La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Une belle-mère soucieuse de plaire.Après cette matinée mouvementée avec ma belle-mère Christine, je me suis réveillé vers 11h30.
J'attrapai mon téléphone et le branchai à mon ordinateur portable afin d'y télécharger les images que j'avais pris ce matin. Il ne me fallut pas longtemps. Puis je protégeai le dossier avec un mot de passe.
Ensuite, m'étant préparé une tasse de café, j'ai regardé la vidéo. C'était fantastique de voir Christine se masturber alors qu'elle répondait à mes questions.
Ce film était une bombe. Mais je ne l'avais pas fait pour faire du chantage à ma belle-mère. Il s'agissait juste d'une petite assurance au cas où. Je savais que cette femme était consentante. Elle n'avait pas pu résister à l'envie d'entrer dans ma chambre à l'origine.
Au début je voulais savoir si elle allait me laisser la filmer. Puis lorsqu'elle montra des signes de soumission, il était difficile pour moi de stopper l'enregistrement de cette vidéo, surtout lorsque je pus la sodomiser.
Alors que j'arrivais à cet instant sur le film, mon sexe était en érection, dressé comme un i.
Je pris mon téléphone afin de poster un sms à Christine. Il était excitant de savoir à quel point cette femme était sous mon contrôle.
-« Je viens de regarder notre partie de jambes en l'air de ce matin. A quelle heure est ta pause déjeuner, je veux te voir? »
Il ne m'a pas fallu attendre longtemps après l'envoi du sms. En effet, après seulement trois minutes, ce qui était beaucoup moins long que ce que je prévoyais, elle me répondit :
-« Je n'arrive pas à comprendre ce que vous m'avez fait ce matin! j'ai honte! Ma pause est à 12h30 pour une heure. »
Il était juste midi passé donc je devais faire vite si je voulais de nouveau tester sa volonté. Je lui répondis par sms :
-« Je te retrouve à 12h30 dans le fond du parking se trouvant derrière les immeubles de bureaux où tu travailles »
Il m'était arrivé de l'emmener au travail parfois. C'était un lieu en périphérie de ville où se dressaient une dizaine d'immeuble de bureaux assez élevés. Tout autour il y avait des parcs avec tables de pique-nique où les employés pouvaient marcher, manger, se détendre pendant leurs pauses. Juste un petit peu plus à l'écart il y avait un parking très peu utilisé. C'était l'endroit idéal pour retrouver ma belle-mère.
-« A mon travail! Pourquoi à mon travail? »
Son texto semblait paniqué mais il fallait que je lui réponde que nous n'avions pas beaucoup de temps avec sa pause d'une heure.
-« Car c'est pratique pour se retrouver durant ta pause! »
J'entendis sur mon téléphone qu'elle me répondait mais j'étais trop occupé à enfiler mon jogging et un tee-shirt. J'étais pressé. Il me faudrait bien une demi-heure pour aller à son travail s'il y avait du monde sur la route. J'ai regardé son sms alors que je roulais vers ma destination.
-« OK »
Ce texte était clair. Je fonçai vers la zone des bureaux. Arrivé sur le parking, je me garai sous un grand arbre, hors de vue des plus proches immeubles. Quelques buissons me cachaient des tables de pique-nique pas très lointaines. Il n'y avait qu'une seule autre voiture en stationnement mais elle était inoccupée et près de l'entrée.
Je regardai l'horloge de ma voiture. Il était 12h25. Christine allait arriver dans quelques minutes.
Alors que des gens sortaient des immeubles et commençaient à se disperser dans les parcs. Je regardai de nouveau l'horloge : 12h30. Deux femmes et trois hommes arrivèrent près des tables de pique-nique et s'assirent. Je comptai six personnes de plus qui ne passèrent pas loin du parking mais sans y pénétrer.
La Ford Fiesta de Christine se gara à coté de ma voiture à 12h38. Regardant par la vitre, je fis signe à ma belle-mère de me rejoindre. Un peu inquiète, elle jeta plusieurs regards au dehors avant de sortir et fermer sa voiture, puis me rejoindre sur le siège du passager.
Je fus direct avec elle lorsque la portière fut fermée.
- Nous n'avons pas beaucoup de temps Christine donc tu vas sortir mon sexe et me faire une super fellation comme tu sais si bien les faire.
Et j'ajoutai :
- Oui, tu n'as pas beaucoup de temps donc dépêche-toi car je veux éjaculer dans ta bouche avant que tu ne partes!
Nerveuse à l'idée de me sucer ici, elle me demanda :
- Et si quelqu'un nous voit?
- Ne t'inquiète pas, je vais baisser mon siège et tu auras juste à être prudente et rapide.
J'attrapai la manette de mon siège afin de le baisser si bien que je fus presque complétement allongé.
- Dépêche-toi! Tu n'as pas toute la journée!
Elle descendit son siège aussi, afin d'avoir plus de place. Puis, avec un regard résigné, elle tira mon jogging sur le bas de mes jambes. Tel un diable sortant de sa boite, ma bite jaillit. La situation m'excitait.
Christine abaissa mon jogging jusqu'à mes chevilles, regarda mon membre avant de le saisir dans sa petite main droite. Elle commença à me branler.
J'eus alors une autre idée qui allait repousser les limites de mon contrôle. En attrapant sa main, je lui dis durement:
- Ouvre ton chemisier et sors tes seins!
Elle me supplia :
- Non s'il vous plait! pas ça!
- Plus vite tu fais ce que je te dis et plus vite tu m'auras sucé et plus vite tu pourras repartir! ......... Je vais le faire pour toi si tu ne veux pas!
J'attrapai le pan de son chemisier et je fis sauter rapidement cinq boutons. Apparu alors le beau soutien-gorge noir qu'elle avait décidé de mettre ce matin.
- N'enlève pas ton soutien-gorge! il suffit de le baisser pour laisser sortir tes seins. Et puis tu me suceras!
Elle savait ce que j'attendais. Alors elle tira son soutien-gorge vers le bas, laissant s'évader sa magnifique poitrine.
Je pinçai son mamelon droit.
Regardant tout autour si nous n'avions pas été vu, elle baissa la tête et engouffra lentement ma grosse queue.
Je me laissai tomber en arrière sur le siège, poussant un gémissement afin de montrer ma gratitude.
- Ahhhhhhhhhhhhhh!
Mon membre était de plus en plus dur alors que la bouche chaude et humide de ma belle-mère s'activait dessus.
- Voilà Christine! Suce-moi bien! Suce-moi comme une pute!
A mes yeux, elle avait un comportement de prostituée. Elle avait tellement faim de sexe que j'allais m'amuser à voir jusqu'où elle pourrait aller.
Elle me donnait la meilleure fellation que je n'ai jamais eue. Elle me massait les couilles et me léchait le gland afin que je jouisse le plus vite possible. C'était divin.
Avec ma main gauche, je saisis son sein droit. Et, entre mon pouce et mon index, je roulais son mamelon déjà tout dur. Puis je le pinçai.
- Ouille!
Christine glapit, puis laissa ma bite brièvement afin de jeter un coup d'œil à l'horloge de la voiture.
13h12.
- Tu as 18 minutes pour me faire éjaculer et retourner au travail ;
Je relevai mon siège afin d'être plus droit et pouvoir regarder les employés de bureau retourner au travail. Je remarquai que Christine se faisait toute petite afin de ne pas être vue.
- Dépêche-toi!
Je décidai se saisir sa tête afin de la tirer sur ma bite, puis je lui imposai des mouvements de bas en haut.
J'étais en mesure de faire durer les choses afin que Christine panique d'être en retard. Prenant mon temps, je lui abaissai et relevai la tête tout en regardant l'heure et les gens retournant dans les bureaux.
Je pris un plaisir sadique à lui dire qu'il était 13h20. Elle essaya d'accélérer les choses afin que je jouisse mais je contrôlais le mouvement avec mes mains tenant sa tête.
Lorsqu'il fut 13h25, je la relâchai et la repoussai sur son siège, ses gros seins ballotant.
En riant je luis dis :
- Tu as 5 minutes!
Elle plongea sur mon sexe, sa bouche m'engloutissant complétement. Alors qu'elle me suçait rapidement et profondément, elle me massait les couilles. Elle bavait sur mon membre.
Mais je me retins afin de lui montrer que j'avais le contrôle. Elle savait qu'elle devait continuer jusqu'à ce que j'éjacule.
13h27.
- Allez la pute, tu as trois minutes pour me faire jouir! Allez......Que je jute dans ta bouche......... AHHHHHHH......TIENS.....AVALE TOUT.......
Je criai alors que je jouis, lui tenant la tête et remplissant sa gorge et sa bouche d'une grosse quantité de sperme.
A 13h29, je la poussai hors de mon véhicule alors qu'elle remettait ses seins en place. Elle laissa un peu de sperme sur le sol alors qu'elle allait vers sa voiture. Elle monta dedans en essayant de reboutonner son chemisier puis elle démarra très vite.
Je remontai mon jogging et réajustai mon siège avec un grand sourire.
Avant de partir, je décidai d'envoyer un sms à Christine.
- C'était une très bonne fellation. Tu es plus pute que je le pensais. Je suis pressé de te revoir. Donc je t'attends après ton travail sur le parking à camion près de la station-service à l'entrée de notre ville.
A suivre...
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