Texte écrit par Elodie 3
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Il y a une dizaine d’années, alors que je terminais mes études universitaires à Bordeaux, j’étais encore une jeune fille naïve et totalement inexpérimentée. Le hasard voulut que je prenne pour amant un homme bien plus âgé que moi. Lors d’une soirée privée chez ses amis, mon amant en a profité pour m’exhiber sans mon consentement. A l’époque cela m’avait beaucoup choqué et j’avais rompu cette liaison.
Depuis quelque temps, cette aventure que j’avais plus que subie et presque oubliée m’est revenue à l’esprit, et j’ai dû admettre que j’y avais pris un certain plaisir.
Ces souvenirs revenant à ma mémoire, je me suis mise à imaginer que j’étais à nouveau contrainte à la soumission par un amant. Comme cette relation imaginaire me procurait un certain plaisir, c’est presque naturellement que je me suis mise à surfer sur le net pour finalement aboutir régulièrement sur le même chat SM.
Ces échanges virtuels attisaient mon imaginaire et mon désir de soumission, et c’est ainsi qu’un soir je me suis mise à chatter avec un homme, un maître sur ce site, pendant que mon mari regardait un match à la télé. Prise dans ce jeu virtuel, je ne me suis pas rendu compte que le match était terminé et que mon mari avait rejoint la chambre.
Mon interlocuteur était charmant, il m’émoustillait. Il alla même jusqu’à me demander de me dévêtir bien qu’il ne pouvait pas me voir. Alors pourquoi ai-je accepté, à vrai dire je ne le sais toujours pas. Toujours est-il que je me suis retrouvée totalement nue devant mon ordinateur. Les quelques vêtements que j’avais portés dans la journée jonchaient le sol lorsque mon mari arriva dans le bureau.
Instinctivement, comme une gamine prise en faute, j’ai interrompu la conversation virtuelle, j’ai bredouillé que j’avais chaud et je l’ai suivi dans la chambre. A-t-il été dupe, certainement pas, car il a bien constaté mon état d’excitation lors de nos ébats, et il m’a traitée de salope pendant qu’il me prenait violemment. Cet assaut inhabituel de sa part m’a énormément plu.
Le lendemain mon mari me parut furax. Il me répétait régulièrement que je n’étais qu’une salope. Après quelques jours de soupe à la grimace, sa mauvaise humeur avait quasiment disparu quand il m’annonça avoir discuté de mon problème avec un de ses amis, qui lui avait conseillé de me punir. Sur le coup je fus saisie, mais je n’étais pas en position de refuser. Comme il est habituellement très charmant, je me dis que venant de sa part la punition serait forcément légère.
Je m’attendais donc à cette fameuse punition, et je ne fus pas surprise lorsqu’il me demanda d’acheter un corsage blanc très serré ainsi qu’une jupe kilt très courte, bien que ce type de jupe ne soit pas à la mode à cette époque. Ne voyant pas comment lui refuser, et comme j’avais décidé d’adopter la tactique du dos rond le temps de laisser passer l’orage, je me suis mise en quête du fameux vêtement dans les boutiques d’une grande ville. Finalement j’étais assez heureuse de réaliser cette petite punition et j’espérais bien qu’il allait me demander de porter ces vêtements pour notre plaisir.
Un samedi matin de juin, mon mari m’annonça que nous étions invités pour la soirée. En fait, j’ai découvert après coup que cette soirée avait été programmée par mon mari et son fameux ami.
Dans l’après-midi de ce samedi, alors que nous étions dans le jardin devant une tasse de café, mon mari m’ordonna de mettre la fameuse jupe kilt ultra-courte qu’il m’avait demandé d’acheter. Sur le moment je n’ai pas trouvé cela très amusant. Je ne m’imaginais pas m’exhiber devant des inconnus avec cette petite jupe. Là où ce fut pire, et je ne m’attendais absolument pas à ça de sa part si bien que j’en eus la gorge nouée, c’est quand il déposa sur la table du salon un petit caraco mauve très échancré qu’il avait lui-même acheté et qu’il me demanda de mettre, sans soutien-gorge.
Je suis restée sans voix quelques minutes. Lui, visiblement, ça l’amusait de me voir ainsi décontenancée. Durant ces quelques instants, j’envisageai les alternatives qui s’offraient à moi. Mais dans la situation où je m’étais mise je ne voyais pas d’issue. J’ai donc dû accepter sa proposition en me disant que c’était la punition qu’il voulait m’infliger, et qu’il s’agissait pour moi de relever ce défi.
Je me suis donc habillée avec les vêtements qu’il m’avait recommandé. Sous ma jupe j’ai mis un tanga, des bas auto-fixants et une paire de chaussures à talons, tenues par une lanière entourant la cheville. Dans la glace j’ai pu constater l’effet de ma tenue : c’était plus qu’osé, et j’ai trouvé que j’étais limite vulgaire. Le décolleté du caraco dégageait bien mon dos. Devant, il descendait bien plus bas que la naissance de mes seins, pour se prolonger par une échancrure étroite qui plongeait jusqu’à leur base. Il était tenu par deux très fines bretelles. Mes tétons, qui sont surdimensionnés, pointaient effrontément en limite du tissu. Dès que je me penchais en avant ma poitrine se découvrait, et lorsque je levais un bras mes seins se dévoilaient par l’échancrure du passage des bras.
La partie inférieure de ma tenue était tout aussi provocante, le bas de la jupette cachant à peine le haut de mes bas. Un instant, j’ai même pensé me défaire de ces derniers. Mais je me suis convaincue que c’était là ma punition et qu’il me faudrait rester vigilante sur mon attitude lors de cette soirée, pour ne pas paraître trop indécente.
Avant de sortir, mon image réfléchie par le miroir de l’entrée m’a laissée perplexe. Mon mari, lui, était visiblement enchanté, car il m’a félicitée, ce qui m’a permis de franchir le pas de la porte, finalement convaincue qu’il me fallait bien sortir dans cette tenue. Mais avant de quitter notre maison je pris soin d’attraper dans la penderie une petite veste blanche, que j’ai revêtue. Il m’a laissé faire, je lui en fus reconnaissante car sur le moment j’imaginais mal comment j’allais pouvoir me comporter dans cette tenue durant la soirée.
Un taxi nous attendait. Durant le trajet mon mari m’a demandé, en me chuchotant à l’oreille, d’ôter ma culotte. Là je n’ai pas obtempéré, je trouvais qu’il allait trop loin ! Avec une intonation espiègle il se mit alors à discuter avec le chauffeur de taxi, pour lui dire qu’il y avait de plus en plus de femmes chatteuses sur les sites érotiques… J’ai vite compris que ma punition se poursuivait et que si je ne cédais pas à son exigence il allait poursuivre son propos en dévoilant mon aventure.
Je me suis donc défaite de mon tanga le plus discrètement possible. Avec ce kilt court ce ne fut pas très difficile. Le chauffeur ne s’est aperçu de rien, et mon mari m’enleva le tanga des mains tout en poursuivant la discussion avec le chauffeur par des banalités. Je me suis blottie contre lui pour lui signifier ma reconnaissance de ne pas avoir évoqué mon petit dérapage.
Lorsque nous sommes arrivés à destination, après avoir réglé la course et juste au moment de quitter le véhicule, mon mari a tendu mon vêtement au chauffeur.
— Je vous le confie, lui dit-il, cette salope en aura besoin cette nuit, elle vous le réclamera elle-même lors de notre retour.
Je suis sortie de la voiture verte de rage et de honte, et je me suis éloignée pour ne pas entendre la suite de l’échange. J’en voulais à mon mari de pousser la punition aussi loin. Mais comme je ne pensais pas revoir ce chauffeur de taxi de sitôt, je ne fis aucun reproche à mon mari, alors que j’en avais pourtant une forte envie.
Le taxi nous avait déposés devant l’immeuble où nous étions attendus, chez l’ami de mon mari. Je n’avais jamais entendu parler de cet homme auparavant et je l’avais encore moins rencontré. Pour moi c’était donc un parfait inconnu, et je me demandais bien où mon mari avait bien pu rencontrer cet individu, et par quel hasard ils étaient devenus familiers au point qu’il avait accepté cette invitation et qu’il m’y emmenait dans une tenue si osée.
Dans l’ascenseur qui nous conduisait chez notre hôte, je me suis rendu compte que l’enchaînement des deniers événements m’avait malgré tout quelque peu excitée. En pénétrant dans cet appartement, je n’étais pourtant pas très fière, et une pointe d’angoisse me nouait la gorge. Cette angoisse s’amplifia davantage, au point de sentir mes jambes envahies d’un léger tremblement, lorsque notre hôte nous proposa de nous débarrasser et que je fus contrainte, avec regret, de me défaire de ma petite veste sur l’insistance des deux hommes
Seulement vêtue de ce caraco qui me dévoilait plus qu’il ne m’habillait et de mon kilt jupette ultra-court, sans rien d’autre que mes bas et mes chaussures, j’eus le sentiment d’être livrée et qu’il y avait connivence entre ces deux hommes qui avaient dû préparer ensemble ce plan à mes dépens !
Les présentations faites, j’appris que notre hôte s’appelait Bernard et qu’il avait quarante ans. C’était un homme qui au premier contact me sembla doux et cultivé. Il nous offrit une coupe de champagne et nous proposa de nous restaurer autour d’un petit buffet. Nous sommes donc restés debout, ce qui m’a permis de retrouver un peu de contenance. Assez rapidement, j’ai constaté que Bernard ne me parlait jamais directement : soit il s’adressait à mon mari qui répondait pour moi, soit, lorsqu’il était obligé de s’adresser à moi, il utilisait la troisième personne. La discussion des deux hommes s’est très vite orientée vers le sexe, Bernard expliquant à mon mari comment s’y prendre pour tenir une femme.
J’étais à la fois embarrassée et excitée de les entendre parler des femmes de cette manière. Pour Bernard, les femmes n’étaient que des femelles. Et d’expliquer à mon mari que la sienne était une sacrée salope. Entendre cet inconnu parler ainsi de moi à mon mari me déconcertait, et amplifiait cette sensation d’angoisse qui me tenaillait depuis mon entrée dans cet appartement.
Puis Bernard a commencé à me demander pourquoi je faisais la salope sur Internet. J’étais très gênée et je n’arrivais pas à répondre devant mon mari, que mon embarras faisait sourire. Bernard lui expliqua qu’il avait une recette pour calmer les femelles comme moi.
Marc, mon mari, en profita pour lui dire que j’étais une vraie salope qui avait oublié de mettre sa culotte. Là, je l’ai fusillé du regard. Cette discussion me mettait de plus en plus mal à l’aise, mais paradoxalement elle m’excitait à la fois. C’était chez moi une sensation bizarre, où le corps prenait le dessus sur l’esprit. Je ne l’explique pas, je ne voulais pas le faire mais l’instinct animal prenait le dessus, et j’acceptais ce que je refuse en temps normal.
— Une femelle comme celle-là doit être très excitée , dit alors Bernard à mon mari.
Il sortit ensuite de la pièce et revint avec un ruban de tissu qu’il demanda à Marc de me mettre aux poignets. J’ai essayé de résister un peu, par pure forme, car mon état d’excitation me permettait difficilement de m’y opposer. Marc en profita pour me réprimander et finalement il me lia sans difficulté les poignets dans le dos. L’effet fût immédiat : mon état d’excitation est encore monté.
Bernard s’est adressé à Marc pour qu’il me fasse écarter les jambes. Je mouillais abondamment, surtout quand mon mari mit ses mains entre mes cuisses pour m’inciter à les ouvrir. Ensuite Bernard m’a palpé le sexe, il a fait entrer ses doigts dans mon vagin. J’étais archi-trempée, il m’a caressé la chatte quelques minutes. Je sentais ses doigts écarter mes lèvres intimes et me fouiller (j’ai beaucoup aimé cette caresse). Puis il retira sa main.
— Nettoie mes doigts, m’a-t-il dit.
Il s’est alors adressé à mon mari en lui faisant remarquer que je ne demandais que ça, et pour lui demander s’il était toujours d’accord pour me faire subir la punition. Moi qui m’imaginais que c’était en cours ! Mon mari a acquiescé. Alors là, j’ai flippé et je me suis demandé ce qu’ils avaient bien pu imaginer de plus que ce qu’ils me faisaient déjà subir. Un instant j’ai pensé qu’ils avaient peut-être un plan inavouable et je me suis mise à paniquer : je ne me sentais pas prête à vivre cela. Dans ce genre de situation, ça gamberge très vite dans la tête !
Bernard est à nouveau sorti et il est revenu avec des gants en plastique fins, un petit pot et des ciseaux. Là, j’ai vraiment eu peur, je me suis mise à trembler, je voulais fuir mais mes jambes étaient scotchées ! Avec les ciseaux il a délicatement coupé les bretelles de mon caraco ainsi que le reste du vêtement pour qu’il tombe à mes pieds. Mon mari s’était assis dans un fauteuil, face à moi, un verre de vin rouge dans la main, en parfait spectateur.
Bernard s’est mis à palper mes tétons qui sont naturellement un peu longs et qui étaient déjà durs du fait de mon état d’excitation. Tout en faisant cela il n’arrêtait pas de me traiter de salope et de femelle, parlant des mamelles de sa femelle à Marc, qui s’en amusait.
Après quoi il a enfilé les gants, enduit son doigt du produit issu du petit pot, et qui ressemblait, me sembla-t-il, à de la pommade. Il a mis ensuite son doigt sur le bout de mon téton, ce qui m’a fait ressentir immédiatement une vive chaleur. Il a poursuivi par un massage limité au téton. J’avais l’impression que ce dernier devenait énorme et brûlant. Après avoir massé longuement la mamelle de la femelle, comme il prenait un malin plaisir à le redire à mon mari, il a fait la même chose à mon autre sein. Tout en faisant cela il disait encore à mon mari que c’était ainsi qu’il fallait préparer les mamelles de sa femelle. La sensation de chaleur était intense et aussi la sensation d’avoir des tétons gonflés. J’avais les yeux un peu humides. Je l’entendis dire à mon mari le nom du produit avec lequel il me massait, mais je fus incapable de retenir ce nom.
Lorsqu’il jugea que le massage était achevé, il retira ses gants pour me passer la main sous la jupe et me caresser les fesses (la croupe, disait-il à mon mari) et l’entrejambe. Il m’était impossible de cacher mon état d’excitation et mon mari, qui visiblement prenait un malin plaisir à me voir ainsi malmenée, assistait toujours en spectateur.
Mais il se leva pour me défaire de ma jupe. Je me suis donc retrouvée quasiment nue, avec juste mes chaussures et mes bas. Puis il a mis la main sur ma tête pour m’obliger à me courber à la hauteur de sa ceinture, il a extrait son sexe qu’il m’a placé entre les lèvres. J’ai compris ce que je devais faire et j’ai commencé à le sucer. C’est alors que brusquement j’ai ressenti au niveau de l’anus la même sensation de chaleur intense que celle qui me chauffait encore les tétons : Bernard était en train de m’y glisser de la pommade. Je n’ai pas pu rester courbée, je me suis relevée, ils ont alors gentiment posé leurs mains sur mes épaules pour m’inciter à me coucher le ventre sur un pouf.
Mon mari a maintenu une légère pression entre mes omoplates pendant que l’autre homme continuait de faire entrer la pommade dans mon anus. C’était une intense chaleur qui m’envahissait au fur et à mesure, je la sentais pénétrer de plus en plus profondément en moi ; instinctivement mon corps s’opposait à cette pénétration et tentait d’expulser cette chaleur, cette réaction m’incitant à tendre les fesses et à m’ouvrir.
C’est ce processus que Bernard expliquait à mon mari, tout en me pénétrant soudain de son sexe recouvert, et malgré moi je lui facilitais la tâche. Plus il entrait en moi, plus il poussait cette chaleur dans mon fondement, plus je me tendais vers lui pour tenter de rejeter cette chaleur intense qui m’envahissait.
— Tu vois, ta femelle, elle aime ça, elle tend sa croupe !
C’était ma première sodomie. Mon mari n’avait jamais tenté de me solliciter de ce côté. Et moi, instinctivement, je réclamais cette pénétration, je ne demandais que ça pour tenter de calmer cette sensation de chaleur insupportable qui était en moi, je lui tendais mes fesses et Bernard en profitait pour entrer en moi, de plus en plus profondément.
Il m’a labouré les reins et moi ça me calmait, j’aurais aimé qu’il reste plus longtemps, mais il s’est retiré après avoir joui assez rapidement.
Quand il a eu fini, ils m’ont relevée et de nouveau courbée, et j’ai retrouvé dans ma bouche le sexe de mon homme. Bernard me regardait faire. Tout en ôtant son gant il dit à mon mari :
— Ta femelle, elle aime la sodomie, t’as vu comme elle tend son cul !
Mon mari a rapidement joui dans ma bouche, ce que je refuse d’habitude et comme ils ne m’ont rien proposé, j’ai été contrainte d’avaler sa semence et de garder en bouche ce goût âcre qui me répugne.
Ils m’ont laissée, les mains liées, les tétons et le cul toujours en feu. J’aurais bien voulu prendre une douche pour calmer cette sensation de chaleur et reprendre un peu mes esprits, d’autant plus que moi je n’avais pas encore obtenu le plaisir que mon corps réclamait depuis le début de la soirée.
Mais ensuite les deux hommes m’ont baisée le sexe et la bouche à tour de rôle jusque tard dans la nuit. Moi qui en avais envie, j’ai obtenu ce que j’attendais, j’ai été rassasiée !
Puis Bernard a proposé à mon mari d’appeler un de ses amis qui était en boîte de nuit pour lui proposer de venir saillir une femelle en chaleur. Mon mari a accepté en disant qu’il voulait me voir sautée par un inconnu. Ils ont alors appelé cet homme au téléphone, il est arrivé assez rapidement, ce qui m’a d’ailleurs un peu surprise. L’inconnu m’a baisée alors que j’étais à nouveau courbée sur le pouf, je n’ai même pas pu voir sa tête. Dès son plaisir obtenu, il est reparti !
Finalement, vers trois heures du matin, nous avons quitté cet appartement. J’avais toujours une sensation de chaleur au niveau des seins et de l’anus, ils ne m’avaient toujours pas proposé de prendre une douche. J’ai mis ma jupe et ma veste. Mes bas étaient dans un piteux état, je les ai ôtés. Mon mari s’est chargé d’appeler un taxi.
Au moment de monter dans la voiture, je me suis rendu compte qu’il avait appelé le même chauffeur qu’à l’aller. Ce choix n’était certainement pas anodin. J’ai fait demi-tour mais mon mari qui me suivait m’a poussée pour que je monte dans ce taxi. Exténuée par la soirée que je venais de vivre, je me suis laissée guider. Dès qu’il m’a reconnue, le chauffeur m’a fait un énorme sourire. Le véhicule avait à peine commencé à rouler que le chauffeur brandissait mon tanga, en me demandant si je voulais le remettre.
— Vous lui rendrez sa culotte quand elle sera propre, elle la salirait ! lui dit alors mon mari, qui continua en expliquant que j’étais une salope qu’il venait de faire remplir de sperme.
Je ne savais plus où me mettre, j’aurais voulu me faire toute petite sur le siège arrière. Pendant qu’il parlait au chauffeur de taxi, il remontait ma jupe pour découvrir mon ventre. J’étais fatiguée et je me sentais comme un pantin désarticulé. Je l’ai laissé faire. De sa main il m’a fait ouvrir les jambes. Dans cette position inconfortable je me suis sentie glisser le long du siège, ce qui a accentué ma position : j’étais offerte au regard du chauffeur de taxi, complètement ouverte et totalement exhibée. En glissant je sentais sous mes fesses humides le tissu de ma jupe gluant par l’excédent de semence des hommes qui m’avait baisée, et qui s’échappait de moi.
Le chauffeur arrêta son taxi pour profiter du spectacle. Je voyais le visage radieux de cet homme qui se gavait en regardant mon anatomie.
Après quelques minutes le taxi est reparti et c’est avec un grand soulagement que je suis rentrée chez moi pour me précipiter sous la douche.
Le lendemain, au petit déjeuner, je n’étais pas très fière de moi, j’appréhendais la réaction de mon mari, et j’ai été soulagée quand il m’a dit que la soirée lui avait plu. Il m’a demandé ce qu’il en avait été pour moi. Je n’ai pas osé, ce jour-là, lui dire que j’avais apprécié, de crainte qu’il me déconsidère.
Depuis, je lui ai avoué que cette soirée m’avait donné beaucoup de plaisir. Il m’a promis qu’il y en aurait d’autres. Je fais juste très attention en sortant de chez moi de ne pas croiser le fameux taxi qui travaille probablement dans notre quartier.
A suivre...
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