Auteur inconnu.
La soirée continue à la maison.
Dès que je suis sorti, Youss s'approche de Sarah et lui dit :
- Allez, j'ai envie d'un bisou, ton mari n'est plus là, tu as vu dans quel état je suis ?
Elle sourit, fais semblant de résister, il pose ses mains sur ses hanches, elle tourne la tête en souriant, il l'embrasse dans le cou en murmurant :
- C'est toi mon dessert !
- Tu exagères, c'est n'importe quoi. Dit-elle avec une petite voix excitée.
Youss remonte une main sur un de ses seins à travers son débardeur, elle ne se débat pas. Il arrive enfin à ses lèvres et commence à lui rouler une bonne pelle, qu'elle lui rend, pendant que sa main gauche caresse un de ses gros seins et que son autre main descend sur le haut de sa cuisse. Son pote dit :
- Eh y'en aura pour moi aussi, je vais pas rester en chien frère !
Et Youss lui fais signe de ne pas s'inquiéter. Tout en continuant à embrasser ma femme sur la bouche et dans le cou et à la caresser de plus en plus directement, il lui dit :
- Faut se dépêcher, on a une heure pour te faire jouir.
- Hummm, j’espère que vous êtes prêts parce qu’y a une petite pute à satisfaire dans cette maison.
Elle caresse ses épaules et ses pectoraux, la partie est gagnée pour eux. Le bel africain lui retire sans précautions son débardeur, et elle se retrouve en soutien-gorge noir à dentelle. Youss la fait se tourner, se colle contre son cul et exhibe la poitrine de ma chérie à son ami.
- Montre à mon poto la belle paire de loches dans ta lingerie de bourgeoise.
- Putain ça c’est de la tenue de salope. Ma queue va être parfaite entre ces seins.
Il la lâche deux secondes et enlève son pantalon, son pote est assis et il mate en caressant sa queue à travers son froc.
A ce moment-là je rentre, je suis sorti depuis à peine 2 minutes. Je le vois en caleçon avec son pantalon à la main et sa bite qui fait une bosse énorme, à tel point qu’elle ne tarderait pas à dépasser. Ma femme debout à côté, en soutien-gorge, les joues rouges. Je balbutie :
- J'ai oublié de prendre les clefs de mon bureau...
Il sourit et me dit :
- Ben vas les chercher et laisse-nous.
Je m'exécute. En fouillant pour trouver mes clefs, je les entends rire de la situation et dire à Sarah qu’elle va adorer ce qui va se passer. En repassant devant le salon je vois Youss tenir Sarah par la gorge, elle a les mains dans le dos. Il lui demande d’ouvrir la bouche. Il enfonce plusieurs doigts dans sa bouche et il lui crache dessus. Je baisse la tête et claque la porte en sortant.
Dès que je suis ressorti de l'appart, il regarde Sarah et lève les yeux au ciel, elle sourit d'un air navrée elle aussi, et son pote s'esclaffe :
- Putain mais quel tapette ce mec !!! J'y crois pas !!
- Bon ben là c'est clair, il va pas nous faire chier ton mari.
Elle rigole et attrape sa queue, tendrement, à travers son caleçon. Elle se passe la langue sur les lèvres, il attrape sa langue avec ses lèvres et la suce lentement. Ses mains remontent derrière son dos et dégrafent doucement son soutif. Akim se penche pour mieux voir, Youss enlève doucement le soutif et les deux gros seins apparaissent, gros et fermes comme deux obus. Il les prend chacun dans une main, fait un pas en arrière pour mieux les voir, ses yeux sont exorbités. Il se lèche les lèvres en caressant ces deux nibards de rêve, Sarah ferme les yeux et gémit doucement. Il joue avec ses tétons entre ses doigts, lui murmure :
- Je vais t'arracher ta culotte, sac à foutre, tu vas voir ce que c’est d’être une salope à négros...
Elle ne se défend pas, au contraire sa seule réaction est un sourire provocateur.
Alors il l'attrape, la jette sur le canapé, se place entre ses cuisses. Il remonte sa jupe, puis il baisse son caleçon et libère enfin son énorme bite. Il commence à la frotter contre la chatte de Sarah à travers sa culotte. Elle est déjà toute mouillée. Son pote sors sa queue et commence à s'astiquer vigoureusement. Youss recommence à lécher les seins de ma femme, en position du missionnaire, et elle enlève son tee-shirt et caresse ensuite son dos, ses bras, ses épaules, ses muscles.
N'y tenant plus, il la soulève un peu, lui lève les jambes en l'air, et lui enlève son tanga en dentelle noire qui reste accroché à un de ses talons vernis. Son pote se lève pour mieux voir. Youss se recouche sur Sarah, prend sa queue dans une main, la décalotte, et l'approche de la fente de la femelle. Il lui caresse un peu la fente avec son gland, c'est de plus en plus mouillé, et il commence à l'enfoncer dans sa chatte. Elle gémit doucement en se mordant les lèvres, et il recommence à lui sucer les seins. Il enfonce sa queue, lentement, et fini de la pénétrer. Elle murmure :
- Elle est grosse... elle est très grosse... c’est trop bon ta queue noire !
Il lui lui lèche les seins sans lui répondre. Sa queue est entièrement dans le vagin de Sarah, et il commence à la pilonner sans ménagement. Son pote n'en perd pas une miette, il regarde et dit :
- Vas-y salaud, baise-la bien... défonce-lui sa chatte !
Youss, lui, continue à la tirer bien sauvagement, il lui déglingue le minou. Elle s'accroche à ses épaules, son cul noir et musclé monte et descend chaque fois qu’il lui enfonce sa bite, les lèvres de sa chatte sont déformées par la taille de la poutre ébène. Elle gémit de plus en plus, elle descend ses mains sur les fesses de son tourmenteur, elle les caresse. Lui continue de la pilonner comme un fou sans sentiments. C’est pas faire l’amour ni du sexe, c’est de la baise bien hard. Il mate ses seins qui bougent sous lui pendant qu’il la déglingue, ses cuisses sont repliées autour des hanches du beau black, il accélère le rythme, elle gueule comme une pute.
D’un coup il s’arrête, sors sa queue luisante de mouille, retourne ma femme, la met en levrette, la force à bien cambrer son cul, et il lui renfonce sa grosse bite d’une seule traite. Elle gueule, ça lui fait mal et ça lui fait du bien en même temps. Youss lui tient les hanches et les fesses pour pouvoir s'enfoncer dans son ventre au maximum, il pousse sa queue, les couilles claquent sur le clito et il lui élargit la chatte. Il lui redresse le buste pour pouvoir poser ses mains noires sur ses seins laiteux et les malaxe dans tous les sens. Elle renverse la tête sur son épaule en haletant.
Après de longues minutes de ce traitement bien hard, il la retourne à nouveau. Les seins et le cul de la salope qui est aussi ma femme sont cramoisis. Youss la reprend en missionnaire, en mettant ses cuisses par-dessus les épaules musclées, elle a les jambes en l'air et lui est planté en elle. Elle gueule, lui ne penses plus à rien, à rien d’autre qu'à soulager sa grosse bite veineuse, se vider les couilles dans cette chatte de salope, pendant que ses deux gros seins bougent sous ses yeux. Il ne se gêne d’ailleurs pas de prendre appui dessus en les écrasant. Youss gémit :
- Putain j'ai pas de capote... j'ai trop envie de jouir, je vais te juter dans la chatte, salope... t'as envie, la pute à nègre ?
- Oh oui, encore, vas-y, viens, remplis-moi avec ton foutre de black !!
Il se met à jouir à ce moment-là. Il lui remplit la chatte de foutre. Son pote hallucine, il dit :
- WAOUuuu !!! Salaud, tu lui balances tout dans le teuch, t'es un gros niqueur toi !!!
Youss reste soulevé sur ses avant-bras, sa queue encore dans le vagin de ma femme. Elle reprend doucement ses esprits, lui aussi. Il regarde encore ses seins, tout en se calmant un peu. Elle ferme les yeux. Au bout de quelques instants, il se retire d'elle, il lui fait nettoyer sa queue encore dure et lui dit d'aller se passer sous l'eau dans la salle de bains car elle est dégueulasse.
Youss reste à poil sur le canapé, en débandant lentement mais triomphant. Son pote tient une trique d'enfer. Il est tout fou, il n'en revient pas, il dit :
- Putain, c'est chaud, c'est chaud, quelle salope cette meuf !!! Putain et l'autre cocu qui nous laisse baiser sa femme et qui ferme sa gueule !!! Et tu l'a tirée sans capote, t'as du prendre ton pied !!!!".
Youss respire lentement, fier de lui, content d'avoir tiré son coup, ça fait du bien, et le corps de Sarah l'excite vraiment. Il écarte les cuisses, à l'aise sur le canapé en cuir, sa grosse queue redescend petit à petit. Il murmure :
- Putain c'est vrai qu'elle est bonne... elle est super bonne... Quelle chienne !!!
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours