mardi 4 septembre 2018

A la merci de mon beau-frère. Ch 04

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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l'asservissement se poursuit.

Je n'osai pas regarder Jean en face à son retour le soir-même. Lorsqu'il suggéra que nous montions rapidement nous coucher, je vis un sourire sarcastique s'afficher sur le visage de Yan.

Mon visage était encore douloureux suite à la baffe que m'avait refilée cette brute et j'étais lasse. Il m'était difficile de m'enthousiasmer à l'idée de faire l'amour. Jean me fit l'amour gentiment, doucement, il me caressa longuement, chacune de ses caresses me rappelant combien je l'aimais. Puis il me tint serrée contre lui et me dit qu'il m'aimait comme un fou et qu'il savait à quel point il avait de la chance de m'avoir trouvée.

Dans son intérêt je devais endurer sans rien dire les abus de son frère pendant les 4 semaines à venir. Je craignais déjà la prochaine fois où mon mari se rendrait à une réunion matinale. Il se passa quelques jours la tension était palpable dans la maison. J'étais irritable et je passais de longues heures au club de gym pour évacuer le stress.

Un soir Jean me prévint qu'il avait réunion le lendemain matin, je vis un large sourire satisfait s'afficher sur le visage de Yan, j'aurai aimé de tout mon cœur pouvoir le gifler à cet instant. Je restai au lit prétextant être à moitié endormie lorsque Jean se leva, s'habilla et me quitta. J'attendis le moment où j'entendis sa voiture s'éloigner, je me levai alors et me dirigeai à contrecœur vers la chambre de Yan.

Il semblait encore endormi, mais je n'en aurais pas mis ma main au feu. Suivant à la lettre ses consignes je rampai sur le lit la tête entre ses cuisses, tête bêche, enfourchant son visage je baissai les couvertures à la recherche de sa bite. Elle était molle et toute ridée. Je la pris dans ma bouche, mais j'eus du mal à la garder en bouche, elle était vraiment très molle. Par chance sa bite raidit assez vite. Je le suçai de tout mon cœur, le faisant coulisser avec habileté entre mes lèvres pendant que sa bite se déployait.

Je l'entendis grogner sourdement, puis je sentis ses mains se poser sur ma croupe, je sus alors qu'il était bien éveillé. Il était difficile de respirer sous les couvertures et je dus énormément saliver pour l'engloutir au fond de ma gorge. Il poussa mes hanches, m'encourageant à les bouger plus vite, il enfouit si profondément sa bite dans ma gorge que je craignis d'étouffer.

Il avait les mains entre mes cuisses, son pouce flatta rudement mon clito et un doigt tendu me poignarda la chatte. Je sentis ma moule s'humidifier alors que je commençai à répondre à ses caresses.

Je ne voulais pas cela, je me mis à le sucer avec plus de cœur encore, je le suçai aussi bien que je le pouvais, faisant courir ma langue sur son méat et sa hampe charnue. Des gouttes de liquide pré-éjaculatoire suintaient de son méat, le goût était horrible mais je continuai néanmoins à le cajoler, j'espérai le faire jouir assez rapidement pour ne pas succomber à ses assauts.

Ma poitrine frottait contre son estomac chaque fois que je roulais vers l'avant, les frictions de mes tétons contre sa peau induisaient des myriades d'étincelles dans mes nibards. Mes jambes se mirent à trembler et il me fut de plus en plus difficile de garder mon contrôle alors que je le sentis vibrer.

Je savais qu'il était sur le point de jouir. J'essayai de reculer ma tête, mais il posa une main sur ma nuque et l'autre dans mon dos m'interdisant tout retrait alors qu'il plongeait sa bite de plus en plus profondément au fond de ma gorge. Je le sentis éjaculer lorsqu'il jouit m'emplissant la bouche de semence. Sa purée s'avéra épaisse, son goût bien plus mauvais que celui du pré sperme.

Je luttai pour détourner la tête mais il me maintint en ligne le temps de finir d'éjaculer. Dès qu'il me relâcha, je m'assis en tentant de recracher le sperme que je n'avais pas encore avalé. Il coulait sur mon menton s'étalant dans mon cou.

Cependant Yan semblait plus ennuyé que satisfait de ma docilité. Il m'agrippa par les cheveux et me serra étroitement contre lui tout en crachant :

- Par l'enfer que crois-tu faire petite salope ? Tu vas avaler toute ma semence et me remercier ensuite ! Je ne veux plus jamais te voir recracher mon sperme ! T'as bien compris ? Et maintenant va chercher quelque chose pour nettoyer ce gâchis ! Il y a du sperme répandu sur moi et sur les draps !

Je me précipitai dans salle de bain et revins avec des serviettes. Il avait les yeux braqués sur moi alors que je faisais de mon mieux pour nettoyer son corps et la literie.

En passant dans le cabinet de toilette pour y jeter les serviettes souillées dans la panière à linge sale, j'en profitai pour me rafraîchir le visage et me brosser les dents dans l'espoir de gommer le goût de son sperme qui m’imprégnait le palais. Je ne réalisai pas que Yan était entré dans la salle de bain avant qu'il ne m'agrippe l'épaule me tournant le visage vers lui.

- Tu n'apprends donc rien stupide vache ? Je ne t'ai jamais dit de te nettoyer. Au contraire je t'ai informée que tu devais m'être reconnaissante de te remplir la bouche de foutre, qu'il t'était interdit de le recracher. Je vais être obligé de te donner une bonne leçon !

Il m'alpagua par les épaules et m'entraîna vers mon lit, il s'assit et me coucha en travers de ses genoux le visage tourné vers le sol. Il introduisit de force une de ses mains entre mes cuisses, il dénicha mon clito et se mit à le pincer tout en fourrant son pouce dans mon con trempé de ses précédentes attentions. Puis il commença à me fesser, chaque fois que sa main s'abattait sur ma croupe il pressait rageusement son pouce dans mon intimité.

Des ondes de plaisir irradiant de ma chatte détrempée firent écho aux vagues de douleur émanant de mes fesses meurtries. Je gémis et me tortillai ne sachant quelle main me procurait les plus fortes sensations.

Ma poitrine était pressée sur la parure de lit et je sentais mes tétons raidir ce qui accrut l'émoi de mon corps. Les coups que je recevais sur les fesses étaient douloureux, je savais que ma croupe avait dû revêtir une belle teinte aubergine. Je ne savais pas si je devais essayer de fuir cette avalanche de coups sur les fesses ou ce pouce fureteur qui fourrageait dans ma chatte.

Je criai comme une folle, le corps secoué de spasmes incontrôlables, alors qu'un orgasme aussi inattendu qu'inavouable me terrassa. Yan me repoussa, je m'effondrai épuisée de jouissance, les fesses en feu.

J'étais agenouillée sur la moquette, le buste gisant sur le lit. Il s'accroupit dans mon dos et pointa sa grosse bite à l'orée de ma chatte frémissante. Puis il s'engouffra en moi, ses burnes frappant mon clitoris affolé. Il malaxa sauvagement ma croupe tout en martelant ma chatoune, je m'entendis soupirer lamentablement. J'avais seulement oublié à quel point sa bite était grosse et ma chatte étroite. Il tendit les mains et empoigna mes nibards. Cette façon de les pétrir alors qu'ils étaient écrasés sur le rebord du lit était très douloureuse, aussi me redressai-je sur les coudes. Il émit un grognement de satisfaction et les tripota de plus belle. Il les pinçait et les étirait douloureusement, mais j'aimais ça !

Un nouvel orgasme m'emporta, je me mordis sauvagement les lèvres pour me retenir d'exprimer mon extase. Cependant il martelait toujours ma cramouille de puissants coups de boutoir. J'entendais les clapotis qu'engendraient les allées et venues de son énorme bite dans ma moule engorgée de cyprine.

Je succombai à un nouvel orgasme s'enchaînant au premier à peine estompé. Enfin je le sentis gonfler en moi et s'exonérer en grognant comme un porc. Ça suffit à m'arracher un troisième orgasme, on râlait et gémissait de concert alors que son jus emplissait ma moule.

En se retirant de moi, à nouveau il me claqua douloureusement le baigneur. Il enfila une robe de chambre et descendit au rez-de-chaussée. Je l'entendis regarder la télé tout en avalant son petit déjeuner.

Je chancelai jusqu'à la salle de bain maudissant mon corps qui me trahissait. Je regagnai ensuite mon lit et me lovai sur le haut du lit, je haïssais les soubresauts qui agitaient encore mon corps enfiévré.

Yan remonta à l'étage et me trouva recroquevillée sur le lit.

- Viens ! Je veux que tu me laves !

Je le suivis à contre cœur et rentrai dans la baignoire avec lui. Il ouvrit la douche et dirigea les embruns sur moi.

- Savonne tes nichons puis frotte les sur moi ! Ordonna-t-il.

Servilement je couvris mes nibards de mousse puis commençai à me frotter contre son torse. La combinaison de ma peau savonneuse et de son corps rugueux me rendit folle. Je gémis et me pressai contre lui. Il me guida, frottant mes nibards contre le moindre repli de son torse, visiblement il savourait cette approche.

Je pris le savon pour renouveler la mousse puis il me fit mettre à genoux. Je fis courir mes seins de bas en haut sur ses cuisses. Un de ses pieds était posé sur ma chatte, je réalisai qu'instinctivement je pressais ma fentine contre ses orteils.

Honteuse de cette réaction, je me redressai vivement. Je me relevai, mais Yan me fit asseoir sur le rebord de la baignoire, il plaça alors sa bite entre mes nibards, les resserra sur la hampe et se mit à aller et venir dans ce doux écrin crémeux.

- Lèche mon gland ! Me dicta-t-il impavide.

Chaque fois que la grosse prune rougeâtre sortait de l'écrin de mes nichons, je pointai la langue et léchai le méat. Le flot d'eau chaude s'écoulant de la douchette et la mousse savonneuse altéraient le goût de son liquide pré éjaculatoire.

Il frotta mes tétons de son pouce alors qu'il resserrait l'écrin de mes miches sur sa bite à chaque allée et venue. Je me dis que je serai heureuse d'expérimenter ce nouveau plaisir avec John. Je rougis immédiatement de honte, je n'étais pas supposée savourer les caresses que m'imposait Yan.

Avant même que je puisse reprendre mes esprits, Yan me remit sur pieds. Il me prit sous les genoux et me repoussa contre le mur. Sa bite glissa dans ma foufoune affamée et je posai mon pied libre sur le rebord de la baignoire alors qu'il me baisait sur un rythme de croisière.

Mes jambes étaient si écartées que mon clito était entièrement exposé aux frottements contre sa peau. Il avait la bouche pleine de mes tétons. La chaleur de son haleine contrastait avec la froideur de l'eau que déversait sur nous la pomme de douche. Un orgasme subit me fracassa de la tête aux pieds et je perdis tout contrôle de mes sens, me serrant sauvagement dans ses bras, tout en hurlant mon extase, mes ongles s'enfonçant dans ses épaules.

 Je rebondis d'orgasme en orgasme alors qu'il continuait à me ramoner imperturbablement. Folle de plaisir, je me tortillai contre lui en attendant qu'il jouisse ou qu'il arrête de me fourrer, ce qui arriva quelques secondes plus tard.

Je glissais assise sur le rebord de la baignoire alors qu'il finissait de prendre sa douche, je manquai trop de forces pour bouger. Un moment plus tard, il se releva et se sécha, j'avais repris ma respiration.

- Très bien, tu commences à comprendre ce que veut dire être mon esclave sexuelle ! Me félicita-t-il sur un ton suffisant.

- J'attends avec impatience la fin de notre arrangement ! Répliquai-je aigrement avant d’ajouter :

- Je veux que tu me donnes des preuves que tu déménageras en fin de mois !

- C'est d'accord je contacterai des agences immobilières cet après-midi ! Mais t'es bien certaine de vouloir que je parte ? Qui va t'apprendre à baiser correctement si je ne suis plus là ? Qui te fera hurler lorsque tu succomberas à ton vingtième orgasme ?

- John, et nous ne baisons pas, nous faisons l'amour ! Tu pourras toujours me faire jouir autant de fois que tu voudras, tu ne sauras jamais ce que veut dire faire l'amour ! Tu ne sais que forniquer ! J'en suis désolée pour toi !

 - …

Il riva son regard sur moi.

- Tu n'es qu'un foutue salope ! Je n'ai jamais voulu te faire l'amour, mais seulement te baiser à couilles rabattues. Je veux juste être certain que tu écartes les cuisses lorsque je te l'ordonne !

Je fus satisfaite de l'avoir vexé.

- Bien maître. Rétorquai-je sarcastique ment et j'éclatai de rire alors qu'il sortait de la salle de bain.

J'avais accepté qu'il me baise selon son bon gré, mais rien ne m'obligeait à me montrer charmante avec lui. J'espérais seulement qu'il ne profiterait pas de la prochaine absence de John pour se venger de mon arrogance.

A suivre…

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