Texte d'un anonyme.
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Roger et Brigitte étaient mariés depuis 5 ans. Deux enfants étaient nés de ce mariage. Apparemment le couple vivait heureux et seuls quelques nuages sur le plan sexuel assombrissaient parfois cette entente.
Roger, représentant de commerce, voyageait régulièrement, et s’absentait généralement toute la semaine, ne rentrant que le week-end au domicile. C’était un homme costaud, 1m90, 85 kgs plutôt sportif. Travailleur, il était apprécié de son patron et gagnait suffisamment bien sa vie pour que Brigitte puisse demeurer au foyer à s’occuper de ses enfants.
Brigitte était une très belle blonde bien proportionnée, à l’allure sportive, le genre de filles qui ne laissent pas indifférentes lorsqu’on les croisent dans la rue.
Ils habitaient un petit pavillon à la sortie de la ville, un peu isolé mais très au calme et au milieu de la nature. Depuis un an le couple s’entendait de moins en moins bien sur le plan sexuel. Brigitte estimait à juste titre que le week-end devait être consacré aux relations intimes compte tenu de l’absence de son mari le reste de la semaine.
Cependant, elle était très réfractaire à tout ce qui sortait de l’ordinaire en matière sexuelle et se contentait pratiquer l’accouplement classique sans aucune fioriture. Elle s’était toujours refusée à pratiquer la fellation et la sodomie, et ce malgré le plaisir qu’elle prenait à faire l’amour.
Souvent elle s’habillait de manière sexy, bas, string, jupe courte, mais souvent évitait que cela ne se remarque par le port d’un manteau ou imperméable long.
Roger bien qu’amoureux de sa femme aurait aimé plus « d’épices » dans leur relation sexuelle et ce d’autant plus qu’il rentrait le vendredi soir fatigué par une dure semaine de travail. Mais Brigitte refusait systématiquement toute dérogation, prétextant qu’elle n’était pas une putain et que s’il n’était pas content il n’avait qu’à aller voir les filles pour les fioritures.
Le soir de la fête d’Halloween, un groupe de gamins déguisés frappent à la porte pour obtenir des bonbons et bateaux comme il est de coutume maintenant. C’était un groupe de petits immigrés qui vivaient dans les HLM à la périphérie de la commune, plutôt mal élevés. Brigitte avait pu le constater à la sortie de l’école lorsqu’elle allait chercher ses enfants. Elle ne supportait pas ce comportement agressif de ces enfants, et s’en était plainte auprès du directeur en compagnie d’autres mamans.
De voir ces gamins oser venir lui demander des offrandes lui parut complètement déplacé et elle les rembarra vertement. Loin de se démonter ils insistèrent lourdement, la traitant de tous les noms, prétextant qu’elle était raciste, etc.
Ne sachant plus que faire, Brigitte appela son mari à la rescousse, ce dernier promettant une bonne raclée aux gamins s’ils n’avaient pas disparu dans les secondes qui suivent. Ces derniers comprirent qu’il valait mieux ne pas insister et s’enfuirent rapidement. Brigitte et Roger considérèrent l’incident clos.
Quelques jours plus tard Brigitte eut l’impression d’être suivie par une ou plusieurs personnes lors de ses différents déplacements. D’autre part elle avait remarqué qu’un groupe de jeunes passaient régulièrement plusieurs fois le soir devant la maison en s’attardant à chaque passage. Elle en fit part au téléphone à son mari qui lui conseilla d’avertir la police, ce qu’elle fit le lendemain matin. Le soir même, le groupe de jeunes s’installa devant la maison faisant semblant de réparer leur voiture.
Brigitte put les observer attentivement au travers les volets. Ils étaient au nombre de quatre, deux noirs, un maghrébin, et un blanc.
Aussitôt elle appela le commissariat pour les informer et leur demander d’intervenir. Quelques minutes plus tard un véhicule de police arriva, un contrôle des papiers fut effectué et un des policiers demanda aux jeunes de ne pas rester là et de déguerpir rapidement. Un autre policier commis l’erreur de sonner chez Brigitte pour la rassurer, ce qui n’échappa pas au groupe de jeunes.
Le vendredi soir, alors qu’elle attendait son mari, Brigitte entendit du bruit en provenance du garage. Pensant que Roger était de retour, elle sortit pour l’accueillir. A peine dehors, elle fut agressée par deux hommes, qui, sous la menace d’un couteau, l’obligèrent à renter dans la maison où ils s’engouffrèrent derrière elle en compagnie de deux autres personnes.
Brigitte était terrorisée et n’arrivait plus à parler. Aussitôt elle pensa à ses enfants la-haut dans leur chambre.
L’un des individus s’approcha d’elle et aussitôt elle reconnu les quatre jeunes de la dernière fois. Ils avaient plutôt des mines patibulaires, cheveux rasés et un air méchant. Prenant sur elle-même elle demanda :
- Que voulez-vous ? partez où j’appelle la police !
Un des jeunes lui répondit qu’elle l’avait déjà fait et qu’ils n’avaient pas du tout apprécié. Ils lui rappelèrent en plus l’incident de la fête d’Halloween et qu’ils n’aimaient pas beaucoup que l’on maltraite leurs petits frères. Brigitte se souvint soudain de cet épisode et regretta immédiatement son attitude. Un des jeunes lui dit :
- Si tu es gentille avec nous cela se passera très bien, et on oubliera ce qui s’est passé. Foutue comme tu es, tu dois être super bandante et on veut juste s’amuser un peu.
Brigitte ne savait plus que faire, elle essaya de les raisonner et de leur faire comprendre qu’ils n’obtiendraient rien d’elle et qu’ils feraient mieux de partir. Un des jeunes lui rétorqua qu’elle n’avait sûrement pas bien compris et qu’il serait dommage qu’il arrive quelque chose à ses enfants.
A ces mots Brigitte compris qu’elle était en mauvaise posture et qu’il lui fallait gagner du temps en attendant le retour de son mari.
- Que voulez-vous de moi ? Demanda t-elle.
- Fais-nous un strip-tease, mais avant, sers-nous des boissons !
Brigitte se dirigea vers le bar et leur proposa de se servir eux-mêmes. Bouteille à la main, ils s’assirent dans le canapé et demandèrent que le spectacle commence. C’était la première fois que Brigitte se déshabillait devant des inconnus. En plus ce soir elle était habillée sexy pour le retour de Roger, ce qui n’avait pas échappé aux quatre jeunes.
Elle commença par retirer son chemisier, laissant apparaître une poitrine généreuse et ferme. Devant sa réticence à continuer ils lui rappelèrent que ses enfants n’étaient pas bien, loin.
Rapidement la jupe tomba sur le sol dévoilant des fesses superbes qu’un string noir avait bien du mal à cacher. Elle était là, à moitié nue devant ces jeunes qui semblaient apprécier le spectacle compte tenu des boursouflures apparentes de leur pantalon.
Les bas noirs retirés, elle apparut superbe, blonde à peau blanche, ce qui eut pour effet d’exciter particulièrement les deux blacks. L’alcool aidant, des mains commencèrent à la toucher et à la caresser pendant qu’elle continuait à se dévêtir.
Brigitte n’en pouvait plus et s’effondra en larmes, ce qui fit particulièrement rire les quatre jeunes qui s’enhardissaient de plus en plus. Elle était à leur merci et savait qu’elle ne pourrait pas leur échapper.
Ils lui demandèrent se promener dans le salon à quatre pattes en tortillant du cul. Brigitte rouge de honte s’exécuta, elle avait l’impression d’être une chienne en chaleur offrant sa croupe aux mâles très excités. Ses soucis étaient que ses enfants n’entendent rien et que son mari rentre rapidement pour la sortir de ce mauvais pas.
Un des noirs assis sur le canapé avait ouvert sa braguette laissant apparaître un sexe énorme gorgé de sang. Il lui intima l’ordre de venir le sucer. Brigitte s’approcha, toujours à genoux et pris le sexe dans sa bouche et commença à le sucer de bas en haut rapidement et avec dégoût.
- Hé elle suce bien la salope ! S’exclama t-il.
Aussitôt les autres suivirent son exemple et Brigitte se retrouva en train de sucer 4 sexes tour à tour, prenant bien soin de les satisfaire de peur des représailles. Bientôt elle se retrouva avec deux sexes dans la bouche et un dans chaque main, pratiquant fellation et masturbation à la fois.
Les sexes lui écartelaient la bouche, mais deux mains l’obligeait à les enfourner profondément provocant des hauts de cœurs à chaque fois qu’ils touchaient le fond de sa gorge. Ils éclatèrent presque simultanément avec des flots puissants de sperme l’obligeant à avaler jusqu’à la dernière goutte.
Ils furent rapidement remplacés par deux autres sexes tout aussi gros et malodorant qu’elle se mit à sucer à leur tour.
Pendant ce temps un des noirs s’était posté derrière elle et lui caressait la vulve avec vigueur. Se rendant compte que Brigitte commençait à mouiller ; il lui enfonça un doigt puis un deuxième les faisant coulisser de plus en plus profondément.
Petit à petit, le sexe de Brigitte s’ouvrait permettant le passage d’un troisième doigt. Brigitte continuait à sucer les deux sexes dans sa bouche, les larmes aux yeux de se faire violer tout en étant obligée d’être consentante.
Les quolibets commençaient à pleuvoir et devenaient de plus en plus vulgaires. Brigitte se faisait traiter de tous les noms et la situation devenait insoutenable. En plus Roger qui n’arrivait toujours pas.
Maintenant ils étaient deux derrière elle, un s’occupant de son vagin et l’autre de son cul. Elle s’était toujours refusée à se faire pénétrer par-derrière, même avec un doigt. Là elle n’avait pas le choix et rapidement deux doigts s’étaient insinués dans son anus, le dilatant progressivement. La douleur était forte et Brigitte se mit à pleurer de plus belle.
Cela avait pour effet d’exciter en plus les quatre jeunes qui ne se retenant plus profitait de Brigitte de plus en plus sans retenu. Soudain l’un s’écria :
- Elle est vierge du cul cette salope, je crois qu’on va pouvoir la baptiser de ce côté.
Petit à petit, Brigitte sombrait. Son cul était maintenant pénétré par 3 doigts alors qu’une main entière venait de forcer l’entrée de son vagin, et elle continuait à sucer deux sexes. Elle se faisait violer progressivement par tous les orifices et se demandait quand cela cesserait-il. Pour le moment un quatrième doigt lui perforait l’anus dilatant de plus en plus ce dernier.
Des larmes coulaient sur ses joues et elle supplia qu’ils cessent la douleur étant trop grande. Ils lui répondirent que lorsqu’ils lui auraient bien pénétré ses deux orifices avec les doigts là ils passeraient à autre chose. Quelques instants plus tard c’était chose faite, Brigitte se retrouvait avec une main dans la chatte et quatre doigts dans le cul.
Les va et vient dans ses orifices lui provoquèrent soudain des spasmes de jouissance qu’elle ne put réfréner, ce qui amusa particulièrement les jeunes.
Après ce fut l’orgie totale. Elle fut pénétrée par tous les orifices, en même temps. Ils étaient insatiables, utilisant différents objets pour la pénétrer de plus en plus fort. Elle était épuisée, tous ses orifices étaient douloureux, dégoulinante de sperme.
Un des jeunes appela de son portable des copains leurs disant qu’ils étaient sur un super coup, et que moyennant finance ils pouvaient tous en profiter. Et il leur demanda de ne pas faire de bruit pour ne pas alerter les voisins et les flics.
Attachée sur le ventre sur la table basse du salon, Brigitte avait perdu toute notion du temps.
Après elle se souvint du défilé d’individus de toute origine, le son de l’argent qui s’échangeait, 50 francs pour la baiser, et de s’être fait pistonner, le cul surtout, par une trentaine d’individus.
Son anus restait ouvert tellement des sexes de différentes tailles l’avaient bourré, il débordait de foutre qui coulait sur ses cuisses et cela n’avait de cesse.
Le dernier qui l’encula, était plus âgé, avec un sexe si énorme et disproportionné, que malgré toutes les sodomies subies elle ressentie une douleur lorsqu’il la défonça. L’homme dit que c’était la première fois qu’il pouvait enculer une superbe blonde si fort et la défoncer sans qu’elle hurle.
Après avoir joui il resta dans son cul et après quelques instants urina à l’intérieur de ses fesses en s’exclamant:
- Je lui pisse à la raie.
Après leur départ, Brigitte mit plusieurs minutes pour se relever. Elle était couverte de sperme et se dirigea vers la salle de bains pour un nettoyage en règle. C’est à ce moment que la porte de sa chambre s’ouvrit et qu’elle aperçut Roger qui la regardait avec un drôle d’air et un sourire qui en disaient long.
FIN
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