A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)
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Sous l'emprise de son beau frère, elle se rase la chatte.
Inévitablement
un soir Jean dut travailler tard. J'étais assis sur le sofa, les nerfs tendus
guettant l'arrivée de Yan. Il était
évident lorsqu'il entra dans le salon qu'il était de mauvais poil, il se laissa
tomber dans un fauteuil et ferma les yeux.
J'attendis,
me demandant dans quel sens son humeur allait influer sur le traitement qu'il
me ménageait. Il ouvrit les yeux et me regarda fixement.
- J'ai passé
une horrible journée, je ne tolérerais aucune résistance de ta part... Fous-toi
à poil et viens me tailler une pipe…. J'ai besoin de faire chuter ma tension !
J'obéis à contrecœur.
Il avait respecté notre marché jusqu'ici et je ne voulais pas envenimer nos
rapports. Il avait informé John qu'il cherchait un appartement et avait reçu un
tas de propositions. Jean avait été surpris de le voir manifester son envie de
nous quitter si vite, j'essayais d'apaiser son désappointement.
Il m'avait
confié, dans la douce chaleur de notre lit, qu'il serait heureux de retrouver
une certaine intimité, mais que son frère lui manquerait beaucoup. Je fis
chaleureusement écho à ses sentiments, Yan me manquerait aussi beaucoup, mais
pas pour les mêmes raisons.
Aussi
devais-je tout faire pour que cela cesse dans 3 semaines. Ces pensées roulant
dans ma tête je me foutus à poil et rampai sur les genoux face à Yan. J'embouchai
sa grosse queue et commençai à aller et venir sur sa hampe déployée, le suçant
aussi habilement que je le pouvais.
- Utilise un
peu ton imagination ! Grogna-t-il soudain.
- Lèche et
suce la hampe, utilise ta langue pour titiller le méat ! Et fais attention à
tes dents !
Je comptai
jusqu'à dix me retenant de l'engueuler. Je tentai de suivre ses directives, je
voulais qu'il se réjouisse de ma façon de faire. Je pouvais sentir à ses
réactions s'il était satisfait de ma prestation. Je n'avais pas encore réalisé
qu'il y avait bien des moyens de donner des plaisirs à un homme avec sa bouche.
Je pris note
de ses remarques et décidai que la prochaine fois que je me retrouverai en
tête-à-tête avec Jean j'expérimenterai quelques nouvelles techniques pour voir
ce qui lui plaisait particulièrement.
Le goût de
son pré sperme était toujours aussi déplaisant mais je pus en faire abstraction
lorsque je titillai son méat de la pointe de la langue. Yan ne disait rien, ne
me touchait pas et je ne pouvais oublier que c'était à moi de lui donner du
plaisir.
J'entendis
sa respiration s'accélérer, je sentis qu'il était tout prêt de jouir. Me
souvenant de la dernière fois et de ses reproches, je l'enfournai aussi
profondément que je pouvais au fin fond de ma gorge et fis des efforts pour
avaler sa semence salée.
Ma bouche
était pleine de foutre chaud, qui débordait s'étalant sur mon menton. Le goût était toujours aussi dégueulasse, je
luttai pour ne pas montrer à quel point il me révulsait. Yan se réinstalla dans
son fauteuil, le regard satisfait, sa bite s'amollissant rapidement.
- Je vais
chercher une serviette. Lui proposai-je.
Il n'éleva
aucune objection, je me ruai dans la cuisine et me rinçai la bouche aussi
discrètement que possible. Lorsque je revins dans le salon, Yan avait allumé la
télé. Je nettoyai les traces grasses autour de lui faisant aussi vite que
possible avant de m'installer sur le sofa.
Il semblait
suivre avec passion un épisode de Star Strek, je n'en croyais pas ma chance. Une
seule pipe semblait le satisfaire, peut-être bien qu'il en avait marre d'abuser
de mes charmes. Juste à l'instant où je commençai vraiment à me relaxer, il
ouvrit la bouche.
- Je n'en ai
pas fini avec tes services ma chérie, allonge-toi devant la télé et branle toi !
Ma mâchoire
en tomba d'incrédulité. Cet ordre donné, il avait repris l'observation
attentive des événements se déroulant sur l'Enterprise. A contrecœur je rampai
devant la télé, je glissai ma main entre mes cuisses et j’entrepris de me
branler la chatte.
- Je veux te
voir ! Intervint Yan sèchement.
- Allez,
écarte tes cuisses en grand ! Je veux voir tes doigts plonger dans ta foufoune
et ta langue titiller tes nibards.
Je savais
qu'il n'était pas de mon intérêt d'argumenter. J'écartai les cuisses en grand
et plongeai un doigt dans mon fourreau, je n'étais pas une excellente branleuse
mais je fis de mon mieux. J'avais la vague idée de feindre un orgasme espérant
que cela le satisferait. Je tirai un de mes nibards vers mon visage et me
penchai en avant de façon à pouvoir titiller mon téton de la pointe de la
langue. L'air frais les avait fait s'ériger, mais ils n'étaient guère sensibles
à mes caresses.
De toute
manière devoir faire ça sur la moquette de mon salon en pleine lumière me
gênait atrocement. Lorsque je me masturbais, c'était toujours dans le noir et à
l'abri dans mon lit. Même le fait que Yan me regardait faire ne m'excitait pas
le moins du monde, j'en aurai presque souhaité qu'il me saute.
- C'est une
grosse perte de temps ! S'impatienta-t-il soudain.
- T'es bien
trop velue, je ne te vois pas faire ! Va chercher de l'eau, du savon à raser et
un rasoir et rase-moi tout ça !
- Qu... Quoi…
Couinai-je affolée.
Je vis tout
de suite son regard s'assombrir. Je me résignai rapidement à lui obéir. J'avais
eu mal aux fesses plusieurs jours la dernière fois qu'il m'avait punie et je ne
voulais pas répéter cette expérience tant que je pouvais l'éviter.
J'allai
chercher un bol d'eau, du savon à raser, un rasoir et une serviette et je
repris ma place sur la moquette. Ce n'était pas la tâche la plus facile dont je
devais m'acquitter.
J'en avais
mal au cou et au dos de me courber pour observer attentivement mon entrejambe.
Ma fourrure n'était pas très épaisse, mais les poils étaient longs et bouclés
et cela me demanda quelques passages avant même de tailler une toute petite
clairière dans ma toison.
Je pris mon
temps, maniant avec circonspection la dangereuse lame à proximité de mon
intimité. J'espérai par ailleurs qui cela prendrait suffisamment de temps pour
empêcher Yan de m'humilier à nouveau avant le retour de Jean.
Lorsque je
levai les yeux, je vis qu'il m'observait attentivement se branlant d'une main.
Mon cœur s'affola mais cela ne m'empêcha pas d'en terminer. Yan se laissa
tomber sur ses genoux à mon côté sur la moquette.
- Voyons ça
de plus près ! Dit-il en m'écartant les cuisses en grand.
Je sentais
l'air caresser ma petite chatte dénuée de l'abri habituel de sa fourrure. Yan
promena ses doigts de mon estomac à cette surface nouvellement rasée, puis le
long de mes babines dégagées. Ma peau me sembla bien plus réceptive
qu'auparavant et je ne pus contrôler le frisson de plaisir qui parcourut mon
ventre.
- C'est
drôlement lisse ! S'émerveilla mon tourmenteur explorant toujours des doigts ma
chatte dénudée.
Il écarta
mes grandes lèvres détaillant mes chairs exposées à sa convoitise. Il
s'approcha encore plus près et me titilla le clito de la pointe de la langue. Je me mordis les lèvres fortement pour ne pas
répondre à ses caresses qui contournaient suavement ma chatte. Mes terminaisons
nerveuses étaient maintenant totalement livrées aux caresses de sa langue. Je
sentais le sang battre dans mes oreilles alors que montait ma jouissance.
Il plongea
sa langue au cœur de ma féminité et j'exultai, me tordant de plaisir sur la
moquette. Il enleva sa langue qu'il remplaça prestement par sa grosse queue
qu'il enfonça dans ma chatte secouée de spasmes convulsifs.
Il
chaloupait des hanches s'efforçant de frotter son pubis contre chaque parcelle
de mon mont de vénus imberbe.
L'orgasme
qui me terrassa fut tellement puissant que je me tordis sur la moquette sous
ses coups de boutoir. Heureusement il jouit rapidement et se retira me laissant
pantelante sur la moquette.
Quand j'eus
recouvré la force de bouger, je rassemblai le matériel de rasage et boitillai
en remettant à l'étage. Yan était de nouveau absorbé par Star Strek à la télé
il me laissa partir sans dire un mot.
Je pris une
douche pour me débarrasser autant que je le pus des souillures qui me
salissaient. Le contact inhabituel de l'eau percutant mon mont chauve était
extrêmement excitant. Mes doigts glissèrent dans mon entrejambe. Je me dis à
moi-même que c'était pour vérifier si je n'avais pas oublié de poils, mais très
vite je me branlai allégrement.
Mon clito
était bien plus accessible et sensible que jamais auparavant et bientôt un
nouvel orgasme me terrassa, me surprenant moi-même. Espérant que Yan ne m'avait
pas entendue jouir, je m'essuyai rapidement et redescendit préparer le thé.
Je passai la
journée à me demander comment réagirait Jean à la vue de mon mont chauve, et
comment je pourrais bien lui expliquer cette nouveauté. Je me sentis tendue
toute la soirée et frissonnai lorsqu'il voulut monter se coucher tôt dans la
soirée.
Je lambinai,
perdant du temps pour me déshabiller qu'une fois qu'il serait couché.
- J'ai fait
quelque chose ce matin, mais je ne suis pas sure que tu aimeras cela ! Avançai-je
nerveusement.
- Qu'est-ce
que c'est ma chérie ? M'interrogea-t-il gentiment.
- Viens, ne me fais pas plus attendre !
Je me
retournai timidement lui exposant mon ventre imberbe. Ses yeux se levèrent puis
un léger sourire naquit sur son visage, il s'assit et m'attira contre lui un bras
me ceinturant la taille.
- Est ce
doux ? S'enquit-il d'une voix sourde.
Je hochai la
tête silencieusement
- Pourquoi
as-tu fait cela ?
- Je ne sais
pas... Un coup de tête !
- «'aime
ça... Il faut que j'explore encore pour en être sur bien entendu. Me taquina-t-il
en m'attirant contre lui dans le lit.
Les caresses
amoureuses de ses mains et de sa langue me procurèrent mon quatrième orgasme de
la journée, et je jouis encore lorsqu'il me pénétra la foufoune.
Ereintée
mais comblée, je m'endormis dans les bras de mon gentil mari me disant que je
devrais en être reconnaissante à Yan.
Ma
reconnaissance envers Yan ne dura pas bien longtemps. Quelques jours plus tard,
Jean dut à nouveau s'absenter tard dans la soirée. Yan se précipita à la maison
dès qu'il le put et m'entraîna à l'étage.
- Je sors ce
soir, on m'attend pour regarder le match de foot retransmis au troquet. M'expliqua-t-il
rapidement en changeant de tenue.
- Mes amis
s'impatientent aussi n'ai-je que peu de temps à t'accorder ! Dépêche-toi de
virer tes fringues et écarte les cuisses !
Je lui obéis
avec résignation, mais pas assez vite à son goût. Il arracha ma jupe et la jeta
au sol puis il me poussa visage en avant sur le lit. Il écarta mes babines de
ses doigts fureteurs et m'embrocha de suite. Je criai alors qu'il enfouissait
sa grosse bite dans ma chatte sèche. Il ne le remarqua même pas et tourna des
hanches s'enfonçant de plus en plus profondément en moi.
Il tâtonna à
la recherche de mes nibards. Il m'agrippa les cheveux et me releva la tête
s'offrant un meilleur accès à mes charmes. Il grogna de satisfaction et
entreprit de pétrir mes nichons avec vigueur. Je n'en croyais pas mes sens, et
pourtant, mon corps répondait à ce farouche assaut.
Un flot de
cyprine m'inonda la foufoune alors que mes tétons s'érigeaient sous ses rudes
caresses. Mon clito frottait sur le jeté de lit à chaque coup de boutoir. Mes
plaintes douloureuses se changèrent en soupirs exaltés alors que ma jouissance
grandissait.
Juste à
l'instant où j'allais succomber à un orgasme inattendu, j'entendis frapper à la
porte. Alors que je me tordais d'extase hurlant ma jouissance à pleins poumons,
une part de mon esprit paniquée se demanda qui cela pouvait bien être.
Yan se
retira de mon ventre et se pencha par la fenêtre. Je l'entendis clairement
discuter avec l'intrus, sans comprendre leur échange. Puis j'entendis la porte
s'ouvrir et se refermer. Je me relevai, Yan m'attrapa et me repoussa sur le
lit, mais cette fois je dus m'allonger sur le dos.
- J'en ai
pas encore fini avec toi petite chienne ! Gronda-t-il s'engouffrant sans plus
attendre dans ma chatte engorgée de cyprine.
Il mordilla
mes tétons et je m'arquai sur les talons répondant avec plaisir à ses assauts
jouissifs. Après seulement quelques coups de bite un nouvel orgasme m'emporta. Je
criai mon plaisir et me tordis sous lui lorsque j'entendis quelqu'un monter les
escaliers. J'ouvris les yeux et vis un inconnu qui pénétrait dans la chambre.
Yan n'n’arrêta pour autant de me labourer me lançant un regard méprisant.
- Excusez
mon léger retard... Dit-il aux nouveaux arrivants.
- Cette
petite salope m'a supplié de la sauter et je ne pouvais tout de même pas
refuser !
Je rougis
d'humiliation alors que ces étrangers reluquaient mes charmes, ils avaient
l'air d'apprécier ce qu'ils voyaient. Yan me força à me redresser, leur offrant
ainsi une vue dégagée sur mes appâts et il se mit à triturer mon clito.
L'excitation fleurit dans mes reins, je cherchai à fuir ses caresses. Cela me
semblait excessivement embarrassant de jouir sous les yeux de ces étrangers.
- Elle a de
beaux gros nibards, n'est-ce pas ? Demanda Yan à ses potes.
Ils
s'approchèrent du lit pour mieux voir mes charmes.
- Pincez lui
les tétons, rendez la folle ! Leur suggéra Yan.
Je retins
mon souffle pour protester, mais Yan me tordit cruellement le clito. Je gémis
de douleur et le regardai dans les yeux. Son message était clair, si je ne
coopérais pas j'allais souffrir.
Il glissa
son bras sous les genoux pour m'écarter les cuisses en grand et accroître la
profondeur de ses coups de boutoir. Ses amis s'étaient assis de chaque côté de
ma tête, ils malaxaient avidement mes nibards.
Je fermai
les yeux et cherchai à me vider l'esprit. Ce fut une erreur. Privé de la pensée
la sensibilité de mes autres sens s'accrut. Deux paires de mains pétrissaient
mes nichons, deux bouches s'emparèrent gloutonnement de mes mamelons.
Yan coulissait
toujours avec une belle constance dans ma foufoune embrasée. Mes jambes étaient
grandes écartées ce qui accroissait le contact de son pubis sur mon mont
chauve. Ne pouvant me défendre, je défaillis encore et encore. A chaque orgasme
leur attention grandissait. Perdue dans mon extase je réalisai à peine
lorsqu'ils saisirent mes mains pour les poser sur leurs bites déployées.
Yan jouit
enfin et je repris graduellement mes esprits. J'avais les mains et mes nibards couverts
du sperme de ces étrangers alors que le foutre de Yan s'écoulait lentement de
ma chatoune béante. Yan disparut dans la salle de bain me laissant en
tête-à-tête avec ses deux amis concupiscents.
Ils
nettoyaient méticuleusement leurs queues avec un bout de tissu avant de les
ranger dans leurs caleçons. Yan réapparut et me roula une pelle, sa langue
explorant ma bouche. Je pouvais voir sa satisfaction de m'avoir ainsi humiliée.
- Nettoie-moi
tes saloperies, tu seras une bonne fille ma chérie... Ne te tracasse pas, tu
reverras mes copains ce week-end !
- Je crois
qu'ils seront très heureux de te rencontrer à nouveau ! Minauda-t-il
ironiquement avant de disposer suivi de ses deux amis.
Je restai
étendue, sanglotante, couverte de foutre, me demandant ce que Yan me réservait.
J'avais totalement oublié que Jean était parti pour un séminaire, mais, de
toute évidence Yan s'en rappelait parfaitement. Je craignis le pire.
A suivre…
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