Payer le loyer - récit érotique domination soumission viol chantage
Traduction d'un récit de Craig88.
**************
M. ALLEN veut plus d'argent et il amène un ami.
Steve est parti travailler à 8 heures du matin. Je suis allongée dans mon lit, attendant que l'on frappe à la porte. Un frisson parcoure ma colonne vertébrale à la pensée de la bite puante de mon propriétaire. Je tire la couette plus haut en espérant que la chaleur contre mon corps nu me réconfortera. Mais ce n'est pas le cas.
Une heure passe et toujours rien. Puis deux heures. Puis trois. A 11h30, à contrecœur je sors de mon lit chaud et je me traîne tranquillement jusqu'à la salle de bain sur la pointe des pieds. Quelle idiote! Ai-je vraiment pensé que si je ne fais pas de bruit, il ne m'entendra pas et repartira? Je redoute son arrivée.
J'allume la douche et je commence à me laver, l'eau chaude courant sur mon corps, mes seins.
« Toc Toc ».
Je me fige. Ce son sur ma porte me fait froid dans le dos et je sens une boule se former dans mon estomac. Pourquoi maintenant? Pourquoi au plein milieu de ma douche, au moment où je suis la plus vulnérable, où je suis nue.
J'attrape une serviette et je commence à me sécher frénétiquement.
« Toc Toc ».
Les coups sont plus forts cette fois-ci. L'homme devient impatient. Je ne veux pas le mettre en colère, j'ai peur des représailles sexuelles.
J'attrape ma robe, je l'enfile et je vais à la porte. Je déglutis en attrapant la poignée et en ouvrant lentement. Je l'entrebâille simplement comme pour voir qui est derrière.
Instantanément je vois les yeux froids et brillants de M. ALLEN fixés sur moi. J'ai l'impression que je vais fondre en larmes.
- Hello Hélène! Ravie de me voir? Dit-il en souriant.
Je ne dis rien et j'ouvre la porte en grand puis je lui tourne le dos. Je marche jusqu'au centre de mon salon et j'attends les prochaines humiliations.
- Tu n'es pas d'humeur bavarde Hélène. Quelle honte après la générosité dont je fais preuve envers ton mari et toi.
Ces mots me mettent en colère. De la générosité? il peut se la coller dans son gros cul.
Il vient derrière moi et passe ses mains sur mes épaules et mes bras. Il tend la main devant moi et tire sur la ceinture de mon peignoir. Lentement il l'ouvre et je sens sa tête sur mon épaule alors qu'il regarde par-dessus. Mon peignoir est complètement ouvert, il le fait glisser sur mes épaules pour le faire tomber par terre. J'ai des frissons alors que je suis nue et vulnérable.
- Ahhhh, ça fait longtemps que je voulais voir ces nichons.
Je déteste ce mot « nichon », c'est si vulgaire. Mon mari sait que je déteste ça.
M. ALLEN fait courir ses doigts potelés sur mes mamelons qui se sont dressés sous l'air froid. Puis il passe devant moi afin de me faire face. Il déboutonne son pantalon et baisse son slip sur ses chevilles. Je suis horrifiée quand je vois des marques de saleté dans son sous-vêtement.
Il se laisse tomber dans notre canapé et il me fait signe de m'agenouiller devant lui. À contrecœur, je me place entre ses jambes. Il lève sa main et la passe dans mes cheveux humides. Puis il tire très fort ma tête vers le bas en direction de sa bite.
L'odeur est pire que hier. J'ai des hauts le cœur et je ne suis pas loin de vomir. Mais je ne peux rien faire avec sa bite dans ma bouche. Comme hier, je suis complètement soumise et il baise ma bouche. Il bouge ma tête en tirant mes cheveux et la douleur me fait monter les larmes aux yeux.
« Clac ».
C'est la porte d'entrée qui vient de claquer. J'essaie de me dégager mais M. ALLEN tient fermement ma tête en place. Je ne peux que voir ce qui est en face de moi, c'est-à-dire le gros ventre de mon propriétaire. Je réalise que je n'ai pas fermé la porte à clé et que ma position me laisse vulnérable pas derrière.
- Bon sang, elle a un sacré cul!
C'est une vois masculine qui dit ces mots. Ce n'est pas celle de mon mari Steve, elle est plus grave et elle paraît appartenir à un homme plus vieux. M. ALLEN lui répond :
- Pourquoi n'en profites-tu pas alors?
Tout d'un coup je panique. Aucun autre homme que Steve ne m'a pénétrée. J'essaie de me relever en disant :
- Non, s'il vous plaît!
Mais mes supplications tombent dans l'oreille d'un sourd. Ma tête est soulevée. Je me retrouve face à la figure de mon propriétaire. Je sens une brûlure sur ma joue. Il vient de me gifler violemment. Et il beugle :
- Maintenant tu m'écoutes sale pute! Je ferai de toi ce que je veux. Je dis qui peut te baiser ou pas. Si tu essaies de me désobéir à nouveau, tu seras puni plus durement et plus douloureusement. Si tu veux que j'arrête, tu seras jetée à la rue avec ton mari. Et je ne crois pas que ton ménage ira mieux quand il découvrira quelle salope est sa femme.
Je pense à Steve et à mon amour pour lui. Je ne serai rien sans lui. Alors j'essuie mon visage et je regarde M. ALLEN dans les yeux. Sa main a lâché mes cheveux et repose sur sa cuisse. Je me penche en avant et je reprends sa petite bite dure dans ma bouche et je commence à le sucer.
- Ahhhhh, c'est la bonne réponse Hélène.
Je suce sa bite de mon plein gré. C'est moi qui contrôle la fellation et non lui. Je garde les yeux fermés et j'essaie de penser à Steve.
« CLAC »
Une main vient de tomber sur mes fesses. L'écho de la claque résonne dans la pièce. La douleur est inimaginable et je me mets à pleurer. Trois autres claques sont déposées violemment sur mon cul sensible, chacune plus douloureuse que la précédente. C'est l'homme derrière moi qui pose ses mains brûlantes sur mon fondement.
Je m'applique à sucer la bite de M. ALLEN quand j'entends le son familier d'une fermeture éclair de braguette. Je sens quelque chose frotter contre les lèvres de ma chatte. Je pense savoir quoi.
Je sens alors l'homme derrière moi me pénétrer. Il est le deuxième homme de ma vie à utiliser ma chatte. Il s'enfonce puis il recule lentement. Je n'ai pas l'impression que sa bite soit bien grosse.
- C'est ça Dan, donne-lui une leçon à cette petite pute.
Dan, ça doit être son nom. Je l'entends répondre :
- Oh putain Phil, sa chatte est bien serrée, c'est comme baiser une vierge.
Ils éclatent tous les deux de rire. Je veux que cette épreuve se termine vite.
Dan commence à me pilonner de plus en plus fort et je déteste chaque minute. Je fais de mon mieux pour que mon propriétaire jouisse et j'essaie de serrer les muscles de mon vagin dans l'espoir que Dan en finisse vite lui aussi.
- Mmmmm, elle mouille de plus en plus. Dit Dan.
C'est vrai. Lentement je sens que je commence à apprécier. Il est vrai que ça fait un moment que je n'ai pas eu de bite dans ma chatte.
Mais qu'est-ce que je dis? Ma putain de chatte me trahit. Je déteste chaque instant, mais ma chatte profite de sa petite bite.
La voix familière de M. ALLEN dit alors :
- C'est vrai Hélène que tu commences à apprécier la queue de Dan? Tu es vraiment une petite salope.
Ils éclatent encore tous les deux de rire. Espèce d'abrutis!
Après ce qui me semble une éternité, M. ALLEN commence à gémir plus fort. Je place ma main sur ses couilles et je les caresse en espérant que cela va l'accélérer. Et c'est le cas.
- Oh putain oui, je vais gicler!
Il éjacule son sperme qui a mauvais goût dans ma bouche. Je ne veux pas l'avaler, mais je n'ai nulle part où cracher, si ce n'est sur son visage. Comme je ne veux pas que le goût dure dans ma bouche, je me dépêche alors d'avaler son foutre.
Dan ne tient pas plus longtemps. Ma chatte me cause vraiment des problèmes. Elle, pas moi, essaie de profiter du moment. J'utilise la mauvaise odeur de la bite du propriétaire pour essayer de réprimer mes gémissements. Mais ma chatte sait que j'ai une bite dans la bouche et une autre qui la lime. C'est un fantasme féminin courant alors que peut-elle faire d'autre que mouiller?
Une minute ou deux plus tard, dans un grand gémissement Dan éclate dans mon ventre. Il inonde ma chatte avec environ ce qui me semble un bon litre de sperme. Je sens sa bite se raidir en moi alors qu'il gicle plusieurs fois. Ensuite son érection diminue et je sens son sperme chaud sortir de ma chatte et couler sur mes cuisses.
Je reste agenouillée tandis que M. ALLEN se lève et remonte son pantalon. Je regarde le canapé devant moi alors que Dan se place devant moi. Je veux lever les yeux pour voir son visage, mais sa bite demi-molle est poussée dans ma bouche.
- Nettoie ma bite petite pute! Commande-t-il.
Sans me révolter, je suce sa bite, goûtant son sperme et mon jus de chatte mélangés, un goût que je n'ai jamais savouré. Je pense que Dan veut simplement nettoyer rapidement sa bite dans ma bouche. Mais je suce sa queue, qui ne fait que 10 centimètres de long, pendant un bon moment, jusqu'à ce qu'il éjacule une deuxième fois dans ma bouche déjà utilisée.
Je l'aperçois seulement quand il part précipitamment. Il a les cheveux gris et il est assez grand. C'est tout ce que je peux voir.
M. ALLEN s'approche de moi. Il place un bout de papier sur le canapé avec 200 euros en espèces.
- Je veux que tu prennes cet argent et que tu achètes tout ce qu'il y a sur ce papier. Tu trouveras tout au même endroit et ça te coûtera 200 euros. Tu ne dois le montrer à ton mari et tu dois l'acheter avant que je revienne demain matin vers 11H30. C'est clair?
Je hoche légèrement la tête.
- Bien! A demain Hélène!
Et il part. Je suis agenouillée dans mon salon avec du sperme qui coule de mon visage et de ma chatte. Je ressemble à une pute bien utilisée. Mais je l'ai fait pour mon couple. Je me penche en avant et je lis le morceau de papier.
Je me relève et je vais prendre une douche. Puis je m'habille et je sors avec le morceau de papier et les 200 euros.
À suivre...
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M. ALLEN veut plus d'argent et il amène un ami.
Steve est parti travailler à 8 heures du matin. Je suis allongée dans mon lit, attendant que l'on frappe à la porte. Un frisson parcoure ma colonne vertébrale à la pensée de la bite puante de mon propriétaire. Je tire la couette plus haut en espérant que la chaleur contre mon corps nu me réconfortera. Mais ce n'est pas le cas.
Une heure passe et toujours rien. Puis deux heures. Puis trois. A 11h30, à contrecœur je sors de mon lit chaud et je me traîne tranquillement jusqu'à la salle de bain sur la pointe des pieds. Quelle idiote! Ai-je vraiment pensé que si je ne fais pas de bruit, il ne m'entendra pas et repartira? Je redoute son arrivée.
J'allume la douche et je commence à me laver, l'eau chaude courant sur mon corps, mes seins.
« Toc Toc ».
Je me fige. Ce son sur ma porte me fait froid dans le dos et je sens une boule se former dans mon estomac. Pourquoi maintenant? Pourquoi au plein milieu de ma douche, au moment où je suis la plus vulnérable, où je suis nue.
J'attrape une serviette et je commence à me sécher frénétiquement.
« Toc Toc ».
Les coups sont plus forts cette fois-ci. L'homme devient impatient. Je ne veux pas le mettre en colère, j'ai peur des représailles sexuelles.
J'attrape ma robe, je l'enfile et je vais à la porte. Je déglutis en attrapant la poignée et en ouvrant lentement. Je l'entrebâille simplement comme pour voir qui est derrière.
Instantanément je vois les yeux froids et brillants de M. ALLEN fixés sur moi. J'ai l'impression que je vais fondre en larmes.
- Hello Hélène! Ravie de me voir? Dit-il en souriant.
Je ne dis rien et j'ouvre la porte en grand puis je lui tourne le dos. Je marche jusqu'au centre de mon salon et j'attends les prochaines humiliations.
- Tu n'es pas d'humeur bavarde Hélène. Quelle honte après la générosité dont je fais preuve envers ton mari et toi.
Ces mots me mettent en colère. De la générosité? il peut se la coller dans son gros cul.
Il vient derrière moi et passe ses mains sur mes épaules et mes bras. Il tend la main devant moi et tire sur la ceinture de mon peignoir. Lentement il l'ouvre et je sens sa tête sur mon épaule alors qu'il regarde par-dessus. Mon peignoir est complètement ouvert, il le fait glisser sur mes épaules pour le faire tomber par terre. J'ai des frissons alors que je suis nue et vulnérable.
- Ahhhh, ça fait longtemps que je voulais voir ces nichons.
Je déteste ce mot « nichon », c'est si vulgaire. Mon mari sait que je déteste ça.
M. ALLEN fait courir ses doigts potelés sur mes mamelons qui se sont dressés sous l'air froid. Puis il passe devant moi afin de me faire face. Il déboutonne son pantalon et baisse son slip sur ses chevilles. Je suis horrifiée quand je vois des marques de saleté dans son sous-vêtement.
Il se laisse tomber dans notre canapé et il me fait signe de m'agenouiller devant lui. À contrecœur, je me place entre ses jambes. Il lève sa main et la passe dans mes cheveux humides. Puis il tire très fort ma tête vers le bas en direction de sa bite.
L'odeur est pire que hier. J'ai des hauts le cœur et je ne suis pas loin de vomir. Mais je ne peux rien faire avec sa bite dans ma bouche. Comme hier, je suis complètement soumise et il baise ma bouche. Il bouge ma tête en tirant mes cheveux et la douleur me fait monter les larmes aux yeux.
« Clac ».
C'est la porte d'entrée qui vient de claquer. J'essaie de me dégager mais M. ALLEN tient fermement ma tête en place. Je ne peux que voir ce qui est en face de moi, c'est-à-dire le gros ventre de mon propriétaire. Je réalise que je n'ai pas fermé la porte à clé et que ma position me laisse vulnérable pas derrière.
- Bon sang, elle a un sacré cul!
C'est une vois masculine qui dit ces mots. Ce n'est pas celle de mon mari Steve, elle est plus grave et elle paraît appartenir à un homme plus vieux. M. ALLEN lui répond :
- Pourquoi n'en profites-tu pas alors?
Tout d'un coup je panique. Aucun autre homme que Steve ne m'a pénétrée. J'essaie de me relever en disant :
- Non, s'il vous plaît!
Mais mes supplications tombent dans l'oreille d'un sourd. Ma tête est soulevée. Je me retrouve face à la figure de mon propriétaire. Je sens une brûlure sur ma joue. Il vient de me gifler violemment. Et il beugle :
- Maintenant tu m'écoutes sale pute! Je ferai de toi ce que je veux. Je dis qui peut te baiser ou pas. Si tu essaies de me désobéir à nouveau, tu seras puni plus durement et plus douloureusement. Si tu veux que j'arrête, tu seras jetée à la rue avec ton mari. Et je ne crois pas que ton ménage ira mieux quand il découvrira quelle salope est sa femme.
Je pense à Steve et à mon amour pour lui. Je ne serai rien sans lui. Alors j'essuie mon visage et je regarde M. ALLEN dans les yeux. Sa main a lâché mes cheveux et repose sur sa cuisse. Je me penche en avant et je reprends sa petite bite dure dans ma bouche et je commence à le sucer.
- Ahhhhh, c'est la bonne réponse Hélène.
Je suce sa bite de mon plein gré. C'est moi qui contrôle la fellation et non lui. Je garde les yeux fermés et j'essaie de penser à Steve.
« CLAC »
Une main vient de tomber sur mes fesses. L'écho de la claque résonne dans la pièce. La douleur est inimaginable et je me mets à pleurer. Trois autres claques sont déposées violemment sur mon cul sensible, chacune plus douloureuse que la précédente. C'est l'homme derrière moi qui pose ses mains brûlantes sur mon fondement.
Je m'applique à sucer la bite de M. ALLEN quand j'entends le son familier d'une fermeture éclair de braguette. Je sens quelque chose frotter contre les lèvres de ma chatte. Je pense savoir quoi.
Je sens alors l'homme derrière moi me pénétrer. Il est le deuxième homme de ma vie à utiliser ma chatte. Il s'enfonce puis il recule lentement. Je n'ai pas l'impression que sa bite soit bien grosse.
- C'est ça Dan, donne-lui une leçon à cette petite pute.
Dan, ça doit être son nom. Je l'entends répondre :
- Oh putain Phil, sa chatte est bien serrée, c'est comme baiser une vierge.
Ils éclatent tous les deux de rire. Je veux que cette épreuve se termine vite.
Dan commence à me pilonner de plus en plus fort et je déteste chaque minute. Je fais de mon mieux pour que mon propriétaire jouisse et j'essaie de serrer les muscles de mon vagin dans l'espoir que Dan en finisse vite lui aussi.
- Mmmmm, elle mouille de plus en plus. Dit Dan.
C'est vrai. Lentement je sens que je commence à apprécier. Il est vrai que ça fait un moment que je n'ai pas eu de bite dans ma chatte.
Mais qu'est-ce que je dis? Ma putain de chatte me trahit. Je déteste chaque instant, mais ma chatte profite de sa petite bite.
La voix familière de M. ALLEN dit alors :
- C'est vrai Hélène que tu commences à apprécier la queue de Dan? Tu es vraiment une petite salope.
Ils éclatent encore tous les deux de rire. Espèce d'abrutis!
Après ce qui me semble une éternité, M. ALLEN commence à gémir plus fort. Je place ma main sur ses couilles et je les caresse en espérant que cela va l'accélérer. Et c'est le cas.
- Oh putain oui, je vais gicler!
Il éjacule son sperme qui a mauvais goût dans ma bouche. Je ne veux pas l'avaler, mais je n'ai nulle part où cracher, si ce n'est sur son visage. Comme je ne veux pas que le goût dure dans ma bouche, je me dépêche alors d'avaler son foutre.
Dan ne tient pas plus longtemps. Ma chatte me cause vraiment des problèmes. Elle, pas moi, essaie de profiter du moment. J'utilise la mauvaise odeur de la bite du propriétaire pour essayer de réprimer mes gémissements. Mais ma chatte sait que j'ai une bite dans la bouche et une autre qui la lime. C'est un fantasme féminin courant alors que peut-elle faire d'autre que mouiller?
Une minute ou deux plus tard, dans un grand gémissement Dan éclate dans mon ventre. Il inonde ma chatte avec environ ce qui me semble un bon litre de sperme. Je sens sa bite se raidir en moi alors qu'il gicle plusieurs fois. Ensuite son érection diminue et je sens son sperme chaud sortir de ma chatte et couler sur mes cuisses.
Je reste agenouillée tandis que M. ALLEN se lève et remonte son pantalon. Je regarde le canapé devant moi alors que Dan se place devant moi. Je veux lever les yeux pour voir son visage, mais sa bite demi-molle est poussée dans ma bouche.
- Nettoie ma bite petite pute! Commande-t-il.
Sans me révolter, je suce sa bite, goûtant son sperme et mon jus de chatte mélangés, un goût que je n'ai jamais savouré. Je pense que Dan veut simplement nettoyer rapidement sa bite dans ma bouche. Mais je suce sa queue, qui ne fait que 10 centimètres de long, pendant un bon moment, jusqu'à ce qu'il éjacule une deuxième fois dans ma bouche déjà utilisée.
Je l'aperçois seulement quand il part précipitamment. Il a les cheveux gris et il est assez grand. C'est tout ce que je peux voir.
M. ALLEN s'approche de moi. Il place un bout de papier sur le canapé avec 200 euros en espèces.
- Je veux que tu prennes cet argent et que tu achètes tout ce qu'il y a sur ce papier. Tu trouveras tout au même endroit et ça te coûtera 200 euros. Tu ne dois le montrer à ton mari et tu dois l'acheter avant que je revienne demain matin vers 11H30. C'est clair?
Je hoche légèrement la tête.
- Bien! A demain Hélène!
Et il part. Je suis agenouillée dans mon salon avec du sperme qui coule de mon visage et de ma chatte. Je ressemble à une pute bien utilisée. Mais je l'ai fait pour mon couple. Je me penche en avant et je lis le morceau de papier.
Je me relève et je vais prendre une douche. Puis je m'habille et je sors avec le morceau de papier et les 200 euros.
À suivre...
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