jeudi 29 décembre 2022

La naissance d'une esclave Ch. 02

Texte de Dom Star

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La première punition.

Je pris rendez-vous avec le jeune photographe voyeur, que nous nommerons Luc. Je lui annonçais la possibilité de voir de plus près encore une des participantes du jeu de tennis. Il était aux anges et avait hâte de voir cela. Je lui avais donné rendez chez lui. C’était pour cet après-midi.

J’ai donné mes premiers ordres à ma femme. Quel plaisir de la voir s’exécuter ! Je voulais qu’elle soit épilée et je voulais surtout assister à cette opération. Je la regardais nue, appliquer des bandes sur ses jambes et ensuite les tirer énergiquement. Chaque bande lui arrachait un petit cri. J’ai alors pris la direction des opérations. Je la couchais sur le lit et lui attachais les mains et les pieds aux pieds du lit. Elle n’était pas rassurée !!!

Je voyais son pubis avec ces poils fins et dorés. J’appliquais la première bande juste au-dessus de sa chatte. Je lissais bien pour faire adhérer le maximum de poils. Je voyais ma femme qui commençait à trembler et s’agiter.

-  Tu ne vas pas faire cela ? Me dit-elle avec angoisse.

Je ne répondais pas et tirais violemment la bande. Le cri fut soudain et court. Je la regardais, elle haletait, la bouche entrouverte. Là où avait disparue la bande, la peau était lisse avec une granularité due aux bulbes arrachés. La deuxième bande, je la plaçais le long d’une lèvre de sa chatte. Elle tremblait en me priant de ne pas le faire, qu’elle le ferait elle-même, qu’elle savait le faire mieux que moi. Je mettais court à son bavardage en tirant un coup sec. Là elle ne cria pas mais son corps se cambrait, elle montait son bassin vers le haut. Son sexe était à demi épilé et cela commençait à m’exciter fortement. Je bandais et avais une envie folle de me masturber. Je mis alors un doigt dans sa chatte et la trouvait bien humide.

- Mais cela t’excite ces trucs ? Tu fais aussi dans le sado maso ?

- Je ne sais pas, non. Bredouilla-t-elle.

Je reprenais mon rôle de bourreau et terminais l’épilation de son sexe avec rapidité sans accorder la moindre importance à ses cris. Ensuite je la détachais et la retournais sur le ventre.

- Pourquoi fais-tu cela ? Demandait-elle.

- Je vais t’épiler entre les fesses, même autour de ton petit trou, je ne veux aucun poil.

Mon sexe me faisait mal tellement il était tendu en appliquant la bande au creux de sa raie en écartant bien ses fesses.

- Je suis excitée comme une folle, je me sens comme une chienne quand tu me traites comme cela !

Je lui appliquais une violente claque sur les fesses en lui demandant de se taire et je tirais à nouveau violemment la bande.

Je contemplais mon travail. On aurait dit un nouveau né. Son sexe était lisse, son anus aussi. Je voyais sa chatte luisante et entrouverte, elle avait visiblement envie d’être prise.

- Maintenant tu vas t’habiller selon mes désirs.

- Fais-moi jouir, s’il te plaît, j’ai le sexe en feu, je t’en prie, j’ai envie de jouir.

- Tu jouiras quand je le voudrais. N’oublie pas que je suis ton maître maintenant. On verra cela tout à l’heure, tu n’es pas encore prête. Maintenant il faut t’habiller.

Je choisis un soutien-gorge blanc qui mettait bien en valeur sa poitrine et un petit string de même couleur. Elle s’habillait devant moi. Excitant instant. Je lui tendais une jupe de tennis très courte et un t-shirt bien serré. Satisfait de moi nous partions pour le rendez-vous.

Dans la voiture, je voyais presque son slip tellement la jupe était courte. Les quelques camionneurs que je doublais dans les embouteillages avaient l’air d’apprécier le spectacle. Cela me donnait une idée pour une autre punition, mais pour l’instant : chez Luc.

Je la faisais monter devant moi en lui répétant qu’elle devait obéir à mes ordres ou ceux de Luc. Si jamais elle émettait la moindre réticence devant un ordre, elle serait sévèrement punie.

Luc nous accueillait avec une étincelle dans les yeux en voyant ma femme ainsi vêtue. Elle remarquait l’appareil photo et une caméra sur trépied. Elle me regardait de manière interrogative, mais je la poussais dans le studio d’étudiant.

- Luc, que veux-tu que Madame réalise devant toi ?

Luc était surpris qu’une femme puisse lui obéir et il ne s’attendait pas à une telle situation.

- Je vais commencer si tu le veux Luc et après tu auras peut-être quelques idées.

Je demandais alors à ma femme de se tourner et de se pencher légèrement en avant en faisant bien ressortir ses fesses. La jupette remontait très haut laissant apparaître ses fesses et son petit string. Luc photographiait le spectacle. Je demandais à ma femme d’écarter ses jambes et à Luc de s’allonger par terre entre ses jambes. On voyait le petit string blanc et Luc ne lâchait plus le déclencheur de l’appareil.

- Tu vas tirer sur ton string pour qu’il entre dans ta fente en séparant bien les deux lèvres de ta chatte.

Elle obéissait et je voyais une belle bosse se développait dans le pantalon de Luc.

- Maintenant tu vas doucement le faire glisser le long de tes jambes pour que Luc puisse bien voir ta chatte épilée.

J’étais étonné de la docilité de ma femme et de sa science, inconnue pour moi, de jouer ce numéro d’effeuilleuse. Luc prit quelques photos et je voyais sa main caresser son sexe au travers du tissu de son pantalon.

- Maintenant, chérie, tu vas te mettre à quatre pattes, la croupe bien en l’air que l’on voit bien ton derrière.

Luc commençait à sérieusement transpirer et je lui demandais de se déshabiller. Ma femme restait là, la croupe tendue vers l’arrière que sa mini jupette n’arrivait pas à masquer.

- Maintenant, chérie tu vas bien écarter tes fesses que l’on voit ton petit trou bien épilé, lui aussi.

Luc regardait, fasciné et le sexe tendu, ces fesses s’écarter rien que pour lui. Il fit quelques photos bien rapprochées du petit trou de ma femme. Son sexe commençait à laisser perler quelques gouttes de liquide séminal. Je demandais alors à ma femme de le prendre dans sa bouche. Luc se laissait faire, l’appareil photo pendait au bout de son bras pendant que ma femme délicatement glissait son sexe dans sa bouche. Elle me regardait dans les yeux, le sexe de Luc immobile dans sa bouche. Je lui ordonnais de le sucer doucement. Elle m’obéissait mais ne me quittait pas des yeux. Je dois dire que cela m’excitait terriblement de voir ma femme sucer un jeunot de vingt ans. Ses lèvres montaient le long du membre et arrivées sur le gland, elle sortait sa langue pour lécher le méat avec douceur et application. J’attrapais l’appareil et prenait quelques belles photos de cette scène de cul. Luc gémissait à chaque coup de langue et il semblait près de jouir.

- Chérie, il va bientôt jouir et je ne veux pas voir une goutte perdue de son sperme. Je veux que tu gardes bien tout dans bouche quand il jouira.

Son regard exprimait un accord qui me faisait moi aussi mouiller mon slip. Luc jouissait dans un halètement en tenant à deux mains la tête de ma femme qui recueillait toute la giclée au fond de sa bouche. Elle faisait encore un ou deux aller-retour sur le membre pour bien recueillir tout le sperme du jeune homme. Luc se retirait et s’agenouillait, visiblement épuisé par cette sucette.

- Ouvre ta bouche et montre-nous ce que Luc a lâché dans ta bouche !

Elle me regardait droit dans les yeux et ouvrait la bouche. Un filet de sperme coulait le long de ses lèvres, pendant que sur sa langue une boule d’une substance blanche perlait triomphalement.

- Luc, embrasse Chérie et partagez-vous ce sperme !

Luc me regardait interloqué.

- Je ne répéterai pas cet ordre !

Ma femme s’approchait de Luc, lui prenait tendrement son menton et lui roulait un vrai patin. On voyait sa langue fourrager la bouche de Luc. Du sperme coulait entre leurs lèvres et visiblement ils prenaient du plaisir à ce petit jeu. J’avais envie d’y participer, mais je décidais de rester dans le rôle du bourreau. Je glissais ma main entre les cuisses de ma femme et y trouvais une chatte brûlante de désir. Je lui demandais de s’allonger sur le dos et de se caresser doucement. Luc restait agenouillé, un peu de son sperme sur ses lèvres. Ma femme s’allongeait, les genoux bien relevés, et on voyait son doigt caresser son clitoris.

- Luc, mets un doigt dans la chatte de Chérie, et fais un léger mouvement de va-et-vient !

Luc se penchait, et regardait le sexe épilé de ma femme avec une admiration réelle. Timidement il introduisait un doigt dans le sexe et visiblement ne savait pas trop s’y prendre.

- Tu n’as jamais caressé une femme, Luc ?

- Non, c’est la première fois. Je n’avais jamais rencontré de femme.

- Chérie, tu vas dépuceler un jeune homme, tu dois être contente !

Je voyais ma femme s’astiquer le bouton et je savais qu’elle ne serait pas longue à jouir.

- Luc, tu vas lécher Chérie et enfonce bien ta langue dans sa chatte. Tu vas sentir quand elle va jouir. Elle fera couler du miel dans ta bouche.

Luc appliquait ses lèvres contre le sexe de ma femme. On voyait sa langue disputer les lieux au doigt de ma femme. Soudain, elle se cambrait et jouissait très fort. Luc lui glissait les mains sous les fesses la maintenait cambrée et on voyait sa bouche aspirer le liquide du plaisir de ma femme. Sa queue rebandait fortement. Le plaisir de ma femme fut assez long et mon slip avait du mal à contenir ma queue.

Quand Luc laissait ma femme s’allonger sur le sol je lui ordonnais de la prendre. Ma femme me regardait, ravie de cette annonce. Je demandais à ma femme de bien tenir ses jambes écartées avec les genoux en l’air. On voyait sa chatte béante et humide ainsi que son anus. Luc approchait sa queue de la chatte de ma femme.

- Non, Luc tu vas l’enculer devant moi !

Luc me regardait, indécis alors je prenais l’initiative. Je glissais mon doigt dans la chatte de ma femme et avec le liquide recueilli je lubrifiais l’entrée de son anus. Je prenais le sexe de Luc et l’approchais devant ce trou. Luc se laissait faire. J’appuyais le gland de Luc contre l’orifice. Je lui demandais de pousser lentement. Le spectacle était vraiment superbe. Je voyais une queue que ma main guidait ouvrir l’anus de ma femme. Le gland écartait doucement les chairs et était presque entièrement entré. Alors d’un coup sec je poussais sur les fesses de Luc. Ma femme lâchait un petit « ah ». Luc n’osait bouger. Je lui demandais alors de remuer. Je voyais nettement bouger les lèvres de la chatte de ma femme quand le sexe reculait ou avançait. Luc avait des mouvements lents. Ce spectacle m’échauffait tellement que je me déshabillais et avant de me jeter dans la bataille appuyait sur le bouton « record » de la caméra.

Je m’approchais d’eux. Je caressais le clitoris de ma femme de ma main gauche et la droite les couilles de Luc. Je bandais comme un salaud. J’approchais mon gland de la bouche de ma femme. Elle me suçait avec un regard de vraie salope. Au bout de quelques instants je prenais la tête de Luc pour lui glisser aussi ma queue dans sa bouche. Ma femme regardait son mari sucé par un homme avec un étonnement non fein.

Luc avait cessé ses va-et-vient, alors je décidais de remédier à cette chose. Je me plaçais derrière Luc et glissait ma main entre ses fesses. La surprise lui faisait pousser fort en avant et arrachait un cri de plaisir à ma femme. Je mouillais un doigt et lui glissais dans son petit cul. Luc ne disait rien. Mon doigt pénétrait plus avant et j’amorçais des allers-retour de plus en plus rapide. Je décidais alors de le sodomiser. Luc était enfoncé jusqu’aux couilles dans le derrière de ma femme et moi je présentais mon gland devant son anus. Je posais mon gland contre l’entrée et commençait à pousser. Luc gémissait de plaisir ou douleur peu importe. Mon gland enfin passait les résistances et j’enfonçais mon sexe dans ce petit cul de jeunot.

A chaque poussée de ma part, le sexe de Luc tapait au fond de ma femme. Quand je reculais, Luc reculait. Nous avions accordé notre rythme. Luc se penchait sur ma femme et je voyais son visage irradié de plaisir à chacun de mes coups de queue au fond de Luc.

- Tu me baises au travers d’un autre, que c’est bon Chéri, vas-y plus fort, plus fort…

Elle prenait ma tête et me roulait une pelle pleine de goût du sperme du jeune Luc. 

J’annonçais ma jouissance proche. Quand j’explosais dans le cul de Luc, je sentais que lui aussi jouissait. Ma femme nous accompagnait dans un long cri de plaisir. Au bout d’un moment, elle me regardait et prononçait :

- Tu pourras me punir comme tu le voudras, je suis ton esclave. Jamais je n’ai joui autant et te voir baiser un homme devant moi a été un spectacle ravissant.

Je me retirais de Luc, Luc se retirait de ma femme. Nos deux sexes pendaient, les couilles vidées. J’ordonnais à ma femme de nous nettoyer. Délicatement elle léchait un sexe puis l’autre. Il ne restait bientôt plus une seule trace de nos ébats sur nos queues. Le sexe de Luc lui semblait reprendre de la vigueur sous les effets de langue de ma femme.

Nous nous regardions étonnés de tant de vigueur. Ma femme accentuait ses coups de langue sur le gland de Luc. Je me surprenais à lui caresser les couilles, j’aimais ce contact au creux de ma main. Bientôt je voyais ma femme le pompait réellement, le sexe de Luc était bien tendu. Elle me regardait et soudain elle prenait ma tête et la dirigeait vers le sexe de Luc. J’ouvrais instinctivement la bouche et la refermais sur cette queue. Je trouvais cela très excitant. Je commençais à faire des va-et-vient sur cette bite. Je sentais un goût de chatte, de cul, de sperme, le tout mélangé, une véritable première pour moi. Je bandais de nouveau et je sentais ma femme qui me suçait goulûment. Je voyais sa main qui glissait dans sa chatte pour s’astiquer le bouton. Luc jouissait le premier dans ma bouche. Je fus surpris par le jet et le léger mouvement de recul de ma tête fut corrigé par les mains de Luc qui me plaquaient sur son sexe. Son gland touchait ma glotte et j’avalais toute sa giclée. J’avais alors une jouissance mentale et j’éclatais au fond de la bouche de ma femme.

Luc nous surprenait alors. Il nous réunissait, tête contre tête et tous trois nous avons échangé des baisers, lourds de sperme et de salives…

Bien plus tard, ma femme me disait :

- J’ai hâte d’être encore punie sévèrement…

A suivre...

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