Traduction d'un texte de MechanicalAnge
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Emma a trompé son ami. Elle le regrette.
Emma et James se regardent par-dessus la table. James reste adossé à la chaise, réussissant d'une manière ou d'une autre à avoir l'air à la fois sévère et en colère en même temps. Emma est tellement choquée par ce qu'il vient de lui dire qu'elle a cessé de pleurer. James lui sourit :
- Tu as entendu ce que j'ai dit. C'est ça ou rien.
Emma est incapable de répondre et il lui lance un regard déçu avant de se lever pour partir.
- Tu m'as bien dit que tu ferais n'importe quoi? Mais comme tu m'avais dit que tu ne me tromperais jamais, je suppose que je ne dois pas prendre pour argent comptant tout ce que tu dis.
- Attends!
Emma essaie rapidement de l'empêcher de partir. Elle se remet à pleurer. Mais elle ajoute :
- Je vais le faire!
James s'arrête et la regarde. Il reste impassible. Emma sourit faiblement :
- Je parie que tu ne t'attendais pas à ce que je dise oui, n'est-ce pas? J'ai dit que je ferais n'importe quoi pour te récupérer, et je le pensais vraiment.
James sourit et jette un sac sans cérémonie sur la table.
- Je veux que tu ne portes rien d'autre que ce qu'il y a a dans ce sac lorsque j'ouvrirai la porte . 11H00 demain. Sois à l'heure.
Il se tourne et quitte le café, la laissant regarder avec appréhension le sac en toile. Elle avait souhaité à maintes reprises de ne pas avoir été aussi stupide. Comment pouvait-elle imaginer qu'elle voulait quelqu'un d'autre que James? Elle l'aime tellement qu'elle a l'impression qu'elle va mourir si elle ne peut plus jamais l'embrasser, plus jamais sentir sa peau contre la sienne, plus jamais passer ses mains dans ses cheveux bruns et soyeux, plus jamais voir l'amour rayonner dans ses yeux verts.
Mais maintenant il lui a donné l'occasion de prouver qu'elle est vraiment désolée. Elle prend une profonde inspiration. Ça ne va pas être trop dur, un mois à obéir à tous ses ordres, un mois d'esclavage sexuel, elle peut le faire. Il faut qu'elle le fasse si elle veut qu'il revienne.
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Et aujourd'hui, elle frappe à sa porte, vêtue seulement de chaussures à talons aiguilles, d'une culotte et un soutien-gorge en dentelle noire ainsi que des bas. Elle regarde tout autour d'elle pour voir si des personnes peuvent l'apercevoir dans cette tenue osée, mais heureusement personne n'est en vue.
Elle frappe de nouveau, les nerfs à vif à cause de l'attente. Enfin, des bruits de pas derrière la porte lui font pousser un soupir de soulagement. Puis la porte s'ouvre et elle voit William debout devant elle.
- Excellent, la pute que j'ai commandée est arrivée. Dit-il avec un sourire moqueur.
Emma ne peut rien faire d'autre que de le regarder, horrifiée. Que diable fait ici le colocataire de James? Elle réfléchit frénétiquement à sa conversation avec James la veille et elle réalise avec effroi qu'il ne lui a jamais dit qu'ils seraient seuls durant le mois à venir. Elle rougit d'embarras et regarde derrière William en espérant que James apparaisse.
Effectivement celui-ci apparaît bientôt. Il ne paraît pas contrarié de voir William baver sur la jolie fille qui est sa petite amie.
- Ah, il est temps! Entre!
Emma est forcée de passer devant William pour entrer. Elle garde les yeux baissés pour ne pas avoir à le regarder. Ses joues sont rouges vif et elle peut sentir ses yeux sur ses fesses alors qu'il la suit dans l'appartement. Une fois qu'ils sont tous le trois dans le salon, James et William s'assoient sur le canapé en laissant Emma debout devant eux. Elle croise maladroitement ses bras sur sa poitrine, se sentant un peu comme une potiche que l'on expose ou une prostituée sur un trottoir.
- Baisse les bras! Ordonne James sévèrement.
Emma obéit en regardant le garçon avec une douleur de surprise dans les yeux. Il ne lui a jamais parlé comme ça auparavant, même quand elle lui avait dit qu'elle l'avait trompé.
- Ne me regarde pas dans les yeux, salope!
Instantanément elle baisse les yeux sur le sol, complètement confuse et bouleversée.
- Je pense qu'il est temps de lui apprendre les règles, James.
Un sourire grandit sur le visage de James alors qu'il hoche lentement la tête.
- Je pense que tu as raison William. Tu veux commencer?
- C'est ta salope, à toi de débuter.
La politesse feinte de William et la satisfaction dans sa voix donnent envie à Emma de lui mettre sa main dans la figure.
- Non mon ami, c'est notre salope maintenant!
Les yeux d'Emma se tournent vers James, interrogateur, cherchant une explication et de la tendresse. Elle n'ne trouve pas et elle sent la main du garçon la frapper violemment sur la joue. Elle baisse à nouveau les yeux, cette fois-ci pour cacher les larmes qui commencent à se former. Elle cligne des yeux avec colère et attend ce que son petit ami a à dire.
- En fait, c'est la première règle, tu obéiras à William et à moi également. Nous sommes tous les deux tes Maîtres, même si tu penses le contraire. Donc tu t'adresseras à nous comme tels.
William prend le relais sans se soucier de ce qu'elle peut penser :
- Tu ne regarderas jamais personne dans les yeux, sauf indication contraire. Tu ne parleras à quelqu'un que s'il t'a parlé auparavant. Mais tu peux demander ma permission d'aller aux toilettes.
James continue :
- Tu porteras ce que nous te dirons de porter et tu feras ce que nous te dirons de faire. Tu connaîtras le reste au fur et à mesure.
Emma ne regarde pas James, mais elle devine au son de sa voix qu'il s'amuse bien.
- Et si tu ne le fais pas, tu seras punie. As-tu compris?
Emma continue de fixer le sol et fait un petit signe de tête en disant :
- Oui.
Un silence accueille sa réponse et son cœur se serre encore plus quand elle réalise ce qu'ils attendent.
- Oui Maître.
William et James partagent un regard de triomphe.
- J'ai toujours su qu'elle était intelligente. Cela signifie que tu n'auras l'instruction qu'une seule fois. Si tu l'oublies ou si tu refuses d'obéir, tu seras punie. Dit James
- Maintenant, va dans le coin, salope! On te donnera plus d'instructions plus tard. Ajoute William.
- Oui Maître.
Emma rougit à nouveau à l'idée de s'adresser ainsi à William. Mais elle se dirige vers le coin et reste immobile, les yeux fixés fermement sur le tapis. Elle avait toujours pensé du colocataire de James qu'il était un parasite grossier et pervers qui ne payait jamais son loyer à temps. Et aujourd'hui, elle lui obéit comme une pute ordinaire.
Les deux gars allument la télévision et l'ignore pendant qu'ils discutent. Elle ne sait pas ce qui est pire : Qu'ils lui donnent des ordres ou qu'ils fassent comme si elle n'est pas là. Au bout de quelques heures, ses jambes commencent à lui faire mal sur ses talons hauts et elle a froid. Combien de temps encore va-t-elle devoir rester là?
Sa question reçoit une réponse rapide. Comme elle a les yeux fixés sur le sol, elle n'est pas capable de dire ce qu'ils font, mais elle sent un mouvement et une porte se refermer. Puis une main lui caresse doucement le cul.
Elle se raidit, en sachant instinctivement que la main n'appartient pas à James. Puis une voix dans son oreille chuchote doucement :
- Tu vas regretter de l'avoir trompé, salope!
Elle ne dit rien et la main remonte lentement en la faisant frissonner malgré elle.
- Tu aimes ça, n'est-ce pas?
Encore une fois elle ne dit rien. Elle reçoit alors une grosse claque sur le cul pour la punir de son silence.
- Je t'ai posé une question, salope. Tu aimes être traitée comme un objet sexuel pour tout homme qui te veut?
- Non Maître.
Elle crache les mots, indiquant clairement qu'elle peut suivre leurs règles, mais qu'elle ne prétendra pas en être heureuse.
La main se promène sur son ventre plat et remonte pour se faufiler sous son soutien-gorge et trouver son mamelon. William le caresse jusqu'à ce qu'il devienne dur. A la grande horreur d'Emma, elle peut sentir qu'elle commence à mouiller. Elle maudit son corps pour apprécier quelque chose que son esprit trouve révoltant. Elle prie pour que William arrête. Sans avertissement la caresse cesse et il tord brusquement son téton, la faisant crier de douleur. Il rit méchamment et se place devant elle.
- Je veux que tu me regardes!
Emma garde les yeux sur le sol. La règle selon laquelle elle ne devait pas les regarder en face l'avait presque soulagée. Elle ne peut supporter de regarder les yeux de William et voir l'expression de puissance et de plaisir qui doit se trouver dans son regard. Soudain il lui tire les cheveux pour forcer sa tête à se relever. Les larmes lui montent aux yeux. A contrecœur elle croise son regard.
- Montre-moi à quel point tu détestes que je te touche! Laisse-moi le voir dans tes yeux et j'arrêterai lorsque je serai convaincu. Dit-il cruellement
Une main tirant toujours ses cheveux, il glisse l'autre dans la culotte d'Emma. Elle ferme les yeux en rougissant, mais une traction sur ses cheveux lui rappelle qu'elle doit les garder ouvert ou en subir les conséquences.
William touche l'humidité sur sa culotte et sourit. Puis il commence à caresser doucement son clitoris. Contre sa volonté, Emma gémit, incapable d'empêcher son désir de se manifester sur son visage alors qu'elle fixe son tourmenteur. Encore et encore il caresse son clitoris, provoquant des petites décharges d'électricité dans son corps. Après une ou deux minutes de ce traitement, il plonge trois doigts profondément dans sa chatte, souriant de la voir autant humide. Il retire sa main de la culotte et lui montre ses trois doigts couverts de son jus.
- Je n'aime pas être traité de menteur, salope! Alors recommençons! Aimes-tu être traitée comme un jouet de baise?
Elle sait ce qu'il veut qu'elle dise. Et elle doit le dire en le regardant dans les yeux. Elle sent qu'elle mouille, son corps la trahissant et désirant qu'il remette ses doigts en elle.
- Oui Maître. Murmure-t-elle misérablement.
- Je suis désolé, je n'ai pas compris. Qu'est-ce que tu aimes?
Elle parle plus fort, mais sa voix tremble légèrement :
- J'aime être traitée comme un jouet de baise, Maître!
En riant, William lui tire à nouveau les cheveux pour forcer sa tête vers le haut. Il pousse ses doigts humides dans sa bouche en lui ordonnant de les nettoyer :
- Tu m'as sali, sale pute! Lèche mes doigts!
Consciencieusement elle obéit, léchant son propre jus sur les doigts du garçon. Quand celui-ci est satisfait, il lâche ses cheveux et s'éloigne en secouant la tête :
- Quelle sale pute!
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Encore une fois, elle est laissée seule dans le coin pendant longtemps. Elle sent des larmes se former dans ses yeux et elle les essuie avec colère. Leur jeu est donc de s'amuser avec elle, de la tourmenter et de l'humilier. Eh bien, elle ne leur donnera pas la satisfaction de flancher. Elle suivra leurs règles avec sourire et elle ne laissera jamais voir qu'elle est honteuse ou contrariée. Mais ses jambes lui font mal et elle n'arrive pas à oublier le regarde dégoûté dans les yeux de William quand il s'est éloignée d'elle. Pourquoi a-t-elle été excitée? Peut-être qu'elle mérite d'être dégradée et humiliée comme ça, pense-t-elle. Elle a trompé James, et bien qu'elle ait été déterminée à ce que personne d'autre ne la touche ainsi, elle a laissé faire William et son corps a apprécié. Peut-être qu'ils ont raison quand ils disent qu'elle est une salope.
Ignorant ce qu'ils font, elle s'appuie contre le mur et ferme les yeux. Elle n'a aucun idée du temps écoulé depuis que William l'a laissée seule, de l'heure qu'il peut être, mais elle se sent épuisée. Appuyée contre le mur froid, Emma s'endort.
Elle est réveillée subitement avec une claque brutale sur son cul qui la fait pleurer à nouveau.
- Nous ne t'avons pas donné la permission de dormir, salope.
C'est James qui parle, mais elle peut voir une autre paire de pieds à côté des siens. Ils sont là tous les deux cette fois. Elle entend James soupirer et elle lutte contre l'envie de le regarder.
- Tu dois apprendre ta place dans ce monde, tu sais. Je pensais que tu aurais appris avec William plus tôt, mais évidemment tu n'as rien compris.
Il se penche et murmure :
- J'ai adoré regarder d'ailleurs. Tu es belle à regarder quand tu te fais doigter.
Malgré ses résolutions antérieures, Emma rougit à nouveau et le deux garçons rigolent. William lui explique alors d'une voix exaspérée :
- Tu es là uniquement pour nous faire plaisir. Tu dois réaliser que tu n'existes plus. Emma, avec ses pensées, ses sentiments et ses souvenirs a quitté ce lieu. Maintenant, tu n'es qu'un objet à utiliser comme n'importe quel objet. Si on veut te baiser, tu n'es qu'une chatte, si on veut se faire plaisir, tu n'es qu'une bouche, si on veut s'asseoir, tu n'es qu'une putain de chaise, et si on veut pisser, tu n'es qu'un chiotte. Commences-tu à comprendre?
- Oui Maître!
- Quel est ton nom? Lui demande-t-il brusquement.
Emma ne répond pas.
- Quel est ton nom, salope? Dit James en claquant son cul à nouveau.
- Je n'en ai pas Maître.
- C'est vrai. Et qu'est-ce que tu es?
- Rien Maître. Juste un objet.
James a l'air satisfait.
- Bien. Regarde William!
Emma obéit.
- Que tient-il?
Il s'agit d'un petit collier noir, avec un petit anneau à l'avant et un cadenas à l'arrière.
- Un collier Maître!
- Pas n'importe quel collier! C'est ton collier. Sourit William.
Emma a su que c'était pour elle dès qu'elle l'a vu. Mais elle ne peut s'empêcher de rougir à l'idée d'avoir un collier comme un animal. James attrape ses cheveux et tire sa tête en lui demandant de regarder. Il tient une courte laisse.
- Et ça, qu'est-ce que c'est?
- C'est... C'est ma laisse, Maître? Balbutie Emma.
James hoche la tête. En l'espace de quelques secondes, elle a un collier autour du cou avec une laisse accrochée à l'anneau. L'objet n'est pas inconfortable, mais ce n'est pas naturel autour de son cou. Elle n'est plus la même personne. Il la dégrade petit à petit, et elle a le sentiment que cette dégradation n'est pas la dernière avant que James n'accepte de la reprendre. Complètement abattue, Emma baisse le regard vers le sol.
- Bien! Tu apprends vite! Dit William avec un air suffisant.
Encore une fois, Emma fait un effort pour ne pas le gifler. Mais elle est punie et elle prouve son amour à James. Alors elle reste bras ballants et soumise à ses côtés.
- Tu as faim?
A ces mots, l'estomac d'Emma gronde. Elle n'a rien mangé depuis le petit déjeuner et des heures ont dû s'écouler depuis.
- Oui Maître.
James se dirige alors vers la cuisine, ne laissant à Emma que le choix de le suivre pour ne pas se faire étrangler par le collier. William marche derrière elle et elle rougit de honte en sachant que ses yeux sont sur son cul pendant qu'elle marche.
- A partir d'aujourd'hui, tu vas apprendre à cuisiner. Sur le comptoir se trouvent les ingrédients pour préparer des spaghetti bolognaise. Tu trouveras également la recette et une télécommande. Lorsque ce sera prêt, appuie sur le bouton et nous arriverons. Si ce n'est pas bon, tu seras sévèrement punie. Compris?
Emma est sur le point de pleurer. James sait qu'elle ne sait pas cuisiner. Elle déteste tellement cela que c'est toujours lui qui cuisinait pour eux deux. Sans un mot, les deux garçons quittent la cuisine et ferment la porte derrière eux. Emma croit entendre qu'il la verrouille, mais elle n'est pas sûre et elle n'ose pas aller vérifier.
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Peu de temps après, Emma a l'eau à la bouche. Elle meurt de faim et elle a hâte de manger un peu des pâtes qu'elle vient de préparer. Elle est fière d'avoir réussi à cuisiner, même si elle ne sait pas si ça va être bon. Nerveusement elle appuie sur le bouton en espérant que les gars seront contents. Un coup d'oeil à l'horloge de la cuisine lui indique qu'il est 18 heures passées. Elle est esclave depuis sept heures.
James et William entrent dans la cuisine et automatiquement elle dirige son regard vers le sol.
- Sors deux assiettes et sers-nous! Ensuite tu met la table et tu attends dans le coin. Ordonne James.
Elle fait ce qu'il a dit avec une sensation de brûlure dans l'estomac. Ne va-t-elle même pas avoir le droit de manger ce qu'elle a préparé?
James et William s'assoient à table et commencent à manger. Ils échangent quelques commentaires désobligeants sur sa cuisine. Elle espère que c'est juste pour lui faire peur. Elle a fait de son mieux, ils ne vont pas la punir pour ça?
Son estomac grogne à nouveau et William éclate de rire :
- Ça vient salope, ne t'inquiète pas!
Après ce qui lui semble des heures, James pousse sa chaise et se dirige vers les placards. Les yeux fixés sur le lino, Emma ne sait pas ce qu'il fait, mais elle espère qu'elle va bientôt être autorisée à manger quelque chose.
- Ton dîner est dans le coin! Dit Finalement William.
Emma lève les yeux et voit deux grands bol pour chien dans le coin de la pièce. l'un est rempli des restes de spaghetti, et l'autre avec de l'eau. Elle regarde les gars d'un regard honteux, sachant ce qu'ils veulent, mais incapable de bouger.
- Si tu ne le veux pas, nous pouvons le jeter! Dit James avec désinvolture.
Misérablement, elle se dirige vers les gamelles pour chine et s'agenouille devant. Elle tend les mains pour prendre les pâtes, mais elles sont giflées.
- Ce n'est pas poli de manger avec les mains!
William prend ses mains et les tire dans son dos. Elle sent le métal froid de menottes être attachées à ses poignets. Elle est maintenant incapable de bouger ses bras.
Emma regarde le bol et sait qu'elle n'a plus le choix. Elle baisse la tête. C'est difficile sans pouvoir s'équilibrer avec les mains. Elle commence à manger. Les spaghettis sont froids, mais elle a faim. Il est très difficile de prendre la nourriture avec seulement sa bouche, et encore plus difficile de boire. Bientôt la sauce couvre son visage et sa poitrine et l'eau coule sur son front. James et William n'ont pas quitté la cuisine. Ils sont assis à la table et la regardent manger.
- C'est ainsi que tu mangeras tous tes repas dorénavant, salope. Si nous te laissions manger à table avec des couverts, tu pourrais ne pas comprendre et penser que tu restes une vraie personne. L'informe William.
- J'attends avec impatience le jour où elle préparera du riz au lait. Dit James sournoisement.
Alors qu'ils rient tous les deux, Emma essaie de les ignorer et de se concentrer pour manger sans trop se salir. William dit alors :
- C'est le bon moment pour parler de ta routine quotidienne. Tu te lèveras tous les jours à huit heures du matin pour te doucher et t'épiler tous les poils. Et quand je dis tout, c'est tout. Ça veut dire que tu feras mieux de faire attention que tu ne le faisais quand tu étais encore une personne, parce que si nous trouvons des poils, tu seras punie.
James s'était toujours plaint en riant des efforts médiocres d'Emma pour se raser la chatte à l'époque où ils étaient en couple.
- Tu trouveras une tenue sur le lit dans la chambre d'amis. Tu t'habilleras et tu descendras dans la cuisine où tu trouveras la liste de ce que nous voulons manger dans la journée. Tu prépareras le petit-déjeuner et il devra être sur la table à neuf heures et demi exactement. Tu pourras manger ce que nous n'aurons pas fini et tu ne devras rien laisser de ce que nous aurons mis dans ton bol. Lorsque tu auras terminé, tu mettras les assiettes et tes bols dans le lave-vaisselle. Puis tu lécheras le sol pour nettoyer ce que tu auras laissé jusqu'à ce qu'il soit propre. Finalement tu te laveras à l'évier de la cuisine, puis tu iras dans le salon et tu te mettras dans le coin. Tu y resteras jusqu'à ce que nous te disions le contraire. Nous suivrons la même routine pour le déjeuner et le dîner, mais nous te dirons quand nous voulons que tu commences à cuisiner. Compris?
Le cœur d'Emma bat la chamade à l'idée d'endurer cette humiliation tous les jours pendant un mois, mais elle réussit à lever son visage des spaghettis pour répondre :
- Oui Maître.
Les deux garçons quittent alors la cuisine après avoir détaché les menottes.
Il lui faut beaucoup plus de temps qu'elle ne l'aurait pensé pour finir son dîner. Finalement, après avoir fini de lécher la sauce et lapé les dernières gouttes d'eau, elle se lève, ramasse leur assiette et les met au lave-vaisselle avec ses gamelles pour chien. Puis elle obéit et lèche la nourriture tombée sur le sol. Ce faisant, elle réalise qu'elle n'a aucune idée de la dernière fois où le sol a dû être lavé. Elle se retrouve là, une jeune fille habillée seulement d'une ensemble de sous-vêtements en dentelle, léchant un sol de cuisine probablement sale. Elle est écœurée, mais en même temps, elle est horrifiée de sentir qu'elle mouille à nouveau.
Elle rougit et prie pour les hommes ne le remarque pas. Elle se lave à l'évier de la cuisine et part dans le salon comme ordonné.
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Encore une fois, les deux hommes la laissent seule pendant un certain temps afin qu'elle réfléchisse à tout ce qu'ils lui ont fait avant de revenir au salon. Cette fois ils entrent dans le vif du sujet.
- Nous n'allons pas te mentir salope, ta nourriture était dégueulasse. Mais nous savons que c'était le mieux que tu puisses faire, donc tu ne seras pas punie aujourd'hui. Toutefois nous nous attendons que tu t'améliores rapidement.
Emma est soulagée. Elle redoute les punitions qu'ils peuvent avoir en tête. Mais son soulagement est de courte durée quand William lui dit de venir se tenir devant le canapé où ils sont assis. Il avait joué plus tôt avec elle et elle avait ressenti ça comme une introduction à sa nouvelle vie. L'humiliation dans la cuisine serait une chose régulière. Mais Emma a le sentiment que ce n'est que le début des choses qu'ils vont lui faire pendant son séjour. Ils vont bien s'amuser avec elle.
- J'ai été étonné de la facilité avec laquelle tu as été excitée par William tout à l'heure. Dit James.
Emma sent son visage rougir à cette pensée.
- Je me demande si c'est juste moi, William ou ton amant mystérieux qui te font mouiller, ou tous les hommes. Qu'en penses-tu salope?
- Je ne sais pas Maître. Réussit à marmonner Emma.
- Oh bien. Nous le saurons bien assez tôt je suppose.
James se tait, laissant Emma se demander ce qu'il voulait dire par là. Elle a de mauvaise idées qui lui passent par la tête, mais elle se rassure en se disant que James ne sera jamais aussi cruel. William dit alors :
- Il se fait tard, je veux sortir.
Emma essaie de maîtriser le sentiment de terreur qui monte en elle. James ne va pas être aussi cruel? Et pourtant il ne dit rien pour arrêter son ami. Elle entend William lui dire :
- Va dans la chambre d'ami, tu y trouveras une tenue posée sur le lit, quelque chose qui te convient bien. Mets-la et redescends immédiatement.
Emma quitte la pièce, les jambes tremblotantes et elle monte l'escalier jusqu'à la chambre d'ami. Elle pâlit quand elle voit ce qui l'attend sur le lit. Elle dégage ses pieds de ses talons et s'assoit misérablement en regardant les vêtements qu'elle est censée porter.
Au bout d'une minute elle entend la voix de James dans les escaliers qui lui dit de se dépêcher. Elle se lève rapidement et commence à s'habiller. Elle enfile la jupe en cuir noir qui recouvre à peine son cul. Elle fait une prière de remerciement pour sa culotte. Sans elle, il est certain qu'elle montrera sa chatte à tous les gens qu'elle croisera. Elle regarde l'autre pièce sur le lit. Il s'agit d'un haut moulant à dos nu qui relève ses seins et s'arrête juste au-dessus de son ventre. Finalement un coup d'œil au pied du lit lui fait comprendre qu'elle ne portera pas les talons. Au lieu de cela, une paire de cuissarde noire l'attend. Elle l'enfile et la zippe.
Enfin habillée, elle s'assoit sur le bord du lit pour essayer d'avoir le courage de se regarder dans le miroir. Quand finalement elle le fait, ses pires craintes sont confirmées. Elle ressemble à une pute ordinaire et elle suppose que c'est que qu'ils veulent. Elle descend et entre dans le salon.
Les deux hommes rigolent quand il la voit. James s'approche d'elle lentement :
- Tu as toujours été une sale petite pute. Mais tu t'es toujours cachées derrière des vêtements chics. Maintenant tu as le costume du rôle.
Emma garde les yeux baissés et la bouche fermée.
- J'ai hâte de voir ce que nos amis vont penser de toi.
Il regarde William avec un sourire et détaille Emma de haut en bas avant d'ajouter :
- Que penses-tu pouvoir nous rapporter? Deux ou trois euros?
William rejoint son ami et pousse Emma sur le côté comme s'il teste sa fermeté. Il hausse les épaules.
- Ne soyons pas trop optimiste. La plupart des hommes savant quand ils ont à faire à de la marchandise souillée.
Il se penche près du visage d'Emma et sourit cruellement :
- Je pense que nous aurons de la chance si nous tirons quelques pièces de cette chose.
Quelque chose à l'intérieur d'Emma craque? Elle a été bousculée, fessée et détaillée comme une bête de foire, et maintenant ce salaud la traite comme une vulgaire prostituée. Ses yeux se plissent et elle regarde William dans les yeux. Avec toute la méchanceté qu'elle peut mettre, elle lui crache au visage.
Tout de suite, James tire la laisse toujours attachée à son cou et elle tombe douloureusement sur les genoux. Il la tient en place avec les bras derrière elle . Mais elle regarde toujours William avec dégoût, ravie de voir qu'il a l'air légèrement blessé alors qu'il essuie son crachat sur son visage.
- Si tu recommences, tu dormiras nue dans le jardin comme un animal. Dit-il d'un ton dangereusement calme.
- Va te faire foutre! Dit-elle férocement en luttant pour se libérer de James.
Son petit ami serre encore plus ses bars et elle doit soit arrêter de se débattre, soit risquer une blessure grave de ses épaules. Elle reste alors immobile tout en regardant William avec défi alors qu'il s'approche d'elle.
- Tu seras punie pour ça!
James verrouille ses bras en place avec les menottes. Elle peut à peine bouger le haut de son corps sans se faire mal. Il la tire brutalement sur ses pieds. Sans ses bars pour se stabiliser, elle trébuche. Instinctivement elle se tourne vers James pour obtenir du soutien, mais elle n'en trouve pas. Il s'est déplacé à côté de son ami et maintenant tous les deux la fixent.
Elle retrouve son équilibre et lève les yeux pour les regarder d'un air rebelle. Elle est en colère et prête à se battre s'il le faut.
Après un long silence, les deux hommes se regardent et montent les escaliers, la laissant seule dans le salon. Elle les fixe en se demandant ce qui va lui arriver. Elle se demande si elle a ruiné ses chances de récupérer James. Et quelques instants plus tard, elle se demande pourquoi elle voudrait être avec un homme qui lui fait ça de toute façon. Pendant un bon moment, elle reste immobile à attendre leur retour.
Quand finalement ils redescendent, Emma baisse les yeux vers le sol. Juste après l'avoir fait, elle rougit. Pourquoi a-t-elle baissé le regard? Elle a décidé de partir, non? William dit :
- Je savais qu'elle serait toujours là. Elle adore être traitée comme ça au fond. Elle doit juste s'y habituer.
Il s'approche d'elle par-derrière et il force un bâillon dans sa bouche qu'il fixe fermement derrière sa tête.
- Je ne veux pas courir le risque que tu me craches dessus à nouveau. Dit-il avec un ricanement.
James dit alors :
- Veux-tu savoir ce que nous allons faire de toi, salope?
Emma, étant réduite au silence par le bâillon, ne peut que hocher la tête.
- Nous avions pensé que tu avais compris ta place dans ce monde, mais il est évident que non. Nous ne pouvons pas te sortir en public, car tu nous embarrasserais. Tu dois donc rester ici jusqu'à ce que tu apprennes à te comporter.
Il lui enlève tous ses vêtements en ne lui laissant que ses bottes et ses mains menottés. Puis il prend la laisse et tire la jeune fille dans la salle à manger.
Maintenant Emma comprend pourquoi ils ont dîné dans la cuisine. La table de la salle à manger a disparu. A l place se trouve un gros banc en bois avec des petits anneaux à chaque extrémité. Sur une table dans un coin, il y a un assortiment de chaînes et de raquettes. La peau d'Emma se hérisse à cette vu. Elle n'a jamais pensé qu'ils lui feraient quelque chose comme ça.
- Regarde!
Elle obéit à l'ordre de William et regarde attentivement tous les instruments.
- Lequel penses-tu que je dois utiliser?
Elle ne peut pas parler avec le bâillon, et elle sait que de toute façon il ne s'attend pas à ce qu'elle réponde. Finalement il prend une grande raquette percée de trous.
- Nous allons commencer doucement vu que c'est ton premier jour.
James tire à nouveau sur la laisse, la forçant à se mettre à genoux. Il la pousse sur le banc et enlève la laisse pour pouvoir attacher son collier à un anneau fixé au bois. Puis il enchaîne ses chevilles à des anneaux dans le sol qu'elle n'a pas remarqué auparavant. Elle est maintenue fermement en place, sa chatte et son cul exposés, incapable de bouger. James prend une chaise et s'assoit devant elle. Puis il lui parle gentiment.
- Maintenant, je vais enlever ton bâillon et je ne veux pas que tu parles. Si tu me craches dessus ou sur William, ta punition sera pire. Compris?
Emma hoche de la tête le mieux qu'elle le peut avec son menton sur le banc. James défait le bâillon et le jette de côté? Il se lève pour que William prenne sa place. Celui-ci déclare alors :
- Tu vas être puni parce que tu m'as montré un gros manque de respect en me crachant dessus.
Il parle aussi d'une voix douce et Emma sent la confusion la gagner.
- Nous ne te punirons pas plus que nécessaire, mais tu dois apprendre à nous montrer plus de respect. Nous allons commencer et tu vas nous remercier d'avoir pris le temps de te punir.
Il la regarde fixement et attend patiemment qu'elle parle.
Confuse et bercée par sa voix gentille, elle fait ce qu'il demande :
- Merci de me punir Maître.
William sourit et se lève en repoussant la chaise.
- De rien. Maintenant je vais te frapper avec la raquette que tu as vue il y a quelques instants. Tu me remercieras à chaque coup. Compris?
Son ton est doux et relaxant, elle répond qu'elle a compris. Avant qu'elle ait le temps de se préparer, il la frappe avec la raquette. Immédiatement ses fesses la brûlent et des larmes lui piquent les yeux. Mais elle réussit à balbutier :
- Merci Maître!
Les coups pleuvent sur son cul jusqu'au moment où elle se dit qu'elle va s'évanouir sous la douleur. Toutefois elle réussit à remercier à chaque fois qu'il la frappe. Finalement il arrête et elle entend le bruit de la raquette qu'il laisse tomber sur la table.
Ses genoux sont raides, son dos lui fait mal et ses fesses sont brûlantes. James détache les anneaux à son cou et à ses chevilles, puis il l'aide gentiment à se relever. William, tout aussi gentil, lui détache les menottes.
- Frotte tes bras si ça te soulage! Suggère-t-il doucement.
Avec soulagement, Emma fléchit les bars et les frotte pour faire circuler le sang. Elle essaie d'ignorer la douleur dans le reste de son corps et elle se sent reconnaissante de la petite pause qu'ils lui accordent.
- Comprends-tu pourquoi nous avons dû te punir?
- Oui Maître. Dit-elle doucement.
- Pourquoi avons-nous dû te punir?
- J'ai eu tort de cracher sur mon Maître.
- Pourquoi était-ce mal?
-Je ne suis plus une personne et je n'ai pas le droit de faire quoi que ce soit à moins d'en avoir la permission.
Les deux garçons restent silencieux.
- Et parce que c'était irrespectueux Maître.
- Qu'aurais-tu dû faire?
- Rien Maître, j'aurais dû obéir.
Emma est épuisée et tout idée de rébellion l'a quittée. Elle se sent soulagée qu'ils lui parlent gentiment et elle est reconnaissante que la punition soit terminée. A cet instant elle est prête à faire tout ce qu'ils lui demandent.
William remet la laisse sur le collier et il la conduit dans les escaliers. Elle s'attend à être emmenée dans la chambre d'ami, mais à la place, elle voit une petite cage qui l'attend dans le couloir.
- Enlève tes bottes! Ordonne James.
Elle obéit et se tient nue en attendant le prochain ordre. William dit :
- Si tu es particulièrement obéissante, nous te permettrons de dormir dans un lit. Mais tu dois te rappeler que tu n'es rien d'autre qu'un objet. Donc dormir dans un lit sera un privilège, une récompense spéciale pour un bon comportement. Sinon c'est là que tu dormiras.
Il appuie sur un bouton et la porte de la cage est déverrouillée. James la pousse légèrement et elle y pénètre sans rechigner.
Emma découvre qu'ils n'ont rien fait pour rendre la cage confortable. Le sol est en plastique dur et elle est à l'étroit. Elle ne peut pas s'étirer sans toucher les parois métalliques. Et quand ils ferment la porte, l'espace est encore plus petit.
- La porte se déverrouillera automatiquement à huit heures du matin. Une vibration dans le collier te réveillera. La liste des repas à préparer sera dans la cuisine quand tu descendras.
A suivre...
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