Traduction d’un texte de burlingtonsue.
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Nous sommes une chaude journée de printemps. Mon mari Jean est au travail, la maison est propre et je n’ai rien de spécial à faire. Je décide alors que c’est une bonne journée pour aller au centre commercial et fait quelques magasins. Avec rien d’autre qu’une robe d’été ample et une paire de sandales, je veux me faire plaisir. Mais à ma grande surprise, ma voiture ne veut pas démarrer. Je tourne la clé, mais il ne se passe rien. Je sors et j’ouvre le capot puis je reste immobile en contemplant le moteur. Je réalise à quel point je dois avoir l’air stupide, je n’y connais rien en mécanique automobile. C’est alors que j’entends une voix proposer de m’aider. C’est Eric.
Eric est un jeune garçon qui vit à côté de chez nous. Nous l’avons vu grandir et il a souvent fait des petits travaux pour nous comme tondre la pelouse, faire de la peinture. Aujourd’hui, à dix-neuf ans, il est devenu un beau jeune homme.
Il tripote quelque chose sous le capot pendant quelques minutes avant de m’expliquer qu’il doit vérifier un truc sous la voiture. Allongé sur le dos il cherche le problème. Pendant qu’il travaille, je ne peux m’empêcher de remarquer à quel point il a grandi récemment. C’est un joli garçon avec des bras bien musclés, il doit faire de la musculation. Alors que je le détaille, je vois la bosse dans son jean. C’est à ce moment que je réalise qu’il regarde sous ma robe. Et visiblement il a une assez bonne vue sur ma chatte nue. Au début, je pense m’éloigner, mais comme j’étais partie pour jouer l’exhibitionniste au centre commercial, pourquoi ne pas commencer par Eric. Après tout il essaie de réparer ma voiture.
Je me déplace lentement et je prends plusieurs poses. Après quelques minutes je recule et, étonnamment, c’est à ce moment qu’Eric termine avec l’auto. Il me demande d’essayer de démarrer en se tenant devant la portière pour pouvoir profiter de la vue lorsque j’entre et je sors de ma voiture. Comme elle marche, j’éteins le moteur et je remercie le jeune garçon pour son aide. Je lui demande s’il veut se laver.
Nous entrons dans la cuisine pour qu’il puisse se laver les mains dans l’évier. Je lui tends une serviette. Pendant qu’il sèche ses mains, il me surprend en me demandant si je sors souvent sans sous-vêtements. La plupart des gens qui voient de l’exhibitionnisme font semblant de n’avoir rien vu, mais Eric est tout de suite direct. Je lui réponds que je n’ai pas fait la lessive et que je n’ai plus de culotte. Il semble accepter cette explication, mais sa conversation revient sans cesse sur la nudité de ma chatte. Je réalise alors que c’est probablement le bon moment pour qu’il parte, alors je le conduis vers l’entrée.
Alors que nous approchons de la porte d’entrée, Eric m’attrape par-derrière en enroulant ses bras autour de moi. J’essaie de résister, mais je ne suis beaucoup moins forte que lui. Il me force à retourner au salon et il me pousse contre le dossier du canapé. Mon visage se retrouve dans un coussin et mon cul en l’air au-dessus du dossier. D’une main Eric me maintient en place, son genou me forçant à écarter les jambes. Son autre main défait son pantalon et il se place entre mes jambes.
Je sens le gland de son sexe commencer à écarter les lèvres de ma chatte pour me pénétrer. J’essaie de lutter, mais en vain. Il est trop fort pour moi. Je suis donc sur le point d’être baisée par notre jeune voisin. Soudain, avec une poussée, son sexe glisse au fond mien et Eric commence aussitôt à faire des va-et-vient dans ma chatte humide. J’essaie de m’évader mentalement de ce qui m’arrive, mais je ne réussis qu’en partie. Mon corps commence à me trahir bien que j’essaie d’être la moins excitée que possible.
Eric explore mon corps avec une main et il glisse un doigt dans ma chatte à côté de sa bite. Puis il le retire et l’enfonce dans mon cul. Je n’ai jamais aimé la sodomie. Jean et moi avons essayé il y a quelques années, mais ce n’est pas notre truc. Le doigt du jeune garçon baise mon cul en rythme avec sa queue dans ma chatte.
Au bout de quelques minutes, je le sens se crisper alors que son sexe éclate au plus profond de moi. Quand il a fini, il se retire et me permets de me relever. Mais alors il défait la fermeture éclair au dos de ma robe, me faisant comprendre qu’il n’en a pas encore fini avec moi. J’essaie de m’enfuir, mais il attrape mon bras et me traîne dans la chambre. Quand nous entrons dans la chambre, Eric retire ma robe et me laisse nue. Il me pousse sur le lit et commence à se déshabiller. Une fois nu, il monte sur moi et positionne son sexe directement sur ma bouche. Il ne fait aucun doute que je suis sur le point de sucer la bite du jeune voisin.
Je lèche mes lèvres pour me préparer à l’invasion évidente et imminente. Il y a encore une goutte de sperme au bout de son membre. Alors qu’il glisse sa queue dans ma bouche, je lèche la longueur de son membre et j’aspire fort. Avec ses couilles bercées dans ma main, ma langue massant le dessous de son membre et mes lèvres serrant son sexe, j’anticipe la décharge de sperme de mon jeune voisin que je vais bientôt avaler. Eric ne me déçoit pas, il éjacule en peu de temps son foutre dans ma bouche. J’avale chaque goutte et je lèche le reste sur sa bite.
Après ce qui me semble être seulement quelques minutes, Eric est prêt de nouveau. Cette fois il grimpe entre mes jambes ouvertes et baise ma chatte impatiente. Avec un petit rire, il me dit que je suis une vraie salope vicieuse. Je ne peux pas contester le fait que je veux sa queue en moi. Mais cette fois-ci c’est différent de la première fois. Il prend son temps et m’amène doucement près de la jouissance avant de s’arrêter. Il attend que je me calme avant de recommencer à me baiser. Je me rends compte qu’il fait cela pour que j’ai de plus en plus envie de sa bite dans ma chatte et je dois admettre que ça fonctionne. Cette séance de sexe dure pendant plus d’une heure et il ne me laisse pas avoir d’orgasme. Eric n’a toujours pas joui quand il retire sa bite de ma chatte.
Le jeune garçon fouille alors ma chambre et revient avec deux ceintures en éponge de mes peignoirs. Il les utilise pour attacher mes mains aux montants supérieurs de mon lit à baldaquin après m’avoir roulée sur le ventre. Mes bras solidement attachés au lit, il me soulève sur les genoux et il recommence à me baiser en levrette. Une fois de plus il lubrifie ses doigts et les insère dans mon cul, sauf que cette fois-ci il y a deux doigts.
Je peux sentir mon orgasme commencer à enfler et je pousse mes hanches contre sa bite et ses doigts. Mais juste avant que je ne jouisse, il se retire de nouveau, me laissant momentanément frustrée. Eric change légèrement de position et je sens alors son gland presser contre mon cul.
Avec des poussées lentes, mais fermes, sa bite commence à entrer peu à peu. J’ai mal, mais c’est une douleur étrange. A ce moment je suis heureuse que le sexe d’Eric soit sensiblement plus petit que celui de mon mari, probablement cinq centimètres moins long et bien moins épais. Une fois que sa queue est à mi-chemin, Eric se penche et commence à caresser mon clitoris. Il le masse, le pince doucement alors que trois doigts glissent dans ma chatte. Après seulement quelques secondes je jouis enfin. J’empale mon cul sur la queue d’Eric. J’ai vraiment mal au début, puis je me sens de mieux en mieux. Eric me pilonne le cul tout en me tenant par les hanches et en me tirant alors qu’il donne un coup de rein. Rapidement il déplace ses mains vers mes seins et je remarque que je continue volontairement de pousser mon cul sur sa bite. Mon corps s’habitue à avoir une queue insérée dans un endroit où je n’ai presque pas été visitée. Je dois admettre que ça m’excite beaucoup.
Quand Eric gémit de plaisir, il me traite de salope, il me dit que je suis sa sale petite salope. Il m’appellera souvent ainsi à l’avenir. Il augmente le rythme de ma sodomie. Je peux sentir qu’il va bientôt jouir. Il pousse une dernière fois très fort et garde sa bite profondément enterrée dans mon cul pendant qu’il libère son foutre.
Eric descend du lit, me détache, me retourne et m’attache les poignets avant d’aller prendre une douche. Je ne peux pas m’échapper alors je reste allongée en espérant qu’il en a assez et qu’il va partir. Mon cul est douloureux à cause de la sodomie brutale et je peux sentir le sperme du garçon suinter alors que je reste immobile dans mon lit. J’ai la réponse à mes espérances quand il sort de la salle de bain. Sa queue est de nouveau bien raide. Je me demande comment il fait pour être aussi résistant et je prie pour qu’il ne veuille plus m’enculer.
De retour sur le lit, Eric grimpe sur moi et positionne sa bite dure sur mes lèvres. Sans qu’il ne dise quoi que ce soit, je commence à lécher son gland et à le sucer doucement entre mes lèvres humides. Il trouve alors le chemin dans ma bouche vers ma gorge. C’est à des moments comme ça que je suis contente d’avoir pratiqué les gorges profondes avec la bite de mon mari. Eric savoure le moment pendant quelques minutes, puis il retire sa bite sans avoir éjaculé dans ma bouche. Il descend du lit et sort un tee-shirt de ma commode pour en faire un bandeau qu’il me place sur les yeux. Je suppose que ça fait partie de son fantasme. Il se positionne entre mes jambes et glisse sa bite dans ma chatte encore bien humide. Il me baise lentement pendant que ses mains explorent chaque centimètre de mon corps. Il embrasse mes lèvres et mon cou puis sa bouche descend vers mes mamelons dressés. Il en suce un dans sa bouche puis il le mordille avec ses dents avant de s’attaquer à l’autre.
L’excitation grandit en moi et je sais que je vais de nouveau avoir un orgasme alors qu’Eric me baise. Je commence à gémir alors que mon plaisir enfle. Eric glousse et me traite de petite salope. Je suis allongée sur le lit avec la queue de notre jeune voisin martelant ma chatte et je me retrouve à penser aux évènements de la journée. Je me demande si le jeune garçon a prévu ce moment, ou s’il s’agit juste d’une impulsion. Je sais bien que je n’aurais pas dû m’exhiber. Maintenant il a vu et touché chaque centimètre de ma peau nue et il m’a baisé par tous mes trous.
Mon esprit est ramené à la réalité quand Eric commence à accélérer le rythme. Rapidement il éjacule à nouveau et remplit mon ventre de son sperme chaud. Il reste n place quelques minutes, puis il se lève et place sa bite gluante dans ma bouche. Je sais ce qu’il veut et je commence à lécher son membre. Ses poils pubiens me chatouillent le nez alors que je le nettoie habilement. Je suis contente que son sexe reste flasque, j’en ai plus qu’assez. Et heureusement il semble que Eric est également satisfait.
Alors que je continue à lécher sa bite est ses couilles, je me mets à réfléchir. Eric a toujours eu le béguin pour moi depuis que nous avons emménagé dans le quartier. C’était mignon quand il était jeune et plutôt flatteur alors qu’il commençait à mûrir. Encore une fois je me demande s’il n’a pas planifié tout ça.
Lorsqu’il est satisfait de mon nettoyage, il enlève le bandeau et détache mes poignets. Ça me fait du bien de pouvoir bouger mes bras. Sans un mot Eric se lève et s’habille. Il me laisse allongée nue, couverte de son sperme et de sa sueur. Au moment où il est sur le point de partir, il attrape quelque chose sur la commode et il me dit que si je parle à quiconque de ce qui vient de se passer, tout le monde verra à quel point je suis une vraie salope. Oh mon Dieu, il a tout filmé.
Je reste allongée et je l’écoute partir. Je l’entends s’arrêter dans la cuisine, mais je ne sais pas pourquoi. Puis j’entends la porte arrière se fermer. Je me lève alors et je descends l’escalier pour aller verrouiller toutes les portes. Il me semble que chaque articulation de mon corps est douloureuse et que mon cul est en feu. Je retourne dans la chambre et je change les draps, je ne peux laisser mon mari voir ces draps sales. Une fois que j’ai bien rangé la pièce, je me fais couler un bon bain chaud et je m’affale dedans pendant un bon moment.
Après mon bain,j’enfile un vieux pantalon de jogging et un sweat-shirt. La dernière chose que je veux c’est de m’habiller de façon provocante. Je passe le reste de la journée sur le canapé, celui sur lequel j’ai été violée. La télévision est allumée, mais je ne la regarde pas vraiment. Je réfléchis aux évènements de la journée. Est-ce que tout se serait passé différemment si je m’étais débattue plus ? Tout ce que je sais, c’est que mon mari Jean ne doit jamais le découvrir.
Avant qu’il ne rentre à la maison, je prends une douche et je mets des vêtements plus jolis. C’est ma routine habituelle. Nous dînons et Jean me parle de sa journée de travail. Je suis contente qu’il n’y ait pas de détecteur de mensonge dans les parages alors que je raconte ma journée sans incident, le ménage et la pause à regarder des feuilletons. Nous prenons quelques verres de vin avec le dîner.
Alors qu’il est assez tôt, mon mari suggère que nous allions nous coucher. Je sais que ça veut dire qu’il veut que nous fassions l’amour. J’espère que ma chatte s’est remise de mon viol du matin. Étonnamment, ça se révèle être une des meilleures nuits d’amour avec mon époux. Je ne sais pas si c’était à cause de moi et Jean, ou alors que je me rappelais avoir été violée par Eric, mais c’était fantastique.
Le réveil de Jean se déclenche à l’heure habituelle. Alors qu’il tend la main pour l’éteindre, je lui demande de rester avec moi à la maison aujourd’hui, mais il me dit qu’il a une réunion importante qu’il ne peut manquer. Alors qu’il se prépare, je reste allongée sur le lit en repensant aux évènements de la veille. Je n’arrive pas à croire que le jeune Eric, notre voisin adolescent, un enfant que j’ai gardé de nombreuse fois, m’a violé à plusieurs reprises dans ma propre maison. Ce qui est encore plus bizarre, c’est à quel point je me suis livrée à lui après le choc initial. Je suppose que je me suis endormie en pensant, car je n’entends même pas Jean partir.
La prochaine chose que je ressens, c’est quelqu’un qui se blottit contre moi. Jean a dû changé d’avis et il est resté à la maison. En me tournant, je mets mon bras autour de lui, sur son bras musclé. Oh mon Dieu, ce n’est pas mon mari ! Lorsque j’ouvre les yeux, je vois Eric me sourire diaboliquement. Rapidement il me grimpe dessus et me cloue sur le lit. Je devais être profondément endormie quand il est entré parce que je ne l’ai pas entendu préparer la chambre pour son plaisir. Il a attaché une corde entre les deux montants supérieurs du lit. Au milieu se trouve un crochet avec une paire de menottes. Rapidement, il lève mes bras au-dessus de ma tête et attache mes poignets. Il rit pendant que je lutte pour essayer de m’échapper.
Je suis déjà nue, je m’étais endormie comme ça après avoir fait l’amour avec mon mari. Eric s’assoit sur lit pendant un moment et il admire mon corps nu. Puis il se lève et se déshabille. Sa bite est déjà dure et dressée. Je sais que peu importe ce que je fasse, il va me baiser à nouveau. Mais pour ma tranquillité d’esprit, je dois me battre.
Toutefois, attachée comme je suis, Eric a facilement l’ascendant sur moi et quelques secondes plus trad, sa bite dure glisse dans ma fente humide et gonflée et se faufile profondément dans ma chatte.
Alors qu’Eric commence à me baiser, je tourne la tête sur le côté et je remarque une lumière rouge sur un caméscope. Cette lumière me rappelle que je suis sa petite pute. Après ce qu’il me semble n’être que quelques minutes, il retire sa bite et descend du lit. L’avantage de son nouveau système de lien c’est qu’il peut me retourner sans me délier, ce qu’il fait. Il commence à me mettre à genoux et je comprends ce que cela signifie. Je lutte alors de toutes mes forces, mais après quelques secondes, sa bite pénètre à nouveau dans mon cul. Une fois à l’intérieur il me dit que je suis une petite salope bien serrée et il commence à m’enculer. Il débute lentement en savourant mon cul serré sur sa queue puis il accélère. Ses mains serrent fermement mes seins alors qu’il me sodomise. Au début, j’ai très mal, mais ça devient bientôt plus agréable. Puis, après quelques secondes, je le sens se crisper et sa bite explose dans mon cul. Il se vide et il se retire lentement, laissant mon cul qui en veut plus.
Il me fait rouler sur le dos et présente son sexe à ma bouche. Je sais bien ce qu’il veut, mais je ne vais pas prendre l’initiative. Je balance ma tête d’un côté à l’autre, mais il attrape mes cheveux et force ma bouche. Son sexe sale glisse entre mes lèvres, je n’ai pas le choix. Plus vite je l’aurais nettoyé, mieux ça sera. Alors je commence à lécher et sucer son membre dégoûtant. Je réaliserai plus tard que ça fait partie de mon entraînement. Il ne veut pas seulement me baiser, mais il veut aussi me soumettre.
Quand j’ai fini, il sort un autre objet. Il s’agit d’un bandeau qu’il place sur mes yeux. Ne voyant plus rien, attachée, Eric recommence à me baiser. Avec sa bite dure fermement enfoncée dans ma chatte, il me provoque plusieurs orgasmes. Je ne sais pas si c’est l’idée de l’esclavage ou du viol qui me fait autant d’effet, mais je ne me souviens pas d’avoir jamais été autant excitée
C’est donc ce qu’il m’arrive les prochaines semaines, faire l’amour avec mon mari la nuit et être baisée sauvagement par Eric dans la journée. Le jeune garçon arrive toujours peu de temps après le départ de Jean pour son travail. Il a mis en place un certain protocole. Chaque jour quand il entre dans la maison, je dois m’approcher de lui et l’embrasser sensuellement puis je dois me mettre à genoux, sortir sa bite de son pantalon et le sucer jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. Si je ne fais pas ça, j’ai droit à une sanction. Une fois, en guise de punition, il m’a emmené dans un parc public et m’a obligé à lui faire une fellation dans une zone où nous risquions d’être vus. Bien sûr il a filmé le tout.
Puis progressivement, je remarque un changement chez mon jeune voisin. Il me semble qu’il baise avec moi avec beaucoup moins d’envies, qu’il s’agit juste pour lui de se vider les couilles.
Un jour, quand il arrive, alors que je dors encore, il me menotte immédiatement et place un bandeau sur mes yeux avant de quitter la chambre pendant quelques. Quand il revient, je sens ses mains caresser mes seins et descendre lentement vers ma chatte. Après quelques minutes de préliminaires, il commence à insérer sa bite en moi. Je me dis que mes lèvres ont gonflées, car ma chatte enserre plus sa bite que d’habitude. Mais alors qu’il baisse son corps sur le mien, je sens distinctement une odeur de fumée de cigarette. Je sais qu’Eric ne fume pas, alors il autorise quelqu’un d’autre à me baiser, probablement un de ses copains.
La bite inconnue continue à se frayer un chemin dans ma chatte. Elle est considérablement plus longue et grosse que celle d’Eric, elle pénètre plus profondément en moi. Au moment où elle est complètement à l’intérieur, je me sens plus remplie que jamais auparavant.
L’inconnu commence à me baiser avec un rythme lent et régulier. Ses mains explorent mon corps en commençant par mes seins et elles descendent sur mes fesses. L’homme mouille un doigt dans ma chatte puis il l’insère dans mon cul tout en continuant de me baiser avec sa grosse bite. Je commence alors à gémir sous ses coups de reins qui m’excitent. Avec mes jambes enroulées autour de sa taille, je le ramène sur moi à chaque fois. Il ne faut pas longtemps avant que le sente monter un orgasme dans mon ventre. Mon jus coule librement sur cette grosse bite inconnue. Je suis vraiment une vraie salope, mais je m’en fiche, c’est trop bon.
L’homme accélère le rythme et juste au moment où mon orgasme se calme, je le sens donner un dernier coup de rein et éjaculer au plus profond de moi. Nous continuons à baiser jusqu’à ce que sa bite devienne molle et sorte de ma chatte humide et dégoulinante.
Il se lève et j’’entends des bruissements. Je suppose qu’il s’habille. Il quitte la pièce sans un mot. Je ne sais pas qui il était, et la seule trace de sa présence est son sperme qui coule de ma chatte sur les draps.
Eric revient alors dans la chambre et il m’enlève le bandeau. Immédiatement je commence à me mettre en colère pour avoir laissé un de ses amis me baiser. Mais il me répond que si je le prends comme ça, nous pourrions demander à mon mari Jean de visionner certains des films qu’il a réalisé au cours de ces dernières semaines. Je sais à ce moment-là que j’ai laissé tout ça aller trop loin et que je suis prise au piège. Si mon mari voit ces films, il me quittera sûrement.
Alors qu’Eric se dirige vers la salle de bain, il me dit avec désinvolture que l’homme n’était pas un de ses amis, mais seulement un client. J’ai alors l’estomac serré, Eric ne me partage pas, il me vend à des étrangers. Je suis vraiment devenue sa pute.
Eric revient avec un rasoir à la main. Il m’explique que son client s’était plaint que je sois trop poilue. J’essaie de discuter en soutenant que Jean va savoir qu’il se passe quelque chose. Mais Eric me dit de rester tranquille ou il risque de me couper. Il me dit de dire à mon mari que je l’ai fait pour lui. Je suis vraiment gênée d’être allongée là, à le regarder me raser la chatte qui va sûrement encore vendre à d’autres étrangers. Quand il a fini, il me libère pour que je puisse prendre une douche. Je remarque que son caméscope est encore en train d’enregistrer, donc je pense qu’il y a moyen de savoir qui vient de me baiser.
Je suis bien sous la douche, mais il va falloir bien plus qu’une douche chaude pour laver cette sensation de souillure de mon corps. C’était déjà trop d’être le jouet sexuel d’un adolescent voisin, mais à partir d’aujourd’hui je suis sa pute. Des larmes commencent à couler sur mes joues alors que je me frotte vigoureusement pour essayer de me sentir plus propre.
Quand j’ai fini, Eric me fait changer les draps et m’allonger, puis il me remet les menottes. Enfin il me met le bandeau. Je lui demande pourquoi j’en ai besoin et il m’explique que ce n’est pas pour moi, mais plutôt pour les clients qui peuvent ne pas vouloir être reconnus.
J’ai trois visiteurs de plus ce jour-là, chacun différent du précédent. Une chose qu’ils ont tous en commun c’est qu’ils utilisent des préservatifs et qu’ils aiment tous les vider sur mon visage ou dans ma bouche lorsqu’ils ont fini avec moi. J’entends aussi beaucoup de cliquetis, je suis sûre qu’ils prennent des photos de moi avant, pendant et après qu’ils m’ont baisée. J’en parle à Eric, mais il ne semble pas s’en soucier.
A la fin de la journée, je suis fatiguée et endolorie. J’ai été baisée plusieurs fois dans tous les trous possibles et je dois maintenant me dépêcher de nettoyer la maison et préparer le dîner avant que Jean ne rentre à la maison. Ce soir-là, mon mari me pose des questions sur ma journée et je lui ai dit que la journée avait été calme. Il me suggère alors de trouver quelque chose pour m’occuper. S’il savait !
Je me résigne à l’idée qu’Eric peut faire ce qu’il veut de moi. Si je me rebelle, il montrera à mon époux sa vaste collection de films où je suis baisée par de nombreux hommes différents. Il risque aussi de montrer tout ça à tous les gens que je connais et ça mettra définitivement fin à mon mariage et à ma vie sociale. Par contre, si je coopère, le garçon s’attend à ce que je baise et suce tout homme qu’il m’envoie tout en étant filmé en détail, la vidéo s’ajoutant à la collection déjà trop vaste d’images de « sa petite pute ». Quel choix ai-je ?
Je ne sais pas comment Eric contacte ses clients. Mais même s’il s’agit de mon imagination, j’ai l’impression que beaucoup d’hommes et maris du quartier me traitent différemment, pas de mauvaise façon, mais comme s’ils me connaissaient mieux qu’avant. Comme je l’ai dit plus tôt, c’est probablement ma conscience coupable qui me joue des tours. Quoi qu’il en soit, Eric n’avait pas de mal à trouver des hommes prêts à le payer pour mes services. Ce petit con s’enrichit à mes dépens.
Les visites à la maison se poursuivent. Je suis toujours attachée et les yeux bandés. Je réalise plus tard que c’est parce que je risque de reconnaître ces hommes comme les maris de mes amies et voisines.
Mais récemment, Eric veut élargir mes services en m’envoyant dans des villes voisines pour rencontrer des clients ayant réservés dans des endroits de leur choix. Ça me donne au moins l’occasion de découvrir ce qu’Eric facture pour mes services, cent euros pour baiser ma chatte, soixante-quinze pour mon cul et cinquante pour une fellation. Ce petit enfoiré gagne beaucoup d’argent.
Eric m’a acheté une nouvelle tenue pour ces excursions : un string en dentelle blanche avec un soutien-gorge à balconnets assortis, une jupe bleu marine beaucoup trop courte, un chemisier blanc, une veste bleu marine assortie à la jupe et des chaussures à talons hauts. Une fois habillée, je ressemble exactement à ce que je suis, une pute. Il faut que je me change toujours avant d’atteindre ma destination. Je ne m’inquiète pas des hommes du quartier qui savent ce que je suis, mais je ne peux pas laisser leur femme me voir dans cette tenue de travail.
Eric me fournit un téléphone portable jetable pour rester en contact avec moi et me faire savoir où se trouve mon prochain rendez-vous. Il me dira toujours ce que l’on attend de moi afin que je puisse facturer mes services à l’avance.
C’est mon premier voyage et je suis nerveuse. Je suis la pute d’Eric depuis un moment déjà, mais je l’ai toujours fait dans ma propre maison. Maintenant je dois aller dans un endroit inconnu pour rencontrer des étrangers et les laisser coucher avec moi.
En arrivant chez mon client, je ne peux pas m’empêcher de remarquer que sa maison est belle. Évidemment le propriétaire a de l’argent. Mes mains sont moites alors que je m’approche et que je frappe à la porte. Un homme aux cheveux gris ouvre la porte et m’inspecte avant de me faire entrer. Il me dit qu’il s’appelle Jean. Mon cœur s’arrête presque, mais je réalise qu’il s’agit d’un prénom commun. Il me conduit au salon où il me fait signe de m’asseoir avant de me servir un verre. Assis sur le canapé je montre plus de cuisses que je ne le voudrais, mais je me rappelle que bientôt cet homme va me voir totalement nue. Il me tend une enveloppe avec cent euros. Puis il me suggère de finir mon verre avant que nous commencions.
Il me conduit dans des escaliers et une chambre d’amis. Elle est très agréable, bien décorée, mieux qu’à ce que je pensais, avec un grand lit contre le mur. Jean me demande de me déshabiller lentement.
J’enlève d’abord mes chaussures et ma veste, puis je défais lentement mes bas l’un après l’autre. Mon chemisier a six boutons alors j’enlève chacun d’eux en faisant une pause entre eux. Je plie ensuite soigneusement mon chemisier et je le place sur une chaise à côté du lit. Ma jupe a une fermeture éclair dans le dos et un bouton. Je les défais pour permettre à la jupe de tomber à mes pieds. Je me penche avec mon cul face à Jean et je prends mon temps pour la ramasser, la plier et la mettre sur la chaise. Je défais mon porte-jarretelles et je l’ajoute à ma pile de vêtements. Je dénoue ensuite mes longs cheveux brun foncé et je les laisse tomber sur mes épaules. Je me lèche les lèvres en approchant de Jean et je mets une main dans le dos pour dégrafer mon soutien-gorge tout en le tenant de l’autre main. Petit à petit, je laisse le soutien-gorge glisser vers le bas et exposer mes seins fermes à mon client. Je jette le soutien-gorge sur mes autres vêtements et je fais un pas vers Jean cette fois-ci en glissant mes doigts dans l’élastique de mon string. Alors qu’il a les yeux rivés sur mon entrejambe, je commence à faire glisser le string le long de mes cuisses et de mes jambes jusqu’à ce qu’il soit à terre. Une fois de plus, en me tournant, je me penche à la taille pour récupérer le sous-vêtement et j’expose mon cul et ma chatte. A la bosse dans son pantalon, il est évident que l’homme apprécie mon strip-tease.
Il me fait signe d’avancer jusqu’à lui. Mes seins touchent presque son visage. Il en prend un dans sa bouche alors qu’il pétrit l’autre avec la main. Son autre main se fraie un passage entre mes cuisses, jusqu’à ma chatte humide. Je laisse échapper un petit gémissement tandis que son doigt glisse dans mon sexe. Je commence à défaire ses vêtements alors qu’il explore mon intimité. Bientôt il se lève pour me permettre de lui ôter totalement ses vêtements que je plie et pose sur la chaise. Jean est un homme beaucoup plus âgé que moi, presque le double de mon âge, mais il est attirant. Il possède une bite de bonne taille qui est bien dressée. Je peux d’ailleurs voir du liquide pré-éjaculatoire suinter sur son gland. Je l’enlève avec mon doigt et en regardant l’homme dans les yeux, je l’essuie sur mes lèvres avant de les lécher.
Jean pose ses mains sur mes épaules et applique une petite pression pour me faire savoir qu’il veut que je suce sa bite. Mais je lui dis qu’il n’a pas payé pour ça. Alors il attrape son pantalon, sort son portefeuille et me tend 200 euros de plus. Je fourre l’argent dans l’enveloppe et je lui souris. Je lui dis alors que je suis à lui pour les prochaines heures.
Je suppose qu’il est un peu nerveux parce que pendant que mes lèvres glissent le long de sa bite, il m’explique qu’il n’a jamais fait ça auparavant et que sa femme est absente pour la semaine. Mais il ne faut pas longtemps avant qu’il se détende et commence à profiter de ma bouche experte sur sa queue.
Après quelques minutes seulement il se crispe, ses jambes tremblent et il décharge son sperme chaud dans ma bouche. J’avale jusqu’à la dernière goutte et je lèche bien sa queue et ses couilles comme je suis formée à le faire. Une fois qu’il a repris son souffle, il commence à s’excuser d’avoir joui dans ma bouche. Je lui explique alors que tout va bien et que j’ai apprécié.
Il me faut un peu de temps pour le faire bander à nouveau, mais sa bite revient à la vie et se tient bientôt au garde à vous comme un soldat. Quelques minutes plus tard, il est au-dessus de moi, sa bite recouverte d’un préservatif fermement implantée au fond de ma chatte. Ses mains et sa bouche explorent mon corps. Il commence à me baiser dans un rythme lent et régulier, faisant de son mieux pour partager le plaisir qu’il éprouve. Il finit par me provoquer un orgasme agréable, pas puissant, mais très agréable. Rapidement il jouit lui aussi en éjaculant dans le préservatif. Finalement, il laisse son corps reposer doucement sur le mien. Nous restons un petit moment ainsi tandis qu’il caresse mes seins. Puis nous nous levons, je vais prendre une douche rapide et je m’habille.
Je demande à jean s’il y a autre chose que je peux faire pour lui et il me dit qu’il en a eu pour beaucoup plus que son argent et il me remercie. Je lui fais un baiser sur la joue et je pars. Une fois dans ma voiture je téléphone à Eric comme il me l’avait ordonné. Il me dit alors que j’ai un autre rendez-vous dans une heure et il me donne l’adresse.
En arrivant au lieu indiqué, je vois qu’il s’agit d’une maison de classe moyenne dans un environnement dans lequel je me sens plus à l’aise. Malheureusement cette visite allait être moins agréable que la dernière. L’homme qui m’ouvre la porte est grand et mince. Il doit avoir la quarantaine. Sa maison est en désordre et lui n’est pas mieux.
Il me dit de me débarrasser de mes vêtements et me donne 75 euros. Je me déshabille et il me fait m’agenouiller au milieu de la pièce. Il met alors du lubrifiant sur son sexe et il commence à le forcer dans mon cul. Sa queue est assez longue et en quelques secondes, je suis fermement empalée. Il commence à me baiser rudement comme si je n’étais qu’une simple poupée gonflable. Après quelques coups de rein, il commence à me gifler le cul assez fort pour vraiment me faire du mal. Il me tire aussi par les cheveux en me traitant de pute et de salope. Après presque une demi-heure de sodomie sauvage, il jouit finalement dans mon cul. Puis il se retire et essuie sa bite sur mes fesses.
Je m’habille le plus rapidement possible et il me dit de sortir de chez lui. Je suis contente de lui obéir. Une fois dans la voiture, je nettoie et je défroisse mes vêtements autant que possible avant d’appeler Eric. Celui-ci me dit de rentrer chez moi, car mon prochain client ne sera que dans l’après-midi.
Quand j’arrive à la maison, je suis heureuse de constater qu’Eric n’est pas là. Dix minutes plus tard, alors qu’il n’est pas encore arrivé, je décide d’aller prendre une douche en l’attendant lui ou mon prochain client.
L’eau chaude me fait du bien. Elle frappe mon corps nu et je souhaite qu’elle puisse effacer la sensation de saleté qui recouvre maintenant tout mon corps. Physiquement je suis propre, mais mentalement je ne suis qu’une sale pute. Quand j’ai fini de me doucher, je sors et je me sèche en réfléchissant sur mon sort. Je me regarde dans le miroir et je me demande ce qui est arrivé à la femme que j’étais. Je me maquille et j’enfile un string et un soutien-gorge en dentelle. En me regardant de nouveau dans le miroir, je me dis que tout homme devrait être heureux d’avoir à faire avec moi. Cela renforce en bien mon image que je voyais de plus en plus négativement.
Un peu plus confiante, je retourne dans la chambre. Tout est clame dans la maison. Mais quand j’entre dans la pièce, je me fige, mon cœur fait un bond dans ma poitrine et je reste bouche bée. Il y a un homme assis sur la chaise dans le coin. C’est Jean, mon mari. Il n’aurait pas du être à la maison avant quatre heures. Il est évident d’après le regard sévère sur son visage que j’ai des ennuis. J’essaie alors de parler, mais tout ce que j’arrive à dire sont des babillages sans aucun sens. J’avance lentement et je m’assois sur le bord du lit. Je me mets alors à sangloter de façon incontrôlable. Jean me laisse le temps de me calmer avant de commencer à parler.
D’une voix sévère, mais étonnamment calme, il me dit que nous devons discuter. Il me dit qu’il sait ce qu’il se passe, mais qu’il veut que je lui raconte moi-même toute l’histoire. Sur le moment je crois que je voudrais mourir sur place. Puis je me rends compte que je suis prise et qu’il n’y a plus de sens à lui mentir.
Jean s’assoit tranquillement alors que je lui raconte les évènements de la journée du printemps dernier lorsque ma voiture ne démarrait pas et comment Eric m’avait violée dans le salon, puis dans la chambre, et qu’il avait couché une troisième fois avec moi. Jean m’interrompt et demande pourquoi je ne qualifie pas la troisième fois de viol. La tête basse, incapable de le regarder dans les yeux, j’admets que la troisième fois n’est pas un viol, car je voulais que ça se produise. Je continue mon histoire en racontant la façon dont Eric m’a utilisé comme son jouet sexuel en me baisant dans notre propre lit, puis comme il a commencé à me vendre comme une pute bon marché.
Les larmes coulent sur mes joues alors que j’avoue mon infidélité à mon mari. Quand j’ai fini, il se lève et essaie d’essuyer mes larmes, mais il ne réussit qu’à étaler mon maquillage frais sur mes joues. Il me dit d’aller me nettoyer et de me reposer pour aujourd’hui. Il me dit qu’il a des affaires à régler, mais qu’il sera à la maison pour le dîner et qu’il s’attend à un bon repas ce soir-là. Il part alors. Je me nettoie et je finis de m’habiller.
Je trouve le temps long, Jean est parti depuis longtemps. J’ai peur qu’il s’en prenne à Eric et qu’il soit blessé. Je passe le temps en préparant son repas préféré sans savoir si ça va être notre dernière soirée ensemble. Lorsque j’entends sa voiture entrer dans l’allée, je soupire de soulagement. Jean entre dans la maison et demande nonchalamment sir le dîner est déjà prêt.
Nous nous mettons à table et nous avons un repas plus calme que d’habitude. John accapare la conversation sans parler de ma situation. Après le dîner, nous prenons quelques verres de vin qui me détendent. J’étais beaucoup trop nerveuse pour manger beaucoup, même si mon mari a essayé e me convaincre de manger plus que cela. Quand nous avons fini, je nettoie la table et je mets la vaisselle dans le lave-vaisselle, puis je rejoins mon mari dans le salon.
Pendant quelques minutes, je reste juste assise, penaude, sans dire un mot, attendant que Jean commence à me parler. Il me dit alors calmement que je dois être curieuse de savoir comment il avait découvert la situation. Je hoche la tête, bien sûr cette pensée m’avait traversé l’esprit. Il s’avère alors que l’un de mes premiers clients lorsque j’avais les yeux bandés était Kévin S. C’est un de nos voisins et un ami de mon mari. Il avait appelé mon mari , car il voulait qu’ils se rencontrent. Ils se sont vu au domicile de Kévin qui a expliqué avec tact à mon époux comment il avait été en contact avec un jeune homme qui pouvait organiser des rendez-vous sexuels avec une jolie femme pour un prix raisonnable.
Quand il a découvert que c’était moi, une femme qu’il voyait souvent marcher dans la rue, une femme qu’il convoitait, il a donné son accord. Mon mari me dit qu’il a commencé à décrire à quel point j’étais belle, allongée nue, les yeux bandés et les mains menottées. Mais Kévin s’est rendu compte qu’il ne devait peut-être pas trop décrire le moment à Jean. Alors il s’est excusé à nouveau et lui a dit à quel point il se sentait mal ensuite. Mon mari lui a demandé si ça valait cent euros et Kévin s’est contenté de sourire. Puis il a expliqué que ça lui avait en fait coûté cent vingt euros, parce que quelques jours plus tard Eric lui avait vendu un DVD de son rendez-vous. Jean lui a demandé de voir le film.
Ils sont restés assis comme deux copains regardant un match de football, mais en fait, à l’écran, c’était moi qui étais baisée par Kévin. La qualité n’était pas très bonne, mais c’était suffisant d’un petit caméscope sur la commode. Mon mari me raconte la vidéo. Il voit Kévin se déshabiller et me grimper dessus. L’homme joue avec mes seins et ma chatte, puis il guide sa bite en moi. Mon époux me dit que le gémissement que j’ai poussé à ce moment-là était très sexuel presque autant que les grognements que j’ai émis pendant que notre voisin me baisait. Il poursuit en me disant qu’il a aimé particulièrement la partie où je nettoie sa bite et aspire tout le sperme la recouvrant. Quand Jean était sur le point de quitter sa maison, Kévin s’est excusé de nouveau en lui proposant de lui donner le DVD. Mais mon mari lui a dit de le garder.
A ce stade, je ne peux vraiment rien dire. Je suis totalement à la merci de mon mari. Il m’explique alors que je n’aurais plus à me soucier d’Eric. Il a stoppé les agissements de l’adolescent, mais malheureusement il n’a rien pu faire pour les DVD. Apparemment le jeune garçon les a vendus dans tout le quartier. Jean me dit qu’il lui a affirmé avoir gagné plus d’argent avec les films qu’avec mon cul. Mais Jean me dit qu’il a le reste du stock dans sa voiture.
Il m’explique qu’après avoir découvert ce qui se passait, il a appelé un ami qui est inspecteur de police. Il a arrêté Eric et apparemment il a plus qu’assez de preuves pour l’envoyer en prison pour plusieurs années. Toutefois Jean a fait une offre au jeune garçon. Soit il va en prison pendant de nombreuses années et les autres prisonniers seront contents d’avoir un jeune violeur comme nouveau jouet, soit il devient notre serviteur obéissant les sept prochaines années, temps pendant lequel nous pouvons toujours porter plainte.
Eric a choisi le deuxième choix. Il est maintenant à notre disposition sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour faire ce que nous voulons sans poser de questions.
Ce soir-là, Jean teste notre nouvel esclave. Il l’appelle et lui demande de venir immédiatement. Quand il arrive, nous sommes en train de regarder des films où il me baise. Jean le fait se déshabiller et s’agenouiller devant lui entre ses jambes. Puis il place sa grosse bite dans la bouche d’Eric en lui demandant de la sucer pendant que nous regardons la télé.
Jean et moi avons continué à profiter de notre mariage, même si nous jouons parfois à des jeux beaucoup plus intéressant qu’auparavant.
FIN.
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