnelet de bière.
- Mais je ne peux pas faire ça, quelqu'un pourrait me reconnaître! Dis-je avec une voix paniquée.
Je sentis tout de suite que ma réponse avait mis Glen en colère. Il dit violemment :
- Que crois-tu que je sois? Stupide? J'ai tout préparé. Personne ne pourra te reconnaître. Je peux même te promettre que personne ne verra ton visage.
Je sus qu'il pouvait presque m'entendre soupirer de soulagement. Il dit d'une manière plus contrôlée mais d'une voix sinistre :
- Quoi qu'il en soit, je ne peux te forcer à faire ce que tu ne veux pas faire. On peut tout arrêter maintenant. Tu me le dis et notre accord est rompu.
Tandis qu'il parlait, mon esprit vagabondait dans les souvenirs des deux rendez-vous dans son salon. J'étais en colère et j'avais peur, mais je sentais aussi ma chatte me démanger. J'étais confuse et pleine de ressentiment. Je n'allais pas abandonner maintenant. Depuis la fête chez moi j'avais déjà passé un quart du mois à obéir à Glen et à ses amis stupides. D'ailleurs je pensai que je pourrais partir quand je le voudrais. Je voulus en savoir plus :
- Dis-moi ce que tu veux exactement, mais fais vite!
- Il faut que tu sois à la porte de derrière de la maison de la fraternité vendredi soir à 18 heures. Apporte des vêtements de rechange et ne porte rien que tu n'as pas envie de perdre. Ensuite je verrai le plan de la soirée avec toi. Je pense que tu aimeras si tu obéis.
Glen ricana dans le téléphone et mon sang se glaça.
- J'y serai! Répondis-je hargneusement.
- C'est bien Jessie ma petite pute. Je vais t'attendre avec impatience. Et tu sais beaux nichons? Je parie qu'en pensant à vendredi tu vas mouiller toutes tes petites culottes. J'allais oublier : Viens avec des sous-vêtements propres.
- Connard! Murmurai-je en entendant le clic du téléphone que l'on raccroche.
Mon cœur battait la chamade et je ne sus que faire. Je séchai mes mains sur mon tablier et je regardai par la fenêtre. Je vis Mike, au fond du jardin, en train de déterrer un arbuste mort. Tout d'un coup, j'eus une envie incontrôlable de sperme. Je levai ma jambe droite sur le comptoir de la cuisine et je descendis mes mains sur mon short. Et tandis que je regardai les muscles de mon mari onduler sous l'effort, je me mis à jouer avec ma chatte. J'avais de plus en plus chaud. Je baissai la tête pendant que mes doigts frottaient mon clitoris et s'introduisaient dans mon vagin complètement humide.
Je commençai à être désespérée. Je pris le combiné noir du téléphone pour pousser l'écouteur dans ma chatte trempée. J'étais trop excitée. Je pensai à Mike qui pourrait avoir envie de téléphoner et qui me surprendrait avec le combiné dans mon vagin. Cela m'excita encore plus. Je ne voyais pas vraiment ce que je faisais, mais je sentis que la partie écouteur du combiné noir était complètement entré dans ma chatte distendue.
Je sortis l'appareil et je remarquai que 15 centimètres de plastique noir étaient brillants de mon jus. Je le remis dans mon vagin et me pilonnai avec pendant que mon autre main s'activait sur mon clitoris. Je poussai le combiné aussi loin qu'il pouvait entrer tout en imaginant mon mari revenant à la maison et me voyant dans cette position avec seulement un cordon noir torsadé sortant de ma chatte. Avec cette image dans mon esprit je jouis et m'évanouis presque dans l'évier.
Tremblante sous les effets de l'orgasme, je retirai le récepteur du téléphone de mon sexe et je le lâchai sur le sol. Je ne voyais rien, c'était si bon.
Quand je repris mes sens, j'entendis le bip-bip de la tonalité qui sortait du combiné du téléphone couché sur le sol, cette tonalité qui indique qu'il est décroché depuis trop longtemps. Je commençai à penser ce qui se passerait si Mike entrait maintenant, le téléphone dégoulinant de mon jus de chatte et de toute évidence, depuis longtemps.
Je pris rapidement le téléphone et je courus le placer sous le robinet de l'évier, puis je l'essuyai avec le torchon. Avec un sourire vicieux, j'accrochai ce torchon de façon bien visible pour le faire sécher. Tout en faisant cela, je vérifiai que mon mari était encore dans le jardin, occupé par son travail.
*****
Ce vendredi, j'avais tout arrangé. J'avais dit à mon mari que j'irais directement de mon travail dîner avec d'autres enseignants. Pour compléter mon mensonge, je lui dis que nous allions tous à une réunion TUPPERWARE après le dîner chez l'un d'entre eux qu'il ne connaissait pas. Je pensai qu'avec cette histoire Mike n'essaierait pas de me joindre avant que je sois rentrée.
Après les cours je restai un peu à l'école pour remplir des papiers. A 16 heures 30, je pensai que j'avais le temps d'aller manger, je n'étais censée retrouver Glen que vers 18 heures.
J'étais nerveuse. Je jetai mes livres de cours sur le siège passager de ma voiture et je conduisis à travers la ville en direction de la maison de la fraternité. Je portai des vêtements « d'enseignante » classe et propre. Mais j'avais suivi le conseil de Glen et j'avais emballé dans un grand sac plastique des vieux vêtements : un survêtement, un short de sport et deux tee-shirts. Tout cela se trouvait dans mon coffre.
Je m'arrêtai dans un burger-King afin de pouvoir me changer dans les toilettes, enlever mon costume d'enseignante pour enfiler mes vieux vêtements.
Ce matin, j'avais mis en ensemble de sous-vêtements sexy que j'avais acheté dans la semaine dans un magasin de lingerie. Donc même si j'étais sévère dans mon habit d'enseignant, je me sentais sexy avec ce que je portais en dessous.
Quand j'avais su que je devais participer à cette fête, j'avais commencé à couper mes poils pubiens un petit peu chaque jour. J'avais espéré que Mike ne s'en aperçoive pas à chaque fois que je sortais de la douche. Mais, en fin de compte, j'étais énervée car il n'avait vraiment rien remarqué même si je faisais un strip-tease devant lui tous les matins. Le jeudi soir, j'étais presque imberbe, seul une petite bande de poils bien taillée restait. Ma chatte était maintenant aussi chauve que la tête d'un bébé.
J'achetai un menu au burger-King, mais je ne pus pas en manger beaucoup. J'avais un nœud à l'estomac et mon esprit tournait en boucle sur ce que pouvait me réserver Glen comme expérience humiliante.
Tout en mâchant, je pensai à Sue ELLEN. Sue était une de mes élèves il y a quelques années. Tous les professeurs furent surpris qu'elle ait son diplôme avant de tomber enceinte. Elle avait la réputation d'être la plus vieille « salope » de l'école. Mais je ne savais pas ce qu'elle était devenue depuis qu'elle avait eu son diplôme il y a deux ans.
Je jetai le reste de la nourriture dans la poubelle, rangeai mon plateau, sortis du fast-food avant de remonter dans ma voiture. Puis je partis pour la maison de la fraternité à l'université. Quand j'y arrivai, je vis la voiture de Glen. Le jeune garçon m'attendait à côté de la porte de derrière. Il avait l'air presque aussi nerveux que moi.
- Comment te sens-tu? Me demanda-t-il.
- Effrayée! J'espère que tu sais ce que tu fais! Répondis-je nerveusement.
- Ouais, j'ai tout planifié.
Glen sortit un trousseau de clés, ouvrit la porte et entra. Je le suivis. Nous étions dans la cuisine de la maison. Je me rappelai que tout le rez-de-chaussée était une grande pièce, ou plutôt plusieurs pièces reliées entre elles par de grandes arcades sans portes. La maison pouvait accueillir des fêtes avec 100 personnes tant qu'elles restaient debout. Glen me dit :
- Cette nuit, c'est l'intronisation de nos nouveaux camarades de fraternité. Tous ceux qui ont survécu à l'initiation de l'an dernier seront officiellement accueillis en notre sein. Ils vont apprendre les règles et la façon de se comporter au sein de notre communauté à partir de septembre.
Je regardai autour de moi. L'endroit était aussi sale et crasseux que quand je venais avec Mike il y a quelques années. Je pouvais sentir l'odeur de la bière et de la cigarette, et peut-être aussi, il me semblait, l'odeur du sexe et du sperme.
- Voilà mon plan. Ta chatte sera mise à la disposition de mes camarades de 20 heures à 22 heures ce soir. Je vais te sangler sur une table et attacher tes jambes à chacun des deux pieds. La table sera mise ici.
Sur ces mots Glen prend ma main et me fait passer une petite porte qui mène à un petit espace entre la cuisine et le reste de la maison.
- Quand la table sera mise, personne ne pourra entrer dans cette arrière-cuisine car elle bloquera l'entrée. Et pour protection supplémentaire, je vais visser la table par terre. Ainsi personne ne pourra la pousser. Avec les coups de reins, je ne veux pas que la table soit poussée dans la pièce. La porte de l'autre côté est fermée et je garde la clé dans ma poche.
Glen ramassa un drap en velours violet et il me le tendit en disant :
- Pour finir, je vais accrocher ces gros rideaux à la fois sur le mur extérieur et sur la paroi intérieure de la petite pièce. Ils couvriront tout à part ton cul nu, ta chatte et tes jambes. Même si quelqu'un s'amuse à soulever le rideau de cette salle, il ne pourra pas voir tes épaules et ta tête à cause du deuxième rideau. C'est comme si ta chatte sera dans un monde et ta tête dans un autre.
Glen continua à me parler tout en me tendant un grand sac en plastique :
- Pour te déguiser et te rendre attrayante, je t'offre ces petits cadeaux.
Il fouilla dans le sac et commença à en sortir des choses. D'un ton cruel il dit :
- Ce sont des chaussures à hauts talons. Elles devraient garder tes jambes juste à la bonne hauteur pour que tu sois dans une position confortable. Ces bas et porte-jarretelles complètent ta tenue de salope. Ceci est un faux tatouage que nous allons mettre sur ton cul.
Glen me tendit un papier avec un dessin de diablesse avec « SALOPE » écrit en dessous.
- Et ce tatouage, nous le mettrons juste en bas de ton échine, juste au-dessus de tes fesses. C'est juste au cas où quelqu'un t'aurait déjà vu en maillot de bain. D'ailleurs beaucoup des gars ce soir étaient au barbecue pour l'équipe.
Glen se mit à rire tandis que ce qu'il me disait entrait dans ma tête. J'allais être un jouet sur lequel un groupe d'étudiants allait se masturber. Ils allaient me toucher et me baiser toute la nuit, à leur guise. Mon estomac se retourna et mes jambes tremblèrent. J'essayai de faire de mon mieux pour garder bonne contenance.
- Et ceci est de la teinture pour cheveux. Tu vas teindre les poils de ta chatte afin que tout le monde croie que tu es rousse.
- Mais... Et quand je rentrerai? Mike? Que dira-t-il? Interrogeai-je incrédule.
- Tu dois comprendre une chose beaux nichons. Je ne peux pas penser à tout. Alors rase ta chatte avant de rentrer! Je suis sûr que tu trouveras une solution, tu es une femme intelligente. Sinon dis-lui que tu veux t'amuser et que tu as toujours voulu être rousse. Et puis je m'en fous de ce que tu lui dis.
Mon tremblement fut de plus en plus prononcé. J'étais vraiment dans un état second. Je crus un moment que j'allais vomir ce que je venais de manger. Glen me prit par le bras et me fit monter l'escalier.
- Tu peux te préparer dans l'une des chambres de l'étage. J'ai mis des affaires dans la salle de bain. Tu devras les utiliser quand tu auras fini de teindre la chatte.
Glen tenait mon bras. Il me poussa dans la salle de bain de l'étage. Au-dessus des toilettes, il y avait une énorme bouteille de lubrifiant, trois boites pour lavement et quelque chose qui ressemblait à un plug anal.
- Qu'est-ce que... Demandai-je en en inspectant le bout évasé du plug anal en caoutchouc rouge.
Je le brandis devant le visage du jeune garçon.
- Eh bien, c'est dommage pour toi, mais ton cul sera hors service ce soir. Je le garde pour mon utilisation personnelle. Je veux être le premier à prendre ton petit cul. Même si je dis à mes camarades de ne pas t'enculer, cet objet fera en sorte que personne ne se trompe de trou malencontreusement, si tu vois ce que je veux dire.
Son discours fut horriblement pervers mais sur le moment il me rassura. Je me souviens avoir pensé que je ne serai pas sodomisée pendant que je serai attachée et exhibée devant cette bande de jeunes. Je n'avais jamais eu de relations anales auparavant et je n'étais pas prête à commencer lors de cette fête.
- Alors? Es-tu d'accord avec le programme ou veux-tu en rester là et rompre notre contrat? Murmura Glen d'une voix sinistre.
Je me souviens avoir pensé que je pouvais le faire. Ça durerait seulement deux heures. Personne ne pourrait savoir qui je suis avec toutes les précautions que Glen avait prises. Après tout, je suis une femme mariée et je ne suis plus vierge. Mike m'a baisé beaucoup de fois, et une ou deux fois en levrette ce qui ne m'a jamais dérangé.
Je suis étonnée de la manière impersonnelle de la chose. On me baisera en levrette, anonymement. Je serai une chienne en chaleur inconnue à la disposition d'une bande de garçons. Je devins de plus en plus déterminée à le faire. En réalité ma chatte était complètement mouillée. Inconsciemment je le voulais. Je voulais être utilisée comme une pute bon marché, une salope à trous, une décharge de foutre pour jeunes hommes.
- Il y a une bouteille de whisky dans la chambre si tu as besoin d'un remontant. Mais ne bois pas trop, je ne voudrais pas que tu vomisses sur toi. Quand tu seras prête, tu m'attendras dans la chambre jusqu'à ce que je vienne te chercher pour t'attacher à la table avant que les autres arrivent.
La voix de Glen me fit revenir dans la réalité. Je tenais toujours le plug dans la main.
- Paul sera là pour nous aider avec la table et les rideaux. Mais pour le moment je dois te laisser seule. Tu as des questions?
Mon esprit s'engourdit et je commençai à chanceler. Je m'appuyai contre le chambranle de la porte de la salle de bain. Puis je sentis les bras musclés de Glen m'encercler alors que mes jambes faiblissaient. Sa barbe d'un jour me gratta la peau tandis qu'il m'embrassa profondément. Nos langues dansèrent dans la bouche de l'un et l'autre. Il avait une odeur de « mâle ».
Pourquoi ce garçon avait-il une telle emprise sur moi? Pourquoi étais-je prête à me prostituer selon son bon vouloir alors qu'il y a à peine une semaine je n'aurais même pas pu le concevoir et encore moins le faire? Je ne l'aurai jamais fait pour mon mari!
Je regardai les yeux de Glen. J'y vis une passion brûlante. J'eus l'impression qu'il possédait mon âme. A ce moment-là, je sus que je ferais tout ce qu'il me demanderait, n'importe quoi.
- Alors? Des questions? Murmura le jeune garçon à quelques centimètres de mes lèvres.
Durant une seconde je me rappelai d'une chose qu'il avait dite :
- Oui. Sue ALLEN? Quel rôle joue-t-elle dans la fête de ce soir?
Glen eut un sourire mauvais.
- Cette putain de salope? Elle va être la préparatrice et la femme de ménage. Je pense que les gars banderont plus facilement avec un peu d'aide. Rien d'autre?
Bien que je ne comprenne pas exactement ce que voulait dire Glen, toutes sortes d'images traversèrent mon esprit. Il est vrai que Sue était réellement une vraie salope, mais elle était très jolie et elle avait un visage à tomber raide sur lequel tous les mâles restaient bouche bée.
J'entendis frapper à la porte de la maison en bas. Glen se retourna brusquement et disparut dans l'escalier. Je décidai d'utiliser la première salle de bain. J'y entrai et je fermai la porte à clé derrière moi. Le sol me sembla si sale que je gardai mes sandales, même après avoir enlevé tous mes vêtements.
Tout d'abord, j'appliquai la teinte rouge sur la petite bande de poils au-dessus de ma chatte. Puis je décidai d'utiliser les poires de lavement. J'en pris une pour ma chatte afin de m'assurer qu'elle soit bien propre. Je regardai le grand pot de lubrifiant et je pensai au nombre de queues qui allaient me pénétrer cette nuit. Je me dis qu'il n'y en avait pas de trop pour ce genre de chose. Je mis un gros noyau de gel sur mon doigt et j'essayai de l'étaler dans mon sexe. Mais ce ne fut pas facile et une grande partie du lubrifiant resta sur l'extérieur de mes petites lèvres.
J'eus alors une idée. J'ouvris la poire de lavement vide et je l'emplis complètement de gel lubrifiant. Puis je m'assis cul nu sur les toilettes, j'écartai les jambes le plus possible. Ensuite j'insérai la poire dans ma chatte et je pressai afin que le contenu se déverse en moi. C'était froid et gluant mais je ne pouvais rien faire. Alors je commençai à titiller mon clitoris, sentant le gel envahir mon vagin.
Je me sentis salope et dévergondée avec un pied chaussé d'une sandale appuyé sur le lavabo et l'autre posé sur le bord de la baignoire, en train de me masturber furieusement. Je m'imaginai que tous les camarades de Glen me regardaient part la porte de la salle de bain. Avec cette image dans l'esprit, j'eus ce qui devait être le premier d'un nombre incalculable d'orgasmes durant la soirée.
Après m'être remise de ma jouissance, je pris le plug dans la main. Il était assez épais au milieu et évasé vers le bas et continuant avec un mince tube coiffé par ce qui ressemblait à une ventouse. Je compris alors à quoi serviraient les deux autres lavements. Je les utilisai de façon classique et je vidai mes entrailles jusqu'à ce que l'eau coule clair. Puis j'utilisai la même astuce avec le lubrifiant. J'emplis mon cul de lubrifiant. Après avoir estimé qu'il y avait assez de gel, je repris le plug et lentement je l'enfonçai dans mon anus.
Je fus soulagée quand mon petit trou se referme sur la partie la plus mince du plug. J'étais mal à l'aise mais ça m'excitait. C'était la première fois que j'avais quelque chose dans le cul. J'eus hâte de savoir comme ça m'affecterait si je me masturbais. Une fois encore j'écartai les jambes et commençai à tripoter mon clitoris. Je laissai sortir de ma bouche quelques gémissements alors que j'approchais d'un autre orgasme. Je sentais mon petit trou se resserrer autour du plug.
Tout d'un coup, je sentis une vibration énorme dans mon ventre, comme si quelqu'un avait démarré un gros camion diesel dans mon cul. Le plug avait commencé à vibrer violemment. J'augmentai le frottement de mes doigts sur mon clito et je mis quatre doigts de l'autre main dans ma chatte. Mes yeux roulèrent dans ma tête quand l'orgasme secoua mon corps vague par vague. Alors qu'une vague de jouissance s'arrêtait, une autre démarrait aussitôt sous l'effet de ma main dans ma chatte.
J'entendis le son d'une clé dans la porte. La poignée bougea et la porte s'ouvrit. Avec de grands sourires sur leur visage apparurent Paul JANKE et Glen. Paul avait entre les mains un genre de télécommande et Glen regardait par-dessus ses épaules. Tous les deux se moquaient de moi, me traitant de pute et de salope.
Bien que je sois complètement mortifiée d'avoir été découverte dans cette position très embarrassante, j'essayai de m'asseoir convenablement. Mais le plug recommença à vibrer et mes doigts branlèrent ma chatte comme s'ils étaient aussi contrôlés par la télécommande.
- Nous avons pensé que tu aimerais ça! Rigola Glen alors que Paul poussa un bouton pour envoyer une secousse supplémentaire.
Puis il ajouta :
- Il valait cher, mais il vaut chaque euro dépensé. Tu n'oublieras jamais cette soirée jolie salope. D'une certaine façon je t'envie. Mais arrête de te branler et repose-toi un peu sinon tu seras complètement foutue avant d'avoir commencé.
J'obéis et j'essayai de couvrir mon corps nu de mes mains, mais je compris que j'étais stupide. Paul et Glen m'avaient vu dans une situation très embarrassante, un plug au fond de mon cul, les jambes écartées comme une pute à deux sous, mes doigts coincés dans ma chatte comme une chienne, et mon autre main frottant sans vergogne mon clitoris. J'étais figée de honte. Mais plus que cela, j'étais apprivoisée. Je me résignai à mon sort de salope pour toute une nuit, mon sort de pute pour le plaisir de tous les hommes qui voudraient utiliser ma chatte.
Je ramassai mes affaires et je marchai nue, lentement, jusqu'à une chambre et à son lit. Je me laissai tomber dedans sans même enlever le couvre-lit crasseux. La dernière chose dont je me souviens fut la poussière et l'odeur de sperme sur le lit. Je m'endormis.
A suivre...
Invitée pour une fête d'étudiants.
Durant toute la semaine, mon esprit fut dans la tourmente. Je savais que Glen pouvait m'appeler à tout moment pour m'« utiliser ». Il me restait trois week-ends avant que son chantage soit terminé et que les images de consommation d'alcool à notre petite fête soient effacées. Glen n'aurait plus d'emprise sur moi. Mais en attendant je devais être cool et m'assurer que Mike ne soit pas au courant.
Je justifiai mes deux aventures avec Glen en me convainquant que si les photos de la fête restaient sur le site de l'équipe, je risquais de perdre mon travail de professeur au lycée. Pour le bien-être économique de notre famille, j'étais déterminée d'aller jusqu'au bout et de montrer à Glen que je pouvais subir tout ce qu'il imaginerait.
Je savais déjà qu'il avait sûrement prévu quelque chose pour moi ce week-end donc je commençai à dire à mon mari que je sortirai probablement vendredi ou samedi soir. Mike était occupé avec son travail, et dans son temps libre, il planifiait les entraînements de base-ball pour l'année prochaine. Si bien qu'il n'était pas très intéressé parce que j'allais faire le week-end prochain.
Chaque fois que le téléphone sonnait, mon cœur s'arrêtait de battre en pensant que c'était peut-être Glen. Ce jeune garçon savait comment me torturer. Il me fit attendre jusqu'au mercredi soir avant de m'appeler de nouveau.
Nous venions de finir de dîner et j'étais en train de nettoyer. Mike allait à l'extérieur pour travailler dans le jardin, car il faisait encore jour quand le téléphone sonna. Je sursautai et je criai :
- Je prends!
J'attendis que mon mari ait disparu dans la cour arrière avant de parler :
- Bonjour...
- La reine des suceuses! C'est bien vous?
- Glen? Pourquoi appelles-tu le soir quand mon mari est là. Murmurai-je dans le combiné en regardant autour de moi pour m'assurer que Mike ne revenait pas à la cuisine.
- Je veux te garder en éveil, beaux nichons!
- Qu'est-ce que tu veux?
- Eh bien voilà, nous faisons une fête avec ma fraternité vendredi soir et j'ai promis de fournir le divertissement.
Je savais que Glen était entré dans l'ancienne fraternité de mon mari car celui-ci l'avait parrainé. Bien que je ne connaisse pas beaucoup de membres actuels, j'avais dans le temps participé à plusieurs fêtes avec Mike et elles étaient souvent assez débridées.
- Qu'attends-tu de moi exactement? Demandai-je avec une certaine appréhension.
- Hé bien, Susie ALLEN et toi serez le divertissement... avec un tonnelet de bière.
- Mais je ne peux pas faire ça, quelqu'un pourrait me reconnaître! Dis-je avec une voix paniquée.
Je sentis tout de suite que ma réponse avait mis Glen en colère. Il dit violemment :
- Que crois-tu que je sois? Stupide? J'ai tout préparé. Personne ne pourra te reconnaître. Je peux même te promettre que personne ne verra ton visage.
Je sus qu'il pouvait presque m'entendre soupirer de soulagement. Il dit d'une manière plus contrôlée mais d'une voix sinistre :
- Quoi qu'il en soit, je ne peux te forcer à faire ce que tu ne veux pas faire. On peut tout arrêter maintenant. Tu me le dis et notre accord est rompu.
Tandis qu'il parlait, mon esprit vagabondait dans les souvenirs des deux rendez-vous dans son salon. J'étais en colère et j'avais peur, mais je sentais aussi ma chatte me démanger. J'étais confuse et pleine de ressentiment. Je n'allais pas abandonner maintenant. Depuis la fête chez moi j'avais déjà passé un quart du mois à obéir à Glen et à ses amis stupides. D'ailleurs je pensai que je pourrais partir quand je le voudrais. Je voulus en savoir plus :
- Dis-moi ce que tu veux exactement, mais fais vite!
- Il faut que tu sois à la porte de derrière de la maison de la fraternité vendredi soir à 18 heures. Apporte des vêtements de rechange et ne porte rien que tu n'as pas envie de perdre. Ensuite je verrai le plan de la soirée avec toi. Je pense que tu aimeras si tu obéis.
Glen ricana dans le téléphone et mon sang se glaça.
- J'y serai! Répondis-je hargneusement.
- C'est bien Jessie ma petite pute. Je vais t'attendre avec impatience. Et tu sais beaux nichons? Je parie qu'en pensant à vendredi tu vas mouiller toutes tes petites culottes. J'allais oublier : Viens avec des sous-vêtements propres.
- Connard! Murmurai-je en entendant le clic du téléphone que l'on raccroche.
Mon cœur battait la chamade et je ne sus que faire. Je séchai mes mains sur mon tablier et je regardai par la fenêtre. Je vis Mike, au fond du jardin, en train de déterrer un arbuste mort. Tout d'un coup, j'eus une envie incontrôlable de sperme. Je levai ma jambe droite sur le comptoir de la cuisine et je descendis mes mains sur mon short. Et tandis que je regardai les muscles de mon mari onduler sous l'effort, je me mis à jouer avec ma chatte. J'avais de plus en plus chaud. Je baissai la tête pendant que mes doigts frottaient mon clitoris et s'introduisaient dans mon vagin complètement humide.
Je commençai à être désespérée. Je pris le combiné noir du téléphone pour pousser l'écouteur dans ma chatte trempée. J'étais trop excitée. Je pensai à Mike qui pourrait avoir envie de téléphoner et qui me surprendrait avec le combiné dans mon vagin. Cela m'excita encore plus. Je ne voyais pas vraiment ce que je faisais, mais je sentis que la partie écouteur du combiné noir était complètement entré dans ma chatte distendue.
Je sortis l'appareil et je remarquai que 15 centimètres de plastique noir étaient brillants de mon jus. Je le remis dans mon vagin et me pilonnai avec pendant que mon autre main s'activait sur mon clitoris. Je poussai le combiné aussi loin qu'il pouvait entrer tout en imaginant mon mari revenant à la maison et me voyant dans cette position avec seulement un cordon noir torsadé sortant de ma chatte. Avec cette image dans mon esprit je jouis et m'évanouis presque dans l'évier.
Tremblante sous les effets de l'orgasme, je retirai le récepteur du téléphone de mon sexe et je le lâchai sur le sol. Je ne voyais rien, c'était si bon.
Quand je repris mes sens, j'entendis le bip-bip de la tonalité qui sortait du combiné du téléphone couché sur le sol, cette tonalité qui indique qu'il est décroché depuis trop longtemps. Je commençai à penser ce qui se passerait si Mike entrait maintenant, le téléphone dégoulinant de mon jus de chatte et de toute évidence, depuis longtemps.
Je pris rapidement le téléphone et je courus le placer sous le robinet de l'évier, puis je l'essuyai avec le torchon. Avec un sourire vicieux, j'accrochai ce torchon de façon bien visible pour le faire sécher. Tout en faisant cela, je vérifiai que mon mari était encore dans le jardin, occupé par son travail.
*****
Ce vendredi, j'avais tout arrangé. J'avais dit à mon mari que j'irais directement de mon travail dîner avec d'autres enseignants. Pour compléter mon mensonge, je lui dis que nous allions tous à une réunion TUPPERWARE après le dîner chez l'un d'entre eux qu'il ne connaissait pas. Je pensai qu'avec cette histoire Mike n'essaierait pas de me joindre avant que je sois rentrée.
Après les cours je restai un peu à l'école pour remplir des papiers. A 16 heures 30, je pensai que j'avais le temps d'aller manger, je n'étais censée retrouver Glen que vers 18 heures.
J'étais nerveuse. Je jetai mes livres de cours sur le siège passager de ma voiture et je conduisis à travers la ville en direction de la maison de la fraternité. Je portai des vêtements « d'enseignante » classe et propre. Mais j'avais suivi le conseil de Glen et j'avais emballé dans un grand sac plastique des vieux vêtements : un survêtement, un short de sport et deux tee-shirts. Tout cela se trouvait dans mon coffre.
Je m'arrêtai dans un burger-King afin de pouvoir me changer dans les toilettes, enlever mon costume d'enseignante pour enfiler mes vieux vêtements.
Ce matin, j'avais mis en ensemble de sous-vêtements sexy que j'avais acheté dans la semaine dans un magasin de lingerie. Donc même si j'étais sévère dans mon habit d'enseignant, je me sentais sexy avec ce que je portais en dessous.
Quand j'avais su que je devais participer à cette fête, j'avais commencé à couper mes poils pubiens un petit peu chaque jour. J'avais espéré que Mike ne s'en aperçoive pas à chaque fois que je sortais de la douche. Mais, en fin de compte, j'étais énervée car il n'avait vraiment rien remarqué même si je faisais un strip-tease devant lui tous les matins. Le jeudi soir, j'étais presque imberbe, seul une petite bande de poils bien taillée restait. Ma chatte était maintenant aussi chauve que la tête d'un bébé.
J'achetai un menu au burger-King, mais je ne pus pas en manger beaucoup. J'avais un nœud à l'estomac et mon esprit tournait en boucle sur ce que pouvait me réserver Glen comme expérience humiliante.
Tout en mâchant, je pensai à Sue ELLEN. Sue était une de mes élèves il y a quelques années. Tous les professeurs furent surpris qu'elle ait son diplôme avant de tomber enceinte. Elle avait la réputation d'être la plus vieille « salope » de l'école. Mais je ne savais pas ce qu'elle était devenue depuis qu'elle avait eu son diplôme il y a deux ans.
Je jetai le reste de la nourriture dans la poubelle, rangeai mon plateau, sortis du fast-food avant de remonter dans ma voiture. Puis je partis pour la maison de la fraternité à l'université. Quand j'y arrivai, je vis la voiture de Glen. Le jeune garçon m'attendait à côté de la porte de derrière. Il avait l'air presque aussi nerveux que moi.
- Comment te sens-tu? Me demanda-t-il.
- Effrayée! J'espère que tu sais ce que tu fais! Répondis-je nerveusement.
- Ouais, j'ai tout planifié.
Glen sortit un trousseau de clés, ouvrit la porte et entra. Je le suivis. Nous étions dans la cuisine de la maison. Je me rappelai que tout le rez-de-chaussée était une grande pièce, ou plutôt plusieurs pièces reliées entre elles par de grandes arcades sans portes. La maison pouvait accueillir des fêtes avec 100 personnes tant qu'elles restaient debout. Glen me dit :
- Cette nuit, c'est l'intronisation de nos nouveaux camarades de fraternité. Tous ceux qui ont survécu à l'initiation de l'an dernier seront officiellement accueillis en notre sein. Ils vont apprendre les règles et la façon de se comporter au sein de notre communauté à partir de septembre.
Je regardai autour de moi. L'endroit était aussi sale et crasseux que quand je venais avec Mike il y a quelques années. Je pouvais sentir l'odeur de la bière et de la cigarette, et peut-être aussi, il me semblait, l'odeur du sexe et du sperme.
- Voilà mon plan. Ta chatte sera mise à la disposition de mes camarades de 20 heures à 22 heures ce soir. Je vais te sangler sur une table et attacher tes jambes à chacun des deux pieds. La table sera mise ici.
Sur ces mots Glen prend ma main et me fait passer une petite porte qui mène à un petit espace entre la cuisine et le reste de la maison.
- Quand la table sera mise, personne ne pourra entrer dans cette arrière-cuisine car elle bloquera l'entrée. Et pour protection supplémentaire, je vais visser la table par terre. Ainsi personne ne pourra la pousser. Avec les coups de reins, je ne veux pas que la table soit poussée dans la pièce. La porte de l'autre côté est fermée et je garde la clé dans ma poche.
Glen ramassa un drap en velours violet et il me le tendit en disant :
- Pour finir, je vais accrocher ces gros rideaux à la fois sur le mur extérieur et sur la paroi intérieure de la petite pièce. Ils couvriront tout à part ton cul nu, ta chatte et tes jambes. Même si quelqu'un s'amuse à soulever le rideau de cette salle, il ne pourra pas voir tes épaules et ta tête à cause du deuxième rideau. C'est comme si ta chatte sera dans un monde et ta tête dans un autre.
Glen continua à me parler tout en me tendant un grand sac en plastique :
- Pour te déguiser et te rendre attrayante, je t'offre ces petits cadeaux.
Il fouilla dans le sac et commença à en sortir des choses. D'un ton cruel il dit :
- Ce sont des chaussures à hauts talons. Elles devraient garder tes jambes juste à la bonne hauteur pour que tu sois dans une position confortable. Ces bas et porte-jarretelles complètent ta tenue de salope. Ceci est un faux tatouage que nous allons mettre sur ton cul.
Glen me tendit un papier avec un dessin de diablesse avec « SALOPE » écrit en dessous.
- Et ce tatouage, nous le mettrons juste en bas de ton échine, juste au-dessus de tes fesses. C'est juste au cas où quelqu'un t'aurait déjà vu en maillot de bain. D'ailleurs beaucoup des gars ce soir étaient au barbecue pour l'équipe.
Glen se mit à rire tandis que ce qu'il me disait entrait dans ma tête. J'allais être un jouet sur lequel un groupe d'étudiants allait se masturber. Ils allaient me toucher et me baiser toute la nuit, à leur guise. Mon estomac se retourna et mes jambes tremblèrent. J'essayai de faire de mon mieux pour garder bonne contenance.
- Et ceci est de la teinture pour cheveux. Tu vas teindre les poils de ta chatte afin que tout le monde croie que tu es rousse.
- Mais... Et quand je rentrerai? Mike? Que dira-t-il? Interrogeai-je incrédule.
- Tu dois comprendre une chose beaux nichons. Je ne peux pas penser à tout. Alors rase ta chatte avant de rentrer! Je suis sûr que tu trouveras une solution, tu es une femme intelligente. Sinon dis-lui que tu veux t'amuser et que tu as toujours voulu être rousse. Et puis je m'en fous de ce que tu lui dis.
Mon tremblement fut de plus en plus prononcé. J'étais vraiment dans un état second. Je crus un moment que j'allais vomir ce que je venais de manger. Glen me prit par le bras et me fit monter l'escalier.
- Tu peux te préparer dans l'une des chambres de l'étage. J'ai mis des affaires dans la salle de bain. Tu devras les utiliser quand tu auras fini de teindre la chatte.
Glen tenait mon bras. Il me poussa dans la salle de bain de l'étage. Au-dessus des toilettes, il y avait une énorme bouteille de lubrifiant, trois boites pour lavement et quelque chose qui ressemblait à un plug anal.
- Qu'est-ce que... Demandai-je en en inspectant le bout évasé du plug anal en caoutchouc rouge.
Je le brandis devant le visage du jeune garçon.
- Eh bien, c'est dommage pour toi, mais ton cul sera hors service ce soir. Je le garde pour mon utilisation personnelle. Je veux être le premier à prendre ton petit cul. Même si je dis à mes camarades de ne pas t'enculer, cet objet fera en sorte que personne ne se trompe de trou malencontreusement, si tu vois ce que je veux dire.
Son discours fut horriblement pervers mais sur le moment il me rassura. Je me souviens avoir pensé que je ne serai pas sodomisée pendant que je serai attachée et exhibée devant cette bande de jeunes. Je n'avais jamais eu de relations anales auparavant et je n'étais pas prête à commencer lors de cette fête.
- Alors? Es-tu d'accord avec le programme ou veux-tu en rester là et rompre notre contrat? Murmura Glen d'une voix sinistre.
Je me souviens avoir pensé que je pouvais le faire. Ça durerait seulement deux heures. Personne ne pourrait savoir qui je suis avec toutes les précautions que Glen avait prises. Après tout, je suis une femme mariée et je ne suis plus vierge. Mike m'a baisé beaucoup de fois, et une ou deux fois en levrette ce qui ne m'a jamais dérangé.
Je suis étonnée de la manière impersonnelle de la chose. On me baisera en levrette, anonymement. Je serai une chienne en chaleur inconnue à la disposition d'une bande de garçons. Je devins de plus en plus déterminée à le faire. En réalité ma chatte était complètement mouillée. Inconsciemment je le voulais. Je voulais être utilisée comme une pute bon marché, une salope à trous, une décharge de foutre pour jeunes hommes.
- Il y a une bouteille de whisky dans la chambre si tu as besoin d'un remontant. Mais ne bois pas trop, je ne voudrais pas que tu vomisses sur toi. Quand tu seras prête, tu m'attendras dans la chambre jusqu'à ce que je vienne te chercher pour t'attacher à la table avant que les autres arrivent.
La voix de Glen me fit revenir dans la réalité. Je tenais toujours le plug dans la main.
- Paul sera là pour nous aider avec la table et les rideaux. Mais pour le moment je dois te laisser seule. Tu as des questions?
Mon esprit s'engourdit et je commençai à chanceler. Je m'appuyai contre le chambranle de la porte de la salle de bain. Puis je sentis les bras musclés de Glen m'encercler alors que mes jambes faiblissaient. Sa barbe d'un jour me gratta la peau tandis qu'il m'embrassa profondément. Nos langues dansèrent dans la bouche de l'un et l'autre. Il avait une odeur de « mâle ».
Pourquoi ce garçon avait-il une telle emprise sur moi? Pourquoi étais-je prête à me prostituer selon son bon vouloir alors qu'il y a à peine une semaine je n'aurais même pas pu le concevoir et encore moins le faire? Je ne l'aurai jamais fait pour mon mari!
Je regardai les yeux de Glen. J'y vis une passion brûlante. J'eus l'impression qu'il possédait mon âme. A ce moment-là, je sus que je ferais tout ce qu'il me demanderait, n'importe quoi.
- Alors? Des questions? Murmura le jeune garçon à quelques centimètres de mes lèvres.
Durant une seconde je me rappelai d'une chose qu'il avait dite :
- Oui. Sue ALLEN? Quel rôle joue-t-elle dans la fête de ce soir?
Glen eut un sourire mauvais.
- Cette putain de salope? Elle va être la préparatrice et la femme de ménage. Je pense que les gars banderont plus facilement avec un peu d'aide. Rien d'autre?
Bien que je ne comprenne pas exactement ce que voulait dire Glen, toutes sortes d'images traversèrent mon esprit. Il est vrai que Sue était réellement une vraie salope, mais elle était très jolie et elle avait un visage à tomber raide sur lequel tous les mâles restaient bouche bée.
J'entendis frapper à la porte de la maison en bas. Glen se retourna brusquement et disparut dans l'escalier. Je décidai d'utiliser la première salle de bain. J'y entrai et je fermai la porte à clé derrière moi. Le sol me sembla si sale que je gardai mes sandales, même après avoir enlevé tous mes vêtements.
Tout d'abord, j'appliquai la teinte rouge sur la petite bande de poils au-dessus de ma chatte. Puis je décidai d'utiliser les poires de lavement. J'en pris une pour ma chatte afin de m'assurer qu'elle soit bien propre. Je regardai le grand pot de lubrifiant et je pensai au nombre de queues qui allaient me pénétrer cette nuit. Je me dis qu'il n'y en avait pas de trop pour ce genre de chose. Je mis un gros noyau de gel sur mon doigt et j'essayai de l'étaler dans mon sexe. Mais ce ne fut pas facile et une grande partie du lubrifiant resta sur l'extérieur de mes petites lèvres.
J'eus alors une idée. J'ouvris la poire de lavement vide et je l'emplis complètement de gel lubrifiant. Puis je m'assis cul nu sur les toilettes, j'écartai les jambes le plus possible. Ensuite j'insérai la poire dans ma chatte et je pressai afin que le contenu se déverse en moi. C'était froid et gluant mais je ne pouvais rien faire. Alors je commençai à titiller mon clitoris, sentant le gel envahir mon vagin.
Je me sentis salope et dévergondée avec un pied chaussé d'une sandale appuyé sur le lavabo et l'autre posé sur le bord de la baignoire, en train de me masturber furieusement. Je m'imaginai que tous les camarades de Glen me regardaient part la porte de la salle de bain. Avec cette image dans l'esprit, j'eus ce qui devait être le premier d'un nombre incalculable d'orgasmes durant la soirée.
Après m'être remise de ma jouissance, je pris le plug dans la main. Il était assez épais au milieu et évasé vers le bas et continuant avec un mince tube coiffé par ce qui ressemblait à une ventouse. Je compris alors à quoi serviraient les deux autres lavements. Je les utilisai de façon classique et je vidai mes entrailles jusqu'à ce que l'eau coule clair. Puis j'utilisai la même astuce avec le lubrifiant. J'emplis mon cul de lubrifiant. Après avoir estimé qu'il y avait assez de gel, je repris le plug et lentement je l'enfonçai dans mon anus.
Je fus soulagée quand mon petit trou se referme sur la partie la plus mince du plug. J'étais mal à l'aise mais ça m'excitait. C'était la première fois que j'avais quelque chose dans le cul. J'eus hâte de savoir comme ça m'affecterait si je me masturbais. Une fois encore j'écartai les jambes et commençai à tripoter mon clitoris. Je laissai sortir de ma bouche quelques gémissements alors que j'approchais d'un autre orgasme. Je sentais mon petit trou se resserrer autour du plug.
Tout d'un coup, je sentis une vibration énorme dans mon ventre, comme si quelqu'un avait démarré un gros camion diesel dans mon cul. Le plug avait commencé à vibrer violemment. J'augmentai le frottement de mes doigts sur mon clito et je mis quatre doigts de l'autre main dans ma chatte. Mes yeux roulèrent dans ma tête quand l'orgasme secoua mon corps vague par vague. Alors qu'une vague de jouissance s'arrêtait, une autre démarrait aussitôt sous l'effet de ma main dans ma chatte.
J'entendis le son d'une clé dans la porte. La poignée bougea et la porte s'ouvrit. Avec de grands sourires sur leur visage apparurent Paul JANKE et Glen. Paul avait entre les mains un genre de télécommande et Glen regardait par-dessus ses épaules. Tous les deux se moquaient de moi, me traitant de pute et de salope.
Bien que je sois complètement mortifiée d'avoir été découverte dans cette position très embarrassante, j'essayai de m'asseoir convenablement. Mais le plug recommença à vibrer et mes doigts branlèrent ma chatte comme s'ils étaient aussi contrôlés par la télécommande.
- Nous avons pensé que tu aimerais ça! Rigola Glen alors que Paul poussa un bouton pour envoyer une secousse supplémentaire.
Puis il ajouta :
- Il valait cher, mais il vaut chaque euro dépensé. Tu n'oublieras jamais cette soirée jolie salope. D'une certaine façon je t'envie. Mais arrête de te branler et repose-toi un peu sinon tu seras complètement foutue avant d'avoir commencé.
J'obéis et j'essayai de couvrir mon corps nu de mes mains, mais je compris que j'étais stupide. Paul et Glen m'avaient vu dans une situation très embarrassante, un plug au fond de mon cul, les jambes écartées comme une pute à deux sous, mes doigts coincés dans ma chatte comme une chienne, et mon autre main frottant sans vergogne mon clitoris. J'étais figée de honte. Mais plus que cela, j'étais apprivoisée. Je me résignai à mon sort de salope pour toute une nuit, mon sort de pute pour le plaisir de tous les hommes qui voudraient utiliser ma chatte.
Je ramassai mes affaires et je marchai nue, lentement, jusqu'à une chambre et à son lit. Je me laissai tomber dedans sans même enlever le couvre-lit crasseux. La dernière chose dont je me souviens fut la poussière et l'odeur de sperme sur le lit. Je m'endormis.
A suivre...
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