Margot est une salope - récit érotique domination soumission professeur viol
Texte de Erosxx.
Ma mère et ses amants.
Ils sortent des strings, des soutien-gorge et une minijupe.
Ma mère et ses amants.
Les vacances
sont passées et je suis retourné vivre à l’appartement avec maman. Elle a
repris ses activités et son cours de danse du Jeudi. Depuis l’incident, je l’accompagne
mais pas de retombées. Les violeurs se sont volatilisés ou en taule. En tous
cas, je ne veux pas prendre de risque et même si ça l’agace parfois, je tiens à
l’accompagner.
Question
meuf, néant encore. Je passe ma frustration sexuelle en achetant de nombreux
magazines de cul et en allant sur le net. J’ai décidé un jour, un peu ivre de
retour de soirée, de passer au dialogue avec une fille. J’ai trouvé ça bien et
ça m’a incité à acheter une webcam. Mais j’ai trop honte de l’utiliser encore
et finalement ma webcam me sert à rien.
Je reprends
bientôt les cours et je vais en première année de BTS. Maman a repris aussi les
cours de français. Toujours fidèle à ses habitudes, elle s’habille assez sexy
sans trop exagérer à cause des autres profs. Il faut dire qu’elle est bien
foutue ma mère. Son prénom c’est Marguerite mais ses amis et la famille l’appelle
Margot. A 44 ans, elle en parait trente. Elle fait 1m68 pour 62 kg, des cheveux
noirs qui lui tombent jusqu’aux épaules, le visage typé, méditerranéen car elle
est originaire de Marseille. Elle a les yeux en amande de couleur marron et sa
peau est mate. Toujours bien maquillée, elle se met des faux cils et ses
sourcils sont noirs et très fins ce qui lui donne un regard magnifique. Son
corps a gardé sa forme grâce au sport car elle est prof de danse en plus d’être
prof de français. Elle a aussi de très beaux seins, très gros et qu’il est
appréciable de voir bouger quand elle danse en même temps que ses élèves.
Malgré le temps, elle se permet encore de porter des minijupes lui arrivant à
la moitié des cuisses. Elle met des bas bruns et des chaussures à talons haut.
Il lui arrive aussi de mettre un chemisier rose dont elle déboutonne le haut (2
boutons). Le problème, avec ses fringues sexy, c’est qu’elle passe pour une
pute dans la cité et que ça jacasse sur elle. Mais je m’en fous car je la
connais et elle n’est pas infidèle.
De mon côté
avec ma meuf, c’est le néant. J’ai réussi à la peloter un peu. Résultat, elle
me fait la gueule et je retourne à mes vidéos et mes livres. En regardant ma
webcam, je me suis aperçu qu’on pouvait aussi l’utiliser comme une caméra d’enregistrement.
Je l’installe donc et ça tourne dans ma chambre. Je décide alors de la laisser
tourner pendant que je vais en cours pour voir si ma mère fouille dans mes
affaires car des fois, j’ai l’impression que mes livres de cul dans l’armoires
sont touchés. Chose simple car maman est hermétique à l’informatique et je la
convaincs de ne pas éteindre l’ordi pendant mon absence en disant que je
défragmente ou que je télécharge (ce qui arrive parfois, surtout du cul). Je
dirige la webcam bien en face de mon armoire et je pars en cours le matin.
Le soir en
rentrant, je visionne en accéléré mais rien. Le mardi je la vois juste déposer
du linge dans l’armoire. C’est le mercredi que je découvre le manège. Le soir
donc, je visionne en accéléré et top, ce que je vois me fait halluciner. C’est
pas possible, pas possible. Je remets en arrière. Ça commence vers 10h00 du
matin. Maman ne travaille pas le mercredi. Peut-être un collègue qui passe la
voir en toute amitié. C’est vers 10h35 que tout bascule. D’un coup la porte de
ma chambre s’ouvre. Je vois une femme avec des seins énormes rentrer. Elle est
toute nue et elle se précipite vers mon armoire en rigolant. Cette webcam-là n’enregistre
pas le son mais je vais faire du dialogue.
- Viens voir
Jacques, viens voir ! Mon cochon de Sylvain les planque là !
Un homme que
je ne connais pas rentre. Il est à poil en chaussette noire juste, la trentaine
passée et brun, poilu avec un gros sexe. La femme sort ma pile de bouquins
porno et ils le feuillètent comme deux ados en rigolant.
- Il aime les
femmes aux gros seins, ton cochon de fils !
- Comme toi !
N’oublie pas que c’est ma grosse poitrine qui nous a fait nous rencontrer.
- Putain,
ouais, ma Margot à moi. La femme la plus bandante que j’ai jamais eu.
*
Et oui, vous
avez bien lu. La femme en question, c’est ma propre maman que je disais fidèle
à mon père les lignes au-dessus. Et la voilà qui se promène à poil dans l’appart
avec cet inconnu et qui, en plus, se permet de regarder mes magazines pornos. C’est
à ce moment que j’ai droit à la totale (sans le son hélas) car la cam
enregistre tout et l’écran est en veille en plus. L’homme semble être aussi
ignare que maman pour l’informatique car il ne voit même pas la webcam allumée.
D’abord il l’embrasse
goulûment. Elle lâche les livres qui tombent de partout. Il se met à lui masser
les seins. Ses deux mains sont posées sur la poitrine de maman tandis qu’ils s’embrassent.
Les langues se mêlent et claquent. Ma mère est adossée contre l’armoire et l’inconnu
qui s’appelle Jacques la domine. Ses mains ne cessent de malaxer les seins de
Margot qui semble aimer cela. Il lui embrasse le menton et lui lèche le cou.
Maman a la tête en arrière et pousse des gémissements. Surtout lorsque celui-ci
se met à lui lécher son opulente poitrine. Il s’est accroupi la tête au niveau
des lolos et surtout des tétons. Il se met à la téter, chacun des seins. Il
mordille les longs tétons et avec sa langue s’amuse à faire le tour des
auréoles. Il reste un moment à s’occuper des nichons.
Ma mère
semble être à moitié en transe et ses gémissements, son souffle en disent long
sur son plaisir. Puis jacques lui plaque les mains sur les deux fesses rondes
et brunes. Je devine qu’il les masse tout en suçant les seins de Margot.
- Hmm ! Tu
as raison de faire du sport, ton cul est bien ferme, j’adore te peloter les
fesses.
Flattée et
excitée, maman lui colle le visage entre les seins pour l’inciter à lui sucer
les tétons. Jacques la soulève alors tout en l’embrassant et la porte sur mon
propre lit. Elle le repousse en secouant la tête.
- N… Non
Jacques, pas ici, pas ici ! C’est le lit de mon fils, on ne peut pas.
- J’ai envie
de te prendre ici, justement. Ça me fait trop bander l’idée de baiser sa maman
sur son lit sans qu’il le sache.
Il la pose
alors sur le lit, sur ma couette propre. Je ne peux pas y croire. Et pourtant,
ma mère va se faire sauter sur mon lit par cet homme. Pas vraiment emballée
elle tente de le repousser. Mais, esclave de son plaisir, elle ne rechigne pas
longtemps. Surtout qu’en plein devant la cam, je la vois assise sur le lit, les
cuisses écartées, sa chatte poilue offerte avec la tête de Jacques qui lui
fouille le sexe de sa langue. Déjà mouillée depuis quelques minutes, elle se
laisse lécher le sexe, fouiller sans pudeur son intimité. La langue de Jacques
fait des merveilles et ses deux mains se referme sur la tête de l’homme. Elle
lâche des cris de jouissance. Elle se renverse en arrière. Je vois ses seins
par-dessous. Quel poitrail ! Ses tétons sont durcis par l’excitation.
Jacques continue de la fouiller avec sa langue et aux gémissements, on peut
supposer qu’il a trouvé le clitoris.
- Allez ! A
ton tour, maintenant !
Margot se
redresse, le visage excité. Elle l’embrasse de toute ses forces et s’accroupit
entre les jambes de Jacques. Son pénis en érection rentre dans la bouche de ma
mère. Elle lui taille une pipe comme dans les films de cul que je regarde, avec
ce même air de salope dans les yeux. Jacques lui laisse sa bite à ses bons
soins, confiant du plaisir que la femme va lui donner. Il gémit tandis qu’on
peut entendre les bruits de succions de la bouche de Margot. Ses mouvements de
tête en suçant provoquent des remous dans sa poitrine qui bouge en même temps
qu’elle le suce.
Jacques, à
bout, jute dans le visage de maman qui accueille le sperme dans sa bouche. Elle
parvient à presque tout engorger mais des gouttes de jus tombent sur la
couette. Jacques pousse Margot sur le lit et se met à côté d’elle. Il se met à
lui caresser les seins, ces superbes seins qui ressemblent à deux masses de
chairs opulentes, du pur, du naturel, des objets de plaisirs incroyables.
Il l’embrasse
encore. Ses mains fouillent son corps, le parcourt. Ils caressent le long des
cuisses fermes, musclées et bronzées de cette femme sportive de 44 ans. Il
reste à lui embrasser le ventre puis remonte à nouveau vers les melons de
maman. Il se met sur elle et commence à la limer. Margot écarte pour recevoir
cette grosse bite dans ses entrailles. Elle le veut. Elle veut sentir le sperme
dans ses entrailles, sentir cette vigueur. Il la lime tout en grognant. Et
margot répond par des gémissements de plaisir. Il est sur elle, la pénètre. Et
oui, ma mère se fait baiser sur mon propre lit. Ma couette récupère la sueur de
Margot et de son amant. Je peux voir Jacques sur elle, son cul en gros plan,
faisant des va et vient dans la chatte maternelle. Il semble infatigable.
Puis, il
vide le reste de son jus. Ma mère gémit. Il s’effondre sur elle et reprend son
souffle sur maman. Elle aussi récupère. Au bout d’une dizaine de minutes, ils
se lèvent et sortent de ma chambre. Jacques lui met une claque sur les fesses.
Elle revient une demi-heure après pour changer ma couette. Voilà à ce que j’ai
eu droit. En plus, mon pantalon est mouillé. J’ai giclé. Ma bite est encore
dure. Je sauvegarde le tout même si la qualité de l’image n’est pas bonne. Dire
que ma mère est à côté.
- Sylvain, à
table, mon chéri !
- Oui, maman
! J’arrive !
Nous dînons
en tête à tête. On ne parle pas trop et je regarde ses seins en dessous son
pyjama. Elle se prépare tôt pour aller au lit. Elle met un peignoir par-dessus
et en général s’allonge sur le canapé devant la télé. Puis, maman part se
coucher et je vérifie si quelqu’un est passé la voir mais rien. Je regarde à
nouveau la baise de cet aprèm et je me branle en jutant partout.
Le reste de
la semaine, Jacques n’est pas revenu. Elle est allée au cours de danse du Jeudi
et je l’ai accompagné. Je ne me lasse pas de la voir bouger et surtout ses
lolos sous le maillot. En plus, je regarde aussi les autres élèves. Elles sont
de tous les âges et avec de beaux seins. Y ‘a du nichon partout et je ne m’ennuie
pas une seconde. Je ne suis pas le seul d’ailleurs car y a plein de mecs qui
viennent voir le cours et même des vieux pervers qui fantasme sur le corps de
ma mère.
Vendredi on
repart à la maison rejoindre papa. On fait un repas de famille. J’ai du mal à
fixer papa du regard Je pense à maman qui joue bien son jeu. Je ne vais pas lui
dire que c’est une garce qui le fait cocu. Si je lui dis, c’est le divorce et
la merde dans la famille. Et qui me dit qu’il n’a pas une amante lui aussi. Ce
n’est pas grave, et puis j’ai bien pris mon pied à assister aux galipettes de
maman. Du cul en live. Ce n’est pas une actrice cette fois. Une vraie femme
avec une paire de melon pas possible qui se fait baiser.
Je la
regarde parler avec ma tata comme si de rien n’était. Le week-end se termine. Je
m’achète une nouvelle camera, plus chère mais plus petite avec meilleure
résolution. En plus, elle enregistre le son. Je banque, mon mois y passe mais
ça vaut la coup et l’image est meilleure.
Le début de
semaine se passe sans rien. Mais le mercredi suivant on entend les bruits de
baise dans le petit salon. Hélas ma caméra est dans la chambre et je suis écœuré.
J’ai que des vagues sons venant du petit salon. Ils ne baisent pas tous le
temps dans ma chambre. Il faut que je la mette dans la chambre de maman ou dans
le salon. J’achète alors une sorte de gros masque tribal creux à pas cher que j’installe
près de la télé dans le petit salon. Je mets la cam dedans, c’est parfait on
voit rien. L’objectif est dans l’œil du masque. Je camoufle le fil avec ceux de
la télé. J’ai une vue sur tout le salon.
J’attends
donc avec impatience le Mercredi suivant. L’attente est insoutenable. Enfin, le
soir arrive. J’espère que Jacques va revenir, je l’espère. J’ai la gaule avant
même d’arriver. En plus, hasard, je croise maman qui revient des courses et en
tenue sexy en plus. Elle me fait un large sourire qui dévoile ses dents
blanches. Bien maquillée et tout ; elle a mis une nouvelle mini-jupe qui
lui arrive à mi-cuisse. Elle est top avec ça. Ses jambes musclées semblent interminables.
Je regarde ses seins. Elle a mis un gilet avec un petit chemisier qui bombe ses
melons. Elle me dit d’aller chercher le reste des courses dans la voiture. J’y
vais. Au retour, je vois maman qui se prend la tête avec des jeunes du
quartiers qui l’ont sifflée comme d’habitude. Elle est redescendue croyant qu’il
restait des affaires dans la voiture. Voyant qu’elle provoque une émeute et que
d’autres arrivent, elle finit par lâcher sa prise de tête et on remonte alors.
Je ferme la porte à clef.
- Fais gaffe
avec eux, maman !
- Ce ne sont
pas ces petits cons impolis qui vont me dire ce que je dois porter, non mais !
- Mais bon,
tu sais ce qu’il s’est passé il n’y a pas longtemps dans le coin !
- bon, on en
parle plus, va faire tes devoirs !
Je vais à ma
chambre. J’ouvre la fenêtre du logiciel. J’accélère jusque vers quinze heures
comme la dernière fois. Je la vois qui revient du travail. Elle semble lasse.
Elle passe un ou deux coups de fil puis va à la cuisine se faire un café. Là
rien, j’entends des bruits dans la salle de bain et l’eau qui coule. Elle prend
une douche. Au bout de quelques minutes, elle revient, vêtue de son peignoir de
bain, les cheveux dans une serviette enroulée autour de la tête. Elle est pied
nue. Elle sort trois verres qu’elle pose sur la table et repart à la cuisine.
Je sens que ça va tomber à l’eau. Cela va être des collègues de boulot.
Pourtant j’entends frapper et maman qui répond :
- J’arrive !
Elle se
presse et ouvre la porte, dans cette tenue, c'est-à-dire à poil sous son
peignoir de bain. C’est Jacques et un autre homme plus jeune qui doit avoir 23,
24 ans.
- -Eh, ben,
j’ai failli attendre.
--Désolé Margot,
mais on est passé t’acheter des petits cadeaux.
Ils sortent des strings, des soutien-gorge et une minijupe.
- Waou, vous
avez fait des frais les garçons !
- Essaie les
pour nous faire plaisir !
-
Servez-vous donc des verres !
Elle va se
changer. Je vois les deux hommes qui semblent contents et qui discute d’elle
vautrés dans le canapé en buvant leur verre.
- ça va lui aller tu crois ?
- Le
soutien, ça va être juste mais la minijupe, miam !
Maman revient
avec la minijupe. Elle a mis un des soutien-gorge noir transparent. On voit ses
tétons et ses auréoles à travers. Elle prend des poses provocantes.
- Je vois
que vous avez du goût mes petits salauds ! Mais par contre hors de question de
porter ça dans la rue ! Je me suis regardée ! On dirait une pute !
- Tout de
suite les grands mots ! Tu es super chouette ! Et tu as une de ses paires de
seins mmm !
- Eh ben,
mon petit Jacques, je crois que je vais enlever mon soutien-gorge alors !
Elle exécute
une petite danse sensuelle en ôtant son soutien-gorge. Elle se retourne vers
eux et relâche ses deux melons qu’elle cachait entre ses mains. Ils tombent en
gigotant. Elle les prend en faisant un regard provocateur et les masse devant
les deux hommes. Elle prend ses tétons, les tortillent en soulevant ses seins.
Elle sort sa langue en se pourléchant les lèvres. Elle prend un regard de
salope. Elle se met à onduler le ventre comme font les danseuses arabes. Vautrés
dans le canapé, ils applaudissent en sifflant. Elle continue à danser alors en
jouant avec ses seins. Comme elle les pressent contre elle, on l’impression qu’ils
sont encore plus gros. Elle se tourne vers eux et leur montre son cul en
bougeant son bassin. Comme elle est prof de danse, tout ça est fait comme une
pro.
C’est alors
que je réalise que je ne la connaissais pas comme ça. Je ne la croyais pas
capable de faire des danses comme ça. Elle est sur le point de se taper deux
mecs à la fois. Elle se retourne à nouveau et relâche ses seins. La gravité
fait que ça bouge et elle se met à secouer sa poitrine en mettant ses mains
derrière la nuque. La caméra enregistre un léger « floc floc » qui
correspond au bruit des seins qui bougent dans tous les sens. Excité, Jacques
se précipite vers elle et la soulève en lui embrassant les seins à pleine
bouche. Ses seins débordent de partout et Jacques a sa tête enfoncée dedans. Il
la pose sur le canapé à côté de son ami qu’il appelle Nicolas.
- Vas-y
Nico, fais-la jouir !
Nico plonge
alors entre ses jambes, écarte les cuisses musclées et plonge sa tête sous la
mini-jupe qui remonte vers le haut. Maman n’en peut plus. Elle jouit à la fois
à cause des massages de ses gros seins par Jacques et des léchons de Nico sur
sa chatte poilue car elle n’a pas de culotte sous sa mini-jupe retroussée. Elle
se met à mouiller presque aussitôt ne sachant qui embrasser. Nico la bouffe de
toute ses forces et il maintient les cuisses de maman écartées. Les seins de
Margot sont recouverts de la salive de Jacques qui lui mordille le bout des
tétons. Nico pose les deux cuisses musclées de margot sur ses épaules tout en
continuant de la lécher. Margot gémit à nouveau en soufflant profondément.
Jacques grimpe par-dessus Margot sur le canapé et sort sa bite qu’il met dans
sa bouche. Margot suce Jacques pendant qu’elle se fait lécher le minou par
Nico. Je vois le cul de Jacques qui cache le visage de maman et Nico de dos qui
la lèche encore. Jacques lui prend les cheveux pour stimuler la pipe de Margot.
Mais elle a du mal à gérer son bonheur et sa pipe en même temps.
Ils tiennent
le rythme pendant au moins un quart d’heure comme ça. Je touche mon sexe gonflé
à bloc. Humide, ma mère demande à se faire prendre sur le champ. Nico passe le
premier. Il l’allonge sur le salon et se met sur Margot. Il rentre son sexe
dans celui de maman et la lime. Son rythme est régulier. Il est sur elle et,
tout en la pénétrant, lui caresse ses cuisses musclées. Il se retire alors
avant de gicler. C’est juste. Margot reste les pattes écartées pour accueillir
Jacques. Elle se tortille au sol en se caressant la chatte et en se léchant les
lèvres. Jacques la lime à son tour tout en lui prenant les seins. Il est comme
moi, le Jacques, il aime les gros melons. Le corps de Margot est secoué par le
va et vient de Jacques. Ses seins lourds bougent mollement sur son torse ce qui
finit par exciter Jacques. A son tour, Jacques retient son plaisir. Ils sont
suant tous les trois.
Margot se
relève en se massant le ventre. Elle sert des digestifs. Ils vident un Whisky
où deux et ça repart. Margot prend la bite de Nico cette fois. Elle le suce
merveilleusement bien. Dire que Nico doit être à peine plus âgé plus que moi.
Nico pourrait être son fils et moi à la place de Nico. J’en bande rien qu’à l’idée.
Ses lèvres le sucent merveilleusement bien. Sa langue s’enroule sur le gland,
se pose au milieu puis enroule à nouveau. Le sexe de Nico, décalotté, s’enfonce
à nouveau dans la bouche et elle recommence à le sucer. Elle le prend à pleine
main et en fait le tour. La bite rentre et ressort, déforme la joue de maman.
Jacques, se pointe la bite en érection. Alors Margot s’occupe des deux. Une à
la fois. Une bouchée pour Nico et une pour Jacques. Elle semble prendre son
pied à essayer de bien les sucer. Nico sort de sa bouche et elle pipe alors
Jacques. Il passe derrière elle et lui soulève les fesses.
- Hmm, On
dirait un cul de joueuse de Tennis !
Il dit ça et
lui pelote le cul, les deux fesses. Puis, il crache sur son doigt et lubrifie
son anus. Nico la sodomise alors tandis qu’elle suce Jacques. En voyant cela,
Jacques s’excite de plus en plus et finit par gicler dans la bouche de Margot.
Il jute tellement que ça déborde de sa bouche et Margot manque de s’étouffer.
Elle récupère le sperme avec une main et le ramène vers sa bouche pour tout
avaler.
Margot sent
la queue de Nico s’enfoncer dans son cul. La bite fouille ses entrailles. Elle
se met à quatre pattes alors, remonte ses fesses et se laisse fouiller,
pénétrer. Nico est tout enfoncé, il se retire lentement. Maman gémit. Elle
n’aime pas être sodomisée mais elle prend sur elle et elle repense aux léchouilles
de Nico. Elle lui doit bien ce petit plaisir. Nico prend soin de ne pas lui
faire mal. Il y va doucement, doucement et accélère. Margot se cambre et fait
tout ce qu’elle peut pour accepter le sexe dans son anus. Jacques se glisse
sous elle et introduit son sexe encore vigoureux dans la chatte de Margot. Il
essaie de la limer en même temps que Nico. Ils y vont ensemble. Les gros seins
de Margot juste dans la figure de Jacques. Ça l’excite que ces deux lolos lui écrasent
la figure. La voilà avec Nico qui la sodomise et Jacques qui la baise par en
dessous. Elle sent la respiration et la bouche de Jacques sur ses tétons et
elle commence à jouir de nouveau. Nico prend son pied. Les yeux fermés, il lime
le conduit anal. Il jute à son tour. Maman alors ouvre la bouche et laisse échapper
un cri, les jets de sperme sont si fort que ça lui fait mal dans son cul. Mais
elle serre les dents. Le jus rempli l’anus et elle a l’impression que son
ventre se remplit en même temps. Surtout que Jacques à son tour éjacule le
reste de son sperme. Elle a deux bites en elle qui déversent leur contenu à l’intérieur
d’elle. Les deux semences remplissent maman. La chaleur se diffuse à l’intérieur
de son corps. Là, elle en peut plus. Elle jouit. Nico se retire et elle tombe
sur Jacques, épuisée, sa poitrine sur le visage de Jacques. Celui-ci sent le cœur
de Margot battre à fond la caisse. Ses seins sont chauds, gros. Il se laisse
écraser volontiers le visage dans ces grosses masses de chairs. Ils restent un
moment comme ça, Nico assis sur le canapé et maman, essoufflée, écrasant
Jacques de sa poitrine. Maman reprend son souffle difficilement et dit :
- Ah, ce que
je vous aime vous deux !
Ils parlent
un peu, se félicitant de leurs actions. Chose, incroyable, Jacques fait la
tournée des cigarettes et elle en prend alors qu’elle me fait la morale là-dessus.
Elle se met entre eux deux sur le canapé (elle est nue toujours). Puis Margot
dit :
- Allez,
vous devez partir, mon fils va arriver et je dois faire des courses. Les hommes
n’insistent pas et s’habillent. Après avoir raccompagné à poil ses amants,
Margot se sert un dernier verre. Quand elle marche ses seins bougent. Elle ne
semble pas gênée de se balader nue dans l’appart. Elle prend une douche en vitesse
et se met en tenue sexy. La mini-jupe sexy offerte qu’elle avait honte de
mettre au début, un chemisier et un gilet, ses melons bien moulés, bien gros et
bien provoc. Elle s’est même maquillée. Je la vois prendre son sac, filer et
refermer la porte.
Après je la
vois revenir avec les paquets des courses, puis moi après et nous deux. Je
coupe alors. Putain, ce que c’était bon. Je me suis bien masturbé. Quel
spectacle. J’entends qu’elle m’appelle pour bouffer. Toujours son pyjama et son
peignoir de nuit. Elle s’est démaquillée mais elle reste belle de visage. Je
n’ose pas croiser son regard car j’ai honte de tout. De moi et d’elle aussi.
Dérangeant de voir sa mère se comporter comme une salope avec ses amants et de
la voir après en maman normale. J’aimerai à la fois l’engueuler et la féliciter
pour sa performance. Mais je ne dis rien, vaut mieux. Après bouffer, elle va
dans sa chambre corriger quelques copies comme si tout était normal.
A suivre…
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