Texte écrit par Elodie 3
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Je m’appelle Élodie. Je suis une jeune femme mariée de trente-six ans, et mon mari en a quarante-cinq. Nous n’avons pas d’enfant et nous habitons une grande ville de Lorraine. Il y a de cela quelques jours, mon mari m’a surprise en train de « chatter », vers une heure du matin, sur un site érotique, totalement nue devant mon ordinateur.
À la suite de ce fâcheux incident, il a proposé de me punir. Le connaissant bien mais ne sachant pas ce que pouvait être cette punition, et vu que dans cette situation il m’était difficile de refuser, j’ai accepté. C’est ainsi qu’un soir nous sommes allés chez Bernard, un de ses amis, où j’ai subi ma punition, qui ne fut pas désagréable, bien au contraire. Comme je suis une lectrice régulière des histoires publiées sur votre site, j’ai eu envie de raconter ma seconde rencontre avec Bernard, totalement imprévue celle-là.
Fin juin, avec mon mari nous étions invités à la traditionnelle soirée de réception organisée par l’agence qui l’emploie. Cette fois, une ancienne maison bourgeoise avait été louée pour l’occasion. Elle était située en pleine campagne, et avait été récemment rénovée pour accueillir des réceptions. Comme chaque année, il y avait environ deux cents personnes, dont des clients importants.
Compte tenu de ce qui s’était passé quelques jours plus tôt, lors de ma punition, je m’imaginais que mon mari aurait eu des exigences quant à ma tenue, mais non, rien de cela. J’en fus presque déçue.
J’avais acheté pour l’occasion une robe rouge, épaules nues sans bretelles, la partie supérieure en forme de guêpière. Elle était fermée par un zip dans le dos et une rangée de petits boutons très rapprochés devant, plus pour la décoration. Elle dégageait bien le haut de ma poitrine sans toutefois être impudique. Je la trouvais très jolie. Dessous j’avais mis un soutien-gorge à balconnets. Le bas de la robe était très ample, il descendait un peu plus bas qu’à mi-cuisses. J’avais mis la petite culotte assortie au soutien-gorge, des bas auto-fixant et des chaussures rouges à talons. En m’habillant, je me suis dit que ma tenue devrait plaire à mon mari, et j’ai même pensé que cela permettrait de finir la soirée fort agréablement.
Lorsque nous sommes arrivés, il y avait déjà beaucoup de monde et on s’est retrouvés devant le buffet avec un petit groupe de collègues de travail de mon mari et leurs épouses. Une grande salle avait été aménagée pour danser, un orchestre animait la soirée.
La conversation n’était pas très passionnante à mon goût, il était question d’un contrat. J’écoutais distraitement mon mari en grande discussion avec l’un de ses supérieurs et un client accompagné de son épouse. Je m’ennuyais.
Sans que je m’aperçoive de son arrivée, son ami Bernard vint me saluer, très courtoisement. Même un peu trop car me fit un baisemain, que je trouvai un peu gênant devant les autres femmes. Puis il se mit à discuter avec mon mari et son client. Mon mari dit à Bernard qu’il était désolé de parler travail devant moi durant cette soirée et lui demanda de bien vouloir s’occuper de moi. Évidemment, Bernard s’empressa d’accepter.
— Occupe-toi bien d’elle, lui dit mon mari.
Il se tourna ensuite vers moi.
— Voilà ton chevalier servant d’un soir, sois docile, ma chérie, tu ne le regretteras pas ! me dit-il devant les autres femmes qui m’entouraient, ce qui me mit dans l’embarras.
Bernard vint se placer à mes côtés et me prit par la taille. Je vis mon mari disparaître avec ses compagnons, ce qui incita Bernard à surenchérir en direction des autres femmes :
— Ce soir, Élodie ne peut rien me refuser, je l’enlève.
Il m’entraîna aussitôt dans le grand salon. Après quelques danses, comme Bernard danse très bien, j’avais retrouvé ma bonne humeur et je commençais à apprécier sa compagnie. Il me proposa de faire une pause et m’offrit une coupe de champagne, j’étais rassurée.
Mais assez rapidement il me rappela que je n’étais pour lui qu’une femelle et une salope. J’en étais gênée car j’avais l’impression que les autres personnes situées près de nous percevaient ses paroles. J’évitais de regarder autour de moi. Il me dit ensuite que ma tenue ne lui convenait pas et il me demanda de le suivre pour la rectifier, en me rappelant la consigne de mon mari.
Il m’entraîna dans un couloir et me fit entrer dans une pièce. Après avoir allumé la lumière et fermé la porte, il vint se mettre derrière moi et défit le zip de ma robe, puis mon soutien-gorge qu’il fit voler sur le bureau qui occupait cette pièce.
— Ça, c’est de trop ! me dit-il.
Il referma le zip. Après avoir fouillé et trouvé dans le tiroir du bureau une paire de petits ciseaux, il se mit devant moi et fit sauter les premiers boutons du devant de ma robe, créant ainsi un décolleté qui laissait voir la naissance de mes seins. Ensuite, fier de lui, il fit un pas en arrière.
— C’est mieux ainsi, une femelle doit toujours être disponible. Chaque fois que tu seras en ma présence, tu dois t’arranger pour être disponible, sinon avec ton mari on te punira.
À vrai dire, cette situation m’excitait, et je comprenais la signification du mot disponible dans sa bouche.
— Voyons maintenant dans quel état est cette femelle, ajouta-t-il.
Il s’agenouilla devant moi et fit remonter sa main le long de ma jambe, doucement. Il me fixait dans les yeux et exerçait une pression pour m’inciter à écarter les jambes.
— Écarte, salope, répétait-il doucement en souriant.
J’étais terriblement excitée et trempée. Avec ses deux mains il fit descendre ma culotte et la lança vers le soutien-gorge sur le bureau.
— Voilà, femelle. Maintenant tu es disponible et présentable.
Sa main fouillait mon entrecuisse et je gémissais sous ses caresses.
— Oh la salope, elle en redemande…
Il continuait à me palper le sexe, ses doigts écartaient mes lèvres intimes, me pénétraient et revenaient exciter mon bouton. Pour lui faciliter la tâche j’avais ouvert mes cuisses au maximum et je m’étais légèrement baissée. J’étais prête à tout accepter, car la jouissance commençait à venir. Mais il ôta brusquement sa main, me laissant ainsi dans l’attente du plaisir.
— Cette femelle est disponible pour la saillie, dit-il.
Il se leva et me fit m’agenouiller, en appuyant sur ma tête. Il me demanda, de manière très crue, de sortir son sexe pour le sucer. Je l’ai pris en bouche et l’ai sucé avec avidité. J’ai passé le bout de ma langue sur son prépuce décalotté, je l’ai pompé et quand il fut sur le point de jouir, j’ai senti son sexe palpiter. Mais au lieu de pénétrer plus fort ou de sortir, comme le fait mon mari, il se mit au bord de mes lèvres pour gicler abondamment. J’en avais plein la bouche !
N’appréciant pas trop le goût du sperme, et le sien n’étant pas particulièrement goûteux, je n’ai pas pu réprimer mes sentiments et j’ai fait la moue. Mais je dus, sur son ordre, avaler sa semence particulièrement âpre puis nettoyer son sexe avec ma langue, ce qui prit un peu de temps car après la jouissance il était très sensible et moi j’avais un peu de mal à avaler cela !
Il m’interdit de me rincer la bouche, et je dus garder ce goût désagréable.
En retournant vers la salle de danse, je m’aperçus que ma robe glissait. Discrètement, je tentai de la remonter. Il s’en aperçut et me réprimanda. J’essayai vainement de gonfler la poitrine pour limiter la descente, mais à mon arrivée dans la salle j’avais l’impression d’avoir les tétons dégagés. Je n’osai pas m’en assurer par moi-même et je regardai les autres personnes pour déceler dans leur regard l’effet de ma tenue.
Il me fit à nouveau danser. Profitant de la pénombre lors de l’un des rares slows, il me caressa les fesses en insérant sa main sous ma robe. Je fermai les yeux car c’était agréable mais je n’osai croiser le regard des autres danseurs. Blottie contre lui, la robe probablement remontée par sa main jusqu’à mes fesses, je me laissai conduire. Je me sentais bien et je le laissai faire.
La petite série de slows achevée, la lumière revint. Il retira sa main et m’entraîna dans la salle du buffet. Je ne voyais toujours pas mon mari. Nous avons rejoint un couple, la cinquantaine, visiblement connus de Bernard qui les appela par leurs prénoms : Odette et Marc-Antoine. On nous servit une coupe de champagne. Odette félicita Bernard pour le choix de sa cavalière.
— Ce n’est pas ma cavalière, c’est une femelle que son mari m’a confiée, lui répondit Bernard.
Très embarrassée par la tournure du dialogue, j’ai tenté de sourire et je me suis mise à regarder le sol.
— Tu as vu, elle ne cache pas ses tétons. Comme ils sont longs ! dit Odette à son mari.
Là je réalisai que le haut de ma robe avait glissé et que mes seins étaient en grande partie visibles.
— Ce sont des mamelles, que j’ai fait gonfler il y a quelques jours, lui répondit Bernard.
Cette réplique les fit rire, moi j’aurais voulu m’échapper.
— Salope, lève la tête et regarde Marc, je veux qu’il voit ton visage, me dit Bernard.
J’étais confuse, rouge de honte et contrainte de lever les yeux. Je vis alors leurs regards illuminés et je m’aperçus que nous étions rejoints par trois autres couples, un peu plus jeunes. Je me retrouvai au centre du groupe, exhibée en quelque sorte. Bernard expliqua à Marc-Antoine et à Odette qu’il me considérait comme une femelle soumise et disponible. Il me demanda ensuite de faire un tour sur moi-même, ce que je fis. Au fur et mesure qu’il parlait, cette situation d’exhibition forcée m’excitait terriblement, et telle une automate j’obéissais sans même réfléchir aux conséquences de mes actes. En fait, mon corps avait faim de jouir et instinctivement commandait mes réactions. Je ne n’étais plus un être humain normal, j’étais la femelle de Bernard, je sentais que j’étais terriblement humide et j’avais une énorme envie d’être prise. J’étais incapable de réagir autrement.
J’entendis comme dans un rêve Bernard expliquer que je n’étais qu’une femelle en chaleur, et que si l’une de ces dames voulait faire un petit cadeau à son mari chéri, cet heureux élu pourrait constater ma soumission. Cette proposition fit beaucoup rire les quatre femmes qui m’entouraient ; les avis étaient partagés et cela anima une petite discussion. Perdue dans un état second je ne distinguais plus leurs paroles, je ne percevais plus que la voix de Bernard, comme si j’avais été hypnotisée.
Enfin le bruit de fond des voix de femmes s’arrêta et j’entendis distinctement la fin de l’échange entre Odette et Bernard. Odette acceptait la proposition et demandait à son mari Marc-Antoine de constater la disponibilité de la femelle.
Marc-Antoine est un homme ayant franchi le cap de la cinquantaine, cultivant un style gentleman anglais. Il s’approcha de moi pendant que les autres fermaient le cercle.
— Tu crois qu’elle est très humide ? demanda Odette à Bernard.
Marc-Antoine fléchit pour glisser sa main entre mes jambes. Instinctivement je repris la position que j’avais devant Bernard dans le petit bureau, et j’entendis Bernard me féliciter. La main remontait le long de ma jambe en entraînant ma robe, dévoilant ainsi aux autres le haut de mes bas et mes cuisses. Elle arriva au contact de mon sexe. Comme l’avait fait un peu plus tôt Bernard, Marc-Antoine me fouilla un peu en écartant mes lèvres intimes.
— Elle ruisselle, la salope, dit-il.
Il continuait d’explorer mon intimité, encouragé par sa femme qui lui demandait de commenter son exploration, ce qu’il faisait avec élégance, sans mots crus. Odette lui demanda ensuite de s’interrompre pour laisser la place à un autre. Je sentis avec regret sa main quitter mon intimité car je n’avais toujours pas joui. Les voix autour de moi étaient feutrées, le cercle bien fermé, les autres invités semblaient ne pas voir. Bernard demanda aux trois autres femmes si elles souhaitaient faire le même cadeau à leur chéri.
Derrière moi j’entendis un oui discret, je me retournai et je vis une jeune femme ayant la quarantaine, dans les bras de son mari. Elle se dégagea puis lui prit le bras et l’incita à découvrir mon intimité. L’homme ne se fit pas prier et je me laissai à nouveau caresser par cette main inconnue, en fixant cette femme dans les yeux.
La caresse était agréable. Après s’être glissé entre mes lèvres intimes, le doigt sollicitait mon clitoris. Je me mordis les lèvres de bonheur, ce qui fit sourire cette femme. Je sentis ensuite un doigt pénétrer mon vagin et je gémis doucement.
— Arrête avant que cette salope jouisse, demanda la fille à son mari.
Ce qu’il fit très bien dès qu’il s’aperçut que le plaisir commençait à monter en moi. Il retira sa main, me laissant dans un état pas possible alors que ma robe recouvrait à nouveau mes jambes. Il montra ses doigts trempés à l’assistance, sa femme lui prit la main pour les sucer avant de l’embrasser longuement sur la bouche, sous les applaudissements du petit groupe. Ce dernier, n’étant plus discret, se disloqua et je restai avec Bernard, le ventre en feu. C’est alors que je vis que mon mari avait rejoint le groupe, et qu’il avait probablement assisté à au moins une partie du spectacle !
Bernard lui dit que j’étais en chaleur. Accompagnée par les deux hommes, je quittai la fête. Arrivée à la voiture, mon mari voulu m’embrasser, il me plaqua contre celle-ci en me tenant fermement par les épaules et sa bouche s’empara de la mienne. Pendant qu’il m’embrassait, une main se glissa entre mes cuisses que j’ouvris instinctivement. Elle se mit à me caresser le sexe. Bernard profitait de la situation, et mon mari le laissait faire. Il me fit ensuite rentrer dans la voiture et Bernard nous quitta après m’avoir demandé de nettoyer ses doigts à l’aide de ma bouche.
J’ai dû attendre d’être rentrée à la maison pour obtenir le plaisir que mon corps attendait depuis un bon moment.
FIN
Dommage qu'il n'y ait pas de suite
RépondreSupprimerAssas78