dimanche 17 mars 2019

Voyage au Mexique Ch. 03

Voyage au Mexique - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

L'Hacienda.

Au matin, après avoir ingurgité un liquide chaud et noir qui devait tenir lieu de café, nous reprenons la route dans l'infâme Dodge. Au bout d'une demi-heure sur les chaos d'un chemin épouvantable, nous déboulons sur un plateau aride. Je comprends pourquoi on s'est arrêté hier soir ; faire ces derniers km dans le noir aurait été réellement suicidaire, le chemin instable frôle à tout moment le précipice.

D'ici, nous avons une vue dégagée sur la quasi-totalité de la région. A nos pieds, des gorges et un cours d'eau. C'est peu, mais c'est suffisant pour permettre la vie. Un peu au-dessus de nous, une vieille ’Mission’ fortifiée espagnole vers laquelle convergent visiblement plusieurs routes. C'est vers elle que nous nous dirigeons. Encore un quart d'heure de route, et nous l'avons atteinte.

La ’Mission’ a visiblement été transformée en hacienda depuis des années. Il y a même un nom, ou plutôt une devise sur le fronton du porche d'entrée : ’Terra Y Libertad’, La devise du révolutionnaire Emiliano Zapata.

Pedro, toujours de sa voix rude, ordonne à un de ses homme de me conduire dans mes appartements.

L'Hacienda est bien comme je m'y attendais : un porche d'entrée haut et large pour permettre le passage des charrettes de foin, une cours intérieure encombrée d'instruments agricoles en complète décrépitude, et des bâtiments presque tous en ruine, sauf une église, dernier vestige de la ’Mission’ qui est encore dans un état fort raisonnable.

L'église est prolongée sur toute sa longueur par un mur long et épais qui doit dater de la construction de la ’Mission’. C'est un mur de protection contre les tirs d'artillerie en enfilade. Mon mari m'en a déjà montré un pareil à la forteresse de Besançon... il y a... il y a très longtemps de cela...

Il doit visiblement y avoir deux parties et deux cours à cette Hacienda, et je n'en vois qu'une. Je devine simplement que derrière cette misère, et surtout derrière ce mur, il doit y avoir autre chose.

Mon entrée dans l'hacienda, le bras fermement emprisonné par la poigne puissante de celui qui se fait appeler Lopez ne passe pas inaperçue. Je suis la seule femme ici...

Tout autour de moi, il n'y a que des hommes ; des ’quemadores’ ou des ’vaqueiros’, de toutes façons des hommes qui semblent avoir tous une conversation limitée... mais aussi une virilité assez remarquable...A les voir me déshabiller du regard de leur air lubrique et bestial, je ne dois pas me faire trop d'illusion je crois, sur ce qui risque de m'arriver si Pedro devait décider de les laisser faire.

Les appartements qui me sont destinés sont situés à l'extrémité opposée du mur d'enceinte, loin à l'écart des autres bâtiments de la ferme, et sont assez rustiques, pour ne pas dire plus... Il devait s'agir initialement de la cellule d'un moine, ou encore, d'une remise.

Lopez a à peine quitté la pièce verrouillant derrière lui la lourde porte, que je fais l'inventaire de mon nouveau logement. Il est vite fait : une pièce misérable et minuscule, des murs lépreux qui ont dû être chaulés pour la dernière fois il y a très longtemps, pas de fenêtre. Dans un coin, un grand broc d'eau, et de quoi me laver. Après ce que j'ai subi hier, ce ne sera pas un luxe. Dans le coin opposé, un tas de vieux sacs de jute en guise de matelas et de couverture. Seul mobilier dans cette niche sordide : une chaise de bois et une lampe à pétrole. Je suis installée à l'autre extrémité de l'Hacienda, et si je décide de faire cramer ma chambre, c'est moi qui cramerai bien avant que les flammes ne puissent même menacer la ferme.

Au bout d'une demi-heure environ, Lopez m'apporte de quoi manger et mes bagages. Ils ont été visiblement déjà retournés. D'ailleurs il m'indique sans hésitation aucune la tenue que je devrai mettre ce soir. Aucun doute, J'ai tout intérêt à être en forme.

Un peu inquiète tout de même, je prends des nouvelles d'Ascension. Je suis soulagée, il va mieux, et ne m'en veut plus trop pour le regrettable incident d'hier soir. Mais il compte bien se faire rembourser et il est facile de comprendre comment il compte procéder.

On me laisse bien tranquille dans ma cellule pour que je puisse me reposer toute la journée. J'en ai, il est vrai, grand besoin. Ce que je viens de vivre est une expérience difficile à vivre, tant physiquement que moralement. Ce n'est pas tant d'avoir été violée, et reviolée, mais c'est encore plus terrible de se rendre compte que l'on est qu'une vraie salope, alors que la minute d'avant encore, on se croyait une femme du monde. Ce n'est pas rien de connaître à 35 ans, en moins d'une journée, pour la première fois de sa vie, une double pénétration et un ’fist’. Ce n'est pas rien de se rendre compte qu'on était faite pour ça, que son corps et même son âme n'attendait que çà.

Le tintement de la cloche qui annonce la fin de la journée de travail me réveille. Par les fentes de la porte je me rends compte que le soir est déjà tombé, et que des hommes sont déjà occupés à allumer un grand feu. Je m'apprête moi aussi. La soirée sera longue.

J'enfile la tenue que Lopez m'a désignée. J'ai un peu honte, mais cette tenue de bourgeoise salope était effectivement dans ma valise. André était un petit vicieux. Enfin quand je dis vicieux, c'était avant de connaître ces hommes. Maintenant, je dirais que c'était un saint. Tiens, c'est curieux, je parle de lui comme s’il était déjà mort, comme si c'était il y a une éternité que nous nous étions quittés, alors que c'était hier, hier midi seulement, il y a 36 heures, il y a une éternité.

Des coups sont frappés à ma porte par simple courtoisie, car ce n'est pas moi qui ai les clefs. C'est Lopez qui ouvre. Après s'être assuré que j'ai bien suivi ses recommandations, il m'invite à le suivre pour participer au ’cena’, le repas du soir des ouvriers agricoles. Je ne me fais pas trop d'illusion sur ce que sera en réalité ce ’céna’, mais je n'ai pas le choix.

Au milieu de la cour, un grand feu réchauffe l'atmosphère. Derrière une grande table, une table pour au moins 20 personnes, peut-être plus. A côté du feu, un petit ensemble de musique, un ’Tex Mex’ comme on dit ici, joue des airs classiques.

Lopez m'offre un grand verre de Téquila et me prie de bien vouloir m'asseoir en face d'eux, à quelque distance de la table, sur un antique tabouret de bar, dont la présence est tout à fait anachronique dans ce décor d'un autre âge, et dont le seul et unique intérêt est visiblement de permettre de dévoiler bien haut mes hanches garnies d'un porte jarretelles, et prolongées de mes jambes gainées de bas à coutures.

La table est encore quasi vide, mais mon arrivée rameute rapidement du monde. Les vides se remplissent, les premiers venus ayant bien évidement choisi les places où la vue est la meilleure. J'ai l'air comme une conne là, mon verre de Téquila à la main, attendant ces hommes, qui de toutes évidences ne sont venus là que dans le seul but de me violer.

Dans un coin, le petit orchestre se met à jouer des airs romantiques et langoureux. Ils sont chaleureusement supportés par toute l'hacienda, c'est le signal tant attendu. La soirée va pouvoir commencer. Des dizaines de paires d'yeux me déshabillent du regard, et certains vont même déjà bien plus loin.

Je sais que je n'y échapperai pas, alors autant ne pas se faire prier. Je commence donc un strip-tease, puisque c'est de toute évidence ce qu'ils attendent. J'ondule au rythme de la musique. Je passe mes mains sur mon corps en prenant des moues gourmandes. Je fais tomber les bretelles de ma robe. Je tire délicatement sur les pans pour laisser glisser délicatement l'étoffe au niveau de ma poitrine. Tout en fixant l'assistance, je défais lentement la tirette. J'abaisse lentement ma robe, jusqu' à hauteur de mes hanches. Je la laisse choir totalement, et d'un coup de pied, je l'envoie valser sur la table, au milieu de la masse des péones, ce qui déclenche une sérieuse animation.

Je suis maintenant en soutien-gorge et porte-jarretelles devant ses péones qui n'ont sans doute jamais vu un pareil spectacle de leur vie misérable. Je fais sauter mon soutien-gorge que je jette lui aussi sur la table, parmi les spectateurs ivres de joie, de bière, et de Téquila. Mes seins lourds se balancent en rythme avec la musique sous des dizaines de paires d'yeux avides.

Je continue mon ondulement obscène en tournant voluptueusement sur moi-même, les bras levés bien haut, et les poignets croisés, mes hanches entreprenant un lent mouvement de balancier. Je ne suis plus vêtue que de mes escarpins, de mes bas, et de mon porte-jarretelles. L’atmosphère est électrique et à couper au couteau.

Trouvant cette danse érotique trop longue à leur goût, quelques péones surexcités tentent de participer activement. Ils sont vite rappelés à l'ordre par des afficionados. Je suis heureuse de constater qu'il y ait des amateurs éclairés dans cette foule de mâles primitifs.

Constatant qu'il leurs en faut plus, je plonge délicatement ma main dans ma toison pubienne. Je pousse mon pubis en avant, écartant ma toison pour leur dévoiler mes lèvres dégoulinantes de mouille. Difficile de décrire l'ambiance qui suit.

Des types me font comprendre que je dois monter sur la table. Ils me tendent une bouteille de cette infâme Cerveza qu'on retrouve partout, dans tout le Mexique. Elle est vide. Pas besoin de demander ce qu'ils veulent que j'en fasse. Je vais leur montrer quelle femme je suis.

Tout en faisant onduler ma croupe comme si elle était montée sur des roulements à bille, je lèche le goulot et l'épaulement de la bouteille, en fixant droit dans les yeux, et d'un regard pervers, ces hommes qui vont me violer. L'excitation est à son comble.

Lentement j'abaisse ma main qui tient la bouteille. Je pousse mon pubis en avant, le laissant à la contemplation de mes tourmenteurs. De ma main gauche, j'écarte délicatement, mais à fond, les lèvres de ma chatte, tandis que, dans le même mouvement, j'introduis lentement le goulot de la bouteille dans mon con. Après la mise en condition d'Ascension hier, l'affaire est des plus aisée.

La bouteille est maintenant quasi complètement rentrée, seule en émerge encore le culot. Je décide de refaire ainsi un tour de table, en prenant bien soin de ne pas l'aspirer en entier, ce qui ne serait guère difficile, mais qui me procurerait par contre bien des soucis pour l'en sortir.

En faisant mon tour de table, comme on dit lors des conférences. J’avise un ’vaqueros’ qui vient de s'en décapsuler une. Je tends ma main. Voyant ce que je suis déjà en train de faire, il me la donne sans hésiter en riant même de ses dernières dents jaunies. J'introduis mon doigt dans le goulot et d'un même geste, je tiens et je ferme la bouteille.

De ma main libre, je retire sans difficulté ni état d'âme particulier la précédente de ma chatte, une bouteille qui m'a pourtant apporté bien des satisfactions. Comme toute bonne bite qui me possède, elle déborde de mes secrétions intimes, ce qui n'a pas échappé à ces hommes. Ils me fixent tous du regard se demandant visiblement ce que je vais bien pouvoir faire de plus maintenant.

Tout en fixant l'homme qui vient de me filer sa bouteille, je me l'enfonce, et cette fois par le culot, au plus profond de ma chatte. La pénétration de ma chatte par le culot de la bouteille est plus laborieuse, mais néanmoins ça passe. Quand elle est bien calée au fond de mon con, d'un signe des doigts de ma main libre, j'appelle mon généreux donateur. Intrigué, et encouragé par les autres, il s'approche. Je tends mon pubis vers lui. Il comprend instantanément ce que je vais faire.
Je retire mon doigt du goulot. La bière s'écoule de ma chatte à gros bouillons. L'homme, un peu pris de court par la trajectoire erratique du liquide, en laisse s'échapper une bonne moitié. Je suis sûre qu'il vient là de déguster la meilleure bière de sa vie.

Les péones sont médusés, et n'en reviennent visiblement pas de ma perversité. Un bref silence s'installe, suivi d'acclamations forcenées. La vraie fête, ma fête, va commencer.

L'orchestre a cessé de jouer. Les musiciens s'approchent. Ils sont à la fois superbes et ridicules dans leur accoutrement d'opérette. Vêtus de noir de la tête aux pieds, ils semblent sortis tout droit d'une publicité. Des bottes à éperons, et un sombrero gigantesque constellé de minuscules miroirs, donnent la touche finale à l'ensemble. Il est clair qu'ils viennent ici réclamer leur dû.

Le joueur de guitare me tend les bras en me faisant comprendre que je dois descendre de la table. Une fois au sol, il me fait mettre à genoux au milieu d'eux. Pas besoin d'explication pour comprendre ce qu'ils attendent de moi.

Le guitariste ouvre sa braguette, laissant apparaître un sexe énorme gorgé de sang. Toujours à genoux je m'approche, et je le prends en bouche. Je le suce du mieux que je peux, d’ailleurs j'y ai tout intérêt. Aussitôt les deux autres suivent son exemple et je me retrouve en train de sucer leurs 3 sexes tour à tour, en prenant bien soin de ne pas faire de jaloux.

Autour de nous, un cercle de voyeurs surexcités commente le spectacle. Je me retrouve maintenant avec un sexe en bouche, et un dans chaque main. Jugeant sans doute que j'en avais assez fait pour l'instant du moins, ils me prennent par les hanches et me collent dos à la table sous les applaudissements des spectateurs, ravis de voir le spectacle sérieux enfin commencer.

Le guitariste toujours en premier, me fait plier les genoux jusqu'à ce que mes cuisses touchent ma poitrine. Il présente son sexe à l'entrée de ma chatte dégoulinante, ouverte, et prête à le recevoir. Il me pénètre sans problème jusqu'à la garde. Je m'attends à être besognée, mais non, après quelques vas et vient pour s'assurer de sa conquête, il ressort de ma chatte gluante de mouille. Au lieu de s'y réintroduire comme je m'y attends, d'un bref mouvement de son bassin il modifie son axe de pénétration, et sans que je m'y sois attendue le moins du monde, il m'encule sans aucune préparation jusqu'à la garde. La pénétration est tellement aisée qu'il estime même prudent de se retourner vers les péones qui sont en cercle autour de nous, pour bien leurs faire remarquer que ma chatte est bien vacante et dégoulinante de mouille.

Quelques spectateurs applaudissent à la performance. La facilité de sa pénétration, et mon râle de satisfaction, font comprendre à tous que la soirée sera mémorable. Dos à la table, je continue à sucer les deux autres membres de l'orchestre.

Dans la foule des spectateurs, qui seront bientôt mes amants, les quolibets commencent à pleuvoir. Je ne parviens pas à tout comprendre, mais il est clair qu'ils deviennent de plus en plus vulgaires. Je suis entièrement livrée à cette horde de primates, totalement impuissante, les cuisses largement écartées, enculée, offerte à la vue de tous.

Estimant en avoir assez fait pour le public, le guitariste s'active maintenant brutalement dans mon cul. Je ne reste pas insensible à ce changement de rythme, et je gueule littéralement mon plaisir à la tête de tous ces gens. Il explose dans mon cul, me noyant les entrailles dans un geyser de sperme.

Son plaisir à peine pris, il laisse la place au joueur d'accordéon. Lui aussi m'encule d'un trait. Ce soir, j'ai compris, je n'aurai droit qu'à ça. Il m’enfile d’un coup, dans un grand éclat de rire partagé aussitôt par toute l’assistance. J'entends distinctement ses couilles battre mon pubis. Ces coups deviennent plus forts et plus espacés. Lui aussi ne tarde pas à se vider les couilles dans mon ventre.

Lorsqu’il se retire, je sens ce que tout le monde peut voir : une coulée de sperme et de mouille mêlée qui pend de sa verge à ma chatte dégoulinante. Tout autour de nous, les mecs applaudissent, ils sont hilares.

La place ne reste pas vide bien longtemps. Les mecs se succédèrent maintenant comme dans un film de cul. Quelques-uns, trop impatients, se vident dans ma bouche faute de mieux. Les mecs continuent à se succéder. Je suis couverte de sperme, pourtant je fais des efforts méritoires pour avaler le maximum, mais il y en a trop, beaucoup trop.

Un mec me fait me relever, et m’arc boute debout devant la table. Il s’enfonce en moi par derrière. Dans cette position, du sperme s’échappe de mon ventre à grosses coulées. Mes seins lourds se balancent au rythme du mec qui m’encule. Le type qui me besogne se détache de son ventre, et il éjacule bien en vue de ses copains sur mes fesses.

Au suivant maintenant, c'est un vicieux celui-là, plutôt que de m'enculer comme tous les autres, il décide de me baiser de façon plus classique. Où va se nicher la perversion ?

Et comme dans la chanson de Brel, les suivants se suivirent, suivis d'autres suivants. Je sombre dans un demi inconscience, lorsque je sens que l'ambiance change radicalement. Je redresse la tête pour tomber sur un ’Pedro’ méconnaissable, lavé, rasé, et habillé avec soin, qui vient de faire une entrée remarquée dans la cour.
Il est accompagné d'un serviteur noir étrangement accoutré d'une livrée de majordome anglais, totalement incongrue dans ce décor. Deux énormes dogues Danois les suivent pas à pas. Pedro ne dit pas un mot, il se contente de regarder fixement devant lui, une grimace de mépris au coin des lèvres, le spectacle que nous leurs offrons.

Le majordome prend la parole sur un ton sec, un ton inattendu vu sa condition. Il s'adresse aux hommes dans un espagnol scolaire, un espagnol tout à fait correct et sans aucun accent, ce qui me permet de bien suivre ses paroles. En résumé, la fête est finie et je dois les suivre immédiatement et sans discussion. L'autorité naturelle de Pedro, et l'autorité factuelle des deux Danois est là pour indiquer à tous l'attitude la plus correcte à suivre.

Je ne comprends vraiment plus du tout ce qui se passe. Je me laisse entraîner par Pedro et son majordome. Nous empruntons la porte percée dans le mur de prolongement de l'église. Je vais enfin savoir ce qu'il y a derrière. Derrière le mur, c'est un autre monde, un jardin tropical et une pièce d'eau à la place de cette cour de ferme infâme. Des bâtiments anciens mais superbement rénovés. Le mur à peine franchi, Pedro s'éloigne et disparaît dans la végétation. Le noir qui m'accompagne, me confie à deux valais qui lui sont visiblement subordonnés vu leurs attitudes obséquieuses. Il disparaît lui aussi après avoir libéré les deux molosses.

Les deux serviteurs noirs me conduisent avec déférence un peu à l'écart du bâtiment principal, dans un bâtiment annexe mais fort correct. Mon nouveau logement est d'un luxe inouï par rapport au trou à rats que je viens de quitter. Un lit, une table, deux chaises, un fauteuil, une armoire, un évier, et mes affaires soigneusement rangées.

Une heure se passe, je fais ma toilette, une nouvelle fois j'en ai plus que besoin. Me laver les dents surtout est devenu mon obsession, plus encore que procéder à ma toilette intime. Un valet vient m'apporter un très bon repas, sans comparaison aucune avec la tambouille infâme dont j'ai dû me contenter hier soir.

Une demi-heure encore, et on toque à ma porte. Je vais ouvrir. Le majordome me salue avec respect, et dans un anglais parfait m'explique les activités qui sont prévues pour demain : demain, Don Pedro, m'invite à rendre visite aux péones.


A suivre…

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