dimanche 17 mars 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 04

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Le passé de ma belle-mère.

Alors que je revenais du parking où Christine m'avait sucé, j'essayais de comprendre pourquoi une femme mariée avec une position sociale respectée, une femme d'affaire avec un bon emploi dans une grande entreprise, pouvait être si facilement influencée et contrainte à commettre des actes réservés généralement aux prostituées.

Bien sûr, elle était mariée depuis ses 20 ans et maintenant qu'elle en avait 39, cela faisait trois ans que son mari Alain la négligeait sexuellement. Cela suffisait-il à en faire une salope?

Je ne savais pas mais pour mieux comprendre je décidai d'aller voir un de mes oncles.

Mon oncle Henri vivait dans le village voisin du notre et nous restions en contact. Je me demandais ce qu'il savait sur Christine. Surtout que lorsque je lui avait montré ma petite amie, il m'avait dit qu'il connaissait très bien sa maman pour avoir été à l'école avec elle.

Je me dirigeai vers sa porte puis je frappai. Alors qu'il me laisse entrer je lui dis :

- Bonjour oncle Henry, comment vas-tu?

- Ca va bien! comme tous les jours! Que demander de plus?

Il alla au réfrigérateur, l'ouvrit et sortit deux bières. Nous nous assîmes dans le salon et il m'en tendit une.

Je ne savais pas trop comment amener les questions que je voulais poser.

- J'ai une question un peu étrange, Henri. Et je ne sais pas si tu pourras répondre.

J'ouvris ma bière.

- Pose là! me répondit-il en ouvrant aussi sa canette

- Tu sais que je vis chez Christine depuis un petit bout de temps maintenant.

- Oui je sais.

- Elle est très bizarre ces derniers temps. Elle rentre tard en se faisant discrète. Je me demandais si c'était le genre de femme à tromper Alain? Tu sais qu'elle est mariée depuis 19 ans alors je crois que toute la famille serait effondrée si elle avait une liaison.

J'attendis la réponse de mon oncle. Je le vis sourire et cela m'étonna. Il dit :

- Pour être honnête, je suis surpris qu'elle soit encore mariée au bout de 19 ans.

Il rigola en buvant sa bière.

Intrigué, je décidai d'essayer d'en savoir plus :

- Tu as été à l'école avec elle. Que disait-on d'elle?

Mon oncle rit encore, avala une gorgée de bière avant de me dire :

- Il se disait qu'entre ses 17 et 18 ans, elle avait déjà baisé quelques garçons plus âgés de la ville voisine.

Il finit sa bière et me demanda si j'en voulais une autre. Toutefois avant que je réponde il alla à la cuisine puis revint avec deux autres canettes.

Je dis :

- La dernière pour moi, je conduis!

Je finis la première et ouvris la deuxième. Après quelques secondes, je lui posai une autre question en souriant:

- L'as-tu baisé Oncle Henry?

- Non, je n'ai jamais pu. Même si un jour je pouvais presque mais malheureusement sa mère est arrivé à ce moment. Mais je peux te dire qu'elle sait sucer une bite.

Il rigola avant d'ajouter :

- J'ai failli oublier le jour où elle se fit baiser par deux garçons dans l'allée derrière le bowling. C'était juste 6 mois avant qu'elle se marie avec Alain, si je me souviens bien.

Il arrêta de parler et en quatre gorgées il vida sa canette.

Alors que je finissais moi aussi, je demandai :

- Donc tu crois qu'elle peut tromper son mari?

Mon oncle ne réfléchit pas :

- Je serais surpris si elle ne le faisait pas.

- Ok mon oncle, je te remercie. Tes bières étaient excellentes.

Je le quittai pour sortir et monter dans ma voiture.

Une fois dedans, je réfléchis et compris les raisons pour lesquelles Christine s'était conduite de cette façon alors qu'elle était mariée.

Christine était une salope, une salope mariée dont l'appétit sexuel n'avait pas été comblé par son mari. Alors que ces trois dernières années, Alain l'avait complétement délaissé tout en la rabaissant, ses besoins et désirs sexuels refaisaient surface.

Et lorsque qu'elle vit mon membre plein de vigueur, ses besoins sont devenus trop forts et elle n'a pu rés****r aux pulsions sexuelles qu'elle avait avant son mariage.

Maintenant, la seule idée que j'avais dans la tête c'était de libérer la pute qui était à l'intérieur de ma belle-mère. J'allais essayer ce soir après son travail.

Le rendez-vous.

Christine terminait à 17h30. Le parking à camion étant à 6 kilomètres, je savais qu'il lui faudrait presque une demi-heure pour y arriver dans le trafic.

Je partis à 17h45 pour rejoindre ce lieu près de la station-service.

Le parking à camion était long de 300 mètres derrière le garage. Il était en retrait de 25 mètres de la route et complétement isolé par une grosse et épaisse haie d'arbustes.

Quand j'arrivai au parking, seul un camion était présent, à l'autre bout du parking. Il était vide. Je me garai le plus loin possible et j'attendis Christine.

A 18h00, je vis une voiture arriver avec ses phares alors que la lumière du jour commençait à disparaitre lentement.

C'était ma belle-mère. Elle s'arrêta, son capot en face du mien. Elle éteignit les phares puis descendit, fermant sa voiture à clé. Dans le même temps je descendis moi aussi et nous nous retrouvâmes entre nos voitures.

Avec mes nouvelles informations, je savais que ma belle-mère était ou deviendrait une putain pour moi.

- Bonsoir! me dit-elle en regardant tout autour dans le parking.

- Bonsoir!

Ne voulant paraître impoli, je lui répondis. Puis je la tirai vers moi, passai mes bras autour d'elle, et plantant mes lèvres sur les siennes, je lui donnai un long baiser passionné.

Dans le même temps, mes mains descendirent sur ses fesses puis le long de ses cuisses jusqu'à ce que je trouve le bas de sa jupe. Je remontai celle-ci autour de sa taille. Elle ne protesta pas alors que je la repoussai afin de l'admirer ainsi troussée, en bas et petite culotte noirs.

- Tourne toi et met les mains sur ton capot!

Avant de m'obéir, elle jeta des coups d'œil tout autour sur le parking.

- Ecarte tes jambes maintenant Christine.

Je regardais ses cuisses alors qu'elle faisait glisser ses talons dans le gravier écartant ses pieds comme je lui avais demandé. Elle avait un cul magnifique avec une peau lisse et légèrement bronzée. A travers sa culotte je pouvais deviner les plis de sa chatte.

Ce spectacle fit que ma bite était complétement dressée dans mon pantalon.

Je mis ma main droite entre ses jambes et frottai ma paume contre son sexe à travers le tissu de la culotte. Mes doigts se pressèrent contre sa fente alors que mon pouce frottait ses petites lèvres.

Christine laissa échapper un petit gémissement sans équivoque :

- Ummmmmmmm.....

- Quel genre de femme laisse le petit ami de sa fille tripoter sa chatte dans un parking?

Ce n'était pas vraiment une question que je lui posais. Sans répondre, elle se tortilla sans reculer.

- Il n'y a qu'une pute pour faire cela. Tu es une pute Christine n'est-ce pas?

Je poussai mon pouce et le tissu entre ses lèvres. Je sentis l'humidité à travers sa culotte.

- Oui! répondit-elle en haletant.

- Oui tu es une pute?

J'insistai alors que je mis mes mains sur sa culotte afin de la descendre jusqu'à ses genoux. L'air frais de la nuit souffla sur sa chatte nue et rasée pendant que la nuit continuait à tomber.

- Oui je suis une pute! dit-elle brusquement et avec impatience.

- Ne me parle pas comme ça putain!

Je claquai sa fesse droite avec f***e.

- Aïe! cria-t-elle

Puis plus doucement elle dit :

- Désolé.

- Je ne veux pas que ma pute me parle mal. Tu comprends Christine?

- Oui je comprends.

Maintenant que la nuit était tombée, je suis allé allumer mes phares afin d'éclairer ma belle-mère et ses trous exposés. Avec les renseignements de mon oncle, je savais que c'était un comportement habituel pour cette mère de famille.

Rejoignant Christine, je mis trois doigts dans son trou humide. Elle était tellement mouillée que je n'eus pas besoin de f***er. Elle gémit profondément et tomba en avant, sa poitrine s'écrasant sur le capot. Je la doigtai pendant quelques minutes, ses gémissements augmentant en volume et en longueur. Je savais qu'elle n'était pas loin de l'orgasme.

Je m'arrêtai et levai les yeux, Christine faisant la même chose. Nous avions entendu le bruit de pneus sur le gravier suivi par une paire de phares qui tournèrent au coin et éclairèrent le parking. Nous avons regardé le véhicule venir vers nous. Mais il s'arrêta à 20 ou 30 mètres et le conducteur éteignit ses lumières. Il s'agissait simplement d'un camion qui se garait pour la nuit. Je voyais la forme d'un homme dans la cabine mais il ne descendit pas.

- Allons-nous-en! murmura Christine, effrayée, en regardant par-dessus son épaule.

Je la regardai en me disant que c'était surement une bonne idée. Mais une voix dans ma tête me poussait à voir à quel point ma belle-mère était pute.

- Non Non! Nous n'avons pas fini encore!

J'enlevai mes trois doigts de son sexe et je lui barbouillai l'anus avec son jus.

Ensuite je poussai un, puis deux doigts dans son petit trou du cul.

- Aïe!

Elle cria. Mais se rendant compte que c'était trop fort, elle mit son poignet dans sa bouche afin d'atténuer ses cris.

De ma main libre, je défis ma braguette afin de sortir mon gros sexe dans la brise fraiche du soir. Pour la première fois, j'allais baiser ma belle-mère en extérieur.

- Tiens ta chatte ouverte Christine!

J'enlevai mes doigts de son anus et me positionnant derrière elle je lui dit « Parfait » alors que ses doigts fins atteignaient ses lèvres et les écartaient, laissant libre accès à son trou qui allait être mien pendant les semaines et les mois à venir.

Je poussai mes hanches en avant, ajustant la tête de mon sexe sur ses petites lèvres. Et je lui demandai :

- Tu es ma pute n'est-ce pas?

- Oui je le suis. Je veux que tu me baises.

Elle essaya de regarder autour d'elle mais je poussai en avant mon gros membre dans son sexe. Jetant sa tête en arrière, Christine cria :

- Aaaaaaaaaaaaahhhhhh

Et elle remit son poignet dans sa bouche afin d'étouffer ses cris.

- Continue à ouvrir ta chatte! ordonnai-je

Je la pilonnai avec des grands coups de bassin.

- Garde ta chatte bien ouverte pendant que je te baise.

Alors que mes propos étaient de plus en plus dégradants envers ma belle-mère et qu'elle n'y répondait pas, je pensai qu'elle était d'accord avec son statut de pute. Je sentais que j'avais sur elle un ascendant qui allait me permettre de l'humilier encore et encore.

Après deux minutes de bourrage intensif de sa chatte, j'ai senti son sexe se contracter autour de ma bite. Ses jambes cédèrent un peu alors qu'elle eut un orgasme.

Maintenant elle était couchée la tête appuyée sur le capot de la voiture, ses seins écrasés. Mais ses mains tenaient toujours sa chatte bien ouverte.

C'est au moment où son orgasme se termina, que, de nouveau, deux phares illuminèrent le parking. J'attendis que le véhicule s'arrête pour me retourner et regarder. Je vis un petit camion garé à ma droite, à 15 mètres à peine.

Ebloui par les phares, je ne voyais pas le conducteur mais j'étais sûr qu'il savait ce que nous faisions. Ce n'était pas dur à deviner avec une femme couchée sur un capot et un homme derrière elle.

Un peu inquiète, Christine demanda :

- Qu'y a-t-il?

- Ne t'inquiète pas, il s'agit juste d'un camion qui part.

Je lui mentis car, de me savoir peut-être regardé, m'excitait et de toute façon je ne voulais pas arrêter maintenant.

Christine suggéra :

- Nous devrions peut-être partir afin que l'on ne nous voit pas.

Je devais rapidement la remettre à sa place.

- Nous partirons lorsque j'aurais fini et lorsque je le déciderai, pute idiote!

Je mis une grande claque sur sa fesse droite. Elle poussa un petit cri. Au même moment, j'entendis une portière s'ouvrir et claquer pas loin derrière moi. Le conducteur du dernier camion était surement dehors. J'attendis quelques secondes avant de regarder autour de nous.

« Zut » Je pensai en commençant à regretter mon idée idiote de rester ici.

Christine essaya de regarder, et un peu paniquée demanda :

- Que se passe-t-il?

Il fallait que je retrouve mon sang-froid. Surtout qu'un de mes fantasmes était d'exhiber ma partenaire.

- Il n'y a rien. Je pensais voir quelqu'un mais je me suis trompé. Concentre-toi seulement sur mon sexe comme la bonne pute que tu es.

Je lui dis cela calmement avant de me tourner vers le chauffeur du camion à 10 mètres de là qui nous regardait avec un grand sourire sur son visage.

Il mit son pouce vers le haut tout en attrapant sa bite à travers son pantalon avec son autre main. Il voulait juste un petit spectacle gratuit.

Je me suis détourné de lui et j'ai recommencé à pilonner ma belle-mère.

- Je vais te faire jouir salope!

Je me penchai en avant, mis mes mains dans le bas de mon dos afin de pousser mes hanches et ma bite avec f***e. A chaque fois que mon sexe tapait au fond du sien, elle gémissait. Elle était dans un état de total abandon, attendant qu'un nouvel orgasme la terrasse. Elle ignorait totalement que sa prestation était surveillée par un chauffeur de camion chanceux.

- Ohhhh......Vas-y! défonce-moi! Ahhhhhh....Je vais jouir......Ahhhhh..... Continue...... Baise-moi.......

Puis, alors que ses jambes se dérobèrent sous elle, elle cria :

- ARRRGGGGGHHHHHH! j'aime ta bite!

Elle s'affala par terre sous l'effet de cet orgasme tonitruant.

Elle n'était pas consciente que nous avions eu un public. Mais j'adorais ça. Et je n'avais pas fini.

- Suce-moi maintenant. Je n'ai pas encore fini.

Je me rapprochai d'elle si bien qu'elle dut lever la tête afin d'ouvrir la bouche et engloutir mon sexe.

Elle ne pouvait voir le chauffeur pendant qu'elle nettoyait mon membre comme une prostituée.

Je décidai de la relever pour qu'elle s'aperçoive du voyeur.

- MON DIEU! hurla-t-elle en essayant de reculer.

Mais avec sa culotte autour de ses genoux, elle trébucha, son dos tapant sa voiture. Elle était effrayée de cette figure masculine inconnue.

- Nous devons y aller! Depuis combien de temps est-il là? Demanda-t-elle en essayant d'atteindre sa culotte.

Je la repoussai afin qu'elle s'allonge sur le capot de sa voiture, ses pieds touchant à peine le sol.

- Il est là depuis assez longtemps pour te voir te comporter en pute. Et tant que je n'aurais pas éjaculé, nous n'irons nulle part.

Je soulevai ses jambes et la poussai afin que son cul soit au raz du capot. Je lui pris sa culotte et je continuai à lui l'enlever complétement et je lui lançai à côté d'elle. Je roulai sa jupe autour de sa taille, et j'écartai ses jambes, exposant sa chatte dégoulinante. Je défis chacun des boutons de son chemisier et je tirai son soutien-gorge, libérant ainsi sa grosse poitrine.

- Super! dit une voix sur le côté.

Le chauffeur du camion nous a surpris alors qu'il s'était approché.

Mais j'étais tellement dans mon fantasme que je ne pouvais arrêter.

Je mis trois doigts dans le sexe de Christine, les remuant afin de faire sortir un peu de son jus. Puis je l'étalai tout autour de son petit trou serré. Je recommençai, afin, cette fois ci, de pouvoir lubrifier l'entrée de son anus.

Puis je présentai mon gland.

- Non s'il vous plait! pas là! Pas en face d'un étranger! supplia Christine

- Tu ne dois pas oublier que je décide quand et où je te baise.

Je lui dis en termes clairs, ma mission étant de faire de ma belle-mère une pute.

- Lève tes jambes et tiens les que je puisse m'enfoncer dans ton cul.

Elle m'obéit. Elle leva ses jambes, accrochant un bras derrière chaque genou et tirant en arrière le plus possible.

Je poussai mon membre contre son petit trou, continuant jusqu'à ce qu'il s'ouvre. Puis lentement je m'enfonçai en elle.

- ARGGGGGGGHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Son gémissement s'arrêta seulement lorsque mes couilles tapèrent ses fesses. J'étais complètement à l'intérieur.

Ma belle-mère avait la tête renversée en arrière, les yeux fermés, essayant de s'habituer à l'inconfort de la pénétration.

Mais je ne pouvais pas attendre, alors je ressortis puis entra de nouveau avec f***e. Christine cria.

Le conducteur du camion, à côté de moi, ne disait rien mais souriait, sa main caressant un renflement visible dans son bleu de travail sale.

Aussi longtemps que je pourrais tenir, je continuai à pilonner le cul de ma belle-mère. Et juste avant ma récompense, elle eut un troisième orgasme encore plus intense que les deux premiers.

Trois ans d'abstinence avait fait de cette femme une chienne en devenir.

Une fois qu'elle eut fini, j'éjaculai au fond de son cul. Puis je sortis ma bite.

Le chauffeur de camion ne risquait pas d'oublier l'image de ce cul dégoulinant de mon sperme.

Je m'habillai puis je dis à Christine de faire de même.

Elle remit sa culotte, tira sa jupe et remit son chemisier, tout cela devant notre spectateur.

- Je te reverrai à la maison sale pute! lui dis-je.

Elle se tourna pour aller dans sa voiture et partir. Alors que je faisais la même chose, le chauffeur de camion m'arrêta et me demanda avec un sourire espiègle :

- Même heure la semaine prochaine?

- Peut-être! lui répondis-je.


Alors que je retournais à la maison, je pensais que j'avais maintenant ma propre pute avec qui je pourrais vivre tous mes fantasmes.

A suivre...

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