Texte de gkcdqho
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Léa se fait baiser par un gros chien.
Nous sommes jeudi. Ma formidable baise par Mario s'est passé le mardi. Voilà que je dis baise ? Je parle comme une ???? Et oui, avec Mario ce n'est pas de l'amour, c'est du sexe, seulement du sexe et du bon. Ah ! Ça oui, du bon. D'ailleurs je suis retournée le voir. Nous avons passé plusieurs heures à baiser sans arrêt. Ma chatte était douloureuse le lendemain, mais ça ne m'a pas empêchée de passer toute la journée empalée sur cette monstrueuse queue.
Hier, Mr Alain est venu, mais rien de spécial ne s'est passé. Il m'a juste sodomisée et giflée. Je suis un peu déçu. Après son départ, je descends à l'appartement de Mario.
- Entre Léa !
J'entre, il est assis sur une chaise, mon maître baiseur me regarde en souriant.
- Ma pute est de retour !! Me taquine Mario.
- Tu veux être baisée encore et encore par Mario et aussi par des queues en tout genre et tu les as toutes aimées. Dit-il, en brandissant son téléphone.
- Maintenant tu es une salope de concours. Tu veux voir ?
Je tombe à genoux et supplie :
- Oui Mario, je suis ta salope, prête à faire ce que tu commanderas, mais ne le dit pas à mon mari.
- Prête à tout, salope ? Es-tu sûre ? Claironne Mario.
Je le regarde. Je le voit se lever, il ôte son long manteau de cuir noir sans rien dessous, juste une paire de bottes en cuir qui montent à mi-mollet. C'est la première fois que je le voit entièrement nu. Son pubis délicatement rasé, tout son corps est d'un volume impressionnant. Il se rassoit, les jambes écartées, je le trouve magnifique avec ses tétons dressés.
- Suce-moi, ma pute !! Ordonne Mario.
Et je rampe à travers la pièce pour m'agenouiller entre ses jambes. Oh ! Il s'est lavé, il ne sent plus la sueur. Je m'enivre de l'odeur capiteuse de sa bite, que je gobe avec délice. Il prend ma tête, il pousse son sexe dans sa bouche. Il me baise la bouche comme si c’est un vagin. Je ne peux même pas le sucer ou l’aspirer, il n’en tient pas compte. Il fait de douloureux va et vient au fond de ma gorge, me faisant saliver abondamment. Bien sûr, à peine la moitié de son sexe entre dans ma bouche, elle touche le fond de celle-ci. Mais Mario n’hésite pas à essayer d’aller plus profondément, avec comme conséquence une brusque envie de vomir pour moi.
Je comprends son envie, j'ouvre plus ma bouche et lui fait une fellation phénoménale pour recevoir une quantité impressionnante de sperme, que j'avale goulûment.
- OUIIIII !!! OOOOH !! C’est bon, avale le sperme de Mario, nettoie ma queue doucement.
J'ai du foutre plein la bouche et le menton, je nettoie avidement la bite de mon Mario, j'aime le goût fort et légèrement épicé, qu’il dégage. Je flotte dans un brouillard de luxure lorsqu'il empoigne mes cheveux pour m'écarter et me fixer les yeux dans les yeux.
- Prête à tout, la salope, tu viens pour avoir encore plus de bite, tu veux être ma chienne ?? En es-tu sûre ? Susurre Mario, me défiant du regard.
- Oui Mario !
J'acquiesce.
- Je veux de la queue, je suis ta chienne prête à obéir à tes vos ordres.
Mais je suis marteau ! Je me soumets à Mario pour avoir sa queue dans mon puits d'amour. Alors que je n'ai jamais dit ça à mon Léo d'amour.
- Va te laver les dents et le reste ma petite chienne, tu pues le foutre.
Ce que je fais, avec soin. Lui s’assoie dans un fauteuil, il me regarde, l’air très satisfait. Je reviens, Mario pose son téléphone.
- A quatre pattes devant moi !!
Je m’exécute. Mario me ramène vers lui, il me roule un patin, je fonds. Il me retient et me crache dans la bouche.
- Maintenant tu vas faire ce que je te dis ma chienne !
- Oui Mario !
Mario m'attache un collier autour du cou.
- Tu es belle ma chienne ! On va bien s’amuser ensemble !
Une petite tape sur les fesses, je comprends toute seule et dandine mon sublime cul.
- Viens ici ma chienne ! Viens encore sucer ton Mario !
Je rampe vers lui, assit tranquillement dans son fauteuil et commence à lui lécher la queue. Je le lèche bien tout autour du gland, le long de sa tige, descend vers ses couilles. Une fois bien dur, il m'enlève sa queue de la bouche et me dit :
- Lèche-moi le cul ma chienne ! Montre-moi que tu adores Mario !
Je glisse plus bas et avec ma langue commence à farfouiller son cul. Je me donne à l’ouvrage, me délecte du cul du Mario. Il me dit d’arrêter et de le suivre. Mario me mène par la laisse et je suis à quatre pattes. On fait le tour de la salle à manger, puis il se rassoie dans le fauteuil. Il me tire entre ses jambes écartées.
- Prends ma queue dans ta bouche !!
Je m'avance encore, ouvre grand sa bouche et engloutit la verge à Mario. Celui-ci, tire sur la laisse qu'il enroule autour de sa cuisse. Je ne peux plus reculer ma tête en arrière. La porte d'entrée s'ouvre et se referme, quelqu'un est entré. Avec la tête entre les cuisses de Mario avec sa bite dans ma bouche, je voudrais bien voir qui vient d'entrer, mais la longueur de la laisse m’empêche de bouger.
- Salut Mario !!
- Salut Alain !! C'est lui que tu as amené ?
- C'est celui que préfère Éveline ! Alors ?
- Ce n'est pas Éveline ! Mais c'est pareil ! Elle aime aussi la grosse bite, pour l'autre trou tu prendras l'autre, plus c'est gros plus elle aime, comme sa voisine. Je suis à genoux, penchée sur la verge de Mario, j'essaye d'entendre la conversation, car Mario a resserré ses cuisses emprisonnant mes oreilles.
Lorsque je sens soudain une langue râpeuse passer et repasser sur ma moule. J'ai déjà senti ce genre de lèche sur ma moule. Dans un brusque mouvement des épaules, j'arrive à dégager ma tête des cuisses de Mario qui surpris n'a pas le réflexe de tendre la laisse. Il pousse un cri de douleur, car la laisse enroulée sur sa cuisse s'est refermé sur elle.
Je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et voit un véritable molosse occupé à me lécher la moule et à laper le liquide qui s'en écoule. J'ai raison, c'est bien un chien qui me lèche, comme avec les clodos l'autre jour. Et c'est Mr Alain qui le tient en laisse. Mario se reprend, il attrape ma tête et me force à reprendre sa bite en bouche, il m'immobilise à nouveau, et me dit :
- Oh là ! Ma belle ! Tout doux ! Tu m'as dit que tu voulais être ma chienne !! Alors là je veux que tu sois une chienne ? Laisse-moi faire va ! Tu te rappelles que les clochards t'ont fait monter par leur chien et sur la vidéo d'Alain tu as joui comme une bonne chienne, c'est que tu aime ça maintenant !
Malgré mes appréhensions, la sensation est nouvelle, mais oh combien agréable. Je me surprends à émettre des petits cris étouffés alors que des tremblement secouent mon corps et remontent dans ma colonne vertébrale. Après quinze minutes de lèche intensive, je suis secouée par un premier orgasme.
Soudain je sens le poitrail velu de l'animal se coucher sur mon dos, aussitôt ses deux pattes de devant m'enserrent sa taille désormais prise comme dans un étau. Cette bête a une force peu commune, je suis complètement immobilisée contre elle. Bien campée sur ses pattes arrière, je sens soudain des coups de pistons contre mon périnée. Dans des mouvements désordonnés, le monstre cherche à me pénétrer. Mr Alain derrière nous lui vient certainement en aide car, subitement, une barre brûlante se présente à l'entrée de mon puits d'amour heureusement bien lubrifié.
Sentant l'ouverture, l'animal, d'un formidable coup de rein, propulse sa verge au fond de mon puits d'amour, en me frappant violemment la paroi de l'utérus, ce qui me fait pousser un cri de surprise. Dans cette position, bien arrimée sur mon dos, la bête possède une grande mobilité du bassin. Il entreprend alors de rapides et puissants va-et-vient qui à chaque fois amènent sa formidable rigidité au fond de mon vagin, me faisant pousser des cris de plaisir.
Son sexe gonfle, gonfle. Il me remplit désormais toute la cavité vaginale, même plus puisqu'il me dilate l'organe en en repoussant les parois. Puis une boule vient frapper les lèvres de ma moule, sa grosseur en bloque la pénétration. C'est alors que je sens le chien prendre du recul avec ses reins et se propulser avec une violence inouïe au fond de mon ventre.
Tout est rentré. La boule se met à gonfler, gonfler, formant rapidement un frein qui interdit désormais toute sortie de son organe. Je prends peur devant la grosseur de cette excroissance, elle va me déchirer ??
Puis durant quelques secondes tout se calme. Contre toute attente, mes organes commencent à s'habituer à cette gigantesque intromission. L'animal sur mon dos halète, la langue pendante, des filets de bave s'écoulent sur ma nuque. Tout à coup, son énorme bite est comme animée d'une vie propre, elle se met à vibrer, m'envoyant des ondes dans la colonne vertébrale jusqu'à mon cerveau, mon bas-ventre est agité de spasmes, mes organes génitaux s’enflamment et mon formidable amant commence à m'envoyer des torrents de liquide dans mon puits d'amour déjà complètement plus que rempli.
Il se dilate encore plus, il repousse les organes voisins, je sens mon bas-ventre gonfler, gonfler. Soudain, une formidable chaleur m'envahit tous les organes. Je perds complètement pieds, une jouissance phénoménale m'envahit, je hurle dorénavant mon plaisir incontrôlable, des orgasmes sans fin se succèdent.
Je plonge alors dans un état de demi-inconscience. Je suis désormais une chienne en train de se faire saillir par son mâle dominant. Je deviens son esclave, sa servante, sa soumise. Le liquide reproducteur continue à se déverser dans mon vagin, dans mon utérus, il veut me féconder. Une joie sans fin m'envahit à l'idée d'être sa femelle. Qu'il continue son travail de mâle. Je suis à lui, pour toujours. Désormais je ne le quitterais plus, toujours prête à lui ouvrir la voie de mes organes génitaux afin qu'il se libère selon son bon vouloir. Je n’entends plus aucun son en provenance de mon environnement, uniquement concentrée sur cette jouissance fantastique qui me paralyse jusqu'à la pensée et l'esprit.
Puis, comme un brouillard qui se lève, je reprends peu à peu conscience, mais j'ai quelques difficultés à me repositionner dans le temps et dans l'espace. C'est mon amant qui m'y aide lorsque je perçois la présence de sa formidable musculature sur mon dos et ses pattes qui me font sienne.
Mes entrailles sont toujours aussi tumultueuses, c'est un volcan qui me brûle le bas-ventre, mon vagin est énorme, mais que je suis bien. Fière d'avoir appartenu à ce merveilleux amant, fière d'avoir accueilli toute sa semence dans mon corps, fière de ne faire qu'une avec ce corps puissant, avec cette virilité qui me tient soudée aussi solidement. Nos deux corps sont littéralement collés l'un à l'autre, ils sont solidaires et ne forment plus qu'un.
Quelque chose s'est passée lors de cet accouplement, une forme de communion a uni la femme et la bête, un lien spécial que je sens fort et que je ne pourrais désormais plus ignorer. Mario, déverse son jus au fond de ma bouche qui est restée tout le temps pleine de sa bite.
Au terme de quelques instants que je serais bien incapable de chiffrer dans la mesure où je ne sais pas combien de temps a duré mon inconscience, je sens son frein se dégonfler, et, sous la pression énorme existant dans mes entrailles, tout est éjecté. Des flots de sperme s'écoulent sur le sol, m'arrosant les cuisses et les mollets. Je ressens un sentiment de vide extraordinaire dans mon ventre, comme si toutes mes entrailles avaient été expulsées avec le liquide.
Mario se fait nettoyé sa verge ramollie dans ma bouche. Pendant que mon amant me donne quelques coups de langue sur ma moule béante et baveuse, puis il s'éloigne, sans un regard pour sa femelle. Mario décroche la laisse de mon collier, me prend la tête entre ses mains et la soulève près de son visage et me dit :
- Ça va ? Tu nous as fait peur ! Tu poussais des hurlements effroyables, on se demandait s'il ne t'avait pas causé des dégâts à l'intérieur !
- OH ! Non, non ! De ce côté-là tout va bien ! Par contre, dans ma tête je ne sais pas encore bien où j'en suis. Ça m'a vraiment secouée ! Ce n'est pas la première fois avec un chien, mais là, tu as raison, je ne l'oublierais pas de sitôt. Les autres clebs des clodos ne m'ont pas fait cet effet.
A suivre...
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