jeudi 7 mars 2019

Voyage au Mexique Ch. 02

Voyage au Mexique - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Soirée autour du feu de camp.

Je sors entièrement nue de la ’taqueiras’ accrochée aux bras de Pedro qui ne peut pas cacher son immense fierté. Il me pousse vers sa vieille Dodge rescapée des années 60. Je le suis comme une chienne suivrait son maître.


Je passe devant le corps d'André. Il est toujours inconscient, et face contre terre. Je suis terriblement inquiète, est-il simplement inconscient, ou est-il mort ? Lisant l'inquiétude sur mon visage, Pedro a une réaction tout à fait inattendue. Il fait un signe de tête à un de ses hommes qui sans un mot s'approche de mon mari. Il déboutonne son pantalon, et tout en me fixant dans les yeux et en riant aux éclats, il se met à uriner sur le visage d'André. Dieu merci, son visage a bougé. André n'est pas mort, juste inconscient.

Je suis rassurée, et aussi un peu reconnaissante à Pedro de m'avoir débarrassé de cette inquiétude. Ce n'est pas compréhensible je le sais, mais c'est ce qui s'est passé, je suis reconnaissante à ce type qui a assommé mon mari et qui m'a contrainte à un viol ignoble.

Parvenue à hauteur de notre 4x4, Pedro m'apostrophe dans un anglais approximatif, et me fait comprendre que je dois prendre mes affaires :

- Your luggage, Your luggage.

C'est vrai ; je ne peux pas rester complètement nue devant tous ses hommes. Il m'aide à prendre mes deux sacs de voyages, et me laisse même quelques minutes pour m'habiller de façon sommaire : un jeans, un chemisier, des sandales. Le strict nécessaire. Le fait de savoir mes bagages avec moi me remonte le moral. A quoi tiennent les choses...

Nous montons dans la Dodge pourrie qui a dû faire toutes les guerres. A l'extérieur, sa couleur d'origine est indéfinissable, à l'intérieur une odeur immonde de tabac et de bière imprègne tout le véhicule. Je suis assise entre Pedro et Jésus, son second. Les autres, sans un mot, sont montés à l'arrière dans la bétaillère. Ils s'y sont installés tant bien que mal sur des sacs de jute vides. 

Au bout de deux ou trois kilomètres, nous quittons la route principale pour un chemin à peine carrossable, rempli de fondrières qui nous font sans arrêt rebondir comme des pantins sur nos sièges. Le silence dans le véhicule est pesant et lourd. Je profite du repos qui m'est accordé pour réfléchir sur les évènements. Qu'est-ce que c'est que cette bande ? Qu'est-ce qu'ils me veulent ? Comment vais-je m'en sortir ?

D'autres questions s'imposent à mon esprit, des questions auxquelles je veux me soustraire par tous moyens, mais des questions qui deviennent de plus en plus obsédantes. Comment expliquer mon comportement de chienne en rut devant ces hommes ? Comment expliquer cette attirance morbide pour ce Pedro, un type qui m'a violé et humilié publiquement, un type qui m'a menacé de mort, un type qui a manqué de tuer mon mari ?

Dans la fourgonnette, l'ambiance n'est pas aux réflexions. Pedro et Jésus se passent et repassent des flacons de tequila, puis soudain se mettent à rire en me regardant. Je vais devenir folle si je continue à réfléchir. Il y a des questions qu'il ne faut pas se poser, en particulier les questions qui n'ont pas de réponses. Je me suis plongé l'esprit dans la contemplation stérile du paysage. Ne plus penser à rien, c'était la seule façon d'échapper, c'est la seule façon de ne pas perdre la raison.

Nous avons roulé comme cela jusqu'à ce que le crépuscule noircisse ce paysage de désolation. Nous nous sommes arrêtés près d'une petite aire de battage de grains, à proximité d'un petit bosquet planté très vraisemblablement là exprès pour fournir un minimum d'ombre aux travailleurs pendant les heures chaudes de la journée. Un des types a allumé un grand feu avec du bois mort, tandis qu'un autre s'est mis à préparer un infâme tambouille nauséabonde. 

Ils me laissent libre de mes mouvements. Où est-ce que je pourrais bien aller ? 

Il fait maintenant nuit noire. Au loin, le hurlement sinistre d'un coyote me terrorise. La nuit tombée, il fait glacial dans ces régions. Je ne m'écarte pas du feu. Pedro m'invite à partager leur repas. Je refuse, je ne saurais pas manger.

Face au feu, l'un de ses hommes a planté trois petits piquets métalliques disposés en triangle.
Il a tendu une corde entre eux, et fixé deux couvertures. Je m'attendais à ce qu'il installe une tente, et je ne comprends pas très bien où il veut en venir. Avec un sourire qui me dévoile les rares chicots dentaires qui lui restent, il m'invite gentiment à venir m'installer entre les couvertures tendues. Je suis surprise de la chaleur qui s'y accumule. C'est très confortable. Un autre type a été chercher dans la bétaillère les sacs de jute sur lesquels ils avaient fait le trajet. Il les dispose sur le sol en guise de matelas. Pas besoin de dessin pour comprendre ce que me coûtera la location de la chambre pour la nuit...

Après avoir terminé son repas, Pedro m'appelle d'un signe. Je m'approche de lui en ondulant lascivement des hanches, insensible aux regards de ses hommes qui me dévorent des yeux. Arrivée près de lui, je me blottis comme une chatte dans ses bras puissants. Radieux de la puissance magnétique qu'il exerce sur moi, il me fait les présentations d'usage : Pedro, Jésus, Ramon, José, Lopez, Ascension, Diego.

Les présentations faites, la Téquila se met à circuler. Un des types ouvre un bocal de verre. C'est la bousculade générale, tout le monde veut en prendre. On me tend le bocal, comment refuser ? J'en prends une petite poignée pour faire comme tout le monde. Les types me regardent faire avec le sourire. Brusquement je comprends, un souvenir de mon campus universitaire me revient. Ce sont des psyllocybes, des champignons hallucinogènes. Il y avait des étudiants qui en prenaient. Mais moi j'en avais jamais goutté. C’est pas terrible, vraiment pas terrible, surtout tout sec.

La soirée continue, et comme il fallait s'y attendre, ils deviennent tous assez entreprenants. Des bras puissants m'entourent, me palpent. Des mains avides et rugueuses me pénètrent. Une langue fouineuse s'empare de ma bouche. On défait ma blouse. On caresse mes seins. Des doigts noirs de crasse font rouler mes mamelons.

L'alcool aidant, cette situation pourtant monstrueuse commence à faire sentir ses effets. Je sens ma chatte qui mouille. Les doigts qui m'explorent s'en rendent vite compte. Un des types approche sa tête de ma poitrine et se met en demeure de me sucer les seins comme un nourrisson pervers. Je n'ai pas d'enfant, mais je sais pertinemment bien qu'un nourrisson normal ne met pas sa main sur la chatte de sa maman quand il la tête.

C'est très agréable pourtant. J'apprécie vraiment, et je tiens à faciliter le travail de ce brave homme en soulevant un peu plus mon bassin et en écartant un peu mieux les jambes pour lui faciliter la besogne. Il semble ravi, mais voit plus grand. Il préfère de loin profiter de ma coopération évidente pour m'ôter mon Jeans, certain qu'il pourra sans problème reprendre la conversation juste après, là où il l'a laissée.

Je suis une nouvelle fois entièrement nue devant ces hommes. Je fais mine de me recoucher, quand Pedro intervient. Je n'ai pas très bien compris ce qu'il dit à ses hommes, mais en résumé je crois comprendre qu'il n'a rien contre le spectacle, mais que ce soir, il voudrait avoir la paix. Alors il faut qu'on dégage.

Reprenant sa contenance de chef, comme un seigneur, il fait comprendre à ses hommes qu'il m'offre à eux pour la nuit. En faisant ces quelques pas, ma tête commence à devenir toute lourde. Le sol devient curieux, on dirait qu'il est tout mou. Je me couche, on dirait que ça va mieux. Mais le sol lui, il devient de plus en plus mou. Ça commence même à devenir très inquiétant tout ça. Je commence à paniquer même sérieusement. Tout autour de moi, je vois bien qu'ils s'en foutent, du moment qu'ils ont à boire et à baiser.

Merde... Ça devient trop grave... Faut faire quelque chose...J'essaye de dire quelques mots, mais ma voix devient pâteuse, et mes idées s'embrouillent.

 - Hé les mecs, plutôt que de dire des conneries, vous feriez mieux de vous occuper de choses importantes, de ce sol qui devient tout mou, ou de cette grosse bite verte qui s'avance vers moi.

Merde une bite verte. Ça se voit pas tous les jours une bite verte. C'est la bite à ’Titi’. Non, c'est pas la bite à ’Titi’, c'est la bite à ’E.T.’
Ouais c'est çà, c'est la bite à ’E.T.’. Ben non ! Bordel... Je raconte des conneries moi... ’E.T.’, il a pas d'bite... ’E.T’, c'est une production ’Walt Disney’.

Ben merde, voilà autre chose maintenant, le mec à la bite verte, il a amené le Pape avec lui. J'savais pas qu'il était en voyage au Mexique celui-là. Qu'est ce qui raconte l'autre ? Encore une connerie sûrement ! Ah, voilà, j'ai compris. Il dit : ’ Paaaas de capot' ' C'eeeesssttt bien !

Ben mon vieux... Faut être Pape pour dire des conneries pareilles... Keske ça peut bien avoir sous sa robe ça un Pape ? Ouaaaahhhh une paire de couilles... Des couilles qui pendent... C'est pas l'Pape, hé... c'est le curé de Camaret...Ouahhh hé... L'embrouille...

- Bon écoute le curé... T'en fais pas... Je suce pas que les Papes...

Super... Hé Je suce le curé de Camaret... Et ses couilles me tapent sur la gueule... Incroyable... Vais faire un rapport en 7 exemplaires... Où qu'il est passé maintenant le mec avec sa bite toute verte...
C'est toujours comme çà, tu crois que tu vas t'faire enfiler par une bite verte, et puis hop, plus de bite verte...Merde...

Tiens, mon mari maintenant...Qu'est-ce qu'il vient foutre ici ? C'est lui en tous cas... Cà c'est sûr... J'ai tout de suite reconnu sa petite bite... Elle est vraiment petite, bordel... Par contre, j'avais jamais remarqué, qu'il avait une tête de bite comme çà... Putain bordel, je viens seulement de comprendre l'expression ’tête de bite’... Faut dire que sa bosse... Ça lui a pas arrangé la tronche... Faut dire, hein.... Il était pas comme çà quand je l'ai épousé, hein ! 

- Ooooohh... Mais... C'est une grosse bite çà... Regarde ce que j'ai pour la mettre dedans... Un petit trou... et... un grand trou… Lequel tu choisis ? Décide-toi hein, parce que si le mec à la bite toute verte rapplique... son choix y s'ra vite fait...

- Ouais, c'est çà, t'as raison... le p'tit trou... y a ksa d'vrai... Mets-y toute ta tête... Enfin, je veux dire toute ta bite… Mieux ksa mon cochon... Rentre là tout à fait...

Putain, j'ai fait un prisonnier ! Si y bouge pas... Je pete... Il est mort...

- Rendez-vous, il ne vous sera fait aucun mal.

Putain bordel, je mélange tout moi... Ça c'est avant ki faut dire... Maintenant c'est : ’Vous avez droit de tenir le silence’... Ouais, c'est ça, hé super... J'ai trouvé !

Hé, hé, hé, hé... Garder le silence... M'étonnerais ki sache dire kek chose là où il est...

Putain bordel... V'la l'autre là maintenant qui rapplique avec sa bite toute verte... Hé merde... C'est un officier... Il a des bandes dorées sur sa bite... Faut que j'fasse gaffe moi ! 

- Oui, Commandant. A vos ordres, Commandant. J'ouvre bien grand ma bouche, Commandant. Oui, Commandant, j'ai bien compris, c'est une mission secrète de la plus haute importance et je dois planquer cette grosse bite toute verte pour que l'ennemi l'a trouve pas... La trouvera pas Commandant....Vasi l'avaler.

Un terrible cri me ramène à la réalité. Ascension est là, devant moi, plié en deux de douleurs. Il se tient le bas ventre. Les autres mecs eux, sont morts de rire. J'ai un goût de sang en bouche, mais ce n'est pas le mien. Je viens de comprendre. Avec ces champignons ’à la con’ je viens de mordre la bite d'Ascension.

Ascension, lui, ne rit pas du tout. Il se redresse visiblement fou de rage. Il est prêt à me tuer. Un ordre bref de Pedro le fige instantanément sur place. Il se retire piteux, mais l'œil mauvais.

Je me rends compte que je suis assise sur Ramon qui tout en étant couché dos au sol, m'encule, un sourire radieux aux lèvres. Un sourire qui dévoile ses derniers chicots dentaires. Lopez et Diego à leur tour s'approchent de moi. A la déformation de leur pantalon, je constate que je leur fais un sérieux effet. Bien que, au vu de la situation, ce ne devrait pas être le cas, je dois reconnaitre que j'en suis fort fière...

Mes doigts s'activent à défaire leur pantalon et à libérer ces deux verges somptueusement érigées. Je commence par astiquer les deux queues. Après quelques secondes, j'estime qu'elles sont à leur taille maximum. Je me jette gueule ouverte sur les deux queues qui n'attendent visiblement que çà. Je saute d'une verge à l'autre. Les deux types sont visiblement à la fête.

Jugeant sans doute s'être montré assez patient, Lopez commence à me fouetter la figure de sa verge dressée. Il est visiblement impatient de passer à des choses plus intéressantes. Il veut un sandwich, c'est évident.

Je me retourne l'espace d'un instant sur Ramon, qui consent à cesser de me besogner l'espace d'un instant, le temps nécessaire pour adopter la nouvelle position. Toujours enculée, je m'étends sur la poitrine de Ramon. Lopez me pénètre la chatte jusqu'aux couilles. La sensation de ces deux queues en moi me rend folle.

Diego vient s'agenouiller à côté de nous, et me force à le faire patienter le temps que Lopez, qui visiblement prend tout son temps, aie fini ce qu'il avait à faire.

Ils m'ont déjà tous violé et reviolé il y a de cela quelques heures à peine. J'ai beau sérieusement les exciter, la nature a ses lois. Ils y mettent un sérieux coup pour parvenir à terminer leur ouvrage. Je mouille comme une folle sous les terribles coups de butoir qui me sont assénés. Je crie ma jouissance qui se mélange aux commentaires flatteurs de mes violeurs sur mes capacités.

Diego s'agrippe à mes cheveux pour me forcer à maintenir son sexe jusqu'à la glotte malgré les incessantes oscillations de mon corps soumis aux puissantes sollicitations de mes deux violeurs. Je sens le rythme de Ramon qui se modifie. Il éjacule dans mon cul. Bien moins que ce que à quoi j'étais en droit d'espérer, mais c'est vrai qu'après ses performances à la station-service, il a fait son devoir.

Ramon, comprimé par le poids de nos deux corps, me saisit par les hanches, et se dégage en me faisant glisser sur le côté, tout en respectant l'activité de Lopez, qui, seul cette fois, modifie singulièrement son rythme et sa puissance. Les chocs de sa bite contre mon col se répercutent jusqu'au sommet de mon crâne. Ses couilles qui battent sur mon pubis trempé font entendre des ’flocs’ un peu déplacés dans un viol. Je le sens venir. A ma plus grande satisfaction, je constate qu'à la différence de son copain, il a largement récupéré depuis l'épisode de la station-service. Il inonde littéralement ma chatte de son foutre.

Au tour de Diego maintenant. Depuis le temps qu'il attend, il a bien droit à mon cul ou à ma chatte selon son bon plaisir. Un peu par hasard je crois, sa bite atterrit dans ma chatte. Son excitation est telle qu'il n'essaye pas de modifier sa position. Il me besogne avec force et conviction. Je constate, un peu honteuse, que ses couilles font sur mon pubis des bruits de chocs humides pire encore que tantôt avec Lopez. Au-dessus des épaules de Diego, je vois le visage mauvais d'Ascension. Il est revenu, et veut visiblement lui aussi sa part. A voir ses bottes à hauteur de son visage, Diego se rend tout de suite compte qu'il a tout intérêt à rapidement conclure. Un dernier effort, et il éjacule à son tour m'inondant une fois encore la chatte d'un torrent de foutre. Il se retire vivement, laissant la place chaude encore à Ascension.

L'espace d'un éclair, je me rends compte que la bite d'Ascension n'a pas fière allure. Je l'ai mordue un peu fort. Elle bande, mais elle saigne. Ça m'inquiète un peu. Ascension me fait basculer sur le ventre. Il me fait comprendre que j'ai intérêt à écarter mes fesses. Il veut visiblement m'enculer.

Je sens sa bite toute dure s'appliquer contre ma rosette, mais la pénétration ne vient pas. Je suppose que sa bite doit lui faire trop mal pour une pénétration anale. Effectivement, il me retourne une fois encore, sur le dos cette fois. Il veut me baiser la chatte, mais à la grimace qu'il fait en commençant sa pénétration, je me rends compte qu'il n'ira pas au bout de ses envies.

Il se retire dépité, en hurlant :

- Salope, je suis toujours un homme !!!! J'ai décidé de te baiser, et je te baiserai, que tu le veuilles ou non !!!

Je ne vois pas ce qu'il veut faire. Pour ce soir du moins, il est clair qu'il ne saura rien faire de sa bite. Il vient s'étendre à côté de moi. Sans aucune délicatesse, il met sa main sur ma chatte. Il me force à écarter les jambes au maximum. Il introduit un, puis deux, puis trois doigts dans ma chatte béante, baveuse, et dégoulinante de sperme et de mouille mêlés. Un quatrième doigt entre sans peine.

Je suis sidérée de la facilité avec laquelle il a déjà introduit ses quatre doigts, mais il ne s'en tient pas là. Il essaie maintenant de rentrer son pouce. Visiblement c'est beaucoup plus difficile, malgré ma coopération sincère. Après avoir essayé de forcer l'ouverture par de puissants chocs de son poing contre ma chatte, des chocs qui me font assez mal, il décide de procéder différemment. Il appuie maintenant son poing de façon continue. Je sens qu'il va finir par forcer l'isthme.

La douleur devient intense, je serre les dents pour ne pas lui faire le plaisir de m'entendre hurler, de m'entendre supplier qu'il arrête. Brusquement, je sens que son poing est passé. La douleur atroce a laissé place à une extraordinaire sensation de plénitude. Il n'a plus aucun mal pour pousser plus loin encore son bras dans ma chatte. Diego, Lopez et Ramon sont fascinés par la scène extraordinaire qui se déroule sous leurs yeux. Lopez en particulier est dans un état épouvantable d'excitation. Il rameute Pedro :

- Hé Pedro !!! Ascension, il lui a foutu son bras jusqu'au coude dans la chatte !!!!

Mais Pedro lui fait comprendre d'un revers de la main qu'il n'en a strictement rien à foutre.

Pistonnée comme je suis par ce sexe immense, je sens un formidable orgasme m'envahir. A chaque aller et retour de son bras, je vois qu'Ascension se délecte de l'image irréelle de mes lèvres intimes qui escortent son avant-bras dans sa formidable pénétration. A le voir ainsi, à me sentir ainsi besognée, je jouis comme une folle, et je laisse s'échapper un cri de femelle comblée qui doit visiblement s'être entendu loin dans la vallée.

Lorsque je reviens à moi, Ascension a retiré son bras de ma chatte. Des traînées de foutre maculent mon visage défait. Ma chatte béante laisse dégorger des filets glaireux. 

Je fais le bilan de cette journée. J'ai sucé, j'ai été baisée, enculée, fistée je ne sais combien de fois.
Je devrais être anéantie, je suis comblée. Je laisse mes amants là où ils sont, pour rejoindre les bras de Pedro qui me fait un large sourire et m'indique en ouvrant ses bras puissants que je suis la bienvenue pour la nuit.

Il me reçoit délicatement dans ses bras, m'embrasse le front, et laisse trainer affectueusement une main dans mes cheveux. Lorsque je veux lui dire un mot, il met son doigt devant ma bouche pour me faire comprendre que je dois me taire....

A suivre…


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