mercredi 23 mars 2022

Une nuit dans le parc.

Traduction d'un texte de Twisted Mistress.

*****

Jeanne halète alors qu'elle est entraînée dans le parc. Il fait sombre et certains réverbères sont éteints. Elle trébuche sur le chemin accidenté qui n'est qu'un ligne noire prise en sandwich entre des taches d'herbe très sombres.

Elle agrippe son manteau en fausse fourrure qui est son seul vêtement. Jean lui a interdit de le boutonner alors il s'ouvre pour révéler une peau blanche crémeuse qui brille au clair de lune à chaque fois qu'elle trébuche sur ses chaussures à talons hauts.

Jean la conduit plus profondément dans le parc. Une ou deux fois, elle pense entendre des voix, mais ils ne rencontrent personne. Son cœur bat vite dans sa poitrine, mais pas par peur, plutôt par excitation.

*****

Jean lui avait dit de se déshabiller à la maison et de ne prendre que le manteau et les chaussures. Puis il l'avait conduite à la voiture.

Ils avaient roulé dans les quartiers les plus populaires de la ville. Par deux fois, ils s'étaient arrêtés près d'un groupe de prostitués et il lui avait dit de sortir. Il voulait qu'elle se tienne sur le trottoir et qu'elle se fasse passer pour une pute. Il lui avait dit qu'elle devait accepter l'argent d'un inconnu et se laisser baiser dans une ruelle.

Elle avait refusé, elle pouvait tout faire sauf ça. Plusieurs fois dans le passé, il avait ramené des amis à la maison pour qu'elle ait des relations sexuelles avec eux deux, ou juste avec elle pendant qu'il regardait. Mais cette fois, elle ne pouvait faire ce qu'il demandait.

Elle fut soulagée quand il l'entraîna dans le parc. Il voulait la baiser en extérieur. Elle aimait ça, personne ne la faisait jouir comme lui. Elle ne remettait plus en question la façon dont son corps lui répondait, la façon dont elle faisait presque tout ce qu'il lui demandait sans réfléchir.

Elle avait été horrifiée la première fois qu'il avait ramené un ami dans leur appartement. Elle leur avait servi le dîner et alors qu'elle ramassait la vaisselle, Jean l'avait poussé vers le bas sur la table. Il avait remonté sa jupe et enfouit brusquement sa bite en elle. Il avait exigé qu'elle ne porte plus de sous-vêtements, donc elle était toujours nue sous ses jupes. Alors qu'il la baisait brutalement, il continuait sa conversation avec son ami.

Jean ne jouit pas en elle, il la baisa simplement pour montrer à son ami qu'il le pouvait. Alors qu'elle était humiliée et à court de souffle, il se retira et offrit à son ami de le remplacer. Elle était restée immobile, bouche bée, les yeux humides alors que l'homme l'avait tripoté avant d'enfoncer sa bite dans sa chatte.

Elle était humide et bien lubrifiée à cause de Jean. Mais elle rougit profondément de le montrer à cet inconnu. La bite de l'homme la baisa violemment. Elle avait tellement honte de la situation que ce n'est que lorsqu'elle leva les yeux vers Jean qu'elle vit son expression de pur désir. Il continua sa conversation avec son ami comme si elle n'était pas là, mais pendant tout ce temps son visage afficha une pure luxure. La honte qu'elle ressentait se transforma en un fierté bizarre. Elle jouit en haletant et pleurant. L'homme rit et donna de plus grands et violents coups de rein jusqu'à ce qu'il éclate en elle et la remplisse de sa graine.

Dès qu'il eut fini, il referma son pantalon et il partit. Jean revint vers elle après avoir fermé la porte derrière son ami. Il la courba à nouveau sur la table et il la baisa si fort qu'elle cria de joie. Il lui dit qu'il ne pourrait pas s'arrêter de la baiser alors qu'elle était rempli du sperme d'un autre homme.

****

Jean s'arrête près d'une table de pique-nique. C'est un lieu où se réunissent les adolescents pendant la journée. Les graffitis sur les bancs marquent l'endroit comme leur territoire. Sur un des bancs, gît un vieil homme couvert de journaux malgré la chaleur de la nuit. Au bruit de ses talons sur le chemin, le clochard remue et s'éveille. Immédiatement il marmonne des excuses et commence à se déplacer pour s'éloigner d'eux.

Mais Jean lui dit d'attendre. Il s'approche et lui parle doucement. Jeanne le regarde sortir quelque chose de sa poche pour lui donner. Elle regarde l'homme s'éloigner enfin en laissant échapper un soupir de soulagement.

Jean pose le trépied et fixe sa minuscule caméra vidéo de façon qu'elle soit face à la table de pique-nique. Puis il sort un tube de sa poche, sort sa bite déjà raide et commence à enrober son membre de gelée épaisse. Il lui fait signe d'approcher de lui et il la positionne en la penchant profondément sur la table. Ses fesses sont hautes dans les airs. Elle sait qu'il veut l'enculer en premier. Les genoux tremblants, elle se tient immobile, en écartant les jambes autant que possible.

Après avoir vérifié la caméra, Jean s'approche d'elle et lui dit :

- Je veux que tu fasses beaucoup de bruits. Je ne veux pas que tu te retiennes et je veux que tu me supplies pour en avoir encore plus. Compris?

Jeanne hoche la tête. Elle est penchée sur une table de pique-nique sous la lueur orange d'un réverbère et il filme chacun de ses mouvements. La simple pensée qu'il lui fera regarder la cassette plus tard tout en la faisant se caresser est suffisante pour que son jus coule le long de ses jambes. Elle se demande si la caméra enregistre les éclats brillants alors qu'elle le sent couler le long de ses cuisses.

Jean est aussi dur que de la pierre alors qu'il presse sa bite contre son cul. Le lubrifiant épais facilite le passage, mais son trou est toujours serré. La queue est longue et épaisse. Elle grogne. Elle n'avait pas aimé la sodomie avec qui que ce soit avant lui, mais il rend l'acte si vicieux qu'elle aime le supplier de la baiser comme ça.

Quand finalement, il a entré toute sa bite à l'intérieur, elle se met à gémir sérieusement. Il se retire et plonge à nouveau en elle. Il baise son corps fragile rapidement et brutalement. Elle halète et le supplie de continuer, en partie parce qu'il l'a demandé et en partie parce qu'il la baise si fort qu'elle craint qu'il ne jouisse avant que l'orgasme qu'elle sent se développer en elle, explose. Elle se souvient de ses mots et se met à gémir d'une voix rauque.

- Je veux plus de bite! Baise-moi plus fort!

Ses mots résonnent dans le parc, l'obscurité amplifiant le son.

Jeanne est tirée de sa frénésie sexuelle par un mouvement dans l'ombre. Surprise, tout en étant enculée avec force, elle étudie la noirceur environnante. Elle est consciente que le lampadaire au-dessus d'eux doit être comme un phare. Quatre sans-abris sortent alors de l'ombre. Elle sent au même moment que Jean se crispe et qu'il gicle son sperme au plus profond de ses entrailles. Elle rougit profondément en voyant l'air de convoitise sur les visages sales des hommes. Elle veut que Jean ne bouge pas et la cache à leurs regards.

- Messieurs, formez une file! Dit Jean en retirant sa bite de son cul.

En reculant, il tire le manteau de fourrure de ses bars, la laissant entièrement nue et exposée aux clochards.

- Hum, j'espère que vous êtes aussi bien dotés que sales. Glousse Jean.

- C'est pas une blague? Demande le premier.

Même s'il a des doutes, ce n'est pas suffisant pour le décourager. Il est déjà en train d'essayer de descendre son pantalon. Même à deux mètres de distance, Jeanne peut sentir la saleté qui le recouvre.

- Non ce n'est pas une blague. Vous avez entendu, elle veut plus de bite.

Sa main est pressée contre son dos nu afin de la maintenir en place alors que le premier homme se rapproche.

Jeanne est submergée par l'horrible odeur qui l'entoure. Elle crie en sentant sa bite se presser contre sa chatte. Elle est incapable de croire que ça peut arriver, elle ne veut pas penser à la queue sale qui se fraie maintenant un passage en elle.

La bite est grosse et rugueuse contre sa chair sensible. Le clochard doit pousser encore plus fort, car la surprise a fait disparaître son humidité naturelle.

- Je n'ai pas eu de chatte aussi serrée depuis vingt ans. Dit le vieil homme.

Dès qu'il a forcé son membre à l'intérieur, il pose ses mains sales sur le cul blanc et il se met à la pilonner.

- Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme.

- C'est pourquoi je vous ai demandé d'amener des renforts. Dit Jean derrière la caméra.

Jeanne lève la tête à ces mots.

- Oui Chérie, je leur ai demandé de venir ici et je les paie pour te baiser.

- Eh bien, nous l'aurions fait gratuitement, mais l'argent est toujours un plus. Dit un des autres sans-abris.

Jean s'approche du visage de Jeanne et se penche vers elle alors qu'elle grimace et sanglote.

- Baisée par des clochards, toutes ces grosses queues sales qui vont gicler en toit. Je me demande combien de temps il te faudra avant que tu gémisses de plaisir et que tu les supplies tous de continuer. Est-ce qu'elle est grosse cette bite en toi?

Jeanne laisse ses larmes couler et hoche la tête. Oui elle est grosse et la question la rend plus consciente des va-et-vient dans sa chatte. Elle peut sentir l'humidité revenir dans son sexe alors que ses joues brûlent de honte.

- Dépêche-toi Jonas! Dit l'un des autres.

- Hé c'est dommage que Didier ne soit pas là, son énorme bite aurait arraché de grands cris à la donzelle.

- Cinquante de plus si vous allez le chercher! Dit Jean.

Jeanne gémit de honte alors que l'homme qui la baise éjacule dans son ventre.

- Tournons-la pour pouvoir mieux voir! Dit un autre.

De nombreuses mains la tripotent et la tournent sur le dos afin d'exposer sa chatte souillée et ses seins pâles à leurs yeux.

S'agenouillant sur le banc, l'homme suivant enfonce sa bite sale en elle tout en lui souriant avec des dents pourries. Dès qu'il est entré entièrement en elle, il saisit ses seins. Il s'enfonce si fort et si vite que Jeanne est terrifiée à l'idée d'avoir un orgasme alors qu'il la baise.

Son dégoût et sa honte augmentent quand il baisse sa bouche avec ses dents pourries sur sa douce poitrine pâle, sur ses mamelons si sensibles d'ordinaire qu'elle supplie Jean de les prendre dans sa bouche. L'homme fait passer sa bouche sur la totalité de sa poitrine en mordillant la chair de ses seins.

Elle gémit bruyamment de dégoût et d'excitation. Et alors que les clochards encouragent leur pote, avec un cri de honte, elle cède à l'orgasme qui la submerge. Les hommes applaudissent et deviennent plus confiants.

Quand l'homme qui la baise finit par éjaculer et se retire, les autres crient pour deux bites en même temps. Jeanne entend le cri d'encouragement de Jean.

Les hommes la prennent et l'assoit sur une bite dure et sale. La sensation de la saleté qui entre en elle la rend nauséeuse alors que sa chatte commence à se serrer sur le membre. Elle gémit contre la trahison de son corps. Elle tourne la tête pour voir Jean la regarder alors qu'il se caresse à travers son pantalon.

Alors qu'elle est assise sur l'homme le plus sale qu'elle ait jamais vu, elle sent des mains rugueuses s'agripper à ses hanches et une autre bite est forcée à l'intérieur de sa chatte. Ces deux bites l'étirent un maximum. Elle peut sentir chacune de leurs veines ainsi que la saleté accrochée.

L'homme derrière elle place ses mains sur chaque sein et les serre à la base pour leur donner l'apparence de mamelles. Il se presse contre son dos et la pousse vers le bas jusqu'à ce que ses seins soient pointés vers la bouche de l'autre homme. Celui-ci ouvre ses lèvres sales et suce fort ses tétons dardés. Cette vue la consterne et la sensation la ravit.

Puis les deux hommes commencent à bouger, les deux bites se déplacent indépendamment dans sa chatte. Jeanne secoue la tête, mais gémit d'approbation. Elle essaie de résister, mais elle jouit deux fois avant eux. Les hommes applaudissent à chaque fois ce qui augmente sa honte.

Ils applaudissent de nouveau à l'arrivée de Didier. Alors qu'ils la tirent de la table de pique-nique, les deux autres se retirent pour lui laisser la place. L'homme s'allonge alors en ouvrant son pantalon.

Jeanne crie de panique en voyant ce qui ressemble à un bras entre ses jambes. Le sexe est dur et épais comme son poignet et a l'air de mesurer plus de trente-cinq centimètres. Il est plus noir que lui.

L'homme la regarde et devine son envie et sa frayeur. Jeanne est abaissée sur l'énorme gourdin et commence à trembler avant que la moitié ne soit entrée en elle. C'est beaucoup plus gros que les deux bites ensemble. Et avant qu'elle ne soit totalement empalée sur la queue, elle peut en sentir une autre se presser à l'entrée de son cul.

Elle ferme les yeux d'horreur puis les ouvre pour regarder Jean. Celui-ci la regarde avec envie, sa queue tendant son pantalon.

Le désir dans ses yeux et les sensations de son corps s'étirant pour le plaisir de ces hommes sales la font céder à une autre vague d'orgasmes. Elle est reconnaissante que Jean l'ait bien enculé et lubrifié afin de facilité le passage de la longue bite mince qui la pénètre. Quand elle sent les poils pubiens de l'homme toucher ses fesses, elle sait qu'elle est bien remplie. L'idée est suffisante pour la faire gémir.

Ça lui fait mal de bouger sur l'énorme bite, elle peut la sentir essayer de se faufiler dans son ventre. Mais comme elle est serrée autour d'elle, elle ne peut s'empêcher d'essayer de la faire glisser en elle. Alors elle se tord d'avant en arrière entre les deux queues. Les deux hommes lui pétrissent douloureusement les seins, mais ça déclenche en elle des vagues de plaisir jusqu'à ce qu'elle soit inconsciente du contexte. L'envie et la sensation de plénitude sont pour elle les seules choses au monde.

A un moment donné Jean doit changer l'angle de la caméra pour pouvoir bien capturer les deux bites qu'elle chevauche et les deux têtes qui sucent ses seins. Jeanne est presque ivre de plaisir. Quand l'homme dans son cul éjacule, elle sent chaque secousse et chaque jet de sperme sortir de la bite.

L'homme noir la soulève alors et elle gémit consternation. Il la couche à califourchon sur un homme qui vient de s'allonger à côté de lui et qui lui agrippe les hanches avidement. Sa bite est petite en comparaison, mais Jeanne saute sur lui, incapable de faire autrement.

Puis Didier place son gourdin contre son cul et son petit trou étiré et ruisselant de sperme. Il la maintient fermement vers le bas alors qu'il lutte pour entrer dans son petit trou. Il pose une main sur sa bouche quand elle commence à crier de panique. La sensation d'être tenue alors qu'il la perfore la fait jouir à nouveau. Elle a le souffle coupé. Elle est complètement empalée quand le membre est totalement entré en elle. Le noir la pousse contre l'homme en dessous qui se contracte et jouit à l'intérieur de sa chatte ouverte.

Le gros black se retire en laissant son cul béant. Elle pousse un cri déçu pendant qu'il la retourne sur le dos. Il fait signe aux hommes d'avancer.

- Tu veux du spectacle? Demande-t-il avec un sourire conspirateur à Jean derrière la caméra.

Il doit avoir eu un signe de tête, car il commence à donner des instructions à deux gars. Il pousse les jambes de Jeanne en l'air et commence lentement à arquer son dos. Bientôt ses genoux sont à côté de ses oreilles.

- Sucez ses seins comme s'ils avaient du lait! Dit-il aux deux hommes.

Chacun d'eux tient une jambe avec le genoux près de son oreille. Son cul est haut dans les airs et sa chatte est ouverte, humide de sperme.

Avec sa main, le noir guide sa bite dans son cul. Les deux hommes sucent allégrement ses tétons, la faisant pleurer d'épuisement. Jeanne tremble en sentant son cul se remplir plus profondément que jamais avec la grosse bite. Elle regarde avec des yeux fatigués le clochard noir pousser quatre doigts à l'intérieur de sa chatte qui fait des bruits de succions. Il pousse ses doigts d'avant en arrière avant d'insérer son pouce et il commence lentement à mettre toute sa main en elle. Quand il est à l'intérieur, son poignet disparaissant entre les petites lèvres, il fait un signe à Jean.

- Tu veux lui baiser la gorge? Elle se souviendra de ça toujours, donc tu veux peut-être en faire partie.

Sans un mot, Jean se précipite. Il baisse les yeux sur le visage choqué de Jeanne et il ouvre rapidement son pantalon.

Alors que l'homme noir commence à baiser son cul, il bouge sa main au fond de sa chatte. Juste au moment où elle est sur le point de crier, Jean penche sa tête en arrière et enfonce sa bite épaisse dans sa gorge, lui coupant tout espoir de respirer. Se faire baiser la gorge est quelque chose qu'elle trouve passionnant dans des circonstances normales, mais ce soir c'est trop. Elle reste entre les deux hommes alors qu'ils la baisent rudement pendant que les autres les encouragent et que la caméra silencieuse enregistre chaque minute de sa débauche.

Elle jouit encore et encore, elle en perd le compte. John l'étouffe une bonne minute avant d'éjaculer. Et une longue minute plus tard, le noir l'écrase alors qu'il gicle des quantités énormes de foutre dans son cul.

Didier aide Jean à porter sa silhouette nue et molle jusqu'à l'abri à vélo. Ils mettent une pièce dans la machine pour laver les vélos couverts de boue et ils l'aspergent d'eau.

Enfin Jean la porte jusqu'à la voiture. Incapable de se retenir, il la pose mollement sur le capot et il la baise à nouveau, martelant son corps sauvagement. Puis il la dépose sur le siège passager.

Encore excité, il la baise dans la voiture une nouvelle fois quand ils sont arrivés devant chez eux. Elle est presque inconsciente, mais il sent sa chatte se resserrer autour de sa bite alors qu'elle jouit à nouveau. Il est tellement excité alors qu'il n'a pas encore regardé la vidéo.

FIN.

1 commentaire:

Merci de vos retours