Texte de gkcdqho
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Le soir.
J'embrasse Léo pour lui dire au revoir. En vérité, j'essaie de le faire partir au plus vite. Ma grotte frissonne d'anticipation. Dès qu'il est parti, je vais directement dans la chambre et j'étale sur le lit tous mes vêtements de pute. Un par un je les essaie devant le miroir pour trouver celui qui fait le plus salope.
Finalement je me décide quelques minutes avant l'arrivée de Mr Alain. Je prends une mini-jupe très courte, un haut moulant, des bas et un porte-jarretelle beige ainsi que des talons hauts. Mes seins sont si gros qu'ils tendent au maximum le tissu de mon haut. On peut voir mes mamelons à travers le tissu. Je ne mets ni soutien-gorge ni culotte. Je me maquille et je redresse mes cheveux pour mieux ressembler à une prostituée.
Mon propriétaire arrive et aime ce qu'il voit. Il me sourit et dit :
- Bien Léa, tu es une bonne fille.
Il passe sa main entre mes cuisses. Il me caresse doucement et continue jusqu'à ce qu'il atteigne ma moule.
- Tu n'as pas de culotte, tu es si humide ?
C'est vrai, je peux presque sentir mon jus couler sur mes jambes alors qu'il glisse ses doigts dans mon antre. Ensuite, il me tripote la poitrine et sors un de mes seins. Il commence à pincer mon téton. Puis il passe derrière moi et me penche sur le canapé. Je crois qu'il veut me baiser avant que l'on parte. Je le veux aussi. Mais je sais que sa queue est trop petite pour satisfaire ma moule insatiable.
Tandis que je me penche sur le canapé, il remonte ma jupe et se baisse pour me lécher la moule. Il enfonce sa langue dans mon puits humide. Ça me fait du bien, il y a longtemps que personne ne m'a mangé la moule, j'avais oublié à quel point c'est bon. Je bouge mes hanches sur sa langue et bientôt il s'intéresse à mon trou du cul.
- Oh ! MMMM ! OOOHH ! Soupiré-je.
Je sens bien sa langue dans mon cul. J'en ai souvent eu envie, mais mon Léo a toujours refusé, il dit que c'est dégoûtant. Peut-être que la seule chose que je déteste chez Léo, c'est qu'il est toujours réticent à essayer des choses nouvelles. Étonnamment il est très strict et très pudique alors il désapprouve les tenues trop sexy et les comportements osés. Il est très prude.
Aujourd'hui je profite de ma première feuille de rose. Mr Alain a une petite bite, mais il est très habile avec sa langue.
- OOHHH ! Mr Alain allez-y, lécher mon petit trou, c'est si bon. OOOHHHH!
Je sais qu'il aime que je l'appelle Mr Alain. Il enlève sa langue de mon cul puis il me sodomise. Je gémis.
- OOH ! La vache, c'est serré ! Dit-il.
Il pose ses mains sur mes hanches et commence furieusement à m'enculer avec passion. Je sens très bien sa bite et ça me fait jouir. Il gifle mes fesses, il me traite de sale pute tout en me labourant le fion. Sans surprise, il ne peut tenir longtemps avant que je ne le sente se raidir et vider ses couilles dans le puits de mes reins.
- OH OUI ! Léa ! Tu es ma grosse salope !
Il retire sa queue et du sperme sort de mon fondement.
- Bon ! Léa, je veux que tu avales tout ce sperme. Ne gaspille pas une seule goutte.
Je lui obéis. Je doigte mon cul pour récupérer autant de sperme que possible. Heureusement que je me suis bien lavé auparavant. Son sperme est assez épicé. Quand il est satisfait de mon nettoyage, il me dit d'aller me laver. Comme il ne veut pas que je porte de culotte, il ne veut pas que je fuis sur les sièges de sa BMW.
Nous quittons l'immeuble et nous prenons une route différente de la dernière fois. Je ne sais pas où mène la route sur laquelle conduit mon propriétaire. Mr Alain gare son véhicule dans une impasse peu fréquentée, il vient ouvrir ma portière et m’aide à mettre de l’ordre dans mes vêtements. Nous marchons une centaine de mètres pour arriver devant une petite porte. Mr Alain compose le code d’entrée et nous entrons. Il s’agit de la porte de service d’un sex-shop avec salles de projection individuelles. Mr Alain me guide vers une petite salle où un noir, d’un certain âge comme l’atteste ses cheveux gris, entièrement nu, nous attend. Grand et musclé, son sexe d’une taille hors norme, bien qu’au repos, pend.
- Voici Léa, une gentille petite épouse qui ne peut, elle aussi, payer son loyer. Elle aime se faire fourrer et connaître le grand frisson d’être traitée comme une pute soumise. Léa, je te présente Momo. Il va bien s’occuper de toi.
Momo s’adresse directement à Mr Alain.
- Et tu lui as dit pourquoi elle est là, Alain ?
- Non, je lui ai simplement dit qu’un black bien équipé la soulagera.
Momo sourit et ordonne :
- Enlève-lui ses vêtements, je veux la voir nue.
Mr Alain me déshabille. Je le laisse faire. Momo s’approche de moi et me prend les seins dans ses grandes mains, il les soupèse comme de la marchandise, les triture et en étire les bouts.
- Pas mal ? Celle-là nous rapportera beaucoup plus avec ses seins de taille supérieure.
Brusquement il me tord cruellement les mamelons. Je crie de douleur. Mr Alain, qui se tient derrière moi, m’immobilise et me fait taire en appliquant une main sur ma bouche.
- C’est juste un rappel, pour que tu saches qui est le maître, et que tu sois obéissante. Ce sera bien pire si nous ne sommes pas content de toi.
Momo se fait beaucoup plus doux pour caresser mon pubis et ma moule lisses, avant de m'enfoncer deux doigts dans ma grotte, qui secrète des gouttes de mouille lorsque que ces doigts me branlent. Puis Momo joue avec les grandes et petites lèvres de ma moule, les palpent et les écartent comme un maquignon à la foire aux bestiaux.
- Tu as raison, ça vaut le coup qu’on s’occupe d’elle. Dit-il enfin.
- Elle est bien faite et son visage est avenant. Elle n’est pas vieille, c’est une jeunotte qui peut encore servir longtemps.
Je suis, à la fois effrayée et excitée, incapable de me révolter, j'éprouve un plaisir malsain à être traitée comme une esclave soumise.
- Elle n’est pas graissée. Dit Mr Alain.
- J’ai ce qu’il faut.
Momo sort de la pièce et revient quelques minutes plus tard avec un tout jeune homme noir, lui aussi nu, qui a dans une main un pot de lubrifiant et dans l’autre une boite de préservatifs.
- Prépare la ! Demande Momo au jeune homme.
Entre-temps, Mr Alain m'a ordonné de me positionner à genoux par terre, le buste reposant sur l’assise du canapé et d’écarter mes fesses.
Le jeune homme m'enduit l’anus du gel lubrifiant, me pénétrant de ses doigts au plus profond. Son sexe, qu’il a long, mais fin, durcit rapidement, privilège de la jeunesse. Il enfile un préservatif et enduit son sexe ainsi équipé d’une bonne dose de lubrifiant. Il se positionne derrière moi et me sodomise sans un mot. D’abord lentement, mais quand je commence à gémir, il m'attrape aux hanches et augmente la cadence. Même dans la condition dégradante où je suis réduite, je reste victime de mes sens et je me mets à gémir. Constatant que la pénétration se fait maintenant sans difficultés, Momo s’adresse au jeune Ali.
- Elle est prête, c’est à mon tour.
Ali se retire de mon fondement. Momo prend sa place et enfonce son sexe imposant dans le puits d'amour de mes reins d’un brutal coup de reins. Je hurle de douleur, avec l’impression que je vais être fendue en deux. Momo reste un moment immobile, le temps que la douleur diminue, puis se met en mouvement, doucement. Le plaisir m'envahit peu à peu. Je n’avais jamais connu une sensation aussi forte de ce côté là.
- Elle te plaît, la grosse queue du black ? Me murmure Mr Alain qui me tient par les cheveux.
- OH ! Oui ! Elle me remplit bien.
Momo continue à me pilonner, sans hâte. Je gémis de plaisir, respirant difficilement et par saccades. Lui, il accélère la cadence.
- Ça te plaît qu’on te traite comme une vrai putain ? D’être totalement soumise ? Insiste Mr Alain.
Je ne réponds pas, trop bouleversée par ce que je vis, mais je suis soulevée par une jouissance brutale. Momo maintient son sexe au plus profond de mon rectum tant que je suis animée de tremblements, puis il se retire de mon puits d'amour arrière, devenu un trou béant. Aucun des trois hommes présents n’a éjaculé.
Mr Alain me laisse quelques minutes pour récupérer puis il me demande de me lever et de le suivre. Il me conduit dans une pièce dont les murs sont constitués de miroirs et le sol recouvert d’une moquette rouge. Une sorte de lit rond tourne au milieu.
- C’est un peep-show. Dans un quart d’heure, il y aura des hommes derrière ces miroirs qui vont se branler en te regardant te faire sodomiser successivement par Ali et Momo. Ce que tu viens de subir est une répétition. Il faut te préparer.
Mr Alain me ramène dans la première pièce. Les deux blacks n’y sont plus, mais une femme, d’une cinquantaine d’années, encore belle, vient nous rejoindre. Elle me nettoie l’entrejambe, qui est luisant de mouille, avec une lingette. Elle me fait asseoir et refait totalement mon maquillage. Elle finit quand on entend l’appel à venir :
- Apprécier un spectacle inédit au peep-show : Une jeune bourgeoise sodomisée par deux blacks.
Mr Alain me reconduit vers la pièce du peep-show et me pousse avec autorité sur le lit rond. Momo entre à ma suite et m'intime l’ordre de m’agenouiller, ce que je fait docilement, avec un sentiment de crainte, mais aussi d’excitation, espérant secrètement retrouver les sensations vécues lors de ma première sodomie. Momo se place devant moi et me met son sexe imposant dans la bouche.
D’une main, il tient ma tête pour m'imposer sa domination. Sa queue grossit rapidement dans ma bouche, m’étouffant presque. Je me mets à le pomper, je ne suis plus qu’une femelle appliquée à donner du plaisir à un homme.
Ali entre alors. Il vient se placer derrière moi et me sodomise comme il l’a fait la première fois. Quand Momo lui signifie de lui céder sa place, il se retire et se précipite pour enlever le préservatif et faire gicler plusieurs jets de sperme sur mon visage. Je n'ai pas eu le temps d'ouvrir la bouche.
Quand Momo me sodomise à son tour, je souffre moins que lors de la répétition. Sodomisée par un black puissant qui me remplit comme je ne l’ai jamais été, je sens le plaisir monter. Mon regard capte mon image dans les glaces : maquillée comme une pute et le visage maculé de sperme, les seins ballottant. Je pense aux hommes qui se masturbent en me voyant ainsi et cela m’affole les sens, précipitant un orgasme dévastateur qui me fait presque perdre connaissance.
Maintenue à quatre pattes par les deux hommes, Momo m’encule jusqu’à ce que la fin de la séance soit annoncée. Il sort alors de mon cul, retire le préservatif et éjacule sur mes fesses, qu’il écarte ensuite afin de montrer mon trou de balle élargi aux spectateurs invisibles, le temps que le lit fasse deux tours.
C'est dans un état second que je suis transportée dans une salle de bains ou la femme, qui m’avait précédemment maquillée, s’occupe de moi. Je prends un long bain chaud afin de récupérer, je suis démaquillée, mon rectum enduit d’une crème apaisante. Elle m'apporte mes vêtements et m’aide à m’habiller. Momo vient saluer Mr Alain et le complimente.
- Celle-là manque d’endurance, elle jouit trop vite, mais c’est bien pour un début : les clients ont été satisfaits. On la reprend quand tu veux.
Nous quittons tous les deux cet endroit de luxure. Dans la voiture, je m’effondre en larmes.
- Je suis vraiment devenue une pute. Vous m'avez fait enculer par ces deux salauds sans que je puisse me défendre et je n’ai pas pu m’empêcher de jouir…
Mr Alain me prend dans ses bras et me console, puis avec sa voix envoûtante, il me répond :
- C’est parce que ça te plaît d’être traitée comme une vrai putain, c’est un vieux fantasme. Ces jouissances perverses viennent de ta nature profonde. Tu aimes les grosses bites, c'est comme ça, tu n'y peux rien. Tu dois l’accepter… Et je peux te faire connaître des jouissances encore plus intenses… Es-tu prête à aller plus loin ?
Il marque une pause, puis, comme je ne réponds pas :
- Demain, nous ne nous verrons pas, mais je te téléphonerais. Tu iras donner du plaisir à Mario, il t’enfilera dans ton cul lubrifié. Tu réfléchiras à ce qui vient de se passer et à ce que je t’ai dit.
Il la dépose enfin chez elle.
A suivre...
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