Margot est une salope - récit érotique domination soumission professeur viol
Texte de Erosxx.
Margot est une vraie salope.
Margot est une vraie salope.
Ma mère s'appelle Marguerite mais on la nomme Margot. Elle a 44 ans. Elle est prof de français à mi-temps et prof de danse aussi. J'ai découvert qu'elle avait un amant du nom de Jacques qui venait de temps en temps avec un de ses amis pour la sauter le mercredi. J'ai pu assister à leur ébats par une webcam cachée dans l'appart et c'est là que j'ai vu que maman s'y connaissait grave en sexe. J'ai décidé de rien dire à mon père qui habite en maison de campagne la semaine. Un : Parce que ça détruirait la famille et deux : parce que je prends mon pied à la voir se faire baiser. Et oui, je sais que c'est ma mère mais quand je la vois, je vois aussi une femme de sexe avec des formes et des attributs sexuels pas possible. Elle a des gros seins et s'habille sexy. La voir se comporter ainsi, avec ses amants, me fait bander et j'en arrive à fantasmer sur elle parfois. Voilà, en bref ce qui se passe. J'ai donc droit à ma séance de cul du mercredi dans le salon en live grâce à la caméra planquée dans le masque tribal.
Nous sommes Jeudi soir, et je l'accompagne à son cours de danse comme d'habitude. Elle y est prof là-bas et l'accompagner me permet de voir certaines de ses élèves. Je m'installe donc en attendant qu'elle se prépare. Déjà, ça commence à se remplir de mecs de la cité qui viennent se rincer l'œil. Normalement, ils n’ont pas le droit de venir mais personne ne leur dit rien. Les premières filles apparaissent : Moyenne d’âge 18 20 ans. Toute ne sont pas belles mais y‘a du nichon moulé dans le body. Les mecs matent et siffle en rigolant. Elles se mettent sur les tapis et discutent en envoyant des vannes a des gars un peu trop impolis sur elle. Mais voilà maman qui arrive. Les gars se retournent alors et se murmurent des trucs entre eux en ricanant. J'entends alors :
-Voilà la prof ! Regarde comme elle est bonne !
-hmm putain, je la baiserai bien cette salope ! Regarde ses nénés, ils sont énormes.
Leur propos m'écœurent mais bon, je serai pareil si j'avais une femme autre que ma mère en face. Faut dire aussi que maman est vraiment bandante et sa poitrine moulée dans le body violet ne laisse pas indifférent. Des gros seins dans un corps de sportive à la peau mat. Pas étonnant que pour ses 44 ans elle en fasse trente. Le sport, ça conserve les formes. Les filles sont autour d'elles et elle a ramené du son pour son cours. Les mecs la fixent secs. Ils ne perdent pas une miette de ce corps si provoquant. Elle a attaché ses cheveux noirs derrière elle, comme un chignon. Ça permet de voir son visage superbe. Des yeux de couleurs noisette et en amande. Ses lèvres colorées en rose vif et elle s'est maquillée comme d'habitude. La femme d'1m68 pour 62 kg s'avance et démarre le footing autour des tapis. Elle a mis pour le bas, un short moulant bleu comme mettent les cyclistes. Il lui arrive au milieu de ses cuisses musclées. Ses jambes sont bien musclées, bien charnues avec des mollets ronds. Elle est pied nu et d'ailleurs, quels jolis pieds aux ongle vernis de rouge foncé.
Elles se mettent toutes à courir. Les seins bougent bien que pressés dans les maillots et autres bodys. Oui, ce soir, y ‘a du nichon. Ceux de ma mère secouent sacrément du haut vers le bas. Les regards des gars de la cité sont portés essentiellement sur maman et sa poitrine. Je me demande si elle en a conscience de l'effet qu'elle fait sur les mecs. Son cul est moulé par le short est magnifique. Ses fesses sont musclées et ne tombent pas. C'est un véritable plaisir de voir cette dizaine de filles courir le long des tapis. Certaines sont moches mais peu importe. De toute façon, d'après ce que je comprends, l'attraction c'est maman et sa poitrine.
-Allez, tenez-vous droite et faites des cercles avec vos bras.
Elles sont en ronds, autour de Margot à faire des cercles avec leur bras. Maman est au centre et fait des exagérations de respiration pour leur montrer. Elle gonfle sa poitrine. On a l'impression que ses lolos vont doubler de volume et tout arracher le body.
- Je vais me la faire hmmmm, je vais me la faire cette sale pute ! Dit un mec se caressant le sexe.
- Chut ! t'es fou ! Dit un autre en rigolant.
Les exercices se poursuivent et les commentaires dégradants y vont bon train. L'heure se finit et c'est la douche. Toutes les filles vont se laver et ma mère y va en dernier. Elle reçoit les parents des jeunes filles qui la félicitent du bien qu'apporte cette discipline. De temps en temps, je peux voir le père d'une des filles porter son regard sur la poitrine moulée dans le body de Margot.
Une fois que toutes ont terminées, Margot va se laver à son tour. J'attends là, en imaginant maman se lavant, se passant du shampoing sur ses gros seins. Toute cette mousse odorante et la chaleur de l'eau coulant sur son corps. Tout le monde est parti maintenant et même les gars de la cité. Et là me vient une idée. Et si j'allais oser essayer de surprendre maman sous la douche. Oui, pourquoi pas et je sais qu'elle excuse bidon je vais lui sortir. Je reste un moment à me convaincre et finalement, je prends le risque. Oui, j'ai envie de voir ses gros seins en vrai et pas par la caméra.
Je me dirige vers le vestiaire des femmes. J'entends la douche couler et je réalise qu’il n’y a personne pour surveiller. N'importe qui pourrait rentrer alors. Aucune surveillance et en plus maman est seule, nue sous la douche. J'entends la douche couler mais ce ne sont pas les collectives. Elle s'est enfermée dans les douches box. Bien sûr, ça aurait été trop beau, trop parfait de la surprendre.
C'est alors qu'elle apparaît soudain se frottant les cheveux. Putain, elle a les nichons à l'air. Elle se frotte les cheveux avec sa serviette et ne me voit pas tout de suite. J'ai le bonheur de voir leur taille. Deux masses de chair rendu humide par la condensation. Ils ont l'air plus gros encore que dans les enregistrements. Ils sont terriblement lourds et ils tombent un peu. Elle n'a pas de silicone pour les tenir droits comme dans les filles des pornos. Du naturel cent pour cent. Ses longs tétons autour desquels il y ‘a des auréoles marrons. Comme elle frotte sa tête ça fait des mouvements et ses seins balancent avec un léger bruit de floc floc. Mais l'instant est bref. Elle me repère aussitôt et rougit. Elle se cache instinctivement les seins avec la serviette.
- Mais, sylvain, mais ça va pas, qu'est-ce que tu fais là, tu n'as pas le droit !
- J'ai entendu du bruit, maman, je croyais...
- Allez file, va-t’en !
Elle semble en colère et n'écoute même pas ce que j'ai à dire. Elle me repousse violemment et claque la porte avec colère. Je l'entends jurer de l'autre côté. La honte pour moi. A la sortie, elle me regarde sévèrement.
- On va en discuter à la maison, tu n'as pas à rentrer comme ça dans les vestiaires des filles. Tu as de la chance que ce soit moi qui sortais de la douche.
Silence dans la voiture. Elle est vraiment en colère. Arrivé à l'appart, elle va poser ses affaires et prépare le dîner. Elle s'est mise en pyjamas / peignoir. Je viens la revoir pour m'excuser.
- Je suis désolé maman pour tout à l'heure !
- C'est bon sylvain, c'est bon ! Mais bon, mets-toi à ma place, je sors dévêtue et je vois un mec, là dans les vestiaires. J'ai paniqué et j'ai pris colère. De toute façon, il va falloir revoir la sécurité. On rentre comme dans un moulin dans la salle de sport et dans les vestiaires. Je n'ai pas envie qu'une fille soit violée dans les vestiaires.
Elle ne m'a pas jeté un regard. Elle m'en veut encore. On dîne en silence et elle me dit :
- Tu sais sylvain, il va falloir te trouver une nouvelle petite amie ! C'est pas sain de rester célibataire et ça donne des idées.
- Quoi ‘ ? Mais tu veux dire quoi par la
- Juste que je crois que tu devrais sortir davantage et te trouver une petite copine de ton âge, c'est tout.
- Mais je sors pourtant !
- Tu parles, toujours à rester devant ton ordinateur ! Je suppose que tu vas sur des sites pornos mais ça te regarde ! De toute façon, plus question que tu m'accompagnes à la danse. C'est fini cette histoire.
- Mais je fais ça pour ta sécurité !
- bien sûr, bien sûr ! Et tu es un petit mateur ! je te conseille de draguer comme tu faisais avant. Mes élèves ne sont pas des bouts de viande que l'on reste à regarder en bavant !
Me voilà grillé mais heureusement elle ne se doute pas que c'est elle que j'aimais mater aussi. Ceci dit, la discussion m'a refroidi grave et j'en éprouve de la colère. Elle me fait des leçons alors qu'elle baise comme une belle salope dans le salon. Elle qui fait cocu papa. J'ai envie de tout balancer. Mais non, faut pas, surtout pas.
Elle débarrasse et file à sa chambre pour préparer son cours. Elle est hypocrite et ça m'agace. Le week-end suivant nous rejoignons papa. On est rejoint par ma tatie, son mari et mes trois cousins. En ce moment, on fait des repas de famille le week-end. C'est dégueulasse de voir maman jouer son rôle de femme aimante alors qu'elle a une vie extra conjugale. Elle sait y faire. Mon père a confiance. Mais peut être que lui aussi a une amante. Enfin, je fais aussi comme si tout était normal.
De retour à l'appart, le lundi soir, mes pulsions reviennent. J'ai réussi aussi à trouver une planque dans le petit couloir de là où il y a ma chambre, la sienne et la salle de bain. J'arrive ainsi à choper des moments où elle se balade en soutien-gorge de sa chambre à la salle de bain. Le mieux, c'est quand elle a sa grosse poitrine nue. Ses seins sont très gros et ils tombent. Quand elle marche, ils se secouent lourdement.
Le mercredi soir arrive enfin. En arrivant, je perçois une odeur de fumée de cigarette persistante. Maman est dans sa chambre. Je vais la voir. Elle me dit qu'elle souffre de migraines. Elle a une sale tête, toute pâle et suante. Je remarque qu'elle est nue sous sa couette mais je n'ose pas insister du regard suite à l'incident de la semaine dernière.
- Tu veux que j'appelle le médecin ?
- Non, Ça va passer mon chéri , j'ai dû attraper froid, c'est tout. Tu te feras un sandwich pour ce soir.
Je file alors sur mon ordi , ferme à clef et je mets en lecture de ce qui s'est passé la journée. Avance rapide. Ah ! Jacques est venu comme d'habitude. Je décris : Jacques frappe et maman va lui ouvrir. Margot était en soutifs quand elle est venue lui ouvrir. Soutien-gorge noir et string noir dentelé. Ses cheveux lui tombent au niveau des épaules et elle est maquillée comme si elle sortait. Jacques ne peut qu'être heureux d'être accueillit par ce canon. Il tombe en plus, nez à nez avec la poitrine exagérément opulente de Margot dont les tétons sont visibles à travers son soutien-gorge noir. Ils rentrent et maman ferme vite derrière elle craignant d'être vue par les voisins. Jacques a les yeux brillants de désir. Il regarde cette femme mature de 44 ans qui en parait trente.
Elle se retourne alors et se dirige vers la cuisine. Il en profite pour regarder ses mollets et ses cuisses musclées. Mais le mieux, ce sont ses fesses mis en valeur par son string noir qui lui rentre dans la raie du cul. Chaque fesse est séparée et comme elle marche en remuant du cul, il peut admirer le balancement de celle-ci. Elle sait que Jacques la regarde et elle exagère sa démarche. Elle marche en ondulant des fesses. Il se retient de ne pas la prendre tout de suite. Mais il ne veut pas tout gâcher car il sait le plaisir que peut procurer la bouche de Margot et le bonheur de prendre chacun de ses énormes seins dans chaque main.
Elle revient. Là, ce sont ses seins qui bougent légèrement car compressés dans le soutien-gorge. Elle est avec deux verres propres et ils se servent à boire. Jacques est sur le canapé et Margot enlève son string révélant sa chatte bien fournie. Elle laisse tomber le string puis grimpe sur lui avec son verre à la main. Elle est sur lui et lui déboutonne le pantalon d'une main. Jacques commence déjà à bouillonner. S'il pouvait il viendrait tous les jours ici baiser maman. Mais elle a mis des règles. Son fils ne doit pas savoir qu'elle a une vie extra-conjugale.
Elle finit par sortir le sexe de Jacques, un gros sexe qu'elle dirige vers sa chatte. En face du visage de jacques, la grosse poitrine de Margot. Il se met à embrasser chacun des seins à travers le tissu du soutien-gorge. Elle sent la respiration excitée de son amant sur ses melons. Et elle finit par dégrafer son soutien-gorge. Jacques est comme un fou. Suçant chacun des longs tétons. Sa bite est enfoncée dans la chatte de Margot. Elle commence à gémir et à faire des oh, oh répétitif. Puis jacques se lâche lui injectant son sperme toujours si abondant. Au final, il laisse son visage tomber entre les seins de Margot qui le plaque contre elle. Il aime avoir son visage collé contre les seins de maman. Ils sont chauds, gros et rassurants. Il aime entendre le cœur de la femme battre. De son côté Margot aime sentir la tête de l'homme sur sa poitrine opulente. C'est un délice et cela éveille en elle un soupçon de maternité. Peut-être qu'elle pense à moi quand je la tétais.
Elle sent que Jacques a débandé. Elle reste sur lui. Il sort des cigarettes et ils fument. Elle aspire la fumée plein poumon elle qui me fait la morale là-dessus ben bravo. Elle tousse. Ils restent un moment à discuter de choses et d'autres. Elle est toujours sur lui, nue. Elle finit sa clope et reboit un verre. Puis elle se met à piper Jacques pour redonner de la vigueur à son sexe. Elle a décalotté le sexe de Jacques et excite son gland avec le bout de sa langue. Jacques lui gicle dans la bouche ce qui lui reste de jus. Elle arrive à tout avaler. Berk, dire qu'elle m'embrasse le matin avant de partir. Avec cette bouche qui taille des pipes. Jacques remet son pantalon. Ils s'embrassent fougueusement et on voit que Jacques est triste de partir.
Maman, reste assise, toujours nue, sur le canapé. Son amant part. Elle reste à fumer des cigarettes et à boire d'autres verres devant la télé. Elle regarde l'heure. Toc Toc. On frappe à la porte. Margot se lève en courant pour enfiler quelque chose. Prise un peu de panique. Elle enfile juste son peignoir de bain se passe un rapide coup d'eau sur son visage et va ouvrir.
- Nicolas ?
- Bonjour Margot !
- Bonjour, mais bon, il commence à être tard et...
Nico secoue un petit sachet.
- Surprise ma puce !
- Non, Nico, je n'en prends plus merde, j'ai déjà failli être accroc !
Voilà une nouvelle facette cachée de maman et un truc que je croyais inimaginable surtout pour elle. Elle a touché à la drogue et à ce qu'elle dit et plusieurs fois même.
- Allez Margot, ne fais pas ta sainte nitouche !
Margot reste en peignoir à la porte et devant le sourire du jeune gars, elle finit par céder. Il rentre et elle referme. Elle sort un nouveau verre et verse à boire pour Nico. Ils trinquent. Elle commence à être un peu naze car elle a pas mal bu avant. Elle est assise, jambes croisées et discute avec Nico.
- Toujours à ne rien faire, Nico ?
- Oui, je cherche du travail mais je revends, ça paye bien !
- Tu devrais faire attention et te trouver un truc, une formation, je sais pas moi.
- On verra bien ! Eh, on dirait que Jacques est passé !
- Oui mais il est en baisse pour le sexe ! C'est son travail qui le fatigue !
Nico fait des lignes blanches. Maman les regarde avec envie. Elle s'allume une cigarette et tire dessus comme une folle.
- Tu as repris la clope aussi, on dirait, hihi !
- Oui, j'ai l'impression de revenir à mes 18 ans. Je fumais comme une folle et j'ai arrêtée quand je me suis mariée et tombée enceinte de Sylvain.
- Tu as bien fait mais maintenant, faut te lâcher !
Ils rient tous les deux. Je deviens haineux de voir maman s'entendre aussi bien avec ce jeune d'au moins mon âge. Elle se comporte comme une maman modèle avec moi et avec lui comme une dépravée. Elle s'étire et gonfle alors sa poitrine qui ressort par la fente du peignoir.
- Allez ma Margot ! prends-toi une ligne !
Elle le fait, inspirant le poison avec plaisir. Maman est une droguée occasionnelle. Jamais je n'aurais pu m'en douter. Elle se revendique comme étant une sportive alors qu'elle fume à fond et s'arrache la tête. Elle se penche et renifle en tenant son peignoir pour empêcher ses seins de sortir.
- Oouuuff ! sniffff ! Je recommence mes conneries ! Il faut pas !
Elle tousse et renifle. La poudre passe mal et elle sent des drôles de sensations au niveau de ses bronches. Nico sourit alors et fait signe à ma mère.
- Vas-y , montre tes lolos, tu vas voir !
- Nicoo noon ! stop !
Il lui écarte brusquement son peignoir. Les deux gros nénés sortent alors. Il lui descend un peu le peignoir jusqu'aux hanches. Elle tousse.
- Presse tes seins !
- Pfff ! tu vas faire quoi ?
- Regarde !
Il sort un nouveau sachet et en verse entre les seins de mamans qu'elle presse vers le haut. Margot rigole alors à plein poumon tout en toussotant et en se tenant les nichons serrés pour pas perdre cette poudre destructrice. Nico plonge la tête dans les deux melons. Elle sent le jeune qui renifle la drogue entre ses melons. Elle s'esclaffe comme je ne l’ai jamais vu. On dirait que ça la chatouille.
Nico, après avoir bien reniflé la drogue entre la fente des seins de Margot, en profite pour lui embrasser les lolos. Elle sent le souffle du jeune sur ses nichons opulents. Il est comme affamé de sa poitrine. Il se met à lécher les long tétons qui durcissent au contact de la langue. Il entoure les auréoles foncées de sa langue. Dans l'action, le peignoir de Margot finit par tomber et elle enlève les bras de ses manches. Elle enlève donc son peignoir dévoilant son corps ferme et magnifique. La revoilà entièrement à poil encore. Ça devient une habitude le mercredi.
Le jeune gars est bloqué sur ses seins comme Jacques. Margot fait comme si elle lui donnait le sein. Elle aime que ce jeune d'à peu près l'âge de son fils, la tripote et la baise comme si elle n'était qu'une femme vulgaire. Oui, ma mère se comporte comme une pute avec lui. La preuve, elle est à poil et lui encore habillée. Elle aime aussi qu'il se comporte comme un bébé à qui elle donnerait le sein. Même elle n'aurait imaginé en arriver à ça : se laisser aller de cette façon.
Nico, complètement excité par cette poitrine décide cette fois de la boire. Elle le dirige vers son sexe à la chatte velue et mouillée. Elle écarte ses cuisses musclées et met Nico entre ses jambes. Elle tient sa tête de ses deux mains. Il lape la mouille, lui broute la chatte. Je vois les tétons de maman se durcir et son visage devenir celui d'une femme en chaleur. Je ne reconnais même pas son visage tant il est inondé de plaisir, tant il ressemble à celui d'une salope. La tête de Nico est à l'intérieur des cuisses de Margot qui gémit en soupirant de plaisir. Elle se met à onduler des hanches. La drogue, l'alcool font leur effet et décuple son plaisir en détruisant ses inhibitions. Elle se masse les seins tout en se faisant lécher par Nico. Elle écarte les cuisses à fond, de toute ses forces, comme si elle voulait encore plus offrir sa chatte.
Je me masturbe en voyant ma mère, cette belle salope, cette droguée, se faire sauter dans le salon. Je me paluche grave. Nico la lèche bien. Il a posé ses mains de chaque côté des cuisses musclée et bronzée. J'entends sa langue claquer légèrement en léchant la mouille maternelle. Maman en rajoute à fond en se tortillant, en se pressant les seins. Nico finit par la mettre par terre, sur le tapis du salon. Il se met sur elle et la tringle en lui caressant les cuisses. Nouvelle dose de sperme en elle. Nico se relève et prépare une dernière dose pour eux deux. Il relève margot, un peu dans les vaps à cause de la drogue et du sexe et la fait sniffer à nouveau. Elle a du mal à sniffer. Plus l'habitude d'ingérer ce poison qui mine de rien, la détruit. Elle tousse et elle a encore un léger malaise au niveau de ses poumons, de ses bronches. Elle tousse. Ils s'allument une dernière cigarette, boivent un dernier verre. Nico contemple le corps de Margot assise et nue.
- Tu es sacrément bonne, tu sais ça ! J'aurai bien aimé te connaître à 18 ans.
-Sans blague ! (Elle rit)
- Tu devais avoir beaucoup de partenaires ?
- Eeeh, dis donc, tu me prends pour une dépravée toi ! Je ne faisais pas l'amour à n'importe qui !
- C'est quoi ton plus gros plan baise ?
- Oh, c'est quand on a fêté nos 21 ans avec ma meilleure copine de l'époque ! On s'est pris une cuite dingue et on a rencontré des garçons de nos âge qui faisaient leur service militaire. On les a invités. On s'est retrouvée toutes nues à danser comme des folles dans l'appartement qu'on partageait. A la fin ça a viré à la partouze !
Elle se met à rire.
- Et ils étaient combien ?
- Ils devaient être cinq ou six. Je sais plus trop.
Elle finit sa cigarette et en allume une autre.
- Oui, on en a bien profité à cette époque et j'ai rencontré Jean-Pierre et tout s'est enchaîné. Mariage, le bébé, etc.
- Et tu as eu d'autres amants avant Jacques et moi ?
- Oui, mais c'était des aventures sans lendemain. Avec Jacques ça dure depuis deux ans
- Deux ans ? Et ton fils n'est pas au courant !
- Penses-tu, je fais attention et il est gentil !
Ils rient et moi je deviens vexé qu'elle me traite de gentil devant ce garçon. Ils baisent une dernière fois et Nico repart à ses plans de junkie. Margot finit par s'envoyer le fond de whisky. Alcoolique, droguée et salope comme pas une. Eh bien voilà ce qu'est ma mère en cachette. Et j'en ai appris des belles sur sa jeunesse. Il faut dire ce qui est : Ma mère est une vraie pute en chaleur. Derrière la prof de français, la sportive, l'épouse fidèle soi-disant et la maman attentive, se cache une personnalité autre. Pas étonnant qu'elle soit malade avec toutes les saloperies qu'elle s'est envoyée. Depuis que je l'espionne, j'avais remarqué qu'elle fumait des cigarettes en pagaille pendant mon absence et même qu'elle s'envoyait quelques verres mais de là à sniffer avec un jeune junkie.
J'éteins et je finis ma branlette en jutant alors. Viennent alors les remords. C'est grave de voir sa mère se shooter. C'est grave aussi de voir que sa maman si idéale, a collectionné les amants et se comporte comme une chienne en manque. Mais que faire, que dire comment expliquer que je l'espionne sans passer pour une espèce de pervers incestueux.
Je vais bouffer alors. Le soir, j'entends des gémissements. Je vais dans la chambre de maman. Elle se tortille dans sa couette. Elle subit encore les effets du cocktail cigarette, alcool et drogue surtout qu'elle a abusée pour une personne pas habituée. A 44 ans, se défoncer comme si elle avait 18 ans.
Je vais à la cuisine chercher de l'aspirine. Je reviens et là, je vois un truc super. En bougeant, elle a découvert sa couette laissant apparaître un nichon. Dieu qu'il est gros. Elle dort sur le dos, les bras de chaque côté du lit. Elle ronfle un peu et gémit. Son sein dénudé pend vers la gauche à cause du poids. Son visage est détendu. Ses cheveux éparpillés sur le coussin. Et si je baissais la couverture ? Je bande. Pourquoi pas après tout, combien de mains ont dû palper cette poitrine qui m'a donné la vie. Je le fais. Lentement pour pas la réveiller. J'approche ma main et je baisse la couette qui recouvre sa poitrine. C'est là, que je réalise qu'elle a vraiment des seins énormes. C'est pire que ce que je croyais sur les vidéos. Mais comment j'ai pu pas voir ça pendant ces années.
Je descends la couette. Ses seins sont là, bien gros, bien provocants avec ses auréoles et ses tétons longs. Ils me sont offerts. Je reste à contempler Margot, sa poitrine si opulente. Je décide de plaquer mes mains sur ses deux seins. Je masse, je pelote. Hmm, C'est bon. Pour la première fois de ma vie, je masse les nichons de maman. J'éprouve un plaisir immense. Ils sont si gros que mes mains semblent ridicules. Elle ne réagit pas. Ses bras écartés et légèrement repliés. Elle ronfle. Je reste comme ça. Les mains sur les seins de ma propre mère. En train de les lui masser. Je pelote ces deux masses de chairs rondes que j'ai tété tout petit. C’est bon. J'ai les deux mains collées à ses melons. Ils sont moelleux et je sens de la chaleur se dégager d'eux. Je caresse le bout de ses tétons. Ils sont longs. C'est la première fois que je bande à l'idée de la baiser. Je vais voir sa chatte maintenant. Mais je détecte un mouvement d'elle. Je recouvre sa poitrine en vitesse. Elle ouvre les yeux.
- Sylvain, tu fais quoi ici ?
- Je t'ai entendu gémir. Tiens, c'est pour toi.
Je lui tends l'aspirine déjà dilué depuis longtemps.
- Merci, mon chéri.
Elle apprécie et ne se doute pas un instant que j'ai massé ses seins. Oui, massé les gros seins de ma propre mère. Que j'ai même pensé à la prendre sur son lit, pendant son sommeil. Même moi, j'ai du mal à le croire. Tout ce que j'ai pu apprendre sur elle. Ma maman chérie est une salope. Je l'embrasse. Drôle de sensation car j'ai plus l'impression de me faire embrasser par une femme sexuelle que par ma mère. Il est clair que je vais passer à autre chose maintenant que j'ai appris toutes ses choses. Pourquoi pas utiliser mes vidéos pour des choses un peu plus perverse. Oui, je pourrais la faire chanter avec ça plutôt que de tout révéler ça a la famille. Les idées pleins la tête, je pars me coucher laissant récupérer de ses exploits de cet après-midi. Elle doit se lever tôt pour aller faire son cours de français.
A suivre...
A suivre...
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