Texte de Géronimo ou Elko.
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La femme de l'ambassadeur.
Antoine Dubreuil, le nouvel ambassadeur de France à Dakar donnait une très belle réception dans les locaux de l'Ambassade de France. Pour se présenter au expatriés français nombreux au Sénégal mais aussi au « Locaux » c'est a dire les sénégalais notables de Dakar. La réception était très mondaine et du beau monde s'y trouvait. Le Premier ministre sénégalais et son épouse ainsi que le Consul britannique faisaient partis des invités les plus prestigieux. Hélène Dubreuil , l'épouse du nouvel Ambassadeur, une coupe de champagne à la main, très élégante dans une robe de soirée rouge qui épousait merveilleusement les formes pulpeuses d'une femme de 55 ans encore très belle, déambulait au milieu des invités, un sourire au lèvres. Saluant le gratin sénégalais. Elle ne remarqua pas du tout un homme, un sénégalais, très grand, le crane rasé, qui l'observait à la dérobée. Malgré sa jeunesse, 35 ans, Abdoulaye Amar avait fait fortune dans le BTP et était à la tête d'une fortune colossale en faisant un des hommes les plus puissant de Dakar. On disait de lui qu'il avait ses entrés au Palais présidentiel et qu'il avait l'oreille du Président. Il faut dire qu'il fournissait l'argent à chaque campagne électorale, ça créait des liens...
Abdoulaye Amar ne perdait pas de vue la somptueuse femme de l'Ambassadeur. Sa sage robe de soirée n'arrivait pas à dissimuler un cul bien ferme et des seins bien lourds qui semblaient vouloir jaillir du décolleté carré de la robe Yves Saint Laurent. Seule excentricité osé de la distinguée femme de l'Ambassadeur, la robe était légèrement fendue sur le coté dévoilant des jambes gainées de bas clairs à chaque pas qu'elle faisait. Hélène Dubreuil n'était pas très grande mais des talons aiguilles blancs nacrés la grandissait. Elle avait hésité a mettre des bas mais elle aimait beaucoup la lingerie et de plus en cette saison les nuits étaient un peu fraîche en Afrique. Et puis, plus secrètement, elle aimait se sentir désirée par ces noirs qui la regardait avec avidité des qu'elle se promenait dans les rues de Dakar en jupe courte ou robe légère. Elle avait constaté plusieurs fois que même ses domestiques, fournis par le Palais présidentiel après accréditation des services de sécurités de l'Ambassade , la regardait avec concupiscence, notamment son jardinier, Ousmane, qu'elle avait surprise un jour en train de se masturber comme un fou pendant qu'elle prenait un bain de soleil en bikini dans le jardin de l'immense villa ou elle logeait dans le quartier résidentiel de Dakar. Il était caché dans un bosquet et observait Hélène. Elle avait été horrifiée par le membre d'Ousmane d'une longueur et d'une épaisseur impressionnante. Elle avait fait comme si elle ne remarquait rien mais quand Ousmane avait éjaculé libérant un torrent de sperme, elle s'était senti défaillir...
Abdoulaye Amar se rapprocha le plus qu'il pouvait de Madame Hélène Dubreuil se collant quasiment à elle pendant qu'elle parlait avec des expatriés. Elle sursauta et se retourna sentant une masse se coller presque à elle. Faisant face à Amar, elle ouvrait la bouche pour protester quand elle reconnu Abdoulaye Amar dont son mari lui avait déjà beaucoup parlé lui disant que c'était un personnage influent de Dakar. Amar lui fit un grand sourire et lui prit la main et la baisa en se disant que bientôt il aimerait baiser beaucoup plus que la main de la charmante épouse de l'Ambassadeur Dubreuil.
Pour le plus grand malheur de Madame Hélène Dubreuil, Abdoulaye Amar avait une autre activité à Dakar. Une activité plus secrète, plus clandestine, connue que de quelques rares initiés, des blacks pour la plupart, peu de blancs. Amar organisait des soirées privées d'un genre très particuliers ou des femmes blanches, des expatriées, des épouses belles et distinguées de diplomates ou de chefs d'entreprise étaient livrées à des Sénégalais qui en faisaient littéralement leurs esclaves sexuelles pour toute la soirée.
Amar repensa à sa dernière soirée qui remontait à un mois ou la très distinguée Lady Kate Harrington, l'épouse du Consul de Grande-Bretagne, avait été baisée comme une chienne par une dizaine de blacks la faisant gueuler sous les coups de pines de ses tourmenteurs. Il revoyait Lady Harrignton, à quatre pattes, en sueur, haletante, prise en levrette par un Sénégalais monté comme un âne qui la pilonnait comme un fou en la tenant par les hanches, ses gros seins ballottant dans tous les sens. Pour s'octroyer les faveurs de ces dames de la haute société qui n'aurait jamais daigné jeter un regard sur un black en tant normal, Monsieur Amar utilisait une drogue fabriquée par un marabout de sa connaissance, Kamaba, qui avait la particularité de désinhiber totalement les pulsions de la personne qui en prenait. Transformant la bourgeoise la plus coincée en salope la plus docile...
Abdoulaye Amar relâcha la main d'Hélène Dubreuil plongeant son regard dans les yeux bleus pervenches de l'épouse de l'Ambassadeur. Il avait une autorité naturelle qui se dégageait de lui qui troubla et fascina Madame Dubreuil. Elle se sentit rougir sous le regard inquisiteur de Monsieur Amar.
- Je vois que votre coupe est vide, chère madame, permettez moi d'aller vous en chercher une autre.
Il n'attendit même pas la réponse et il se dirigea vers le buffet ou il prit une coupe de champagne. Il s'éloigna discrètement et versa le produit dans la coupe. Il revint vers Madame Dubreuil qui le remercia et but une petite gorgée sous le regard triomphant d'Abdoulaye Amar. Il n'y avait plus qu'à attendre...
Hélène sentit les battement de son cœur s'accélérer. Elle avait chaud d'un coup, les mains moites. Et surtout, elle sentit une douce chaleur envahir son bas-ventre. Elle n'arrivait plus à quitter des yeux Monsieur Amar. Celui-ci lui proposa de sortir dans le jardin de l'Ambassade et elle acceptât immédiatement. L'air frais lui fit un peu de bien et ils marchèrent tous les deux discutant de l'Afrique. Abdoulaye l'emmenait sournoisement dans le fond du jardin loin de la réception. Les talons aiguilles de Madame Dubreuil s'enfonçait dans la terre du jardin. Ils arrivèrent près d'un petit muret où Monsieur Amar poussa Hélène. Sans plus de formalités, il posa ses mains sur les seins d'Hélène qui poussa un petit cri.
- Mais qu'est ce que vous faites, voyons !!
Abdoulaye malaxait sans douceur les seins de l'épouse de l'Ambassadeur qui tenta de se dégager mais sans résultat. Il baissa le devant de la robe dévoilant un soutien-gorge en dentelle blanc bien rempli. Il baissa les balconnets se penchant pour sucer la pointe des tétons. Hélène tenta de le repousser en gémissant. Une main se faufila par la fente de la robe et atteignit le string. Monsieur Amar eut un rugissement de joie.
- T'es trempée petite salope !
Et c'était vrai, Madame Dubreuil, à sa grande surprise et surtout sa grande honte dégoulinait littéralement mouillant son string. Décoiffée, haletante, elle secoua la tête de droite à gauche en poussant un nouveau gémissement. Abdoulaye avait réussi à introduire son index et son majeur dans la fente dégoulinante d'Hélène et il agitait ses doigts violemment la faisant suffoquer.
La soumission pouvait commencer. Premier test. Abdoulaye se releva et montra ses doigts à Hélène.
- T'as sali mes doigts, petite chienne ! Nettoie !
- Non, Non, pas ça s'il vous plaît ! gémit-elle.
- Obéis sale pute !!
Hélène pencha la tête et se mit à lécher les doigts de Amar. Timidement, sa langue nettoyait sa propre cyprine. Abdoulaye enfournait ses doigts très loin dans la bouche d'Hélène, la faisant hoqueter.
- C'est bien Hélène, tu apprends vite, je vais faire de toi une bonne petite salope au service des noirs.
Hélène tressaillit en entendant cela mais elle ne dit rien continuant à sucer les doigts de Amar.
Celui ci releva la longue robe d'Hélène dévoilant un porte-jarretelles blanc où était accrochées des bas clairs. Il lui ordonna de tenir sa robe et il s'agenouilla devant elle. Ecartant le string, il titilla son clitoris en donnant de petits coups de langue, faisant coulisser ses doigts à l'intérieur de son vagin . A ce rythme là, la distinguée Hélène Dubreuil , épouse du nouvel Ambassadeur de France à Dakar, ne tarda pas un pousser des petits cris.
- Ooooh Oui, Oh Mon Dieu ! C'est bon, oui...
Il s'arrêta la laissant au bord de l'orgasme. Il se releva et lui ordonna de se mettre à genoux devant lui. Elle obéit aussitôt. Il se libéra faisant apparaître un sexe aux dimensions impressionnantes qui fit peur à Hélène. Il lui sembla qu'il était encore plus gros et plus long que celui de son jardinier.
- Suce moi chienne blanche !
Hélène s'empara de la bite de Monsieur Amar la faisant coulisser de ses doigts manucurés. Il agrippa ses cheveux et la força à le prendre dans sa bouche. Ses lèvres rouge carmin s'arrondirent autour du membre. Elle donnait des coups de langue sur le gland, lui léchait la hampe, lui caressant les couilles en même temps. Abdoulhaye savourait sa fellation.
- Sous tes airs de bourgeoise, t'es une bonne suceuse...
Hélène suçait la bite de Monsieur Amar consciencieusement, appliquée, le pompant avec avidité.
Abdoulaye décida qu'il était temps de passer aux choses sérieuses. Il releva Hélène, la retourna, la pencha en avant. Hélène prit appui sur le muret, bien campée sur ses talons aiguilles. Il releva la robe la tire-bouchonnant autour de la taille d'Hélène lui mettant le cul à l'air. Il baissa le string sur ses jambes et d'un seul coup l'embrocha. Il agrippa ses hanches un peu grasses et se mit à la baiser en lui donnant de violents coups de reins. Son ventre venait claquer contre ses fesses. Ses seins ballottaient dans tous les sens.
- Oooouuuiiii, oui, encore ! Abdoulaye, vas y !
Violente claque sur les fesses.
- C'est Maitre Amar pour toi, petite salope, que je ne le répète pas !
- Ooooui Maitre , oui !
Maitre Amar la pilonnait comme un fou la faisant couiner de bonheur à quelque mètres de son mari. N'y tenant plus, il se retira et obligea Hélène à se mettre à genoux devant lui.
- Ouvre la bouche , tire la langue, salope !
Elle obéit, de la soumission plein le regard. Abdoulaye éjacula libérant des jets de sperme qui allèrent s'écraser sur le visage ravagée d'Hélène. Elle en eut sur le front, le menton, les cheveux...
Abdoulaye Amar la releva et lui tendit un mouchoir en papier pour qu'elle puisse se nettoyer le visage et essayer d'avoir l'air plus présentable pour retourner voir son mari et ses invités. Elle crut défaillir quand elle le vit se retourner vers un arbre et crier :
- C'est bon Kamaba ? T'as pu faire un bon film ?
Un grand noir surgit de la pénombre, un téléphone portable à la main. Hélène failli s'évanouir. Amar lui avait tendu un piège, elle réalisait maintenant l'horreur de la situation dans laquelle elle se trouvait. Ca se confirma quand comme dans un brouillard, elle entendit Maiître Amar.
- Ecoute moi petite salope, dorénavant, t'es ma chienne, mon esclave blanche. J'organise régulièrement des petites soirées où tu seras invitée, sans ton mari, cela va sans dire. Tu seras pas toute seule, ne t'inquiètes pas. Vous êtes déjà pas mal à y participer. Si tu refuses, la vidéo sera envoyée à ton cocu de mari. Vu comment tu gueulais, il va apprécier.
- Espèce de salaud ! Rugit Hélène.
Une violente gifle la fit taire.
- Ne me manques jamais de respect salope, n'oublie pas que pour toi dorénavant, je suis Maître Amar ! Tu obéiras à Kamaba également ainsi qu'à tout ceux que je te désignerais. Sinon, je te tannerai le cul.
Vaincu, Hélène murmura :
- Oui Maître Amar.
Abdoulaye sourit.
- C'est mieux. A propos, j'ai oublié de te dire, ton jardinier et ta bonne sont mes complices. Ils peuvent se servir de toi comme ils l'entendent...
Et Maitre Amar et Kamaba partirent, laissant Hélène Dubreuil effondrée...
A suivre...
Vivement la suite !!
RépondreSupprimerAssas78