mardi 25 janvier 2022

Vacances sauvages Ch. 01

 Texte de Coulybaca.

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Céline fête son bac.

Céline MARLIN et Hélène RUPERT, sa cousine, toutes deux juste 18 ans,  se trouvaient  sur le parvis du lycée en compagnie de Denise HUTIN la sœur aînée de Céline. Elles attendaient depuis une bonne demi-heure qu'on affichât les résultats du bac.

Ses vacances en dépendaient. En cas de succès, ses parents lui avaient permis de partir en vacances avec sa cousine et sa sœur aînée qui profitait d'un stage de son mari aux USA pour arpenter le massif central en faisant du camping sauvage. Elle s'était vantée auprès de ses copains et copines de partir bientôt en compagnie de deux autres filles dans des contrées encore sauvage de la France profonde, se targuant presque de participer à une expérience de survie.

Les motivations de sa sœur aînée étaient toutes autres. Après une longue année de tracas et d'ennuis au niveau du boulot, de séparations inopinées avec son mari fréquemment convoqué dans des séminaires et des stages à l'étranger, elle avait besoin de se ressourcer, de faire le vide, de s'éloigner des circuits touristiques traditionnels.

Elles étaient toute trois inconscientes que des yeux pervers les surveillaient. Robert, Denis et leurs amis avaient monté des plans pour se ménager les faveurs des trois ravissantes jeunes femmes. Ils savaient n'avoir aucune chance en leur faisant la cour, aussi avaient-ils mijoté de suivre leur expédition pour les réduire en esclavage sexuel. Ils attendaient donc les résultats avec autant d'impatience que les impétrantes, conscients que leur objectif nécessitait qu'elles soient isolées.

Enfin le factotum sortit de son bureau, deux longues feuilles à la main. Il les agrafa sur le tableau de communication, il s'agissait de la liste alphabétique des récipiendaires.

Denise s'approcha seule, Hélène et Céline craignait trop d'avoir échoué pour oser lire la feuille. Un large sourire illumina son visage tandis qu'elle se tournait vers les deux jeunettes :

- Vous avez toutes deux la mention Assez Bien... Je crois que cette fois, vous m'accompagnez pour les vacances... On partira après demain.

La semaine suivante, elles plantaient leurs tentes sur la rive sud du lac de la Vaux Gelade. Elles étaient remontées par les petits patelins, arrivant par les Salles puis Senoueix, avant de gagner le lac en empruntant des chemins vicinaux. Elle ne croisèrent pas âme qui vive, cet endroit correspondait exactement à leurs recherches, un lieu sauvage, quasi inviolé, où les portables ne fonctionnaient pas.

Elles avaient amenés d'importantes provisions, sachant qu'il leur faudrait remonter à 50 km de là pour trouver un supermarché ou renouveler leurs réserves. Elles avaient amenés une grande tente style armée qui leur servirait de salle de vie, les cantines réfrigérées étaient rangées à l'ombre des arbres près de l'eau. L'espace de Denise était garé non loin, dans une autre zone d'ombre.

Elles vaquèrent le reste de l'après midi à leur installation, créant un camp douillet et confortable. Le soir, elles venaient de manger et écoutaient Denise chanter en s'accompagnant à la guitare lorsque l'enfer fondit sur elles.

Ce fut d'abord des profonds vrombissements qui retentirent dans le chemin de terre menant à leur campement. Cinq motos surgirent de l'ombre. Inquiètes, elles se demandaient qui venaient ainsi les déranger.

Les deux cousines frémirent en identifiant trois des motards qui venaient d'enlever leurs casques. Elles connaissaient Robert et Denis MURSEAU, ainsi qu'Ibrahim RAMA, les deux autres, deux arabes leur étaient inconnus.

- Eh bien mes poulettes heureuse de nous voir ?" Les interrogea Ibrahim.

Hélène et Céline frémirent, elles avaient osé repousser leurs avances lors d'une soirée organisée par le lycée, et ils les avaient clairement menacées de représailles. Elles craignaient vivement qu'ils soient là dans ce but.

- Quelle hasard, qu'est ce qui vous a décidé à venir vous perdre ici ? Demanda Denise ignorante du danger.

- Ca ne doit rien au hasard. Répliquèrent Robert et Denis, on a eu assez de mal à découvrir où vous alliez. Finalement c'est le pompiste avec qui vous avez calculé vos besoins de gasoil qui nous a renseigné involontairement. On savait que vous veniez dans ce coin, aussi quand on a prétendu à notre tour étudier notre budget essence, il nous a dit ce que vous aviez compté pour rejoindre le lac de la Vaux Gelade. Nous sommes arrivés vers 13 heures, et depuis on vous cherche.

- Mais que... Pourquoi... Pourquoi venir nous rejoindre ? On a rien à voir ensemble." S'inquiéta soudain Denise se rendant compte que l'atmosphère s'épaississait.

- Tu demanderas à tes cousines. Rugit Ibrahim s'impatientant.

- Bon les gars, moi j'prends la plus vieille, vous vous débrouillez avec les deux autres. Siffla Ibrahim d'une voix autoritaire.

- "Mais que... Ca va pas non..." Se rebella instantanément Denise.

Ne tolérant aucune révolte, Ibrahim lui colla un violent aller et retour qui laissa ses doigts imprimés en rouge sur ses joues. Incrédule, hagarde, elle le regardait terrorisée, jamais personne n'avait porté la main sur elle, et cette découverte conjointe de la violence et de sa lâcheté la perturbait profondément. Elle réalisait qu'elle était prête à tout pour s'éviter une autre paire de gifle, qu'il lui suffisait de commander, et elle une adulte faite, elle qui commandait à des dizaines d'employés elle ferait ses quatre volontés.

Conscient de l'avoir brisée, Ibrahim annonça s'adressant à ses comparses :

- Je n'sais pas vous, mais moi j'aime bien voir ce que j'm'octroie. A poil la belle !

- Mais vous êtes fous. Jamais je ne...

Il lui suffit de lever la main, et se lamentant à voix basse, elle entreprit de déboutonner sa robe d'été. Ils avaient tout cinq prit place sur les banquettes de l'estafette qu'elles avaient démontées pour disposer de sièges confortables.

Robert avait attiré Hélène sur ses genoux, Denis tenait Céline le long entre ses jambes.

Denise avait ôté sa robe, elle ne portait plus qu'un froufroutant soutien gorge assorti à sa petite culotte en dentelle. Elle hésitait. Ibrahim se leva menaçant, et frissonnante comme une feuille, elle dégrafa son soutien-gorge et le laissa choir au sol, cherchant à dissimuler son opulente poitrine en croisant un bras dessus.

Robert avait glissé la main sous la jupe Hélène qui yeux braqués sur Denise ne se rendait pas compte de l'évolution de sa situation. Denis caressait lascivement les fesses de Céline qui laissait faire pour l'instant.

Ibrahim attira Denise à lui. Elle se laissa guider mollement. il passa les doigts dans la ceinture élastique de son cache sexe et le roula sur ses hanches, puis sur ses mollets. Docilement elle leva une jambe puis l'autre pour qu'il l'en débarrasse puis l'ordre claqua :

- Mets tes bras le long du corps ! Tourne sur toi-même ! Beau cul, approche !

Et le tâtant il put affirmer :

- "Bien ferme !

Il lui soupesa les nichons avant de la prendre sur ses genoux, lui intimant :

- Et maintenant roule moi une pelle !

Servilement elle prit place sur ses genoux, tendant ses lèvres. Il lui roula un patin passionné, lui explorant les amygdales de la langue. Elle se laissait toujours faire, inerte. Soudain il la saisit par les cheveux, lui tira la tête en arrière et lui remit une nouvelle gifle, moins violente toutefois, et comme égarée elle le regardait incompréhensive, il lui expliqua :

- C'est bien gentil de te laisser faire mollement, mais je ne veux pas d'un mou de veau ! Tu dois me donner du plaisir. Tu dois participer !

Cette fois elle se pencha sur lui et ils virent tous clairement que c'est elle qui glissait sa langue dans sa bouche, l'entortillant savamment autour de la sienne, tandis qu'il jouait avec ses mamelons.

C'est à cet instant que retentit une gifle sonore : Hélène, s'apercevant du manège de Robert qui avait inséré deux doigts dans la culotte, venait de la calotter de rude façon. A ce mouvement de révolte, Céline, à son tour, prenant conscience des sournois agissements de Denis, se mit à se débattre.

Ibrahim qui paraissait le chef leur ordonna :

- Amed, Moktar donnez leur un coup de main. Liez-les sur ce tronc en vis-à-vis. commanda-il pointant le dos sur une grosse grume à 5 mètres du camp.

S'emparant de cordes dans les sacoches de leurs motos, ils les lièrent face contre le tronc, bras liés sous le tronc, visage contre visage. Leur premier geste fut de retrousser leurs jupes au-delà de la taille, puis de leur arracher leurs petites culottes, derniers voiles protégeant leurs appâts.

- Robert, Denis, à vous de commencer ! Pensez à la façon dont elles vous ont traités au bal de fin d'année.

Elles blêmirent toutes deux, ainsi ils étaient bien là pour se venger. Les premiers coups assénés du plat de la main ne leur firent pas grand mal, mais bientôt la force des coups s'amplifia, leurs tourmenteurs se relayant lorsqu'ils étaient fatigués. Ils frappaient pour faire mal, pour briser leur résistance.

Lorsqu'ils cessèrent, elles avaient déjà hurlé leur douleur à pleine gorge, ce qui ne gênait d'ailleurs personne au vu de la solitude des lieux. Leurs fesses écarlates fumaient. De la paume de la main, Robert caressait la croupe d'Hélène qui reprit ses invectives.

- C'est loin de suffire ! Décréta Ibrahim, Suspendez-les à une branche et reprenez la correction avec la ceinture !

- Non... Nonnnnnnn... Je vous en prie... Pas ça... S'il vous plait... Je ferai tout ce que vous voudrez... Mais pas ça...

Faisant fi de leurs supplications, à quatre, ils les suspendirent par les mains à des branches hautes, réglant la corde pour qu'elles soient obligées de se tenir sur la plante des pieds. Effrayées par ce qui allait leur arriver, geignantes, elles ne pipèrent mot lorsqu'ils les dénudèrent totalement.

Le spectacle était ravissant, leurs muscles et leurs charmes étaient mis en valeur par l'étirement de leurs muscles, elles frissonnaient déjà de peur.

Denise affolée par ce spectacle, écœurée par sa lâcheté, livrait son corps à la lubricité d'Ibrahim. Il avait commencé par la doigter, enfonçant lascivement ses doigts dans sa fente, la parcourant lentement, lui roulant le clito entre pouce et index alors qu'il mordillait ses mamelons. Puis il s'écarta légèrement. Comprenant le message, elle lui roula une pelle fiévreuse, se releva et se rassit empoignant sa bite à pleine main pour la guider dans son intimité.

D'un seul élan, elle s'empala jusqu'à la garde sur la flamberge dressée, puis lentement elle se releva pour à nouveau s'empaler sur lui. Tout en le baisant de haut en bas, elle crispait et décrispait ses muscles vaginaux, jouant avec sa hampe qu'elle enserrait dans un gant d'acier avant de relâcher la pression pour mieux la remettre en suite.

Les cris des deux suppliciées reprirent. Ceinture en main, Robert et Denis les fouettait cruellement, variant les temps d'attente entre deux coups, tournant autour d'elles, leur interdisant de prévoir les coups, fouettant leurs croupes, leurs poitrines, et même leurs chattes. Les deux fille hurlaient des sons inarticulées, on identifiait parfois un mot, mais à peine.

- "Aiiiiiieeeeeee... J'ai.. Nonnnnnn... Ahhhhhhh... Ohhhhhhhh.. Nonnnnnnnnnnn... Maaaaaal... Trop maaalllll... Arrêteeeez... Je vous en prie... Je... Je ferai... Tout... Tout... Aieeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnnn...

Soudain Robert cessa ses coups, il lui prit le menton d'Hélène et lui demanda :

- Tu vas faire tout ce que je veux ? Que me promets tu ?

- Je... Je vous ferai l'amour... Comme vous voudrez...

Il releva la ceinture, visiblement insatisfait :

- Tu crois tout de même pas que ça suffira pour te faire pardonner... Et parle comme nous... Sois vulgaire si tu veux être comprise... Et ta bouche... Et ton cul...

Comme elle hésitait à répondre, la ceinture s'abattit sur ses flancs, elle hurla et reprit :

- Je... Je me ferai baiser en chatte... Je me ferai... Baiser en cul... Tu disposeras de ma bouche... Quand tu voudras... 

Il la coupa précisant :

- En fait c'est d'une petite esclave que j'ai besoin. Une bonne salope que je baiserai dans le con, la bouche et le cul. Qui sera toujours disponible. Que je prêterai aux copains. Que je mettrai sur le trottoir quand j'aurai besoin de fric. T'es toujours d'accord ma chérie ?

Elle hésita à nouveau, mais comme il relevait sa ceinture elle se jeta :

- Je serai ton esclave. Tu feras de moi ce que tu voudras. Je ferai la pute pour toi. Mais je t'en prie ne me bats plus...

Denise, affolée par ce spectacle, s'enfonça jusqu'à la garde sur la queue de son "amant" et se mit à gémir terrassée par un intense orgasme :

- "Ohhhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiii... ouiiiiiiiiiiiiiii... Je jouiiiiiiis... Oh Ouiiiiiiii... Ahhhhhhhhhh... Embrasse-moi... Ohhhhhhhh... Encore... 

Elle sentit à ce moment un jet chaud lui tapisser l'utérus. Ibrahim, satisfait de sa petite pute, lui arrosait les intérieurs en l'embrassant à pleine bouche.

Pendant ce temps Ahmed détachait Hélène. D'une main sur l'épaule Robert lui enjoignait de s'agenouiller, ce qu'elle fit avec docilité. Empoignant sa bite dressée, elle l'emboucha, déterminée à lui complaire.

Malgré son manque d'expérience, elle se fit chatte, enveloppant sa langue autour de sa hampe, titillant le gland, serrant les lèvres sur sa virilité, alignant sa tête pour qu'il la pénètre en pleine gorge, heurtant la luette. Mais il était trop excité, lui interdisant tout retrait en lui bloquant la nuque, il se vida à grosse giclées dans son arrière gorge très vite inondée. Au bord de l'étouffement, elle cracha, toussa avant de prendre le rythme, déglutissant au fur et à mesure qu'il jutait. Retirant la bite de sa bouche, en bonne petite ménagère;, elle nettoya la hampe souillée de la pointe de la langue, avant de prendre la bite d'Ahmed qui patientait.

Ibrahim appuyant sur l'épaule de Denise l'invita à s'occuper de sa bite ave la bouche. Docilement elle se posta entres ses cuisses, et emboucha servilement sa bite qui reprenait vigueur.

Céline, toujours suspendue à sa branche, pendait mollement au bout de sa corde, Denis se retourna vers elle, elle avait compris la leçon le suppliant à son tour :

- Moi aussi je serai ton esclave. Tu feras de moi tout ce que tu voudras. Je serai disponible. Mais je t'en prie ne me bats pas.

Sur un signe de Denis, Moktar la détacha la disposant à quatre pattes. Elle comprit immédiatement, ils allaient l'embrocher par deux extrémités. Et effectivement, Moktar se dénuda rapidement et présenta une bite de bonne taille à la convoitise de ses lèvres. Décidée elle aussi à leur complaire, par peur des coups, elle tendit une langue impatiente et l'accueillit dans sa chaude caverne buccale. Pendant ce temps, Denis lui écartait les fesses, parcourait d'un main curieuse sa raie culière, et d'un seul élan il enfourna sa bite dans sa fente détrempée.

C'était leur premier jour de vacances, et elles qui recherchaient la vie sauvage étaient servies. Céline était embrochée par ses deux bouts et elle faisait de son mieux pour les satisfaire, alors que Denise et Céline accordaient des gâteries à leurs agresseurs.

Ils conclurent tous rapidement se vidant les couilles dans le trou choisi.  Puis claquant le cul de Denise Ibrahim leur indiqua :

- Allez les filles... Il est temps de préparer le repas !

- Mais... Nous sommes nues... Ne pourrait-on ? 

- T'as vraiment besoin d'être vêtue pour faire à manger ? Non... Alors vous êtes très bien comme ça. Et de plus le spectacle est charmant !

A suivre...

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