samedi 17 décembre 2022

Farid et les autres Ch. 06

Texte de Florence22.

 *****

Voyage avec les potes à Farid.

Rachid était rentré chez lui à Nice et notre routine avait repris. Farid continuait de me prendre sans ménagement plusieurs fois par semaine dans la buanderie. Ses baises étaient frustrantes pour moi, il me penchait sur la machine à laver et me prenait directement, sans préliminaires. Deux minutes de bourrage intensif en me triturant les seins, il jouissait, remontait son survêtement et me laissait en plan sans un mot.

Franck reprenait le moral jusqu’au jour ou il me dit, dépité :

- Rachid m’a appelé. Il veut qu’on passe le long week-end de Pâques chez lui, tu devines pourquoi ?

Oh que oui, je devinais que ça allait être ma fête et que j’allais prendre mon pied. Nous n’avions pas le choix, les demandes de Rachid n’étaient pas sujettes à discussion. Le lendemain pendant que Farid me prenait, il me dit :

- Mon frère m’a dit que t’allais te faire baiser chez lui pour Pâques. Ça tombe bien, vous nous poserez à Nice avec des potes, on va en Italie, ça nous évitera des frais de transport.

- C’est qui tes potes ?

- Les deux qui t’ont baisée devant ton mari le mois dernier, tu te souviens ?

- Oui je me souviens. Dis-leur de se tenir correctement dans la voiture, je ne veux pas qu’ils me prennent devant Franck.

- Lol, tu leur diras à eux pas à moi. On sera en boite, vous nous récupérez à la sortie à 6h00 et on file direct à Nice.

Tant mieux me dis-je, ils auront bu, ils dormiront pendant le trajet et je serai tranquille.

Le jour venu on attend devant la discothèque jusqu’à 6h30 et là, les 3 lascars se pointent, bourrés à plus tenir debout, une bière à la main. Farid, d’habitude réservé, m’apostrophe agressif :

- Hé salope, t’as pris mon sac de sport ?

- Oui Farid, j’ai vos valises dans le coffre.

- Je monte devant avec le cocu, mes potes veulent voyager avec toi, tu leur manques.

Hélas leur état d’ébriété les a rendus nerveux, agressifs, excités, mais sûrement pas somnolent. Dès le premier kilomètre, ils commencent à me peloter, me doigter et me rouler des pelles. Ils ont mauvaise haleine, ils puent la transpiration, l’alcool. Je les repousse, j’ai honte devant Franck qui ne bronche pas. Farid, les yeux révulsés de rage, se retourne et me lance :

- C’est bon, fais pas ta pute, laisse-les faire OK ? Sinon on s’arrête sur le bas-côté et tu vas prendre cher, sale chienne !

Son pote John, qui n’a pas fumé que des cigarettes, m’attrape par les cheveux et hurle :

- T’entends salope ? Tu obéis.


Et sur ce, il me tire la tête entre ses jambes et m’écrase le visage contre sa bite poisseuse qui sent l’urine. Franck et moi on comprend qu’il vaut mieux ne rien dire. J’ouvre la bouche et prends sa bite molle en essayant de la faire durcir. Pendant ce temps-là, Nordine avait relevé ma jupe et profitait de ma position pour se frotter contre mon cul, son état l’empêchait de bander, je sentais qu’il s’énervait. Farid se retourne et se moque de lui :

- Ha ha, t’arrive même pas à bander, mets-lui la bouteille de bière si t’as plus de bite !

- Je n’arrive pas à bander parce qu’elle est molle cette pute, vas-y sale chienne bouge du cul, excite-moi.

Et il commence à me donner des grandes claques sur les fesses. L’idée de la bouteille a fait son chemin dans son cerveau de pervers, car il me lève une jambe et je sens quelque chose de dur et froid contre ma vulve.

- Vas-y Farid, filme pendant que je lui mets la bouteille à cette chienne !

J’essaie de lui dire d’arrêter mais John me tient la tête sur sa bite qui grossit avec la situation. Le fait de me forcer avec le goulot de la bouteille a excité Nordine qui la remplace par sa queue devenue dure finalement. Il commence à me besogner en me pinçant les seins et en m’insultant. Hélas pour lui et pour moi qui commençais à aimer cette queue chaude, il débande sans avoir joui contrairement à John qui donne des grands coups de bassins dans ma gorge et fini par lâcher ses jets de sperme en hurlant de plaisir pour que Franck comprenne qu’il était en train de remplir la bouche de sa femme. Je me rassois entre les deux mais Nordine n’a pas fini il me dit :

- Branle-moi sale pute ou je remets la bouteille !

Je m’exécute, prend sa bite molle entre mes doigts, lui caresse les couilles mais rien n’y fait, il a trop bu.

- Sale pute, t’es vraiment bonne à rien, vas-y penche-toi et ouvre ta gueule, je vais me branler dedans !

Là il commence à se branler frénétiquement, il me dit :

- Ouvre salope, ça vient, je sens que ça vient, ouiiiiii, vas-y avale, prends ça sale chienne, ouiiiii,  allez décrasse-moi la teub, lave-la avec ta langue de Gauloise, lèche les couilles aussi.

Il sentait tellement mauvais. J’avais des hauts le cœur. En plus à 8h00 du matin, les odeurs d’ivrogne sale et pisseux c’est vraiment pas mon fort. Ils s’endormirent tous les trois y compris Farid qui n’avait pas joui, la bite en main sur le siège passager.

Deux heures plus tard, Nordine demande à s’arrêter pour pisser. On sort de l’autoroute, Franck s’arrête pour faire l’essence. Farid enfin réveillé lui ordonne :

- On va aux chiottes, tu nous achètes à boire et à manger et tu nous rejoins devant les WC. Florence vient avec nous, je veux la tringler.

Le pauvre Franck n’osait pas me regarder. Nous évitions les regards dans ces situations-là. Arrivé aux WC hommes Nordine retient Farid :

- Avant de la niquer il faut qu’elle me fasse pisser. Sors ma teub, salope et fais-moi pisser.

Je la prends en main et la dirige vers le trou de la pissotière.

- Vas-y, j’ai fini, secoue-la, et à genoux, essuie-la avec ta langue !

Je m’agenouille et la lèche, son goût de pisse me donne des hauts le cœur. Derrière moi Farid me fouille le vagin de ses doigts puis commence à me besogner. D’habitude il me donne des coups de bite rapides et répétés mais cette fois il m’attrape par les hanches et me donne d’énormes coups de bite comme s’il voulait atteindre le fond de mon ventre. Il jouit vite, en moins d’une minute je suis à quatre pattes et je sens son sperme dégouliner de ma chatte.

- Matez les potes mon jus qui coule de sa chatte, je l’ai tellement remplie qu’elle déborde.

John, devant la pissotière, se rapproche la bite à la main et se met derrière moi.

- Attends salope, reste comme ça, je vais te nettoyer !

Et là, je sens un jet chaud sur mes fesses. Il vise ma chatte et l’arrose de sa pisse chaude. Ça me fait un effet bizarre, je suis au comble de l’humiliation mais sans l’odeur repoussante, ce jet chaud est plutôt plaisant. Les trois lascars éclatent de rire. John se présente devant ma bouche pour le lécher. Farid dit :

 Et moi les mecs, je n’ai pas pissé. Je pisse où ?

John lui répond :

- Dans sa bouche ! elle kiffe cette pute.

Je lui dis :

- Non s’il te plaît pas ça Farid !

Mais les autres l’encouragent : 

- Allez Farid, vas-y si t’as des couilles !

Il n’en fallait pas plus pour que ce salaud se positionne devant mon visage et m’asperge. N’en pouvant plus je vomis c’était trop. Mais ça ne l’a pas arrêté, il continue de déverser son jet jusqu’à la dernière goutte. Mon visage, ma bouche, tout était trempé de pisse.

- Allez salope, lave-toi tu pues et rejoins-nous dans la voiture !

- Vous avez bien filmé les mecs ? J’envoie ça par Whatsapp à mon frérot.

Je les rejoins dans la voiture, reprends ma place du milieu, John était devant cette fois. On reprend la route sans un mot. Cette fois ils sont allés trop loin, les odeurs me dégoûtent et la pisse encore plus. J’ai été obligé de me faire au sperme même si je n’aime pas, mais il ne faut pas plus m’en demander. Farid écarte les cuisses et me fait comprendre que je dois encore pomper. Je lui dis doucement pour pas que Franck entende :

- Farid, vous êtes allés trop loin cette fois. Si ça recommence je porte plainte.

Pour la première fois de sa vie il me prend dans ses bras et me chuchote :

- Florence excuse-moi, j’ai bu, j’ai mal assuré, j’avoue, je recommencerai plus, je promets, mais suce-moi STP pour que je m’endorme.

Demandé si gentiment je n’ose pas refuser, d’habitude il me parle à peine ou pour me dire sale pute sale chienne. Avant même qu’il ait pu bander dans ma bouche il s’était endormi, on a fait tout le reste du voyage comme ça, sa queue molle dans ma bouche. On arrive à la gare, on les dépose, les deux potes de Farid s’en vont sans un regard et Farid nous dit gentiment :

-Amusez-vous bien ! grosses bises à mon frère et soyez sages lol !

Maintenant direction l’appartement de Rachid et là c’est une autre histoire…

FIN

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