lundi 10 septembre 2018

Payer le loyer Ch. 03

Payer le loyer - récit érotique  domination soumission viol chantage

Traduction d'un récit de Craig88.

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Le propriétaire conduit Hélène chez des amis.

Après être sortie pendant environ trois heures, je reviens à mon appartement que je crois être mon sanctuaire. Je ferme la porte et j'entre dans ma chambre. Je vide le contenu de mes sacs sur le lit. Je place tous les articles achetés l'un à côté de l'autre. Je les examine un par un. Le tout m'a coûté 200 euros, mais je n'ai pas aimé ce que j'ai vu et où j'ai été.

J'ai dû aller dans un magasin dans une zone reculée de la ville où je ne suis jamais allée auparavant. Dans ce quartier il y a de nombreux sans-abris dégoûtants. D'ailleurs j'ai dû subir leurs remarques machos et leurs sifflets humiliants.

Pour être clair, ce magasin est un sex-shop. C'est d'ailleurs plus que ça. Lorsque je suis entrée, j'ai été accueillie par un nombre inimaginable de tenues en cuir, godemichés, vibromasseurs, fouets... Tous les jouets sexuels imaginables. J'ai eu la chair de poule à cette vision.

J'ai montré ma liste d'articles à la vendeuse du magasin. Mais cette femme ne ressemblait pas à une vendeuse normale. Elle portait un haut en plastique rose qui couvrait à peine sa poitrine immense et une mini-mini-jupe très serrée. Toutefois elle m'a bien aidée.

Tous les objets achetés sont maintenant étalés sur mon lit. Je les regarde. Il y a deux paires de menottes, un ball-gag, un fouet, des bottes hautes en cuir brillant, quelques paires de bas-résille, quelques mini-jupes en cuir, une courte robe noire en latex, quelques hauts échancrés et un gros gode en caoutchouc noir. Pour être honnête, les vêtements et la lingerie ne m'effraient pas au contraire du fouet et du gros gode. La vendeuse du magasin a été étonnée de la taille de celui que je devais prendre. Il fait bien 30 centimètres de long pour un très gros diamètre. Il me fait très peur.

Je remets tous les objets dans le sac et je cache celui-ci sous le lit en espérant que Steve ne le trouve pas et ainsi découvre l'humiliation à laquelle je me soumets pour notre couple.

Le lendemain je suis réveillée avant mon mari. J'étais agitée et je ne pouvais pas dormir en sachant ce qui se cachait sous mon lit, tous ces objets qui me feraient souffrir.

Le temps passe lentement. Il n'est que huit heures du matin lorsque Steve part travailler. Je n'ai aucune idée de ce qui va m'arriver dans trois heures et demie.

Toute la matinée, je tourne dans mon appartement sans arriver à me détendre. Je n'arrête pas de regarder l'horloge jusqu'à ce qu'elle indique 11H30. Mon propriétaire arrive juste à l'heure. Quand je le laisse entrer, je soupire de soulagement, car il est seul. Tout de suite il me demande :

- As-tu ce que je t'ai demandé?

- Oui.

J'entre dans ma chambre, l'homme sur mes talons. Je sors le sac de dessous le lit et je verse son contenu dessus. Les yeux de M. ALLEN s'élargissent de joie à la vue de tous les objets. Il fouille dedans et attrape la robe courte en latex. Il me la jette en me disant de la mettre.

- Puis-je avoir un peu d'intimité? demandé-je.

Je finis à peine ma phrase que ma joue me brûle, comme hier. Après cette claque il sourit et me répond :

- Je ne pense pas.

Je me déshabille, mais je garde mon soutien-gorge et ma culotte. Il me dit alors de les enlever. Comme je ne veux pas une autre gifle je lui obéis. Ses yeux sortent de sa tête. J'ai des frissons alors que son regard parcoure mon corps, mes seins et ma chatte rasée.

Finalement je réussis à me faufiler dans la robe en latex. Elle est extrêmement serrée et j'ai l'impression d'être étouffée. Je tire sur le bas afin de m'assurer d'être « présentable ».

- Regarde-toi dans le miroir salope! Commande M. ALLEN.

J'avais essayé les vêtements dans le magasin, mais je n'avais pas beaucoup prêté attention à mon apparence, car je savais que j'avais l'air d'une pute. Je me tourne vers mon miroir et mon idée est confirmée, j'ai vraiment l'air d'une pute. Mes gros seins sont tendus contre le caoutchouc et on a l'impression qu'ils vont éclater. La robe est si courte que la rondeur de mes fesses veut s'échapper. Je déteste mon apparence, mais ma chatte semble aimer. Je sens que mon entrejambe est mouillé. Ma chatte aime que je m'habille en pute et elle me le fait savoir. Je jette un coup d'œil vers mon propriétaire et je peux voir une grosse bosse dans son pantalon.

Ma chatte m'ordonne de libérer sa petite bite puante. Elle veut que je la prenne dans ma bouche, que je suce sa bite avec son odeur immonde. Je ne peux croire que ma chatte réagisse ainsi. L'humiliation d'hier semble lui avoir plu. Je déteste ça, je voudrais l'arracher pour la punir de vouloir trahir mon mari Steve.

M. ALLEN me demande d'enfiler les bottes qui me montent jusqu'aux genoux. Je vois maintenant une vraie salope dans le miroir.

- Nous sortons maintenant! Dit l'homme.

Dehors? Je ne peux pas sortir dans cette tenue. Je sais que je risque une autre claque, mais je m'en fiche, je ne peux pas sortir, les gens vont me voir.

- Mais je ne peux pas sortir comme ça, on va me voir.

M. ALLEN sourit :

- Hélène, tu as ce long manteau là-bas! Tu crois que je suis stupide?

Je regarde le sol en attendant que la gifle arrive, mais ce n'est pas le cas. Il continue :

- De plus, tu ne crois quand même pas que tu es la seule idiote à ne pas payer ton loyer?

Je ne suis pas la seule? Oh mon Dieu, je n'arrive pas à croire qu'une autre pauvre femme doit subir la même épreuve. Qui est-elle? Est-ce que je la connais?

J'attrape mon manteau et je suis mon tourmenteur dans les escaliers. Je ne sais pas où l'on va et j'ai peur de lui demander. Mon propriétaire sue alors que je le suis. Ça me donne la nausée.

Nous entrons dans sa grosse et voyante BMW et nous quittons le parking. Sa voiture pue la transpiration aussi. Tandis que nous roulons, il commence à bruiner. Des petites gouttes de pluie tombent sur le pare-brise. Le temps est humide comme ma chatte. Je n'arrive pas à la contrôler alors que j'anticipe ce qui va m'arriver. Je déteste mon propriétaire, je déteste ce qu'il me force à faire, je veux juste être avec mon mari.

Puis je réalise que nous sommes dans les quartiers les plus sales de la ville. Les rues grouillent de clochards, de drogués et de prostituées. Je commence à avoir peur, je déteste cet endroit. Nous passons devant le sex-shop où j'ai acheté ma tenue. Je regarde mon propriétaire qui garde son regard sur la route.

Nous tournons dans une rue avec des tas de détritus un peu partout. Un coup de tonnerre me fait sursauter. J'ai peur. Le long de la route se trouvent de grands entrepôts délabrés. Les enseignes sont complètement ternies et les vitres brisées. Ils ont l'air complètement abandonné. M. ALLEN entre sur le parking d'un de ces entrepôts. Il se gare et coupe le moteur.

- Sors!

J'ouvre lentement la porte et j'obéis. Ma robe en latex est légèrement relevée alors je la remets en place.

- Enlève ton manteau et donne-le-moi!

Je continue à obéir. Je ne me suis jamais sentie aussi vulnérable dans ma vie. Je suis habillée en vraie salope dans les quartiers mal famés de la ville. J'ai peur. M. ALLEN dit :

- Maintenant voilà ce que tu vas faire : Tu vas entrer dans cet entrepôt. Ne t'inquiète pas, tout ira bien.

Je regarde le bâtiment abandonné et je me demande ce qu'il y a dedans.

- Il y a quelques-uns de... mes amis. Ils sont au courant de ton arrivée, tu vas les aider à assouvir quelques besoins sexuels.

Son sourire est glacial, il me fait presque fondre en larmes. Je n'ai jamais autant eu peur de ma vie.

- Ne t'inquiète pas, je ne serai pas loin.

Ses paroles ne m'inspirent pas confiance. Je me détourne de lui et je marche vers un espace noir où je crois qu'une porte se trouve. Les talons de mes bottes claquent bruyamment lorsque j'entre avec appréhension. Je jette un coup d'œil et j'entends des hommes rire et parler fort. J'essaie de mieux regarder mais d'où je suis-je ne vois personne. Alors je prends une grande inspiration et je pénètre plus loin dans l'entrepôt. Il est complètement vide à l'exception de vieux cartons qui traînent un peu partout.

- WAOUH! REGARDEZ CA! Beugle une voix.

Mes yeux se dirigent dans la direction de la voix et mon cœur s'arrête de battre. Dans un coin de l'entrepôt sont assis trois clochards sales. Ils ne sont pas reluisants avec leurs vêtements noirs de crasse et leurs regards vicieux.

Avant que je ne réagisse, ils sont autour de moi comme des mouches sur de la viande. Leurs yeux ne peuvent croire leur chance. Le plus grand semble le chef. Un autre est petit et le dernier assez gros. Ils sentent vraiment mauvais, plus mauvais que M. ALLEN. Je ne dis rien.

- Eh bien, je ne sais pas pour vous les gars, mais je vais avoir une chatte. Rit le grand.

Les autres semblent d'accord avec lui.

- Que fais-tu ici salope? Ton mari ne te satisfait pas alors tu cherches de vrais hommes.

Je me tourne vers le chef et je lui crache au visage pour cette remarque. Tout ce que je reçois en retour, c'est une claque méchante. Je tombe sur le sol, au milieu de leurs rires. Puis je suis tirée brutalement par mes cheveux blonds pour être mise à genoux. Un peu étourdie, je vois que le grand a sorti sa bite et se masturbe. Les deux autres font de même.

Le chef pose sa main derrière ma tête et me demande de sucer sa bite. Il me tire en avant et pousse sa queue dans ma bouche. Je sens un goût d'urine, sa bite est dégueulasse. Vicieusement il baise ma bouche. Je sens des mains parcourir mon corps, mes seins et mes fesses. Puis je sens que l'on met une queue bien raide dans ma main gauche.

- Branle ma queue sale pute!

J'obéis et je branle sa bite de haut en bas. Le troisième clochard essaie de sortir mes seins de la robe moulante. « Bonne chance connard » pensé-je.

Le chef continue de me baiser la bouche. Il a une grosse queue et il la pousse jusqu'au fond de ma gorge jusqu'au moment où j'étouffe. Il la ressort pour me permettre de tousser et reprendre mon souffle puis il la repousse à l'intérieur.

Peu de temps après sa bite se contracte et libère une grosse quantité de sperme chaud dans ma bouche. Il tire ma tête sur sa bite et je dois lutter pour m'accommoder de son membre et de sa semence.

- Merde, sa chatte est trempée! Dit un des deux autres.

Mon Dieu non, je ne peux croire que mon corps apprécie ce traitement. Je veux rentrer chez moi. Le grand clochard recule et sort sa bite de ma bouche. Maintenant je vois bien sa bite, elle fait bien 18 centimètres de long. Un filet de salive mélangé à du sperme s'étire de ma bouche à sa queue. Il recule encore et s'assoit. Il a son compte pour le moment.

J'ai à peine le temps de réfléchir que le plus gros fourre son membre dans ma gueule. Sa bite est aussi longue que celle du grand, mais elle est un peu courbée. Lui aussi baise ma bouche sans ménagement. Il ne tient pas longtemps et vide ses couilles dans ma gorge.

Ensuite je suis tirée par-derrière jusqu'à un banc. On me couche dessus et mon cul est maintenant à leur merci. C'est le petit qui m'a traîné. Il gifle mes fesses et soudain, met un doigt dans mon trou du cul vierge.

- AHHHH, Mon Dieu s'il vous plaît, AAHHHH, PAS LA!

Je me mets à pleurer. J'entends le clochard déboutonner son pantalon et farfouiller pour sortir son sexe.

- Tu vas l'avoir maintenant stupide salope! Dit l'un des deux autres.

Sans hésitation, une grosse bite pénètre ma chatte. Je pleure d'angoisse, car je n'ai jamais senti un aussi gros engin. L'homme retire sa queue et la replonge à nouveau. Centimètre par centimètre, elle rentre de plus en plus profondément dans mon vagin. Je me demande comment est long ce sexe dégoûtant.

Cette bite crasseuse m'apporte un plaisir que je n'ai jamais ressenti auparavant. C'est si fort que je ne peux me battre contre ça. Une grosse bite autre que celle de mon mari me défonce et je suis impuissante à me battre contre. Je peux entendre les deux autres clochards rirent et dirent bien forts :

- Regarde Monty, elle aime ta bite, quelle grosse chienne!

L'homme baise ma chatte si fort que je peux sentir mon jus couler sur mes cuisses. Je pleure :

- Ahhhhhh, s'il vous plaît, aaaahhhh, putain, ahhhhh, pas plus, ohhhhhh, putain, oooohhhhh putain.

Ses coups de rein accélèrent et une chaleur monte à l'intérieur de mon ventre. C'est si étrange... Je n'arrive pas à le croire... Je vais avoir un orgasme de la part d'un vagabond.

Je crie pour qu'il s'arrête. Je ne veux pas souffrir. Si je jouis, je ne serai plus jamais capable de regarder mon mari dans les yeux. Mais c'est inutile.

Le clochard se contente de me pilonner plus fort et je cède. Je sens une explosion dans mon ventre, mon corps tremble violemment et je pleure de plaisir. J'ai l'impression que mes genoux vont céder alors que mes hanches viennent à la rencontre de cette grosse bite sale.

Quand je me remets de mon orgasme, je les entends tous rire. Je n'arrive pas à croire ce que je viens de ressentir, je voudrais mourir sur place. Ces clochards m'ont violée et j'ai apprécié. Je commence à sangloter doucement. Je suis une pute, comment avais-je pu faire ça à mon mari?

- Je vais gicler! Gémit l'homme qui me baise.

- Pas dans ma chatte s'il vous plaît! Supplié-je.

Mais je supplie sans succès et il se libère dans ma chatte, l'inondant avec son sperme dégoûtant. Je suis si humiliée, j'ai laissé tomber mon mari.

Mon tourment n'est pas terminé. Je ne sais pas combien de temps cela dure, mais les clochards me violent encore et encore. Même ma virginité anale m'a été volée. J'ai dû monter sur la grosse bite pendant que le petit gros me faisait sucer la sienne. Le grand n'avait plus que mon trou du cul à utiliser. Je l'ai supplié tant que je pouvais, mais encore une fois en vain. Il poussa sa longue bite serrée dans mon cul et j'eus si mal que je pleurais à grosses larmes. Ils ont juste rigolé.

Finalement après qu'ils aient tous utilisé ma bouche, ma chatte et mon cul, je dois faire une branlette à chacun. Un à un, ils se relaient pour se branler entre mes gros seins avant d'éjaculer sur ma poitrine ou mon visage.

Alors que je suis à genoux, du sperme dégoulinant de ma chatte, de mon trou du cul, descendant sur mes cuisses, le visage et les seins couverts de leur semence, je dois subir une dernière humiliation.

- Espèce de grosse salope, grosse pute, tu vas me lécher le cul! Dit le gros clochard.

Ils se mettent à rire. Le gros se retourne, se penche et écarte ses fesses. Je détourne le regard, dégoûtée, mais le grand me saisit par les cheveux et pousse mon visage sur le trou du cul sale. L'odeur et le goût sont indescriptibles. Je lèche son anus.

- Oh oui sale pute, nettoie mon cul!

Je lèche son trou du cul jusqu'à ce qu'il soit convaincu qu'il est propre. Je ne peux m'imaginer à quoi ressemble mon visage. Le goût dans ma bouche est terrible.

Finalement je suis autorisé à partir. Mon propriétaire m'attend dehors, un grand sourire sur sa figure.

Je le regarde et je lui demande si ça compense le loyer que nous lui devons. Il sourit simplement et dit :

- Hélène, cette expérience sera financièrement bénéfique pour toi, je le promets.

Il me reconduit à mon appartement sans que nous échangions d'autres mots.

À suivre...

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