lundi 17 janvier 2022

Paiement de loyer - Ch. 07

 Texte de gkcdqho

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Léa rencontre sa voisine.

Il est dix heures et demie. Je rentre chez moi et je m'assois sur le canapé. Je reviens de chez Mario. Dès que mon mari est parti au travail, j'ai rejoint mon voisin pour lui sucer la queue et lui lécher le cul comme il me l'avait ordonné. J'ai un drôle de goût dans la bouche, mais je m'en fous.

J'ai encore du mal à croire comment j'ai été transformée en chienne. Mais merde ! Qu'est-ce qui m'arrive ? Je viens de me faire baiser par un chien et j'ai aimé ça, j'ai eu des orgasmes merveilleux, bien meilleurs qu'avec les hommes. Je me suis faite sodomiser, je me suis faite baiser en sandwich par deux hommes ensemble. Je devrais être écœurée, trouver ça immorale, intolérable ? Mais c'est le contraire qui m'habite, j'ai aimé me faire sodomiser, me faire saillir, être baiser en par deux hommes ensemble et par d'autres à la chaîne.

Mon cerveau, mon sexe qui avait été si longtemps négligé par mon mari, ont été complètement dominé par ma libido. Je suis une femme de trente-trois ans et je suis mariée à Léo depuis deux ans. Notre vie sexuelle est insignifiante. J'ai eu mon premier vrai orgasme dans les mains d'un clochard et j'en ai eu d'autres avec des chiens, je ne peux plus apprécier des rapports sexuels avec mon mari.

Je veux être traitée comme une salope de chienne, je veux être baisée par tous mes trous. Je veux que les hommes me traitent comme un objet de plaisir et une vide-couille. Je veux que des hommes me fassent saillir par leur chien, des hommes qui sont incapables d'avoir une femme aussi chaude que moi. C'est ce que je veux.

Je porte la robe en latex serrée que je portais lorsque je me suis faite baiser par les clochards. Mario voulait que je la prenne pour vraiment ressembler à une putain. Je me lève et j'entre dans ma chambre pour me regarder dans le miroir. Mon mascara a coulé sur mon visage à cause de la gorge profonde que j'ai dû faire à mon Mario. 

Je quitte la robe et j'examine les tâches distinctives de sperme dessus. La dernière fois qu'elle avait été recouverte de sperme, je l'avais nettoyée avec un chiffon humide. Mais là je le ferai plus tard. Je soulève la robe jusqu'à mon visage, sous mon nez. Il y a toujours une forte odeur de sperme.

Je sors ma langue et je la passe sur les taches de sperme. Je m'arrête brièvement avant de recommencer à la lécher. Ce sperme a un goût délicieux pour une salope comme moi. Je lèche toutes les traces que je peux trouver sur la robe en latex. Je suis sûre que Mr Alain aimerait voir ça. Pendant que je lèche, je glisse ma main entre mes cuisses et je pénètre ma chatte emplie de sperme avec mes doigts.

Je retire mes doigts de ma chatte et j'examine le liquide gluant qui se trouve dessus. Un par un je lèche mes doigts, les nettoyant du sperme. Je passe lentement d'un doigt à l'autre. Mais j'en veux plus.

De nouveau je vais fouiller ma chatte pour aller chercher le foutre de mon dernier amant et je l'avale sans hésitation. Je laisse échapper un long soupir en appréciant le mélange de sperme salé avec le jus de ma moule. Je récupère le plus de sperme possible et je finis par lécher mes doigts jusqu'à ce qu'ils soient propres.

Mr Alain est très en retard aujourd'hui. Il n'arrive qu'à quinze heures. À ce moment-là ma chatte est bien trempée, je me suis masturbée quatre fois en attendant.

DRING !

Voilà Mr Alain. Il rentre accompagné d'une femme un peu plus âgée que moi .

- Je te présente Éveline, la voisine du rez-de-chaussée. Elle aussi a du mal à payer son loyer !

- Allez Éveline, tu sais ce que je veux !

Éveline vient vers moi, elle me prend dans ses bras et m’embrasse d’abord sur la bouche et passe rapidement une main sur ma moule. Sa langue force la barrière de mes lèvres, et nous nous roulons une pelle.

Mes années de pensionnat de jeunes filles remontent à ma mémoire. Éveline me pousse vers mon canapé tout en m'embrassant. Je me laisse aller à une gâterie nous mettant déjà en soixante-neuf sur le canapé. Pour moi cette première fois est la plus importante, elle est de celle qui ouvre la voie aux autres fois.

J'aime bien la chatte de ma voisine Éveline, elle sent bon et j'aime son goût presque sucré. Éveline a la trentaine, elle est très sensuelle, portée vers la débauche depuis son plus jeune âge par un vague cousin. Nous sommes encore assez habillées, toutes les deux sans culotte. Les bas de nos jupettes sont relevées pour nous permettent de passer facilement les têtes vers nos moules baveuses.

Cette première caresse nous mène vers l’orgasme recherché. Elles savent qu’elles sont sous la coupe de Mr Alain leur propriétaire. Il est très vicieux. Il nous fait faire des machins pas possibles, que nous acceptons de faire facilement.

Mr Alain vient prés de nous et se fait embrasser sur la bouche. Il annonce la couleur :

- Aujourd’hui je vous propose de vous branler avec des bouteilles de bière. D’abord avec le goulot et ensuite avec le cul de la bouteille. Si vous pouvez, j’aimerais vous voir aussi avec la bouteille dans le cul. Vous êtes assez salopes pour faire ça ! Vous me sucez pour que je jouisse dans un corps de femme.

- Quoi, vous voulez nous voir nous baiser avec une bouteille ?

- Je veux que vous baisiez l’autre avec la bouteille. 

Éveline veut protester alors que moi je suis d’accord. D'un commun accord, nous échangeons nos salives jusqu'au moment où notre proprio porte les bouteilles de bière, avec trois verres.

Je commence à boire une gorgée de bière. Avant la seconde, je déshabille  Éveline qui se laisse faire. Quand nous sommes toutes les deux nues, Mr Alain commence à être satisfait.

- Vous êtes aussi baisable l’une que l’autre, j’aimerais vous baiser toutes les deux à la fois, une avec ma langue, l’autre avec ma queue.

Dans sa bouche, c'est un compliment. Il ouvre son pantalon pour sortir sa queue qui a un léger mouvement vers le haut. Nous prolongeons notre baiser pour finir par nous masturber devant Mr Alain. Nous nous donnons du plaisir devant lui. Pour nous, c'est un passage obligatoire pour montrer notre obéissance. Les doigts changent de position, si au début ils étaient sur le clitoris, maintenant j'en mets un sur l’anus d’Éveline.

Je caresse son rectum doucement avant de le pénétrer légèrement. Éveline se sentant ainsi prise se laisse aller vers un autre orgasme. Après qu’elle a joui, Éveline entre deux doigts dans mon trou principal simplement pour aller me faire jouir par mon point sensible.

Nous nous arrêtons pour boire la bière. Les bouteilles sont froides, tant pis, c’est moi qui commence par prendre la première bouteille pour la mettre par le goulot sur l’entrée de la grotte d’Éveline. Contrairement à ce que je pensais Éveline apprécie la présence de cette nouvelle chose dans son puits d'amour. Elle l’apprécie tellement qu’elle oublie de me baiser, c'est moi qui la rappelle à l’ordre. Moi aussi je veux sentir ce nouveau plaisir d’une bouteille très froide dans ma moule toute chaude.

Le contraste entre les deux températures fait que l’orgasme arrive trop tôt.

- C’était bon ? Demande Mr Alain.

- Vous n’êtes qu’un salaud de nous faire faire de pareilles choses. J’ai bien joui, comme c’était bon.

- Alors tournez les bouteilles pour vous les enfiler par l’autre côté.

- C’est trop gros.

- Essayez ça entrera tout seul.

Nous obéissons, nous ne voulions pas trop avec le goulot, mais nous avons bien joui. Cette fois, c'est Éveline qui pose la bouteille sur l'entrée de ma grotte. Elle force à peine pour que le début du cul de bouteille entre. Il entre profondément. Je crie mon bonheur. Les va-et-vient ont vite raison de nos sexes, nous jouissons encore.

Nous aimons tant cette sensation de plénitude du remplissage de notre vagin que nous refusons de les faire sortir. Nous reprenons une autre portion d’orgasme plus fort que le dernier.

- Arrêtez de vous baiser comme ça, enculez-vous.

Nous avons peur d’entrer ces bouteilles dans nos culs qui restent toujours notre petit trou, surtout moi qui fais non de la tête a Éveline. Mr Alain me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer. Pas très longtemps, car il s'empare d'une bouteille de bière l'ouvre et me l'enfonce dans l'anus pas dilaté.

Drôle de sensation que me procure cette bière froide qui envahit mes intestins. Il s'applique à de long va et vient, j'écarte de nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu'il puisse l'enfoncer complètement dans le cul, à chaque aller et retour la bière gicle.

Éveline s'enfonce d'elle-même une bouteille dans l'anus. Son petit trou s'est finalement vite ouvert avec le goulot. Des nos mains libres, nous faisons ce qu'on fait quand on nous encule, nous nous branlons en plus, me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer. 

Mr Alain se touche la bite avec plaisir, il se masturbe même un peu pour tenir jusqu’à notre orgasme suivant. Nous allons vers lui, en nous mettant à genoux devant. Ensemble nous prenons la base de sa bite et ses couilles. Nos langues sont en même temps sur la tige pour se partager le gland bien épais.

Notre léchage porte rapidement ses fruits. Mr Alain se crispe un peu en faisant une drôle de grimace, il jouit. Nous nous partageons la semence expulsée. Le peu que nous oublions sur nos lèvres est vite léché par la langue de l’autre. Un dernier baiser nous réunit encore.

Pour aujourd’hui nous avons eu notre dose avec ces bouteilles que nous craignons au départ. Éveline est partie dans la salle de bain.

- Aujourd'hui, je crains de ne pas pouvoir rester plus longtemps ma chère Léa, car j'ai des choses à faire. Alors dis-moi quand Léo va être au travail ces prochains jours ?

Pour la première fois depuis des mois, Léo va travailler la nuit. Je n'aime pas ça, car je déteste être seule dans l'appartement toute la nuit. Je l'avais supplié de ne pas faire de nuit, mais il m'a dit qu'il n'avait pas le choix, car il gagnera plus.

- Demain soir, il travaille de nuit, de vingt heures à six heures du matin. Dis-je au propriétaire.

Ses yeux se sont éclairés.

- Il travaille de nuit !

Je ne sais pas s'il parle tout seul ou à moi alors je me contente de hocher la tête. Il sourit.

- C'est absolument génial. Oh Léa, demain soir, je vais te sortir pour une nuit que tu n'oublieras jamais !

Que veut-il dire exactement ? Ma libido aime ses paroles, car elle me fait mouiller de plus en plus. Je peux sentir mes sous-vêtements s'humidifier.

- Léa, je serai là à vingt heures trente. Je m'attends à ce que tu sois habillée comme une pute : Bas, mini-jupe, bottes.

Sur ces paroles, il sort de l'appartement avec le plus grand sourire sur son visage que je n'ai jamais vu. Que va-t-il me faire faire maintenant ?

Mr Alain parti, une fois rhabillées nous discutons avec Éveline. Elle me raconte qu'elle est devenue, elle aussi, l'esclave sexuel de Mr Alain à cause de ses retards de loyers. Elle m'apprend qu'il n'y perd pas au change. Mario qui est aussi dans la combine, nous filme et revend ses films.

Je lui raconte l'épisode du chien chez Mario, mais pas celui des chiens des clochards. Éveline me raconte qu'elle aussi :

- Il fait de moi ce qui lui plaît. Il m’a même offerte à son gros chien. Son chien me baise devant eux pendant que Mr Alain filme et ce branle. Son chien gicle des quantités impressionnantes de sperme dans ma chatte. Ils aiment m’entendre jouir. Car oui je jouis. À force j’ai appris à aimer ça !

- Il m’a fait devenir une chienne dans un bar à chien ou les maîtres amènes leurs chiens pour baiser des femmes. Je me suis fait baiser par plusieurs chiens dans ce bar et devant plein de monde. Pendant qu'eux buvaient leurs bières tranquillement.

- Il y a quelques mois son truc, c'était de venir le soir vers vingt-trois heures quand mon mari dormait et que je l'attendais devant la TV. Il venait avec son chien. Il me baisait sur le canapé et après me faisait baiser par son chien. Je jouissais en pensant à mon mari et mes enfants qui étaient au fond du couloir en train de dormir pendant que leur mère se faisait baiser comme une chienne en chaleur au salon. Et comme souvent j'allais me coucher dans le lit conjugal remplie du sperme de Mr Alain et de son chien.

- Mon mari ne sait toujours rien.

A suivre...

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