Abusée - récit érotique domination soumission professeur chantage
Traduction d'une histoire de Jessiebnh.
*************
J'apprends à bien sucer.
Le soir venu, ma tête tournait encore. Mike était dans le salon où il faisait sombre. Seule la lumière de l'écran du téléviseur éclairait son visage. Il était à moitié endormi sur le canapé en train de regarder une émission sans intérêt.
- Mon chéri, je vais au supermarché tant qu'il n'y a pas trop de monde. Je n'y ai pas été cette semaine
- Ahhh... ok Jess... Fais attention! Répondit Mike en levant les yeux sur moi un court instant avant de retourner sur le téléviseur.
« Bon, il ne va pas me manquer » pensai-je en enfilant un jean et un tee-shirt sans mettre de soutien-gorge.
J'attrapai mon sac et je sautai dans ma voiture. Je commençai à réfléchir à ce que je faisais et comment c'était fou. Et je commençai à sentir ma chatte. Pas avec mes mains! Je remarquai que j'avais un sexe! Je ne pus me rappeler la dernière fois où j'avais eu cette sensation. Des fourmillements emplissaient ma chatte et elle me picotait avec enthousiasme. Plutôt que d'avoir peur ou dégoûtée de ce que j'étais en train de faire, je me sentis euphorique et sexy.
Je dois admettre que je roulais un peu trop vite pour arriver à la maison de Glen. Mais je voulais y arriver vite afin de revenir aussi vite pour que mon mari ne s'inquiète pas de mon absence. Alors que je me garai, je remarquai qu'il y avait deux autres voitures devant la maison. Je commençai à trembler d'excitation et je dus me calmer.
Quand j'arrivai à la porte je me figeai. Devant, se trouvait Paul JANKE, un de mes étudiants de l'année dernière. Il dit :
- Eh bien, eh bien, Madame B., venez, nous vous attendions.
Mon cœur battit plus fort et ma gorge s'assécha. Mais je rassemblai mon courage et je dis :
- Bonjour Paul! Comment allez-vous? Vous êtes à l'université maintenant non?
Le garçon mit un bras autour de moi et me regarda dans les yeux. Maintenant, je sentis vraiment ma chatte.
- Vous êtes une poule sexy Mme B. J'ai rêvé de cette nuit tout au long de vos cours.
Après ces paroles, il m'embrassa passionnément. Je sentis sa langue envahir ma bouche. Ma chatte s'humidifia et je fus gênée de dégouliner comme une chienne en chaleur. Puis j'entendis la voix de Glen :
- Eh oh doucement tous les deux. Nous avons un programme chargé ce soir.
Paul me relâcha lentement et me remit à Glen.
- Tu es prête? Me demanda-t-il.
Ce ne fut pas vraiment une question étant donné que j'étais là. Mais je secouai la tête et Glen me conduisit dans son salon.
- Ce soir nous allons t'apprendre à devenir la meilleure suceuse de la région. As-tu déjà sucé des bites?
Je secouai la tête. Glen se mit à rire.
- C'est ce que je pensais! C'est bien, parce que ce soir tu vas vraiment apprendre à sucer de la queue. Et quand nous l'aurons fait, ton mari sera fier de toi.
Je pus entendre trois ou quatre garçons rire. Mais je n'eus pas le courage de regarder autour de moi pour voir qui ils étaient.
- Nous avons environ un mètre de bonne bite de la région pour toi ce soir.
Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genoux au milieu du salon sur le plancher. Puis il se tourna vers Paul et lui dit :
- Paul, tu es un vrai bâtard. Viens là, tu seras le premier.
Le garçon s'approcha et se positionna de telle façon que son entrejambe se trouve devant mon visage. J'étais agenouillée devant lui comme un agneau que l'on mène à l'abattoir.
- Sors sa queue et commence à le sucer salope! Ordonna Glen d'une voix autoritaire.
J'ouvris la braguette de Paul et j'allai pécher sa queue. Je vis ses poils pubiens rouge vif et je remarquai que sa bite était toute rose. Sa bite n'était pas aussi longue que celle de mon mari et sûrement pas plus grosse que celle de Glen. Doucement, je commençai à sucer le membre de Paul. Je le sentis grossir dans ma bouche. Le monde se referma sur moi. Il me sembla qu'il n'y avait plus que moi et cette queue dans ma bouche. Je fermai les yeux et je fis de mon mieux pour bien sucer.
Pendant que je m'activai sur la bite de Paul, je sentis deux mains se poser sur ma tête. C'était Glen. Ses lèvres se trouvaient juste à côté de mon oreille. Mais j'étais dans un autre monde.
- C'est bien petite chienne suceuse de bites, mets bien cette queue dans ta bouche. Ronronna-t-il dans mon oreille.
- Enfonce la bien et déglutis pour que le gland s'adapte à ta gorge. Ajouta-t-il.
J'essayai de suivre ses instructions. La tête de la bite de Paul était juste assez petite pour entrer dans ma gorge si j'ouvrais bien la bouche et poussais ma tête dans ses poils pubiens. Je sentis les poils roux chatouiller mon nez tandis que les fortes mains de Glen poussaient ma tête vers le bas sur la bite.
La queue de Paul était maintenant complètement fichée au fond de ma gorge. Je commençai d'essayer de déglutir et j'entendis le jeune garçon gémir. Puis, soudain, je sentis un flux chaud de sperme envahir ma gorge. Je ne pouvais rien faire, je ne pouvais pas goûter ce sperme. D'une certaine façon je me sentis trompée. Puis je commençai à étouffer et je toussai. Sa dernière giclée de sperme fut dans ma bouche et sur ma lèvre supérieure.
Glen racla la substance avec son doigt et la déposa dans ma bouche. Je la pris comme j'aurais pris de la crème chantilly.
- Au prochain! Dit Glen.
Paul se déplaça et une autre bite prit sa place. Celle-ci était longue et mince. Je rigolai presque en voyant cette queue si mince. Je ne m'intéressai pas au garçon qui possédait ce pénis. J'étais trop fascinée par les veines, le gland et l'odeur de l'engin. Son propriétaire frotta sa queue contre ma joue, sur mes lèvres. Il jouait avec moi, il me taquinait. J'ouvris ma bouche et fermai les yeux. Encore une fois, je fus seule dans mon monde. J'entendis le garçon crier alors que je le suçai vigoureusement et que je léchai sa bite. Ma seule pensée était de savoir quel goût aurait son sperme lorsque que je l'aurais fait jouir. J'étais mortifiée de penser que tous ces jeunes garçons avaient probablement été mes élèves.
Je réalisai que je voulais être la meilleure suceuse de bites que connaîtraient jamais ces jeunes. Je sais que c'était obscène, mais je voulais que Glen soit fier de moi devant ses amis, quel qu'ils soient.
La bite mince commença à gicler dans ma bouche. Glen me demanda de garder la semence à l'intérieur de la bouche et de ne rien avaler. Je lui obéis. Puis il me dit d'ouvrir la bouche afin que tout le monde voie le foutre de son ami. Je fermai les yeux et montrai ma bouche remplie à la salle pleine de jeunes hommes ricanant.
- Avale salope! Commanda Glen.
Un grognement collectif s'éleva dans la pièce. Alors que j'avalai, j'entendis un garçon s'exclamer :
- Quelle salope!
Cela fit rire les autres, mais je ne fus pas offusquée. Au contraire, je me sentis fière d'être la salope de Glen et fière d'être désirée par tous ces jeunes.
Cela recommença quatre ou cinq fois, j'avais perdu le compte. J'étais dans mon univers avec chaque bite. Tous les gars devaient être assez jeunes et inexpérimentés parce qu'ils éjaculèrent tous après une ou deux minutes de fellation. Je pouvais sentir la pièce se vider au fur et à mesure qu'ils se libéraient dans ma bouche. Bientôt, il ne resta que Glen et moi dans le salon de ses parents.
Le garçon était toujours derrière moi, ses lèvres près de mon oreille. Je sentais le chaume de sa barbe contre ma joue. Quelqu'un avait levé mon débardeur et mes seins étaient dans les mains de Glen. Il les tripotait sans vergogne. Le sperme que je n'avais pas pu avaler et qui était tombé sur ma poitrine refroidissait.
- Tu es une vraie salope avaleuse de sperme Jessie. Murmura Glen à mon oreille.
Tout d'un coup je me sentis horriblement gênée. Je voulais essuyer le sperme sur ma poitrine, mes lèvres et mes joues comme si ça pouvait cacher à Glen ce que je venais de faire.
Je sentis ses lèvres sur ma joue. J'ouvris la bouche et il commença à m'embrasser passionnément. Nous partageâmes le sperme que les garçons avaient laissé sur mon visage et mes lèvres. Puis Glen tira fort sur mes mamelons, tirant mes seins vers le bas tout en m'embrassant. Mon Dieu, je n'avais jamais été embrassée de cette façon! Ma chatte était en feu. Je pensai que si quelqu'un avait soufflé dessus, j'aurais eu un orgasme gigantesque.
Puis le jeune garçon fut devant moi. Il me regarda tout en ouvrant sa braguette et il murmura :
- Es-tu prête pour le sexe d'un homme?
- Oui, donne-moi ta bite. Je veux ta bite. Donne-moi ta putain de bite!
Je m'entendis dire ces mots. Qu'avais-je dit? Est-ce moi qui avait demandé à cet homme qui n'est pas mon mari de baiser ma bouche avec sa bite? J'avais l'impression d'être sortie de mon corps. Je vivais l'instant sans penser aux conséquences.
La queue de Glen fut la plus grosse que j'ai eu dans la bouche. On aurait dit un gros gode en caoutchouc. Le garçon ne fut pas doux. Il commença à bouger ses hanches pour baiser ma bouche comme si c'était une chatte. Je me rappelai la leçon. J'essayai d'ouvrir ma gorge et d'avaler autant que possible. Je sentis ses mains se poser derrière ma tête. Il enfonça sa queue au fond de ma gorge. Mes yeux étaient fermés, j'étais dans un autre monde. Je pouvais entendre les bruits obscènes que faisait sa queue en entrant et sortant de ma bouche.
Il viola ma gorge. Je n'avais jamais été traitée comme ça auparavant. J'adorai. Je commençai à sentir un orgasme se former au sein de mon entre. J'allais jouir alors qu'un homme me baisait le visage, je n'arrivai pas à le croire. Je commençai à trembler. Je gémis autour de la queue de Glen qui se raidit de plus en plus. Puis je le sentis éjaculer une grosse quantité d sperme dans ma gorge et ma bouche. J'étais tellement excitée que je jouis aussi. Je me souviens avoir pensé que le foutre de Glen était l'élixir des Dieux et que je ne devais pas en laisser échapper une goutte. J'étais vraiment dans un autre monde.
La prochaine chose dont je me rappelais, fut que j'étais dans ma voiture, roulant vers ma maison. J'étais toujours désorientée. Je baissai les yeux et je vis que mon chemisier était encore ouvert et mes seins couverts de sperme encore exposés. Je commençai à reprendre le contrôle de mes sens. Je pensais qu'il fallait que j'aille au supermarché pour acheter quelque chose et rentrer le plus vite possible.
Je me garai sur le parking du supermarché et je boutonnai en hâte mon chemisier. Je n'avais pas le temps d'essuyer le sperme sur mes seins. La plus grande partie avait séché d'ailleurs. Dans le magasin, j'attrapai quelques articles, je payai, repris ma voiture et je retournai à la maison le plus vite possible.
Quand j'ouvris la porte, je me rendis compte que le téléviseur était éteint. Mon cœur se mit à battre plus fort. Évidemment, mon mari Mike était déjà couché. Je ne voulus pas prendre une douche, ça aurait paru suspect. Donc j'entrai dans la salle de bain et j'essayai de me nettoyer le mieux possible avec une serviette humide. J'avais eu peur pour rien car quand je me glissai dans le lit, Mike était complètement endormi et ronflait doucement.
Tout en me couchant à côté de mon mari, je repensai aux événements incroyables de la soirée. Doucement, mes doigts trouvèrent mon clitoris et commencèrent à jouer avec. J'eus un orgasme, les jambes raidies, sans laisser passer le moindre son de mes lèvres. Je jouis dans mon lit, à côté de mon mari, avec la vision de la grosse et belle queue de Glen remplir ma bouche avec des litres de son foutre succulent.
Mais que se passait-il? Qu'allais-je devenir?
A suivre...
J'apprends à bien sucer.
Le soir venu, ma tête tournait encore. Mike était dans le salon où il faisait sombre. Seule la lumière de l'écran du téléviseur éclairait son visage. Il était à moitié endormi sur le canapé en train de regarder une émission sans intérêt.
- Mon chéri, je vais au supermarché tant qu'il n'y a pas trop de monde. Je n'y ai pas été cette semaine
- Ahhh... ok Jess... Fais attention! Répondit Mike en levant les yeux sur moi un court instant avant de retourner sur le téléviseur.
« Bon, il ne va pas me manquer » pensai-je en enfilant un jean et un tee-shirt sans mettre de soutien-gorge.
J'attrapai mon sac et je sautai dans ma voiture. Je commençai à réfléchir à ce que je faisais et comment c'était fou. Et je commençai à sentir ma chatte. Pas avec mes mains! Je remarquai que j'avais un sexe! Je ne pus me rappeler la dernière fois où j'avais eu cette sensation. Des fourmillements emplissaient ma chatte et elle me picotait avec enthousiasme. Plutôt que d'avoir peur ou dégoûtée de ce que j'étais en train de faire, je me sentis euphorique et sexy.
Je dois admettre que je roulais un peu trop vite pour arriver à la maison de Glen. Mais je voulais y arriver vite afin de revenir aussi vite pour que mon mari ne s'inquiète pas de mon absence. Alors que je me garai, je remarquai qu'il y avait deux autres voitures devant la maison. Je commençai à trembler d'excitation et je dus me calmer.
Quand j'arrivai à la porte je me figeai. Devant, se trouvait Paul JANKE, un de mes étudiants de l'année dernière. Il dit :
- Eh bien, eh bien, Madame B., venez, nous vous attendions.
Mon cœur battit plus fort et ma gorge s'assécha. Mais je rassemblai mon courage et je dis :
- Bonjour Paul! Comment allez-vous? Vous êtes à l'université maintenant non?
Le garçon mit un bras autour de moi et me regarda dans les yeux. Maintenant, je sentis vraiment ma chatte.
- Vous êtes une poule sexy Mme B. J'ai rêvé de cette nuit tout au long de vos cours.
Après ces paroles, il m'embrassa passionnément. Je sentis sa langue envahir ma bouche. Ma chatte s'humidifia et je fus gênée de dégouliner comme une chienne en chaleur. Puis j'entendis la voix de Glen :
- Eh oh doucement tous les deux. Nous avons un programme chargé ce soir.
Paul me relâcha lentement et me remit à Glen.
- Tu es prête? Me demanda-t-il.
Ce ne fut pas vraiment une question étant donné que j'étais là. Mais je secouai la tête et Glen me conduisit dans son salon.
- Ce soir nous allons t'apprendre à devenir la meilleure suceuse de la région. As-tu déjà sucé des bites?
Je secouai la tête. Glen se mit à rire.
- C'est ce que je pensais! C'est bien, parce que ce soir tu vas vraiment apprendre à sucer de la queue. Et quand nous l'aurons fait, ton mari sera fier de toi.
Je pus entendre trois ou quatre garçons rire. Mais je n'eus pas le courage de regarder autour de moi pour voir qui ils étaient.
- Nous avons environ un mètre de bonne bite de la région pour toi ce soir.
Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genoux au milieu du salon sur le plancher. Puis il se tourna vers Paul et lui dit :
- Paul, tu es un vrai bâtard. Viens là, tu seras le premier.
Le garçon s'approcha et se positionna de telle façon que son entrejambe se trouve devant mon visage. J'étais agenouillée devant lui comme un agneau que l'on mène à l'abattoir.
- Sors sa queue et commence à le sucer salope! Ordonna Glen d'une voix autoritaire.
J'ouvris la braguette de Paul et j'allai pécher sa queue. Je vis ses poils pubiens rouge vif et je remarquai que sa bite était toute rose. Sa bite n'était pas aussi longue que celle de mon mari et sûrement pas plus grosse que celle de Glen. Doucement, je commençai à sucer le membre de Paul. Je le sentis grossir dans ma bouche. Le monde se referma sur moi. Il me sembla qu'il n'y avait plus que moi et cette queue dans ma bouche. Je fermai les yeux et je fis de mon mieux pour bien sucer.
Pendant que je m'activai sur la bite de Paul, je sentis deux mains se poser sur ma tête. C'était Glen. Ses lèvres se trouvaient juste à côté de mon oreille. Mais j'étais dans un autre monde.
- C'est bien petite chienne suceuse de bites, mets bien cette queue dans ta bouche. Ronronna-t-il dans mon oreille.
- Enfonce la bien et déglutis pour que le gland s'adapte à ta gorge. Ajouta-t-il.
J'essayai de suivre ses instructions. La tête de la bite de Paul était juste assez petite pour entrer dans ma gorge si j'ouvrais bien la bouche et poussais ma tête dans ses poils pubiens. Je sentis les poils roux chatouiller mon nez tandis que les fortes mains de Glen poussaient ma tête vers le bas sur la bite.
La queue de Paul était maintenant complètement fichée au fond de ma gorge. Je commençai d'essayer de déglutir et j'entendis le jeune garçon gémir. Puis, soudain, je sentis un flux chaud de sperme envahir ma gorge. Je ne pouvais rien faire, je ne pouvais pas goûter ce sperme. D'une certaine façon je me sentis trompée. Puis je commençai à étouffer et je toussai. Sa dernière giclée de sperme fut dans ma bouche et sur ma lèvre supérieure.
Glen racla la substance avec son doigt et la déposa dans ma bouche. Je la pris comme j'aurais pris de la crème chantilly.
- Au prochain! Dit Glen.
Paul se déplaça et une autre bite prit sa place. Celle-ci était longue et mince. Je rigolai presque en voyant cette queue si mince. Je ne m'intéressai pas au garçon qui possédait ce pénis. J'étais trop fascinée par les veines, le gland et l'odeur de l'engin. Son propriétaire frotta sa queue contre ma joue, sur mes lèvres. Il jouait avec moi, il me taquinait. J'ouvris ma bouche et fermai les yeux. Encore une fois, je fus seule dans mon monde. J'entendis le garçon crier alors que je le suçai vigoureusement et que je léchai sa bite. Ma seule pensée était de savoir quel goût aurait son sperme lorsque que je l'aurais fait jouir. J'étais mortifiée de penser que tous ces jeunes garçons avaient probablement été mes élèves.
Je réalisai que je voulais être la meilleure suceuse de bites que connaîtraient jamais ces jeunes. Je sais que c'était obscène, mais je voulais que Glen soit fier de moi devant ses amis, quel qu'ils soient.
La bite mince commença à gicler dans ma bouche. Glen me demanda de garder la semence à l'intérieur de la bouche et de ne rien avaler. Je lui obéis. Puis il me dit d'ouvrir la bouche afin que tout le monde voie le foutre de son ami. Je fermai les yeux et montrai ma bouche remplie à la salle pleine de jeunes hommes ricanant.
- Avale salope! Commanda Glen.
Un grognement collectif s'éleva dans la pièce. Alors que j'avalai, j'entendis un garçon s'exclamer :
- Quelle salope!
Cela fit rire les autres, mais je ne fus pas offusquée. Au contraire, je me sentis fière d'être la salope de Glen et fière d'être désirée par tous ces jeunes.
Cela recommença quatre ou cinq fois, j'avais perdu le compte. J'étais dans mon univers avec chaque bite. Tous les gars devaient être assez jeunes et inexpérimentés parce qu'ils éjaculèrent tous après une ou deux minutes de fellation. Je pouvais sentir la pièce se vider au fur et à mesure qu'ils se libéraient dans ma bouche. Bientôt, il ne resta que Glen et moi dans le salon de ses parents.
Le garçon était toujours derrière moi, ses lèvres près de mon oreille. Je sentais le chaume de sa barbe contre ma joue. Quelqu'un avait levé mon débardeur et mes seins étaient dans les mains de Glen. Il les tripotait sans vergogne. Le sperme que je n'avais pas pu avaler et qui était tombé sur ma poitrine refroidissait.
- Tu es une vraie salope avaleuse de sperme Jessie. Murmura Glen à mon oreille.
Tout d'un coup je me sentis horriblement gênée. Je voulais essuyer le sperme sur ma poitrine, mes lèvres et mes joues comme si ça pouvait cacher à Glen ce que je venais de faire.
Je sentis ses lèvres sur ma joue. J'ouvris la bouche et il commença à m'embrasser passionnément. Nous partageâmes le sperme que les garçons avaient laissé sur mon visage et mes lèvres. Puis Glen tira fort sur mes mamelons, tirant mes seins vers le bas tout en m'embrassant. Mon Dieu, je n'avais jamais été embrassée de cette façon! Ma chatte était en feu. Je pensai que si quelqu'un avait soufflé dessus, j'aurais eu un orgasme gigantesque.
Puis le jeune garçon fut devant moi. Il me regarda tout en ouvrant sa braguette et il murmura :
- Es-tu prête pour le sexe d'un homme?
- Oui, donne-moi ta bite. Je veux ta bite. Donne-moi ta putain de bite!
Je m'entendis dire ces mots. Qu'avais-je dit? Est-ce moi qui avait demandé à cet homme qui n'est pas mon mari de baiser ma bouche avec sa bite? J'avais l'impression d'être sortie de mon corps. Je vivais l'instant sans penser aux conséquences.
La queue de Glen fut la plus grosse que j'ai eu dans la bouche. On aurait dit un gros gode en caoutchouc. Le garçon ne fut pas doux. Il commença à bouger ses hanches pour baiser ma bouche comme si c'était une chatte. Je me rappelai la leçon. J'essayai d'ouvrir ma gorge et d'avaler autant que possible. Je sentis ses mains se poser derrière ma tête. Il enfonça sa queue au fond de ma gorge. Mes yeux étaient fermés, j'étais dans un autre monde. Je pouvais entendre les bruits obscènes que faisait sa queue en entrant et sortant de ma bouche.
Il viola ma gorge. Je n'avais jamais été traitée comme ça auparavant. J'adorai. Je commençai à sentir un orgasme se former au sein de mon entre. J'allais jouir alors qu'un homme me baisait le visage, je n'arrivai pas à le croire. Je commençai à trembler. Je gémis autour de la queue de Glen qui se raidit de plus en plus. Puis je le sentis éjaculer une grosse quantité d sperme dans ma gorge et ma bouche. J'étais tellement excitée que je jouis aussi. Je me souviens avoir pensé que le foutre de Glen était l'élixir des Dieux et que je ne devais pas en laisser échapper une goutte. J'étais vraiment dans un autre monde.
La prochaine chose dont je me rappelais, fut que j'étais dans ma voiture, roulant vers ma maison. J'étais toujours désorientée. Je baissai les yeux et je vis que mon chemisier était encore ouvert et mes seins couverts de sperme encore exposés. Je commençai à reprendre le contrôle de mes sens. Je pensais qu'il fallait que j'aille au supermarché pour acheter quelque chose et rentrer le plus vite possible.
Je me garai sur le parking du supermarché et je boutonnai en hâte mon chemisier. Je n'avais pas le temps d'essuyer le sperme sur mes seins. La plus grande partie avait séché d'ailleurs. Dans le magasin, j'attrapai quelques articles, je payai, repris ma voiture et je retournai à la maison le plus vite possible.
Quand j'ouvris la porte, je me rendis compte que le téléviseur était éteint. Mon cœur se mit à battre plus fort. Évidemment, mon mari Mike était déjà couché. Je ne voulus pas prendre une douche, ça aurait paru suspect. Donc j'entrai dans la salle de bain et j'essayai de me nettoyer le mieux possible avec une serviette humide. J'avais eu peur pour rien car quand je me glissai dans le lit, Mike était complètement endormi et ronflait doucement.
Tout en me couchant à côté de mon mari, je repensai aux événements incroyables de la soirée. Doucement, mes doigts trouvèrent mon clitoris et commencèrent à jouer avec. J'eus un orgasme, les jambes raidies, sans laisser passer le moindre son de mes lèvres. Je jouis dans mon lit, à côté de mon mari, avec la vision de la grosse et belle queue de Glen remplir ma bouche avec des litres de son foutre succulent.
Mais que se passait-il? Qu'allais-je devenir?
A suivre...
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